Barbas Wyatt
• Pseudonyme : Molosse
• Age : 44
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Garde du corps, gardien.
• Groupe : Civil
• Age : 44
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Garde du corps, gardien.
• Groupe : Civil
• But : Devenir un modèle, une fierté pour ses gosses. Mourir avec honneur.
• Équipement : Revolver. Couteau.
• Parrain : Le nom du membre qui vous a fait découvrir le forum, le cas échéant.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? reroll Melyne
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Myosotis de ville
Codes du règlement :
• Équipement : Revolver. Couteau.
• Parrain : Le nom du membre qui vous a fait découvrir le forum, le cas échéant.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? reroll Melyne
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Myosotis de ville
Codes du règlement :
Description Physique
Le classique chapeau sur la tête. Pour un cowboy, c’est aussi précieux qu’un katana pour un samouraï. Enfin, Barbas le met juste par utilité plus qu’autre chose. Contrairement à sa veste qu’il a trouvée sur un cadavre. Bien entendu trouver est pour rendre la chose un peu plus douce mais bon, on n’est pas dupe. Elle a bien dix ans mais Barbas s’en occupe plutôt bien. La couleur noire argenté n’est pas déplaisante. En dessous nous trouvons un col-roulé blanc plutôt classique. Sur celui-ci il y a un foulard orange foncé comme un vrai bandit.
Son visage n’a pas de marque particulière. Une petite barbe de deux jours qu’ils rasent régulièrement. Ses cheveux roux mi-long qui ne sont jamais coiffés. À croire que c’est l’une des raisons qui le poussent à mettre un chapeau. Restons dans le haut en parlant de son petit sourire. Quand on le regarde c’est souvent ça qu’il offre. Toujours agréable de voir quelqu’un vous faire cela plutôt qu’une grimace.
Par respect il retire son chapeau en entrant dans un endroit. On peut se faire une idée de sa taille plus facilement ainsi d’ailleurs. Environ un mètre quatre-vingts, rien qui sort de l’ordinaire. Même ses bottes de cowboy sont banales, juste noir tout comme son pantalon.
Il dégage une bonne aura, vous savez ce genre de personne qu’on aime bien on ne sait pas pourquoi. Ben en voilà un parfait exemple. Il n’a pas forcément la tête du héros, mais sa façon d’être, sa délicatesse nous donne envie de l’aimer. Tenir la porte, proposer son aide à un passant. Des choses innées qui ne passent pas inaperçu au regard des gens.
Une fois installer on retrouve cette fâcheuse tendance à être avachi qui n’est que le fruit de sa vie. Toujours dans les saloons, au comptoir ou sur une chaise à jouer aux cartes. Rares sont les personnes avec le dos bien droit à Hat Island. Puis quand on lui sert sa main droite ou la gauche, on se rend vite compte qu’elles sont rugueuses. Le bricolage, puis les concours de claque de cowboy en sont certainement pour quelque chose.
Reste plus que son équipement pour finir. Un bon couteau au niveau de sa botte. À sa ceinture quoi de mieux qu’un revolver puis des balles. D’ailleurs les munitions il en garde aussi dans sa veste, on n’est jamais trop prudent.
[Comptez une quinzaine de lignes minimum.]
Son visage n’a pas de marque particulière. Une petite barbe de deux jours qu’ils rasent régulièrement. Ses cheveux roux mi-long qui ne sont jamais coiffés. À croire que c’est l’une des raisons qui le poussent à mettre un chapeau. Restons dans le haut en parlant de son petit sourire. Quand on le regarde c’est souvent ça qu’il offre. Toujours agréable de voir quelqu’un vous faire cela plutôt qu’une grimace.
Par respect il retire son chapeau en entrant dans un endroit. On peut se faire une idée de sa taille plus facilement ainsi d’ailleurs. Environ un mètre quatre-vingts, rien qui sort de l’ordinaire. Même ses bottes de cowboy sont banales, juste noir tout comme son pantalon.
Il dégage une bonne aura, vous savez ce genre de personne qu’on aime bien on ne sait pas pourquoi. Ben en voilà un parfait exemple. Il n’a pas forcément la tête du héros, mais sa façon d’être, sa délicatesse nous donne envie de l’aimer. Tenir la porte, proposer son aide à un passant. Des choses innées qui ne passent pas inaperçu au regard des gens.
Une fois installer on retrouve cette fâcheuse tendance à être avachi qui n’est que le fruit de sa vie. Toujours dans les saloons, au comptoir ou sur une chaise à jouer aux cartes. Rares sont les personnes avec le dos bien droit à Hat Island. Puis quand on lui sert sa main droite ou la gauche, on se rend vite compte qu’elles sont rugueuses. Le bricolage, puis les concours de claque de cowboy en sont certainement pour quelque chose.
Reste plus que son équipement pour finir. Un bon couteau au niveau de sa botte. À sa ceinture quoi de mieux qu’un revolver puis des balles. D’ailleurs les munitions il en garde aussi dans sa veste, on n’est jamais trop prudent.
[Comptez une quinzaine de lignes minimum.]
Description Psychologique
Quand on est père on devient un peu plus sage. Finis les bagarres pour un regard.Tout ça c’est du passé. Il sait pertinemment que la mort peut frapper à n’importe quel moment. Cela est admis, le jour où elle se présentera à lui, il l’accueillera comme une vieille amie. Mais en attendant ce moment sa vie doit être utile. Vivre au jour le jour de façon grossière à base de rhum et bagarre, très peu pour lui. À croire que la notion d’honneur qui lui est apparu en pleine nuit ne le quitte plus.
Ces longues nuits où il ne peut dormir l’ont véritablement changé psychologiquement. À cause d’un violent coup reçu au crâne dans sa jeunesse (cf bio). Le soir faut s’occuper alors c’est travail puis réflexion sur la marche du monde. Le chemin qu’il suit finalement est celui de faire les choses bien, éviter les effusions de sang. Le vrai courage n'est pas de savoir quand supprimer une vie, mais quand en épargner une. Car oui, tout comme lui a changé, les autres peuvent changer également. Autant leur donner cette chance en ne les abattant pas.
Sa famille est une véritable chance. L’un des déclencheurs pour remodeler son comportement. Ils les aiment tant et souhaite leur faire honneur. Le jour de sa mort, il espère que ses enfants puirront dire, mon père était formidable, un modèle, un honneur d’être son fils, sa fille. Parce que voire ses gosses mourir avant lui n’est pas une option. Si cela devait arriver dieu seul sait ce qu’il adviendra de notre homme.
L’annexion de Hat Island par Edwin Morneplume lui fit comprendre que le monde est bien vaste. Que les intérêts poussent les gens à s’entre dévorer. C’est pour ça que l’honneur est essentiel. En respectant des codes moraux, de justice, les choses ne peuvent qu’aller mieux. Combattre le mal par le mal n’engendre que des problèmes. Seul le bien peut réellement l’emporter en laissant un bon futur.
Mettre la main à la pâte ne le dérange pas. Quand on passe des nuits seules, on comprend vite que le travail est une aubaine. Savoir bricoler, être touche-à-tout est toujours utile. Élargir ses capacités, être utile dans n’importe quelle circonstance.
Pour ce qui agace le cowboy on peut trouver le manque de respect. Traiter les gens n’importe comment ça le dépasse. Sans doute parce qu’il a vécu cela étant petit. Les insultes, la maltraitance, raah, c’est des choses vraiment frustrante qu’il faut combattre par intelligence, parfois par force.
En ce moment la marine n’est pas vue d’un bon œil par Barbas. Normal quand on sait que leur venue a amené la destruction d’une ville. Alors lorsqu’on rajoute à cela qu’ils ont bouclé les ruines pour pouvoir extraire l’or d’une terre qui n’est pas la leur…
[Comptez une quinzaine de lignes minimum.]
Ces longues nuits où il ne peut dormir l’ont véritablement changé psychologiquement. À cause d’un violent coup reçu au crâne dans sa jeunesse (cf bio). Le soir faut s’occuper alors c’est travail puis réflexion sur la marche du monde. Le chemin qu’il suit finalement est celui de faire les choses bien, éviter les effusions de sang. Le vrai courage n'est pas de savoir quand supprimer une vie, mais quand en épargner une. Car oui, tout comme lui a changé, les autres peuvent changer également. Autant leur donner cette chance en ne les abattant pas.
Sa famille est une véritable chance. L’un des déclencheurs pour remodeler son comportement. Ils les aiment tant et souhaite leur faire honneur. Le jour de sa mort, il espère que ses enfants puirront dire, mon père était formidable, un modèle, un honneur d’être son fils, sa fille. Parce que voire ses gosses mourir avant lui n’est pas une option. Si cela devait arriver dieu seul sait ce qu’il adviendra de notre homme.
L’annexion de Hat Island par Edwin Morneplume lui fit comprendre que le monde est bien vaste. Que les intérêts poussent les gens à s’entre dévorer. C’est pour ça que l’honneur est essentiel. En respectant des codes moraux, de justice, les choses ne peuvent qu’aller mieux. Combattre le mal par le mal n’engendre que des problèmes. Seul le bien peut réellement l’emporter en laissant un bon futur.
Mettre la main à la pâte ne le dérange pas. Quand on passe des nuits seules, on comprend vite que le travail est une aubaine. Savoir bricoler, être touche-à-tout est toujours utile. Élargir ses capacités, être utile dans n’importe quelle circonstance.
Pour ce qui agace le cowboy on peut trouver le manque de respect. Traiter les gens n’importe comment ça le dépasse. Sans doute parce qu’il a vécu cela étant petit. Les insultes, la maltraitance, raah, c’est des choses vraiment frustrante qu’il faut combattre par intelligence, parfois par force.
En ce moment la marine n’est pas vue d’un bon œil par Barbas. Normal quand on sait que leur venue a amené la destruction d’une ville. Alors lorsqu’on rajoute à cela qu’ils ont bouclé les ruines pour pouvoir extraire l’or d’une terre qui n’est pas la leur…
[Comptez une quinzaine de lignes minimum.]
Biographie
Si je devais résumer sa vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Ouais, des rencontres. Quand il était môme c’était déjà la cible préférée des autres. Sa couleur de cheveux bien différente suffisait amplement comme argument. Les roux n’ont pas d’âme, ni de dents, un truc du genre. Ce genre de sottises... Disons que les moqueries menaient souvent à une chose, se taper dessus. Après tout, tout ce petit monde voyait bien comment les grands faisaient. Souvent, il en fallait peu pour une bonne bagarre de taverne. La légende raconte que la première avait eu lieu à Hat Island. Une sorte de mode lancée. Le reste appartient à l’histoire.
Puis quand l’adolescence arriva, les représailles devenaient de pire en pire. Ah, une fois ou dix, il avait bien cru y rester notre Barbas. Enterré jusqu’au cou en train de se faire becter par les vautours. Ou cette pendaison improvisée. Le supplice du poteau aussi faisait partie du lot. Même moi, votre humble narrateur, ne pourrais vous dénombrer tout ce qu’il avait subi. Les jeunes ont de ces idées parfois. La chose à retenir c’est que tout cela forgea son caractère. Même si notre cowboy leur donnait souvent une bonne raison de continuer à le maltraiter. Une vraie tête brûlée capable de leur tenir tête. Surtout depuis ce jour où il reçut un énorme coup sur le crâne. Les médecins ne savaient pas trop ce qu’il avait, mais depuis ce moment là il n’était plus capable de dormir.
Dix-neuf ans, deux mois et quatre jours. Une date bien précise car c’était celle de son premier duel. Il avait lieu contre le chef du groupe avec qui il se chamaillait depuis petit. Ah ça, c’était un duel d’homme, chacun une balle. Barbas dégaina sans hésiter puis tira le premier par la même occasion. Sans doute qu’il voulait être trop rapide, même la précision n’avait pas réussi à le suivre. Un bon loupé alors que Billy ne le manqua pas. Touché à l’épaule, c’était une défaite complète et pourtant une victoire d’avoir réussi à tirer le premier.
Le temps passa, puis la petite bande de Billy se fit nommer les Régulateurs. Ils engageaient régulièrement celui qu’on surnomma alors Molosse. Un surnom qui venait de sa maladie à ne plus pouvoir dormir. Un bon chien de garde, puis têtu comme il est, faut croire que ça lui allait bien. Tantôt garde du corps, tantôt gardien. Toute sorte de job qui lui collait à la peau. A force de se faire piéger dans son enfance, sa vigilance augmenta considérablement. Les conflits entre les Régulateurs et lui avaient plus ou moins cessé. Sans doute le temps qui prit le rôle d’intermédiaire en calmant les parties.
Bon passons à ce qui lui changea sa vie. Avoir une femme, puis des gosses. Sur Hat Island l’espérance de vie est plutôt basse alors les familles sont nombreuses. Père de quatre bonhommes et d’une princesse. Comment accepter que ces petits vivent dans ce monde de chiens. Lui est un survivant, sa chance ne le lâcha jamais. Ses deux frères sont décédés et lui la mort le surveille toujours du coin de l’œil. Une balle perdue, un duel, elle arrive vite ici.
Soudain cette vie de rhum, bagarre, concours de claque de cowboy avait un goût de chiotte. Surtout quand l’aîné avait eu son premier duel pour fêter ses dix-huit ans. Drôle de cadeau pour une mère aimante… Ce stress qui rongea le père était bien pire que lors de son propre premier duel. Molosse a vécu une vie de chien et cette expérience ne doit pas être vaine.
Durant les longues nuits de solitude envelopper par le froid, bercer par le silence, ses pensées le conduisirent à la sagesse. Guider par des rares livres trouvés ici est là, qui firent accaparer de bien des manières. Sa vision du monde changea tout comme son regard sûr lui-même. Ce n’est qu’un homme pourtant, la ligne invisible qui sépare celui qui entre dans l’histoire et l’inconnue se situe dans le fait d’entreprendre ou non. Laisser la vague du monde l’emporter ou tenter de nager dans sa propre direction.
[Comptez une trentaine de lignes minimum.]
Test RP
Quatre coups sur la porte d’entrée de la maison des Wyatt. Barbas vingt-huit ans donne à manger aux faux jumeaux Cole et Léo dans la cuisine. Le premier est assis dans une chaise sécurisée fabriqué par le père, l’autre sur ses genoux. Le petit Balthazar quatre ans se précipite au niveau de la porte en criant que ça doit être tonton. Au même moment Cole recrache le bouilli de légume ce qui fait rire son frère.
-Encore… Et ça te fait rire toi. Pourtant, c’est très bon regardez.
Après avoir joué avec la cuillère il se l’amène dans la bouche pour déguster lui aussi ce repas. Une tentative d’amadouement qui fonctionne finalement, une belle victoire ! Les petits mangent une cuillère chacun avant que l’ainé revient en courant.
-Papa, y’a un monsieur.
-Tu as ouvert la porte ?
-Oui.
- Balthazar, je t’ai dit de ne pas ouvrir la porte directement. Demande qui c’est d’abord. Si c’est la famille, tu peux ouvrir. Sinon tu m’appelles d’accord.
Ce petit regard trop mignon qui fait craquer son père, reçoit finalement un va t’asseoir et finit ton repas. Gardant Léo dans les bras il se lève en demandant au grand de surveiller l’autre. Une fois au niveau de la porte, il reconnaît bien là un homme de la bande de Billy. Ce type ne tient pas en place, on sent qu’il se passe quelque chose. Il crache, puis regard à droite, en bas, à gauche.
-Salut, le nouveau… Euh Stan ? Un souci ?
-C’est Stam … Le patron veut te voir. Il dit que c’est urgent et important.
-Je suis assez pris ces derniers jours. Blanche va bientôt accoucher d’après le médecin. Donc s’il y a quelque chose de plus important, autant venir me le dire ici.
Le voilà qu’il recrache dans un coin en se grattant le cou. Ce genre de comportement banal pour un cowboy n’est plus vraiment au goût du jour pour Barbas qui préfère prendre son fils face à lui. Cela lui évite la vision d’un tel spécimen.
-Mais tu crois quoi ? Si j’dis c’est important c’est pas pour rien. J’dois pas te le dire mais j’vais te le dire. Parce que si tu bouges pas ben sur qui on va encore taper, ben moi. De toute façon quand un truc foire ça tombe sur moi.
-Lâche les cheveux de papa Léo. Blanche tu peux jeter un œil aux enfants dans la cuisine.
-Puis l’autre m’écoute pas, de toute façon personne m’écoute. À croire que j’suis invisible.
-Désolé. Je t’écoute.
-On a une mission qui peut rapporter des millions. Le hic c’est que les gars qu’on va attaquer, ben on a entendu dire qu’ils veulent t’embaucher.
-De toute façon, comme je te l’ai dit, je suis indisponible.
-Ouais, mais le patron a dit qu’ils te forceront à bosser pour eux. Une famille c’est facile à prendre en otage. Donc…
L’enflure, il dégaine son revolver pour le pointer sur Barbas qui fait les gros yeux. Son premier réflexe se retourner pour protéger son fils.
-Si j’te bute il y aura plus d’histoires. Et je suis sûr que tu travailleras pas pour lui.
Ce moment où ça dégénère pour un rien. Le temps se ralentit quand on entend le coup de feu. Avec un peu de chance le corps fera suffisamment barrage pour que le petit ne reçoit rien. Le nombre de coups de feu entendus dans sa vie ne lui ont jamais fait fermer les yeux. Cette fois c’était le cas, en train d’attendre son sort. Sort qui ne vint jamais, car celui qui hurle de douleur c’est ce sale type toucher au biceps. L’impact lui fit relâcher son arme. Blanche ronde comme jamais, prête à accoucher se tient debout dehors, avec une main sur une hanche, l’autre avec un revolver. Woaw, quelle femme !
Une série d’insultes commence, puis avec les hormones ça n’en finit pas et ça va même très très loin. Barbas qui constate les faits en se retournant pousse l’arme du pied. Ses yeux scrutent rapidement les environs par réflexe. Sa femme proche de mettre une balle entre les deux yeux de ce criminel apeuré se fige. La douleur des contractions est trop élevée et la bloque. Elle vient de perdre les eaux!
Dans l’horizon on peut voir des hommes à dos de cheval. Probablement Billy et sa bande. Le bruit du coup a effrayé les jumeaux qui se mettent à pleurer. Balthazar commence à arriver, mais hors de question qu’il regarde cette scène. Son père lui ordonne de rester avec son frère en cuisine et de tenter de le calmer. Tout en gardant Léo dans ses bras, il ramasse les deux armes par le canon, puis aide sa femme à marcher pour qu’elle entre s’allonger dans la chambre. De son pied il ferme la porte.
Juste le temps de poser sa femme que Balthazar revient à la charge en disant qu’il n’a rien pu faire pour Cole. Déjà sous tension, avec l’un des petits qui lui pleure dans l’oreille, il s’imagine le pire en courant littéralement dans la cuisine. Un vrai carnage ! La bouillie n’est pas renversée que sur le sol, il y en a sur le mur même le plafond ! En tout cas, Barbas expire en grand coup. Soulagé que ce n’est vraiment pas grand-chose. L’ainé s’excuse en disant qu’il voulait le faire manger, mais que ça a mal tourné. Bon, ils mangeront plus tard, il y a tant à faire. Hop, les deux jumeaux dans les bras qui sont rapidement emmenés dans leur parc. Ce petit lieu se situe dans la chambre des garçons. D’ailleurs, Balthazar est invité à aller jouer dans sa chambre qui se trouve être la même.
-Mais j’ai encore faim moi.
-Écoute, papa doit faire le ménage un peu. Après tu pourras manger autant que tu veux. En attendant, va dans ta chambre jouer.
Le petit pas très content fronce les sourcils, croise les bras puis ne bouge pas. Ce n’est pas vraiment le bon moment pour subir un caprice. Surtout qu’on entend Billy à l’extérieur réclamant une explication. Le père ne pouvant se dupliquer est forcé de travailler par étapes. Premièrement, prendre la grosse voix en menaçant le petit d’une punition. Une méthode qui porte ses fruits même si Balthazar semble furieux. Deuxièmement, courir dans sa chambre, faire un bisou sur le front de sa femme en lui disant que tout va bien. Troisièmement, régler cette histoire au plus vite.
Restant assez loin des fenêtres il finit par répondre.
-Depuis le temps qu’on se connaît, tu as rien trouver de mieux qu’un bleu pour m’éliminait.
-Je suis venue te présenter mes excuses. Je te connais comme personne. Si je voulais ta peau je choisirais une méthode plus ingénieuse. Ramène-toi.
D’un côté il n’a pas tort. Si c’était un combat qu’il voulait il serait venue directement avec tout le monde sans parlementer. Tout comme il connaît parfaitement le roux, lui aussi le connaît tout autant. Alors il finit par se montrer en leur faisant coucou du toit. Après ses paroles il avait couru pour se placer en hauteur. Malin le... molosse. D’ici il ne peut voir que des chapeaux sans connaître leur porteur. Enfin jusqu'à ce qu'ils finissent par lever la tête.
-Le jeune Stam a des problèmes d’entreprenariat. Il a tendance à agir de son propre chef. Disons qu’il veut faire ses preuves et en agissant il fait souvent n’importe quoi. J’hésite à lui mettre une balle dans la tête pour clore ce problème.
-C’est quoi cette histoire de mission ?
-C’est comme il t’a dit. Moi je voulais en parler avec toi. Histoire de monter un plan, que tu en sors en vie, moi avec le magot. Faut avouer que j’serais triste de te voir quitter ce monde maintenant.
-Oh tu vas me faire pleurer.
-C’est pas des conneries ce que j’te raconte. Tu veux pas descendre.
- Blanche est en train d’accoucher, les jumeaux pleurent, Balthazar boude. Et mon frère ce foutu médecin est toujours pas là !
-Nicholas ? Il est chez toi. Faut dire que son arrivé c’est faite quelques secondes après la nôtre. Il a dû rentré quand t’es monté.
Pas besoin d’en savoir plus. La mission, le blabla, c’est trop d’information inutile pour le moment. Dans sa descente précipitée des marches il trébuche. Se relève, fonce dans la chambre pour voir son grand frère s’occuper de sa femme. Encore un gros soupire. Tout semble plus ou moins s’arranger. Les actions se sont chevauchées en une dizaine de minutes, le stress retombe enfin. Les jambes de Barbas ont un coup de fatigue qui le fait presque aller au sol.
-Tu devrais nous laisser travailler et t’occupais des petits. Depuis que je suis là ils pleurent. Ta femme peut pas tout faire, bosse un peu.
Molosse ne peut que sourire en entendant ça. Après s’être excusé, il retrouve les garçons dans la chambre.
C’est seulement le lendemain au petit matin que Blanche accouche. Les garçons se sont réveillés avec les cris de la mère, le père pour la troisième fois vécue ce moment avec les larmes aux yeux. L’oncle content que tout se soit bien passé félicite la famille pour la naissance de leur première fille. La mère lui donna le nom de Diana. Le père quant à lui n’avait pas son mot à dire après tout, depuis leur rencontre elle stipula que la première fille se nommera ainsi.
-Ma petite princesse Diana. J’espère que ta vie sera longue et aussi joyeuse que la nôtre en ce jour.
-Encore… Et ça te fait rire toi. Pourtant, c’est très bon regardez.
Après avoir joué avec la cuillère il se l’amène dans la bouche pour déguster lui aussi ce repas. Une tentative d’amadouement qui fonctionne finalement, une belle victoire ! Les petits mangent une cuillère chacun avant que l’ainé revient en courant.
-Papa, y’a un monsieur.
-Tu as ouvert la porte ?
-Oui.
- Balthazar, je t’ai dit de ne pas ouvrir la porte directement. Demande qui c’est d’abord. Si c’est la famille, tu peux ouvrir. Sinon tu m’appelles d’accord.
Ce petit regard trop mignon qui fait craquer son père, reçoit finalement un va t’asseoir et finit ton repas. Gardant Léo dans les bras il se lève en demandant au grand de surveiller l’autre. Une fois au niveau de la porte, il reconnaît bien là un homme de la bande de Billy. Ce type ne tient pas en place, on sent qu’il se passe quelque chose. Il crache, puis regard à droite, en bas, à gauche.
-Salut, le nouveau… Euh Stan ? Un souci ?
-C’est Stam … Le patron veut te voir. Il dit que c’est urgent et important.
-Je suis assez pris ces derniers jours. Blanche va bientôt accoucher d’après le médecin. Donc s’il y a quelque chose de plus important, autant venir me le dire ici.
Le voilà qu’il recrache dans un coin en se grattant le cou. Ce genre de comportement banal pour un cowboy n’est plus vraiment au goût du jour pour Barbas qui préfère prendre son fils face à lui. Cela lui évite la vision d’un tel spécimen.
-Mais tu crois quoi ? Si j’dis c’est important c’est pas pour rien. J’dois pas te le dire mais j’vais te le dire. Parce que si tu bouges pas ben sur qui on va encore taper, ben moi. De toute façon quand un truc foire ça tombe sur moi.
-Lâche les cheveux de papa Léo. Blanche tu peux jeter un œil aux enfants dans la cuisine.
-Puis l’autre m’écoute pas, de toute façon personne m’écoute. À croire que j’suis invisible.
-Désolé. Je t’écoute.
-On a une mission qui peut rapporter des millions. Le hic c’est que les gars qu’on va attaquer, ben on a entendu dire qu’ils veulent t’embaucher.
-De toute façon, comme je te l’ai dit, je suis indisponible.
-Ouais, mais le patron a dit qu’ils te forceront à bosser pour eux. Une famille c’est facile à prendre en otage. Donc…
L’enflure, il dégaine son revolver pour le pointer sur Barbas qui fait les gros yeux. Son premier réflexe se retourner pour protéger son fils.
-Si j’te bute il y aura plus d’histoires. Et je suis sûr que tu travailleras pas pour lui.
Ce moment où ça dégénère pour un rien. Le temps se ralentit quand on entend le coup de feu. Avec un peu de chance le corps fera suffisamment barrage pour que le petit ne reçoit rien. Le nombre de coups de feu entendus dans sa vie ne lui ont jamais fait fermer les yeux. Cette fois c’était le cas, en train d’attendre son sort. Sort qui ne vint jamais, car celui qui hurle de douleur c’est ce sale type toucher au biceps. L’impact lui fit relâcher son arme. Blanche ronde comme jamais, prête à accoucher se tient debout dehors, avec une main sur une hanche, l’autre avec un revolver. Woaw, quelle femme !
Une série d’insultes commence, puis avec les hormones ça n’en finit pas et ça va même très très loin. Barbas qui constate les faits en se retournant pousse l’arme du pied. Ses yeux scrutent rapidement les environs par réflexe. Sa femme proche de mettre une balle entre les deux yeux de ce criminel apeuré se fige. La douleur des contractions est trop élevée et la bloque. Elle vient de perdre les eaux!
Dans l’horizon on peut voir des hommes à dos de cheval. Probablement Billy et sa bande. Le bruit du coup a effrayé les jumeaux qui se mettent à pleurer. Balthazar commence à arriver, mais hors de question qu’il regarde cette scène. Son père lui ordonne de rester avec son frère en cuisine et de tenter de le calmer. Tout en gardant Léo dans ses bras, il ramasse les deux armes par le canon, puis aide sa femme à marcher pour qu’elle entre s’allonger dans la chambre. De son pied il ferme la porte.
Juste le temps de poser sa femme que Balthazar revient à la charge en disant qu’il n’a rien pu faire pour Cole. Déjà sous tension, avec l’un des petits qui lui pleure dans l’oreille, il s’imagine le pire en courant littéralement dans la cuisine. Un vrai carnage ! La bouillie n’est pas renversée que sur le sol, il y en a sur le mur même le plafond ! En tout cas, Barbas expire en grand coup. Soulagé que ce n’est vraiment pas grand-chose. L’ainé s’excuse en disant qu’il voulait le faire manger, mais que ça a mal tourné. Bon, ils mangeront plus tard, il y a tant à faire. Hop, les deux jumeaux dans les bras qui sont rapidement emmenés dans leur parc. Ce petit lieu se situe dans la chambre des garçons. D’ailleurs, Balthazar est invité à aller jouer dans sa chambre qui se trouve être la même.
-Mais j’ai encore faim moi.
-Écoute, papa doit faire le ménage un peu. Après tu pourras manger autant que tu veux. En attendant, va dans ta chambre jouer.
Le petit pas très content fronce les sourcils, croise les bras puis ne bouge pas. Ce n’est pas vraiment le bon moment pour subir un caprice. Surtout qu’on entend Billy à l’extérieur réclamant une explication. Le père ne pouvant se dupliquer est forcé de travailler par étapes. Premièrement, prendre la grosse voix en menaçant le petit d’une punition. Une méthode qui porte ses fruits même si Balthazar semble furieux. Deuxièmement, courir dans sa chambre, faire un bisou sur le front de sa femme en lui disant que tout va bien. Troisièmement, régler cette histoire au plus vite.
Restant assez loin des fenêtres il finit par répondre.
-Depuis le temps qu’on se connaît, tu as rien trouver de mieux qu’un bleu pour m’éliminait.
-Je suis venue te présenter mes excuses. Je te connais comme personne. Si je voulais ta peau je choisirais une méthode plus ingénieuse. Ramène-toi.
D’un côté il n’a pas tort. Si c’était un combat qu’il voulait il serait venue directement avec tout le monde sans parlementer. Tout comme il connaît parfaitement le roux, lui aussi le connaît tout autant. Alors il finit par se montrer en leur faisant coucou du toit. Après ses paroles il avait couru pour se placer en hauteur. Malin le... molosse. D’ici il ne peut voir que des chapeaux sans connaître leur porteur. Enfin jusqu'à ce qu'ils finissent par lever la tête.
-Le jeune Stam a des problèmes d’entreprenariat. Il a tendance à agir de son propre chef. Disons qu’il veut faire ses preuves et en agissant il fait souvent n’importe quoi. J’hésite à lui mettre une balle dans la tête pour clore ce problème.
-C’est quoi cette histoire de mission ?
-C’est comme il t’a dit. Moi je voulais en parler avec toi. Histoire de monter un plan, que tu en sors en vie, moi avec le magot. Faut avouer que j’serais triste de te voir quitter ce monde maintenant.
-Oh tu vas me faire pleurer.
-C’est pas des conneries ce que j’te raconte. Tu veux pas descendre.
- Blanche est en train d’accoucher, les jumeaux pleurent, Balthazar boude. Et mon frère ce foutu médecin est toujours pas là !
-Nicholas ? Il est chez toi. Faut dire que son arrivé c’est faite quelques secondes après la nôtre. Il a dû rentré quand t’es monté.
Pas besoin d’en savoir plus. La mission, le blabla, c’est trop d’information inutile pour le moment. Dans sa descente précipitée des marches il trébuche. Se relève, fonce dans la chambre pour voir son grand frère s’occuper de sa femme. Encore un gros soupire. Tout semble plus ou moins s’arranger. Les actions se sont chevauchées en une dizaine de minutes, le stress retombe enfin. Les jambes de Barbas ont un coup de fatigue qui le fait presque aller au sol.
-Tu devrais nous laisser travailler et t’occupais des petits. Depuis que je suis là ils pleurent. Ta femme peut pas tout faire, bosse un peu.
Molosse ne peut que sourire en entendant ça. Après s’être excusé, il retrouve les garçons dans la chambre.
C’est seulement le lendemain au petit matin que Blanche accouche. Les garçons se sont réveillés avec les cris de la mère, le père pour la troisième fois vécue ce moment avec les larmes aux yeux. L’oncle content que tout se soit bien passé félicite la famille pour la naissance de leur première fille. La mère lui donna le nom de Diana. Le père quant à lui n’avait pas son mot à dire après tout, depuis leur rencontre elle stipula que la première fille se nommera ainsi.
-Ma petite princesse Diana. J’espère que ta vie sera longue et aussi joyeuse que la nôtre en ce jour.
Informations IRL
• Prénom : Toujours Cassandra
• Age : hihihi
• Aime : Chocolaaat
• N'aime pas :
• Personnage préféré de One Piece : Barbe noir, ussop, Garp
• Caractère : Peace
• Fait du RP depuis : Melyne
• Disponibilité approximative : 1/7 minimum
• Comment avez-vous connu le forum ?
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Barbas Wyatt le Dim 29 Sep 2019 - 23:33, édité 1 fois