Rappel du premier message :
Du bout de ses 18 ans Quichano mesure son mètre quatre vingt. Il possède un corps fin mais athlétique aux muscles noueux forgés par ses gènes familiaux qui au fil des générations de militaires se sont perfectionnés. Son corps porte encore les stigmates des traces de sa vie d’avant la révolution et de celles laissées par l’assassin de Di Auditore et Vendetta. Son corps possède un attribut physiologique rare lui ayant permit de survivre lors de la révolution, et probablement à la sélection naturelle des D La Mancha : son cœur se situe de l’autre côté de sa poitrine.
À sa sortie de son coma Quichano avait les cheveux blancs. Après qu’ils se soient fait intronisé dans la marine, il les a teint en rose pour montrer sa volonté d’établir une noblesse dont les fondements se trouve dans la compassion et la bonté. Sa peau est pâle et son visage se situe entre celui d’un ange et celui d’un enfant espiègle un brin rêveur.
Quichano depuis sa promotion d’officier paraît décontracté et relâché. La plupart du temps il porte des hauts de corps bleu marine et un pantalon en lin blanc. Autrement dit, on est loin des vêtements stricts attendus pour les officiers. En outre, par dessus cet ensemble, Quichano porte une veste à capuche d’officier de la marine dont les épaulettes portent ses insignes brodées tout comme son prénom Quichano dans son dos. Chaque pan de son manteau sont maintenus ensemble au niveau du torse par un chapelet bouddhiste. Pour clore le tout ce dernier porte toujours sa casquette de marine à l’envers, à moins qu’il ne porte un bob de temps à autre suivant le climat.
Il porte toujours sur lui son sabre et lorsqu’il est en mission tout cela est complété par une multitude de mousquet à la ceinture et d’une arquebuse à baïonnette.
Lors de ses missions d’éclaireur il porte une cape brune sombre à la place de sa veste de gradé ou des vêtements de civils. Lorsqu’il porte ces derniers il préfèrera des choses simples et élégantes, pas de bling bling, pas de clinquant comme il avait l’habitude jadis. La noblesse doit irradier de ses paroles et de ses actes et non dans son style vestimentaire. Le petit plus est son pyjama avec ses oreilles de lapin dont il se sépare lors des missions d’infiltrations trop risquées.
Enfance de Noble :
Ha !!!! La famille D La Mancha, une longue lignée de militaire de Goa. Une lignée qui a connu la royauté de Goa, une lignée présente depuis plus d’un siècle. Une lignée dont les descendants étaient sélectionnés parmi les meilleurs et les plus cruels des enfants.
Que ce soit des hommes ou des femmes, ces derniers abusaient d’esclaves femmes ou hommes, puis une fois que ces derniers leurs avaient donnés des héritiers ils les trucidaient tout simplement. Les enfants apprennent alors l’art du sabre, du mousquet, de l’arquebuse et de lance jusqu’à l’âge de 10 ans puis, sont lâchés dans le Mont Corbo. Les survivants s’affrontent alors dans une arènes se trouvant dans la propriété des D La Mancha sous les yeux de la plus haute noblesse de l’ile et de la royauté.
Quichano fut donc un enfant soldat formé pour être une machine à tuer. Froid, calculateur implacable et par dessus le marché, sadique. Ayant était le fils d’un des nobles les plus proches de la royauté : Quirinus D La Mancha, capitaine de la garde royale, il abusait de la torture sur les esclaves, encouragé par son père afin de le défaire de tout sentiment de culpabilité où de compassion.
On lui a enseigné depuis tout petit que ces ancêtres ont eu le privilège d’être les protecteurs des Entoilette et des lignées héritières des nobles de Goa qui sont eux même des descendant sauveur du monde. De surcroit il avait tous les privilèges des nobles car le bas peuple devaient le respect à leurs sauveurs et à leurs serviteurs.
Quichano jusqu’à la révolution de Goa s’est fortement teinté de la personnalité froide et sanguinaire de celle de son père et de celle de celui qui lui a servi de modèle : Armando Adamo Rojas Martinez Mendoza. Passé la cruelle sélection des D La Mancha il demanda à son père s’il pouvait devenir un homme de main de Mendoza afin de parfaire son éduction. Chose lui fut autorisée. Trois années de bonheur où il commença à perpétuer la tradition des D La Mancha violant et abusant de belles esclaves féminines tout en peaufinant ses gouts pour son futur harem.
Il aimait sentir la terreur qu’il pouvait susciter surtout au près des nobles. Mendoza utilisait le jeune chef d’escouade pour rappeler au noble de Goa les dettes qu’ils avaient envers lui. Le prix des joies de vivre était cher à Goa surtout quand celles-ci avaient comme créancier Mendoza et qu’il utilisait un des descendants des nobles les plus tordus de Goa comme huissier.
C’est ainsi que grandit jusqu’à ses quinze ans l’une des pires mauvaises graines de Goa.
La Chute :
En 1623 lorsqu’un saltimbanque accompagné de chats humilia le dernier des Retourtour, c’est avec un plaisir sadique et jouissif que Quichano prit à 13 ans la tête de son escadron, captura tous les chats de la basse ville et les livra aux cuistots des « déchets ». Avec une jouissance encore plus sadique, il monta le plan de capture du fameux troubadour rebelle, il le fit tabasser à mort et livra son chat fétiche à sa petite copine de l’époque car oui, même s’il avait déjà son p’tit harem féminin d’esclave, fricoter entre sang bleu amène son petit lot d’épice. Inutile de dire que lorsque ce foutu saltimbanque mit le feu au palais de la famille de sa petite amie après avoir tabassé le jouet de celle-ci et s’être échappé de l’ile avec son esclave sexuel favorite tout en envoyant son mentor dans le coma lors de sa fuite, son égo prit une claque monumentale.
Maiiis … une claque à l’égo ce n’est rien en s’en remet neh … On ébouillante les esclaves qui ont fuit le navire, on les épluche – un peut comme les tomates en sommes – puis on les prépare comme du bœufs en conserve que l’on revend comme tels dans les quartiers pauvres. Après tout ça on est calmé, oui calmé.
Le traumatisme « Auditorien » de 1625 ça oui c’est tout autre chose. Ça vous envoie dans le coma et ça vous transforme jusqu’à la moelle oui, oui, oui.
« Le pauvre enfant je le comprend » dirait certain « Après la mort du prince et de la princesse préférait de Von Avevez-Sama , on a torturé son père à mort, il paraît que le roi à même arraché la peau de son dos pour en faire un tapis offert à Quichano comme mise en garde. » … Mais pas du tout que nenni ce n’est pas de cela que nous parlons. Nooon, chez les D La Mancha seul les meilleurs survivent et c’est ainsi. Alors si Quirinus était mort dans d’atroces souffrances c’est parce qu’il était faible, parce qu’il avait faillit. . . Cela chez les D La Mancha, s’appelait une opportunité promotionnelle. D’ailleurs Quichano adorait ce nouveau tapis, très pratique pour s’essuyer les pieds.
Non chers amis le traumatisme, c’est cette défaite écrasante, enrageante, humiliante. Cette sensation d’abandon laissé par Mendoza, l'homme qui l'inspirait, l'homme sur qui lui servait de modèle vénéré! Imaginez donc la perte de repère totale !!! Un pleutre, un lâche, une sous merde opportuniste qui voulait être calife à la place du calife !!! Puis vint cette dague plantée là, dans l’emplacement qu’aurait du être son cœur, puis dans son foie par un encapuchonné de l’autre enfumé. Pour couronner le tout, il y a eu les milliers de pas sur son torse qui le piétinent et puis plus rien. . .
Purgatoire :
Puis il y eu le silence … Après le silence le tunnel, sombre, très , très sombre … et au bout pas la lumière dont on entendait parler des fois nan … un décors d’enfer … fin pas dans le bon sens du terme si vous voyez ce que je veux dire.
Alors vint un temps où dans ce paysage de malheur, il errait, nul eau, nul source de nourriture. Il était trop faible. Souffrance …Peur… Desespoir… Fuite. Avant, il était chasseur maintenant, le chassé. Avant il était prédateur maintenant il était la proie.
Dans ses moments de répits, une étoile lui parlait. Elle lui parlait d’amour, de rédemption, de pardon, de miséricorde. Peuh au début ça ne prenait pas avec lui, tout ça c’était pour les faibles. Lui, il était au dessus. Les révolutionnaires, Mendoza et compagnie ils méritaient juste qu’il leur fond dessus, qu’ils subissent tous sa colère foudroyante. Il préférait encore devenir un démon et hanter leurs nuits.
Puis dans un laps de temps indéfinissable dans cet univers d’horreur, il se retrouva confronté à son père, transformé en abomination de chairs ouvertes, suintant la crasse, la colère, la haine, la violence. Puis y avait l’homme chien transformé lui aussi par sa haine en une créature horrible, digne des pires cauchemards qui le pourchassait. Dans cet univers il n’avait pas de chance, il était … oui … après une longue fuite perdu dans une grotte, dans un instant de répit, il comprit. Il était faible. Car il ne voulait pas devenir comme son père … ou plutôt … cette chose.
Il écouta alors cette petite lueur qui lui parlait à présent dans son cœur. Ultime goutte d’amour dans son organe desséché nourrit des pires atrocités. Alors il écouta cette lueur d’espoir dans son cœur et parla à cette perle d’amour qui y brillait, à cette lueur qui le réchauffait. Il fuya … se confia … fuya … se confia… pleura…. Se libéra.
Au bout d’un temps, il reconnu la voix qui lui parlait, cette voix douce, maternelle, cette perle d’amour : Paerldamor sa mère. .. Alors dans cette lueur qui brillait dans son ptit cœur desséché qu’il avait pris le temps de ré-arroser de toutes ce qui croyait être les gênes des faibles, il se rappela son enfance perdue à jamais … Et l’enfant pleura, demanda pardon à sa mère, dans de plus grosse larme encore, après avoir pris cette p’tite goutte dans ses mains : se pardonna… L’enfant courut dans les bras de sa mère et alors tout devint amour.
Renaissance :
Un temps indéfinissable de bonheur, baigné dans l’amour, la compassion, la bonté … enfin la vraie lumière apparemment, celle qu’il avait entendu de la bouche des marins rescapés, dans son enfance. Puis vint le temps de la prise de conscience et le temps des adieux. Sa place n’était pas là, elle était dans le monde matériel. Il avait beaucoup de choses à y expérimenter. Il devait forger lui même sa propre destiné, faire ses propres choix et apprendre de ces derniers, découvrir la vraie sagesse de la vie.
« - Docteur Eustachio le patient revient à lui ! Il ouvre les yeux » BING le poing cogna le crane du Dr Armando.
« -Aïeuh mais vous êtes docteur ou quoi !!!
- Bakaro !! Il ne pouvait que revenir à lui puisque c’est moi qui l’est soigné !!!! »
La suite de l’histoire, c’est trois mois de récupération à l’hôpital de la clinique de Fuschia au lieu de six pour un individu normal. Normal quand on a plusieurs siècles de générations de guerrier dans le sang. Puis une fois remit il prit en devoir d’aider les marines dans la distribution de nourriture. Quand il avait le temps il aidait soit à la cliniques de Fushia, soit dans les champs. Semblait qu’il avait besoin de peu de temps pour dormir. Quand des bourgeois ou des nobles survivants voulaient encore abuser de leurs privilèges, il les envoyait bouler à coup de poings.
Petit à petit son corps retrouva ses reflexes et lui fit sentir son besoin d’action, alors il se joignit au groupe de marines qui s’aventurait dans le Mont Corbo pour cueillir des plantes médicinales. Jours après jours ses aptitudes revinrent, à force d’affronter le bêtes sauvages qui s’y trouvaient.
Jusque là personne ne l’avait reconnu et lorsqu’on lui avait demander son nom il avait répondu Paerldamor. Mais lorsque dans les monts, il entendit plus parler de Goa, des flashs back et des brides de mémoires lui revinrent, et certains rebelles voulurent le capturer, les marines le défendirent et ils revinrent peu nombreux à la base. C’est ce qui donna à Quichano l’envie de s’engager. Il avait détruit tellement de vie que maintenant il voulait se repentir.
Il eut alors un entretient avec le Colonel Sauveur. Il apprit qui il était jadis, sans les détails, juste qu’il était un de ses fumiers de nobles réfugiés du camp de Fuschia, que le jeune Quichano de maintenant haïssait.
Bien qu’il ne se rappelait plus de rien cela perturba Quichano qui en pleure, jura qu’en son âme actuelle il ne voulait pas ressemblait à ses vermines qui abusaient de leurs privilèges. Il en avait la conviction au fond de lui, s’il était d’origine noble il voulait alors montrer un autre modèle, basé sur le cœur, un modèle au service du peuple et la marine l’y aiderait.
En plus des qualités et des progrès qu’il exécutait dans la caserne, il fit montre de prouesse dans la maitrise des armes. Ainsi lorsque son Caporal Peetar N’ Fury se fit mordre par un chien enragé dans le camp de réfugié lors d’une tournée de distribution de médicaments et de nourritures, il dut prendre sa retraite avancée. Quichano se présenta au concours pour le poste. Il l’obtint facilement.
En 1626, quand les grands noms de l’élite se rassemblèrent de l’autre côté du Corbo pour battre le révolutionnaire, le caporal D La Mancha mena sa petite escouade à travers les bois sur les flancs du mont. Puis ce fut la guerre, certains fuyards tentèrent de s’échapper par Fushia via des tunnels de secours. Coup de feu, coup de sabre, coup de poing, coud de boule et coup dans les burnes. C’est alors que son sergent Kesta Tikon fut gravement blessé. Les hommes eurent peurs, cinq kilomètres plus bas c’était le camp de réfugiés. Il fallut prendre la relève. Ni une, ni deux Quichano il prit la casquette de Tikon et il se mit à gueuler. Il rassembla les escouades. Et même si ce fut dur pour lui au début ses gènes reprirent le dessus. Il prit l’escargophone et donna des indications, comme s’il eut était le sergent Tikon, aux autres escouades sur le flanc. Un succès qui en fit un sauveur. Quichano demanda à ce que l’on épargne les prisonniers si c’est derniers voulaient rentrer dans la marines, il s’occuperait d’eux. Après tout à la 475 ème, on manquait d’effectif.
Puis il y a eu l’ultime tentative de rebellion en 1627, les révos survivants n’étaient pas dans le camp de réfugié, nan. Ils s’étaient gourés les gars du CP6. Les révos étaient dans les caves de Fushias, là, un peu partout. Ils ont tenté de soulever le peuple de Fushia mais c’est les escouades de bibi qui les ont arrêté et de surcroit avec les troupes fraichement engagées de la battue de 1626. Un beau succès ! Encore des gens pour s’engager dans la marine. Les plus récalcitrants ont étaient envoyés au bagne de Tequila Wolf. Ils n’auront pas de quoi s’ennuyer, parait qu’elle est mignonne la nouvelle directrice pénitentiaire. Bref ! Deuxième succès pour Quichano, par deux fois il avait fait ses preuves. Il avait bien aidé son adjudant qui s’était pris un coup de poêle à frire un poil trop fort dans l’pif et paf l’os qui craque et perce le cerveau. « Monde de merde », avait eut-il le temps d’articuler avant d’clamser l’adjudant. Son sergent chef avait dit qu’il était trop vieux pour ses conneries d’adjudant. Il avait alors posté une lettre de recommandation pour Quichano. Et pouf voilà Quichano propulsé au rang d’adjudant au début de l’année 1627.
Faut dire que c’était du boulot toutes ses jeunes recrues passées d’un camp à l’autre et fallait bien les former. Alors à chacune de ses montées en grade Quichano avait fait muter ses hommes en grade aussi. Les 5 braves qu’il avait sous ses ordres quand il était caporal, devinrent caporal à leur tour. Ils eurent la charge de former les recrues engagées depuis l’opération « ramasse miette ». Puis quand il fut promut adjudant, les caporaux sous ses ordres furent nommés sergent ainsi, les plus disciplinés et prometteurs des hommes de ses nouveaux sergents furent nommés caporaux.
La paix semblait bien revenue ces derniers mois à Fushia et Quichano s’en félicitait. Faut dire qu’il y avait mis de sa patte. Il les avait bien éduqué les nouvelles recrues. Les travaux de labour dans les champs, les missions d’aide au près de la clinique dans le mont, et les missions « restos du cœur » dans le camp de réfugiés, ça vous forge de la bonne graine de marins tout ça. C’est comme ça que la paix semblait être bien revenue à Fushia. Ouaip mon p’tit gars, tout ça grâce à bibi ! Alors au début de l’automne le colonel Tommy Sauveur convoqua Quichano dans son bureau :
« D La Mancha il y a de la graine d’Officier en vous » qu’il lui avait dit. « Ça tombe bien le vice-lieutenant Sen Nils prend bientôt sa retraite. Préparez vos affaires adjudant, vous partez pour le G2 passer la formation des officiers. » Communication, Infiltration, commandement, Stratégie… il appris plein de choses intéressantes, et puis il y avait la promesse du terrain, de l’action !! Oui, oui c’est vrai il aimait bien ses p’tits bleus mais fallait un jour couper le cordon pour qu’ils puissent grandir les petiots. Alors il révisa d’arrache pied, il mis tout ce qu’il avait dans le cœur à cet examen Quichano. Plusieurs mois après, il eut le sourire aux lèvres quand il vit qu’il était tout en haut de la liste des résultats. Il fut alors convoqué dans le bureau du colonel Dutch Warp. Pourquoi ? Seul l’avenir nous le dira.
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• Prénom : Thibault Dupuis
• Age : 30 balais ( ouaip les ch'veux blancs pointent le bout de leur nez de temps en temps)
• Aime : le développement personnelle, la lecture et tout ce qui touche à la créativité.
• N'aime pas : Heu joker ...
• Personnage préféré de One Piece : Y en a plein mais ouaip Shanks le Roux.
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? social, ouvert d'esprit, créatif.
• Fait du RP depuis : début du Lycée donc heu ... 14 ans
• Disponibilité approximative : deux trois jours par semaine.
• Comment avez-vous connu le forum ? recherche internet
VOTRE NOM ET PRÉNOM ICI
• Pseudonyme : Paerldamor.
• Age : 18
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Instructeur
• Groupe : Marine
• Age : 18
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Instructeur
• Groupe : Marine
• But : Incarner un nouveau modèle de noble - Atteindre l'amirauté et déjà ce sera pas mal.
• Équipement :
- Une dizaine de T-Shirt et de pantalon identique .
- Un sabre avec de quoi l'entretenir.
- Une poignée de mousquet avec de quoi les utiliser et les entretenir.
- Une arquebuse à baïonnette avec de quoi l'entretenir et l'utiliser.
• Parrain : moi Gruugius
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Gruugius
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ... Raphael
Codes du règlement :
• Équipement :
- Une dizaine de T-Shirt et de pantalon identique .
- Un sabre avec de quoi l'entretenir.
- Une poignée de mousquet avec de quoi les utiliser et les entretenir.
- Une arquebuse à baïonnette avec de quoi l'entretenir et l'utiliser.
• Parrain : moi Gruugius
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Gruugius
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ... Raphael
Codes du règlement :
Description Physique
Du bout de ses 18 ans Quichano mesure son mètre quatre vingt. Il possède un corps fin mais athlétique aux muscles noueux forgés par ses gènes familiaux qui au fil des générations de militaires se sont perfectionnés. Son corps porte encore les stigmates des traces de sa vie d’avant la révolution et de celles laissées par l’assassin de Di Auditore et Vendetta. Son corps possède un attribut physiologique rare lui ayant permit de survivre lors de la révolution, et probablement à la sélection naturelle des D La Mancha : son cœur se situe de l’autre côté de sa poitrine.
À sa sortie de son coma Quichano avait les cheveux blancs. Après qu’ils se soient fait intronisé dans la marine, il les a teint en rose pour montrer sa volonté d’établir une noblesse dont les fondements se trouve dans la compassion et la bonté. Sa peau est pâle et son visage se situe entre celui d’un ange et celui d’un enfant espiègle un brin rêveur.
Quichano depuis sa promotion d’officier paraît décontracté et relâché. La plupart du temps il porte des hauts de corps bleu marine et un pantalon en lin blanc. Autrement dit, on est loin des vêtements stricts attendus pour les officiers. En outre, par dessus cet ensemble, Quichano porte une veste à capuche d’officier de la marine dont les épaulettes portent ses insignes brodées tout comme son prénom Quichano dans son dos. Chaque pan de son manteau sont maintenus ensemble au niveau du torse par un chapelet bouddhiste. Pour clore le tout ce dernier porte toujours sa casquette de marine à l’envers, à moins qu’il ne porte un bob de temps à autre suivant le climat.
Il porte toujours sur lui son sabre et lorsqu’il est en mission tout cela est complété par une multitude de mousquet à la ceinture et d’une arquebuse à baïonnette.
Lors de ses missions d’éclaireur il porte une cape brune sombre à la place de sa veste de gradé ou des vêtements de civils. Lorsqu’il porte ces derniers il préfèrera des choses simples et élégantes, pas de bling bling, pas de clinquant comme il avait l’habitude jadis. La noblesse doit irradier de ses paroles et de ses actes et non dans son style vestimentaire. Le petit plus est son pyjama avec ses oreilles de lapin dont il se sépare lors des missions d’infiltrations trop risquées.
Description Psychologique
Prévenant, attentionné, il fait montre de qualités humaines que l’on n’avait pas vus chez des nobles depuis Don Quichotte Mjosgard après son retour de l’île des hommes poissons. Quichano, déteste tous ces nobles qui sont comme celui qu’il a jadis été. Le jeune noble à moitié amnésique ne se rappelle que vaguement de ses origines de haute noblesse, ce qui lui génère un sentiment de frustration tant il déteste les attitudes des survivants dans le camp de Fuschia. Les souvenirs les plus tortueux illustrant le côté sombre de son ancienne personnalité sont apparemment refoulé.
Cependant cette partie là de son passé n'est pas morte pour autant. Si une partie plus lumineuse de sa personnalité naquit après son coma, les parties sombres de son passé existant bel et bien existent toujours et se sont rassemblées dans une partie insoupçonnées de son inconscient formant à la manière de Hukuba pour Cavendish un Alter-Ego qui ne demande qu'à profiter de la moindre faille du personnage pour prendre le dessus. Cela Quichano est loin de s'en doutait, l'occasion ne s'étant pas encore présentée.
Pour lui si l’ancienne noblesse a chuté, c’est parce qu’elle était obsolète, alors le jeune noble veut devenir un nouveau modèle de noblesse : il veut incarner une noblesse d’âme au service des plus démunis. Pas que dans les paroles mais aussi dans les actes. Il n’a eut de cesse d’incarner cet idéal avant même de rejoindre la marine.
Avant qu’il ne rejoigne les rangs de la 475 de Fuschia, il protégeait souvent les plus pauvres des bourgeois et des nobles démunis dans le camp de réfugiés. Et quand il n’était pas au camp il courait à travers les salles de la cliniques pour aider les toubibs et était le premier à accompagner les marines dans le Mont Corbo pour récupérer et/ou négocier des herbes ou autres végétaux médicinaux afin de payer sa dette aux médecins.
Depuis deux ans qu’il est entré à la caserne de Fuschia il s’est nourrit des livres de L’ancien vice-amiral Monkey D Garp, de l’ancien Amiral en Chef Sengoku et également des traités militaires des Contres-Amiraux Koby et X-Drake.
Alors voilà Quichano dans la marine il s’est toujours donné à fond peu importe qu’il soit gradé ou pas. Il a pulvérisé le record de pomme de terre épluché de la 475ème. Personne n’arrive a récurer les chiottes mieux que lui, ni ne repasse et lave les uniformes aussi bien. Mais il fait plus, il se renseigne sur l’équilibre en macronutriments et micronutriments qu’il faut pour maintenir les hommes sur pied et cuisine en alliant saveurs et équilibre nutritionnel quand il est de service.
En tant que sous officier ou officier il agit toujours d’une certaine manière : il montre l’exemple. S’il faut récurer ou éplucher avec ses hommes, il récure et épluche. Il aide les toubibs de la clinique et les paysans dans les champs quand il a le temps ou pour se changer les idées et il exhorte ses hommes de faire de même. Quand les plus faibles commencent à être mis à l’écart il est le premier à se mettre torse poils et à les aider. Le premiers à montrer comment enchainer les exercices de muscus, à faire les 100 tirs par jours, les 100 enchainements de sabre aussi etc. Il encourage. Mais il sait aussi foutre des beignes et des douches froides aux fainéants. Car pour lui c’est comme que ça que l’on devient un modèle.
En combat il ne s’attaque qu’au plus fort, c’est un grand stratège autant en infiltration qu’en bataille de masse ou guérilla. Il est avide de connaissance et d’expériences pour les mettre en pratique. Il laissera toujours une seconde chance comme la vie elle même le lui a offert. Après tout, si elle avait pu changer une enflure comme lui, elle pourrait le faire pour les autres et elle l’avait choisit lui pour montrer le chemin. Quichano préfèrera capturer les criminels pour avoir une chance de les convaincre de rejoindre ses rangs qu’il rééduque avec amour. Si la personne est une vraie ordure sadique qui semble impossible à sauver alors il le capturera si ça prime le permet ou bien sinon c’est la décapitation.
Cependant cette partie là de son passé n'est pas morte pour autant. Si une partie plus lumineuse de sa personnalité naquit après son coma, les parties sombres de son passé existant bel et bien existent toujours et se sont rassemblées dans une partie insoupçonnées de son inconscient formant à la manière de Hukuba pour Cavendish un Alter-Ego qui ne demande qu'à profiter de la moindre faille du personnage pour prendre le dessus. Cela Quichano est loin de s'en doutait, l'occasion ne s'étant pas encore présentée.
Pour lui si l’ancienne noblesse a chuté, c’est parce qu’elle était obsolète, alors le jeune noble veut devenir un nouveau modèle de noblesse : il veut incarner une noblesse d’âme au service des plus démunis. Pas que dans les paroles mais aussi dans les actes. Il n’a eut de cesse d’incarner cet idéal avant même de rejoindre la marine.
Avant qu’il ne rejoigne les rangs de la 475 de Fuschia, il protégeait souvent les plus pauvres des bourgeois et des nobles démunis dans le camp de réfugiés. Et quand il n’était pas au camp il courait à travers les salles de la cliniques pour aider les toubibs et était le premier à accompagner les marines dans le Mont Corbo pour récupérer et/ou négocier des herbes ou autres végétaux médicinaux afin de payer sa dette aux médecins.
Depuis deux ans qu’il est entré à la caserne de Fuschia il s’est nourrit des livres de L’ancien vice-amiral Monkey D Garp, de l’ancien Amiral en Chef Sengoku et également des traités militaires des Contres-Amiraux Koby et X-Drake.
Alors voilà Quichano dans la marine il s’est toujours donné à fond peu importe qu’il soit gradé ou pas. Il a pulvérisé le record de pomme de terre épluché de la 475ème. Personne n’arrive a récurer les chiottes mieux que lui, ni ne repasse et lave les uniformes aussi bien. Mais il fait plus, il se renseigne sur l’équilibre en macronutriments et micronutriments qu’il faut pour maintenir les hommes sur pied et cuisine en alliant saveurs et équilibre nutritionnel quand il est de service.
En tant que sous officier ou officier il agit toujours d’une certaine manière : il montre l’exemple. S’il faut récurer ou éplucher avec ses hommes, il récure et épluche. Il aide les toubibs de la clinique et les paysans dans les champs quand il a le temps ou pour se changer les idées et il exhorte ses hommes de faire de même. Quand les plus faibles commencent à être mis à l’écart il est le premier à se mettre torse poils et à les aider. Le premiers à montrer comment enchainer les exercices de muscus, à faire les 100 tirs par jours, les 100 enchainements de sabre aussi etc. Il encourage. Mais il sait aussi foutre des beignes et des douches froides aux fainéants. Car pour lui c’est comme que ça que l’on devient un modèle.
En combat il ne s’attaque qu’au plus fort, c’est un grand stratège autant en infiltration qu’en bataille de masse ou guérilla. Il est avide de connaissance et d’expériences pour les mettre en pratique. Il laissera toujours une seconde chance comme la vie elle même le lui a offert. Après tout, si elle avait pu changer une enflure comme lui, elle pourrait le faire pour les autres et elle l’avait choisit lui pour montrer le chemin. Quichano préfèrera capturer les criminels pour avoir une chance de les convaincre de rejoindre ses rangs qu’il rééduque avec amour. Si la personne est une vraie ordure sadique qui semble impossible à sauver alors il le capturera si ça prime le permet ou bien sinon c’est la décapitation.
Biographie
Enfance de Noble :
Ha !!!! La famille D La Mancha, une longue lignée de militaire de Goa. Une lignée qui a connu la royauté de Goa, une lignée présente depuis plus d’un siècle. Une lignée dont les descendants étaient sélectionnés parmi les meilleurs et les plus cruels des enfants.
Que ce soit des hommes ou des femmes, ces derniers abusaient d’esclaves femmes ou hommes, puis une fois que ces derniers leurs avaient donnés des héritiers ils les trucidaient tout simplement. Les enfants apprennent alors l’art du sabre, du mousquet, de l’arquebuse et de lance jusqu’à l’âge de 10 ans puis, sont lâchés dans le Mont Corbo. Les survivants s’affrontent alors dans une arènes se trouvant dans la propriété des D La Mancha sous les yeux de la plus haute noblesse de l’ile et de la royauté.
Quichano fut donc un enfant soldat formé pour être une machine à tuer. Froid, calculateur implacable et par dessus le marché, sadique. Ayant était le fils d’un des nobles les plus proches de la royauté : Quirinus D La Mancha, capitaine de la garde royale, il abusait de la torture sur les esclaves, encouragé par son père afin de le défaire de tout sentiment de culpabilité où de compassion.
On lui a enseigné depuis tout petit que ces ancêtres ont eu le privilège d’être les protecteurs des Entoilette et des lignées héritières des nobles de Goa qui sont eux même des descendant sauveur du monde. De surcroit il avait tous les privilèges des nobles car le bas peuple devaient le respect à leurs sauveurs et à leurs serviteurs.
Quichano jusqu’à la révolution de Goa s’est fortement teinté de la personnalité froide et sanguinaire de celle de son père et de celle de celui qui lui a servi de modèle : Armando Adamo Rojas Martinez Mendoza. Passé la cruelle sélection des D La Mancha il demanda à son père s’il pouvait devenir un homme de main de Mendoza afin de parfaire son éduction. Chose lui fut autorisée. Trois années de bonheur où il commença à perpétuer la tradition des D La Mancha violant et abusant de belles esclaves féminines tout en peaufinant ses gouts pour son futur harem.
Il aimait sentir la terreur qu’il pouvait susciter surtout au près des nobles. Mendoza utilisait le jeune chef d’escouade pour rappeler au noble de Goa les dettes qu’ils avaient envers lui. Le prix des joies de vivre était cher à Goa surtout quand celles-ci avaient comme créancier Mendoza et qu’il utilisait un des descendants des nobles les plus tordus de Goa comme huissier.
C’est ainsi que grandit jusqu’à ses quinze ans l’une des pires mauvaises graines de Goa.
La Chute :
En 1623 lorsqu’un saltimbanque accompagné de chats humilia le dernier des Retourtour, c’est avec un plaisir sadique et jouissif que Quichano prit à 13 ans la tête de son escadron, captura tous les chats de la basse ville et les livra aux cuistots des « déchets ». Avec une jouissance encore plus sadique, il monta le plan de capture du fameux troubadour rebelle, il le fit tabasser à mort et livra son chat fétiche à sa petite copine de l’époque car oui, même s’il avait déjà son p’tit harem féminin d’esclave, fricoter entre sang bleu amène son petit lot d’épice. Inutile de dire que lorsque ce foutu saltimbanque mit le feu au palais de la famille de sa petite amie après avoir tabassé le jouet de celle-ci et s’être échappé de l’ile avec son esclave sexuel favorite tout en envoyant son mentor dans le coma lors de sa fuite, son égo prit une claque monumentale.
Maiiis … une claque à l’égo ce n’est rien en s’en remet neh … On ébouillante les esclaves qui ont fuit le navire, on les épluche – un peut comme les tomates en sommes – puis on les prépare comme du bœufs en conserve que l’on revend comme tels dans les quartiers pauvres. Après tout ça on est calmé, oui calmé.
Le traumatisme « Auditorien » de 1625 ça oui c’est tout autre chose. Ça vous envoie dans le coma et ça vous transforme jusqu’à la moelle oui, oui, oui.
« Le pauvre enfant je le comprend » dirait certain « Après la mort du prince et de la princesse préférait de Von Avevez-Sama , on a torturé son père à mort, il paraît que le roi à même arraché la peau de son dos pour en faire un tapis offert à Quichano comme mise en garde. » … Mais pas du tout que nenni ce n’est pas de cela que nous parlons. Nooon, chez les D La Mancha seul les meilleurs survivent et c’est ainsi. Alors si Quirinus était mort dans d’atroces souffrances c’est parce qu’il était faible, parce qu’il avait faillit. . . Cela chez les D La Mancha, s’appelait une opportunité promotionnelle. D’ailleurs Quichano adorait ce nouveau tapis, très pratique pour s’essuyer les pieds.
Non chers amis le traumatisme, c’est cette défaite écrasante, enrageante, humiliante. Cette sensation d’abandon laissé par Mendoza, l'homme qui l'inspirait, l'homme sur qui lui servait de modèle vénéré! Imaginez donc la perte de repère totale !!! Un pleutre, un lâche, une sous merde opportuniste qui voulait être calife à la place du calife !!! Puis vint cette dague plantée là, dans l’emplacement qu’aurait du être son cœur, puis dans son foie par un encapuchonné de l’autre enfumé. Pour couronner le tout, il y a eu les milliers de pas sur son torse qui le piétinent et puis plus rien. . .
Purgatoire :
Puis il y eu le silence … Après le silence le tunnel, sombre, très , très sombre … et au bout pas la lumière dont on entendait parler des fois nan … un décors d’enfer … fin pas dans le bon sens du terme si vous voyez ce que je veux dire.
Alors vint un temps où dans ce paysage de malheur, il errait, nul eau, nul source de nourriture. Il était trop faible. Souffrance …Peur… Desespoir… Fuite. Avant, il était chasseur maintenant, le chassé. Avant il était prédateur maintenant il était la proie.
Dans ses moments de répits, une étoile lui parlait. Elle lui parlait d’amour, de rédemption, de pardon, de miséricorde. Peuh au début ça ne prenait pas avec lui, tout ça c’était pour les faibles. Lui, il était au dessus. Les révolutionnaires, Mendoza et compagnie ils méritaient juste qu’il leur fond dessus, qu’ils subissent tous sa colère foudroyante. Il préférait encore devenir un démon et hanter leurs nuits.
Puis dans un laps de temps indéfinissable dans cet univers d’horreur, il se retrouva confronté à son père, transformé en abomination de chairs ouvertes, suintant la crasse, la colère, la haine, la violence. Puis y avait l’homme chien transformé lui aussi par sa haine en une créature horrible, digne des pires cauchemards qui le pourchassait. Dans cet univers il n’avait pas de chance, il était … oui … après une longue fuite perdu dans une grotte, dans un instant de répit, il comprit. Il était faible. Car il ne voulait pas devenir comme son père … ou plutôt … cette chose.
Il écouta alors cette petite lueur qui lui parlait à présent dans son cœur. Ultime goutte d’amour dans son organe desséché nourrit des pires atrocités. Alors il écouta cette lueur d’espoir dans son cœur et parla à cette perle d’amour qui y brillait, à cette lueur qui le réchauffait. Il fuya … se confia … fuya … se confia… pleura…. Se libéra.
Au bout d’un temps, il reconnu la voix qui lui parlait, cette voix douce, maternelle, cette perle d’amour : Paerldamor sa mère. .. Alors dans cette lueur qui brillait dans son ptit cœur desséché qu’il avait pris le temps de ré-arroser de toutes ce qui croyait être les gênes des faibles, il se rappela son enfance perdue à jamais … Et l’enfant pleura, demanda pardon à sa mère, dans de plus grosse larme encore, après avoir pris cette p’tite goutte dans ses mains : se pardonna… L’enfant courut dans les bras de sa mère et alors tout devint amour.
Renaissance :
Un temps indéfinissable de bonheur, baigné dans l’amour, la compassion, la bonté … enfin la vraie lumière apparemment, celle qu’il avait entendu de la bouche des marins rescapés, dans son enfance. Puis vint le temps de la prise de conscience et le temps des adieux. Sa place n’était pas là, elle était dans le monde matériel. Il avait beaucoup de choses à y expérimenter. Il devait forger lui même sa propre destiné, faire ses propres choix et apprendre de ces derniers, découvrir la vraie sagesse de la vie.
« - Docteur Eustachio le patient revient à lui ! Il ouvre les yeux » BING le poing cogna le crane du Dr Armando.
« -Aïeuh mais vous êtes docteur ou quoi !!!
- Bakaro !! Il ne pouvait que revenir à lui puisque c’est moi qui l’est soigné !!!! »
La suite de l’histoire, c’est trois mois de récupération à l’hôpital de la clinique de Fuschia au lieu de six pour un individu normal. Normal quand on a plusieurs siècles de générations de guerrier dans le sang. Puis une fois remit il prit en devoir d’aider les marines dans la distribution de nourriture. Quand il avait le temps il aidait soit à la cliniques de Fushia, soit dans les champs. Semblait qu’il avait besoin de peu de temps pour dormir. Quand des bourgeois ou des nobles survivants voulaient encore abuser de leurs privilèges, il les envoyait bouler à coup de poings.
Petit à petit son corps retrouva ses reflexes et lui fit sentir son besoin d’action, alors il se joignit au groupe de marines qui s’aventurait dans le Mont Corbo pour cueillir des plantes médicinales. Jours après jours ses aptitudes revinrent, à force d’affronter le bêtes sauvages qui s’y trouvaient.
Jusque là personne ne l’avait reconnu et lorsqu’on lui avait demander son nom il avait répondu Paerldamor. Mais lorsque dans les monts, il entendit plus parler de Goa, des flashs back et des brides de mémoires lui revinrent, et certains rebelles voulurent le capturer, les marines le défendirent et ils revinrent peu nombreux à la base. C’est ce qui donna à Quichano l’envie de s’engager. Il avait détruit tellement de vie que maintenant il voulait se repentir.
Il eut alors un entretient avec le Colonel Sauveur. Il apprit qui il était jadis, sans les détails, juste qu’il était un de ses fumiers de nobles réfugiés du camp de Fuschia, que le jeune Quichano de maintenant haïssait.
Bien qu’il ne se rappelait plus de rien cela perturba Quichano qui en pleure, jura qu’en son âme actuelle il ne voulait pas ressemblait à ses vermines qui abusaient de leurs privilèges. Il en avait la conviction au fond de lui, s’il était d’origine noble il voulait alors montrer un autre modèle, basé sur le cœur, un modèle au service du peuple et la marine l’y aiderait.
En plus des qualités et des progrès qu’il exécutait dans la caserne, il fit montre de prouesse dans la maitrise des armes. Ainsi lorsque son Caporal Peetar N’ Fury se fit mordre par un chien enragé dans le camp de réfugié lors d’une tournée de distribution de médicaments et de nourritures, il dut prendre sa retraite avancée. Quichano se présenta au concours pour le poste. Il l’obtint facilement.
En 1626, quand les grands noms de l’élite se rassemblèrent de l’autre côté du Corbo pour battre le révolutionnaire, le caporal D La Mancha mena sa petite escouade à travers les bois sur les flancs du mont. Puis ce fut la guerre, certains fuyards tentèrent de s’échapper par Fushia via des tunnels de secours. Coup de feu, coup de sabre, coup de poing, coud de boule et coup dans les burnes. C’est alors que son sergent Kesta Tikon fut gravement blessé. Les hommes eurent peurs, cinq kilomètres plus bas c’était le camp de réfugiés. Il fallut prendre la relève. Ni une, ni deux Quichano il prit la casquette de Tikon et il se mit à gueuler. Il rassembla les escouades. Et même si ce fut dur pour lui au début ses gènes reprirent le dessus. Il prit l’escargophone et donna des indications, comme s’il eut était le sergent Tikon, aux autres escouades sur le flanc. Un succès qui en fit un sauveur. Quichano demanda à ce que l’on épargne les prisonniers si c’est derniers voulaient rentrer dans la marines, il s’occuperait d’eux. Après tout à la 475 ème, on manquait d’effectif.
Puis il y a eu l’ultime tentative de rebellion en 1627, les révos survivants n’étaient pas dans le camp de réfugié, nan. Ils s’étaient gourés les gars du CP6. Les révos étaient dans les caves de Fushias, là, un peu partout. Ils ont tenté de soulever le peuple de Fushia mais c’est les escouades de bibi qui les ont arrêté et de surcroit avec les troupes fraichement engagées de la battue de 1626. Un beau succès ! Encore des gens pour s’engager dans la marine. Les plus récalcitrants ont étaient envoyés au bagne de Tequila Wolf. Ils n’auront pas de quoi s’ennuyer, parait qu’elle est mignonne la nouvelle directrice pénitentiaire. Bref ! Deuxième succès pour Quichano, par deux fois il avait fait ses preuves. Il avait bien aidé son adjudant qui s’était pris un coup de poêle à frire un poil trop fort dans l’pif et paf l’os qui craque et perce le cerveau. « Monde de merde », avait eut-il le temps d’articuler avant d’clamser l’adjudant. Son sergent chef avait dit qu’il était trop vieux pour ses conneries d’adjudant. Il avait alors posté une lettre de recommandation pour Quichano. Et pouf voilà Quichano propulsé au rang d’adjudant au début de l’année 1627.
Faut dire que c’était du boulot toutes ses jeunes recrues passées d’un camp à l’autre et fallait bien les former. Alors à chacune de ses montées en grade Quichano avait fait muter ses hommes en grade aussi. Les 5 braves qu’il avait sous ses ordres quand il était caporal, devinrent caporal à leur tour. Ils eurent la charge de former les recrues engagées depuis l’opération « ramasse miette ». Puis quand il fut promut adjudant, les caporaux sous ses ordres furent nommés sergent ainsi, les plus disciplinés et prometteurs des hommes de ses nouveaux sergents furent nommés caporaux.
La paix semblait bien revenue ces derniers mois à Fushia et Quichano s’en félicitait. Faut dire qu’il y avait mis de sa patte. Il les avait bien éduqué les nouvelles recrues. Les travaux de labour dans les champs, les missions d’aide au près de la clinique dans le mont, et les missions « restos du cœur » dans le camp de réfugiés, ça vous forge de la bonne graine de marins tout ça. C’est comme ça que la paix semblait être bien revenue à Fushia. Ouaip mon p’tit gars, tout ça grâce à bibi ! Alors au début de l’automne le colonel Tommy Sauveur convoqua Quichano dans son bureau :
« D La Mancha il y a de la graine d’Officier en vous » qu’il lui avait dit. « Ça tombe bien le vice-lieutenant Sen Nils prend bientôt sa retraite. Préparez vos affaires adjudant, vous partez pour le G2 passer la formation des officiers. » Communication, Infiltration, commandement, Stratégie… il appris plein de choses intéressantes, et puis il y avait la promesse du terrain, de l’action !! Oui, oui c’est vrai il aimait bien ses p’tits bleus mais fallait un jour couper le cordon pour qu’ils puissent grandir les petiots. Alors il révisa d’arrache pied, il mis tout ce qu’il avait dans le cœur à cet examen Quichano. Plusieurs mois après, il eut le sourire aux lèvres quand il vit qu’il était tout en haut de la liste des résultats. Il fut alors convoqué dans le bureau du colonel Dutch Warp. Pourquoi ? Seul l’avenir nous le dira.
Test RP
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Informations IRL
• Prénom : Thibault Dupuis
• Age : 30 balais ( ouaip les ch'veux blancs pointent le bout de leur nez de temps en temps)
• Aime : le développement personnelle, la lecture et tout ce qui touche à la créativité.
• N'aime pas : Heu joker ...
• Personnage préféré de One Piece : Y en a plein mais ouaip Shanks le Roux.
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? social, ouvert d'esprit, créatif.
• Fait du RP depuis : début du Lycée donc heu ... 14 ans
• Disponibilité approximative : deux trois jours par semaine.
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ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Quichano le Dim 27 Oct 2019 - 11:04, édité 27 fois