Revolver, check.
Munition, check.
Couteau, check.
Provision, check
Munition, check.
Couteau, check.
Provision, check
C’est parti pour chasser du marine.
Barbas vient d’apprendre une nouvelle. D’ailleurs l’information à fait le tour de l’île en un temps record. Bull Town vient d’être rasé de la carte. Probablement le résultat de l’annexion de Hat Island par le gouvernement mondial. Mais comme si cette information ne suffisait pas, James, le grand frère de notre gars se trouvait en ville. Il était sur les lieux pour effectuer des soins. En tant que médecin, il n’était pas rare que ses déplacements l’amenaient jusqu’à Bull Town. Un brave homme qui soigner gratuitement par moment... Mais revenons au présent.
Molosse fou furieux sort du domicile avec une aura meurtrière. La façon dont il a claqué la porte est inhabituel. Pas un en revoir, ni une information sur le lieu où il se rend. Rien, pas un mot. Trop étrange pour Balthazar le fils ainé. Ce dernier est le seul présent alors il sort rapidement le rattraper.
-Père, qu’est-ce qu’il se passe ? Où vas-tu ?
Aucune réponse. Des pas décidé, têtu comme une mule, il avance sans se soucier de ce qui l’entoure. N’ayant pas le choix, le fils se met à courir pour lui passer devant. Cette fois, il est forcé de s’arrêter.
-C’est au sujet de Bull Town ?
-…
-On peut en discuter.
Balthazar marche en arrière pour suivre son père qui ne daigne pas s’arrêter. Le regard de se dernier porte sur l’horizon puis finis par se fixer sur le jeune. La marche s’arrête en même temps.
-Ton oncle, James se trouvais à Bull Town.
Pas besoin d’en dire plus. Leurs regards se croisent quelques secondes pour échanger quelques émotions. L’information ne peut être avalée si facilement. Le juge reste immobile pendant que le paternel reprend sa marche. Le plus jeune semble vider de ses forces, là, il tient debout par réflexe.
-Tu comptes le venger ?
-Quelle question…
Les hommes se séparent sur ses paroles. Balthazar aime énormément son oncle alors les larmes coulent logiquement de ses yeux. Lorsqu’un événement nous touche directement, on ne le considère plus de la même façon.