Bonsoir !
J'espère que mon personnage va vous plaire !
Bonne lecture !
• Prénom : Joffrey
• Age : 23 ans
• Aime : Utiliser mon imagination, le jus d'orange, et les vacances !
• N'aime pas : Les personnes égoïstes, être seul.
• Personnage préféré de One Piece : Grosse hésitation entre Bon Clay et Usopp.
• Caractère : Je suis une personne souvent optimiste, et je suis un gros fan de jeux de sociétés !
• Fait du RP depuis : C'est la première fois, mais ça à l'air trop cool.
• Disponibilité approximative : 2 fois par semaine, et parfois plus.
• Comment avez-vous connu le forum ? J'aime one piece, je me suis dit "Tiens, un jeu de rôle One Piece ça pourrait être grave stylé", du coup je suis tombé sur ce site !
J'espère que mon personnage va vous plaire !
Bonne lecture !
MELETO Joffury
• Pseudonyme : Joffury la sarbacane
• Age : 23 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Eleveur de moutons (plus pour longtemps)
• Groupe : Pirate à en devenir
• Age : 23 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Eleveur de moutons (plus pour longtemps)
• Groupe : Pirate à en devenir
• But : Devenir un puissant pirate, comme l'était son père.
• Équipement : Possède une sarbacane de 1m55 constitué en acier, ainsi qu'une grosse sacoche comprenant différents projectiles. Il a également la modique somme de 1 000 000 de berries (des années d'économies).
• Parrain : Aucun
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement : )
• Équipement : Possède une sarbacane de 1m55 constitué en acier, ainsi qu'une grosse sacoche comprenant différents projectiles. Il a également la modique somme de 1 000 000 de berries (des années d'économies).
• Parrain : Aucun
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement : )
Description Physique
Salut !
Me présenter physiquement ? Ouai, si tu veux.
Alors, par quoi commencer ? Bah, on va faire au filing, ça fera l'affaire !
Je mesure 1m68, mais entre nous je dis souvent 1m70 aux gens, ils ne voient pas trop de différences de toute façon.
Je pèse 64 kilos, et mes pieds font du 42. On peut dire que j'ai une peau de type caucasien.
Mon corps est ce que l'on peut nommer "banal", je ne suis pas gros, pas maigre, pas plus musclé que ça. Sauf mes mollets ! Eux sont plutôt bien musclés, et vaut mieux car je marche et cours énormément !
Mes bras sont tout de même balèzes en terme de force, même si ça ne se voit pas...
Je possède 2 petites cicatrices au niveau de mes côtes, dû a des accidents bêtes avec des moutons...Je vais vous épargner ces histoires, vaut mieux.
Niveau visage je possède une bouche et des yeux, et un nez aussi !
Non, plus sérieusement, mes yeux sont de couleurs marrons et j'ai la chance d'avoir une bonne dentition. Mon sourire quitte rarement mon visage. Même lorsque j'ai peur ou lorsque je suis intimidé je ne peux m’empêcher de sourire bêtement,c'est assez incontrôlable d'ailleurs !
Je possède une barbe, mi-longue, qui est un peu plus longue au niveau du menton, heureusement que je la possède, car sans elle les villageois croient que je n'ai pas l'âge de boire une bière, et j'aurais pu dire adieu au bars !
J'ai ce qu'on appelle "une chevelure", en gros j'ai les cheveux longs, ils descendent un peu plus bas que mes épaules. Ils sont légèrement ondulés, mais ils me tiennent souvent chaud, du coup je fais une queue de cheval, et au moins là ils ne vont pas dans mes yeux !
Ah oui ! J'allais oublier de dire ! Mes sourcils, cheveux et barbe sont bruns, même si il m'arrive d'avoir des reflets roux.
Bon, quoi dire d'autre ? J'ai une démarche assez rapide, euh... J'ai des poils bruns sur le torse... Bref je vais m'arrêter là, je pense que tu as assez de détail, et si t'en veux plus tu me demandes, tu m'appelles par escargophone et jt'en dirais plus.
Me présenter physiquement ? Ouai, si tu veux.
Alors, par quoi commencer ? Bah, on va faire au filing, ça fera l'affaire !
Je mesure 1m68, mais entre nous je dis souvent 1m70 aux gens, ils ne voient pas trop de différences de toute façon.
Je pèse 64 kilos, et mes pieds font du 42. On peut dire que j'ai une peau de type caucasien.
Mon corps est ce que l'on peut nommer "banal", je ne suis pas gros, pas maigre, pas plus musclé que ça. Sauf mes mollets ! Eux sont plutôt bien musclés, et vaut mieux car je marche et cours énormément !
Mes bras sont tout de même balèzes en terme de force, même si ça ne se voit pas...
Je possède 2 petites cicatrices au niveau de mes côtes, dû a des accidents bêtes avec des moutons...Je vais vous épargner ces histoires, vaut mieux.
Niveau visage je possède une bouche et des yeux, et un nez aussi !
Non, plus sérieusement, mes yeux sont de couleurs marrons et j'ai la chance d'avoir une bonne dentition. Mon sourire quitte rarement mon visage. Même lorsque j'ai peur ou lorsque je suis intimidé je ne peux m’empêcher de sourire bêtement,c'est assez incontrôlable d'ailleurs !
Je possède une barbe, mi-longue, qui est un peu plus longue au niveau du menton, heureusement que je la possède, car sans elle les villageois croient que je n'ai pas l'âge de boire une bière, et j'aurais pu dire adieu au bars !
J'ai ce qu'on appelle "une chevelure", en gros j'ai les cheveux longs, ils descendent un peu plus bas que mes épaules. Ils sont légèrement ondulés, mais ils me tiennent souvent chaud, du coup je fais une queue de cheval, et au moins là ils ne vont pas dans mes yeux !
Ah oui ! J'allais oublier de dire ! Mes sourcils, cheveux et barbe sont bruns, même si il m'arrive d'avoir des reflets roux.
Bon, quoi dire d'autre ? J'ai une démarche assez rapide, euh... J'ai des poils bruns sur le torse... Bref je vais m'arrêter là, je pense que tu as assez de détail, et si t'en veux plus tu me demandes, tu m'appelles par escargophone et jt'en dirais plus.
Description Psychologique
Me définir Psychologiquement maintenant ? Houla, tu me poses une colle là, je vais essayer mais jte promet rien.
Bon, du coup, je pense être une personne relativement positive, j’essaie de voir le monde sous son meilleur jour. Mais des gens profitent de ça parfois, ça m’agace.
Je suis facilement impressionnable, et une personne en face de moi peut assez facilement m’intimider si elle est sérieuse. Comme tu peux le voir je ne suis pas le mec le plus courageux du coin, mais quand il s'agit d'une affaire sérieuse je serais prêt à me battre jusqu'à en tomber !
Niveau confiance en moi, je suis prêt à me lancer à l'aventure, donc je pense qu'il faut avoir une certaine confiance en soi pour ce lancer dans un monde que tout le monde dit hostile.
Je suis une personne qui va plutôt préparer un plan plutôt que de foncer dans le tas, même si je suis pas un grand stratège.
Alors, si je devais citer un truc dans la vie que j'aime bien, je dirais que j'adore les histoires d'aventures ainsi que les bières. Je suis un habitué des bars, je pense même que visiter les bars de différentes régions du monde pourrait vraiment être intéressant. Évidemment, pour moi boire une bière seul ça n'est pas possible, je suis une personne qui aime la compagnie, je ne m'imagine pas voyager dans le monde sans amis ou compagnon de route.
Si il y a un truc que je ne supporte pas ce sont les personnes qui abusent de leur force ou de leur atouts afin de diriger les plus "faibles" et de se sentir puissant par rapport à eux.
J'essaie de paraître le plus agréable possible à mon entourage, même si mon humour parfois décalé peut choquer plus d'un.
Bien, maintenant je vais te dire comment je vois le monde. Déjà j'habite sur une île peuplé de moutons, et je ne suis jamais sorti de cette île. Donc je vois le monde extérieur comme divers bouquins qui attendent que je les lises ! Les déserts, les châteaux, les glaciers, et mêmes les tempêtes sont des lieux imaginaires pour moi, je ne les connais qu'à travers les différents les livres et récits de mon père. Je souhaite découvrir ce monde, je veux le toucher, je veux le combattre ! Rien que d'y penser je me sens tout excité !
Bon, du coup, je pense être une personne relativement positive, j’essaie de voir le monde sous son meilleur jour. Mais des gens profitent de ça parfois, ça m’agace.
Je suis facilement impressionnable, et une personne en face de moi peut assez facilement m’intimider si elle est sérieuse. Comme tu peux le voir je ne suis pas le mec le plus courageux du coin, mais quand il s'agit d'une affaire sérieuse je serais prêt à me battre jusqu'à en tomber !
Niveau confiance en moi, je suis prêt à me lancer à l'aventure, donc je pense qu'il faut avoir une certaine confiance en soi pour ce lancer dans un monde que tout le monde dit hostile.
Je suis une personne qui va plutôt préparer un plan plutôt que de foncer dans le tas, même si je suis pas un grand stratège.
Alors, si je devais citer un truc dans la vie que j'aime bien, je dirais que j'adore les histoires d'aventures ainsi que les bières. Je suis un habitué des bars, je pense même que visiter les bars de différentes régions du monde pourrait vraiment être intéressant. Évidemment, pour moi boire une bière seul ça n'est pas possible, je suis une personne qui aime la compagnie, je ne m'imagine pas voyager dans le monde sans amis ou compagnon de route.
Si il y a un truc que je ne supporte pas ce sont les personnes qui abusent de leur force ou de leur atouts afin de diriger les plus "faibles" et de se sentir puissant par rapport à eux.
J'essaie de paraître le plus agréable possible à mon entourage, même si mon humour parfois décalé peut choquer plus d'un.
Bien, maintenant je vais te dire comment je vois le monde. Déjà j'habite sur une île peuplé de moutons, et je ne suis jamais sorti de cette île. Donc je vois le monde extérieur comme divers bouquins qui attendent que je les lises ! Les déserts, les châteaux, les glaciers, et mêmes les tempêtes sont des lieux imaginaires pour moi, je ne les connais qu'à travers les différents les livres et récits de mon père. Je souhaite découvrir ce monde, je veux le toucher, je veux le combattre ! Rien que d'y penser je me sens tout excité !
Biographie
Il y a de ça 23 ans, sur l'île de Tanuki qui étant elle-même sur North Blue, un petit bonhomme arriva au monde: Moi, Méléto Joffury.
Je suis le digne fils de Méléto Thiry et de euh... je ne sais pas qui... Mon père ne m'a jamais dit d'où je sortais, et quand je lui poses des questions, il répond soit en blaguant genre "J'ai éternué et tu es tombé de mon nez !", soit en discutant d'un sujet bien différent "ça me rappel qu'il me reste de la vaisselle à la maison".
Quoi qu'il en soit je suis bel et bien le fils de mon père, vu la tête qu'on a, on ne peut pas dire que je ne lui ressemble pas !
Mon père, étant un ancien grand pirate, me raconte depuis ma tendre enfance ses histoires démentielles, toujours chargées d'humour, de combat et de personnes exceptionnels. Il aurait arrêté la piraterie pour prendre soin de moi, ce qui m'a toujours fait de la peine pour lui...
C'est ainsi qu'il m'a élevé sur l'île de Tanuki ou plutôt comme je l'appel "l'île aux moutons".
Mon paternel a préféré choisir une île où personnene pourrait le trouver, lui qui est à la base un pirate recherché du nouveau monde.
Depuis lors, mon père est devenu LE éleveur de moutons de Tanuki, Il produit une quantité de 60 % de laine de l'île.
Et moi dans tout ça ?
Eh bien, de mon côté je suis devenu un excellent dresseur de moutons et la vie va et vient tranquillement... EN FAIT PAS DU TOUT ! Élever les moutons ne m'a jamais vraiment intéressé, je suis motivé par la découverte du monde que mon père m'a décrit depuis ma naissance.
Lors de mon enfance mon père m'a dit que c'était à moi de prendre le relais, que c'était à moi de devenir pirate !
Il ne m'en fallait pas plus ! Je me suis donc totalement accroché à ce rêve ! Le rêve de mon père ! Mon rêve !
C'est lors de l'anniversaire de mes 5 ans que mon père commença à m'entrainer !
Courir, grimper, Porter un mouton, etc...
Avec l'âge je devenais de plus en plus robuste,et de plus en plus énergique !
Mon entrainement ce faisait à l'aide de moutons : Courir 10 kilomètres avec 3 moutons sur les épaules, grimper en haut de cet arbre avec 2 moutons attachés dans le dos, nager 3 kilomètres avec 1 mouton sur la tête, etc...
Pour l'anniversaire de mes 13 ans, mon père m'avait offert un objet qui est devenu aujourd'hui mon arme principale : une Sarbacane en acier ! Elle faisait et fait toujours 1m55,ce qui me paraissait vraiment grand à l'époque.
Il l'avait commandé depuis une paire de mois à un vieux forgeron du nom de Hojimo Kanemitsu, il parait qu'il est vraiment doué pour construire des armes. Mon père était tellement fauché durant les mois à venir qu'il a fallu vendre des parties de nos terres... A mon avis l'arme n'était pas donné !
Depuis mes 13 ans je m'efforce alors d'améliorer au maximum ma maîtrise de cette arme, que j'avais nommé "Bikkuri", ce qui signifie "Surprise".
Je m'entraînais avec Bikkuri de 2 manières bien distinctes : la première est l'attaque à distance, où je peux désormais toucher une cible à plus de 50 mètres; et la deuxième étant l'attaque rapproché, où je me servais de Bikkuri comme un bâton, afin de me protéger et de donner des coups à mon éventuel adversaire.
Mon père me servait aussi de professeur, il savait me motiver et m'apprendre différentes techniques.
Me voilà arriver à l'anniversaire de mes 23 ans, mon entraînement est désormais fini, mon père m'a appris tout ce qu'il pensait pouvoir m'apprendre...
Il pense que je suis prêt à commencer ma vie de pirate !
Mon objectif ? Je le sais depuis toujours : Devenir un pirate aussi puissant que mon père le fut à l'époque, et découvrir le monde, et ainsi créer mes propres histoires.
Je suis le digne fils de Méléto Thiry et de euh... je ne sais pas qui... Mon père ne m'a jamais dit d'où je sortais, et quand je lui poses des questions, il répond soit en blaguant genre "J'ai éternué et tu es tombé de mon nez !", soit en discutant d'un sujet bien différent "ça me rappel qu'il me reste de la vaisselle à la maison".
Quoi qu'il en soit je suis bel et bien le fils de mon père, vu la tête qu'on a, on ne peut pas dire que je ne lui ressemble pas !
Mon père, étant un ancien grand pirate, me raconte depuis ma tendre enfance ses histoires démentielles, toujours chargées d'humour, de combat et de personnes exceptionnels. Il aurait arrêté la piraterie pour prendre soin de moi, ce qui m'a toujours fait de la peine pour lui...
C'est ainsi qu'il m'a élevé sur l'île de Tanuki ou plutôt comme je l'appel "l'île aux moutons".
Mon paternel a préféré choisir une île où personnene pourrait le trouver, lui qui est à la base un pirate recherché du nouveau monde.
Depuis lors, mon père est devenu LE éleveur de moutons de Tanuki, Il produit une quantité de 60 % de laine de l'île.
Et moi dans tout ça ?
Eh bien, de mon côté je suis devenu un excellent dresseur de moutons et la vie va et vient tranquillement... EN FAIT PAS DU TOUT ! Élever les moutons ne m'a jamais vraiment intéressé, je suis motivé par la découverte du monde que mon père m'a décrit depuis ma naissance.
Lors de mon enfance mon père m'a dit que c'était à moi de prendre le relais, que c'était à moi de devenir pirate !
Il ne m'en fallait pas plus ! Je me suis donc totalement accroché à ce rêve ! Le rêve de mon père ! Mon rêve !
C'est lors de l'anniversaire de mes 5 ans que mon père commença à m'entrainer !
Courir, grimper, Porter un mouton, etc...
Avec l'âge je devenais de plus en plus robuste,et de plus en plus énergique !
Mon entrainement ce faisait à l'aide de moutons : Courir 10 kilomètres avec 3 moutons sur les épaules, grimper en haut de cet arbre avec 2 moutons attachés dans le dos, nager 3 kilomètres avec 1 mouton sur la tête, etc...
Pour l'anniversaire de mes 13 ans, mon père m'avait offert un objet qui est devenu aujourd'hui mon arme principale : une Sarbacane en acier ! Elle faisait et fait toujours 1m55,ce qui me paraissait vraiment grand à l'époque.
Il l'avait commandé depuis une paire de mois à un vieux forgeron du nom de Hojimo Kanemitsu, il parait qu'il est vraiment doué pour construire des armes. Mon père était tellement fauché durant les mois à venir qu'il a fallu vendre des parties de nos terres... A mon avis l'arme n'était pas donné !
Depuis mes 13 ans je m'efforce alors d'améliorer au maximum ma maîtrise de cette arme, que j'avais nommé "Bikkuri", ce qui signifie "Surprise".
Je m'entraînais avec Bikkuri de 2 manières bien distinctes : la première est l'attaque à distance, où je peux désormais toucher une cible à plus de 50 mètres; et la deuxième étant l'attaque rapproché, où je me servais de Bikkuri comme un bâton, afin de me protéger et de donner des coups à mon éventuel adversaire.
Mon père me servait aussi de professeur, il savait me motiver et m'apprendre différentes techniques.
Me voilà arriver à l'anniversaire de mes 23 ans, mon entraînement est désormais fini, mon père m'a appris tout ce qu'il pensait pouvoir m'apprendre...
Il pense que je suis prêt à commencer ma vie de pirate !
Mon objectif ? Je le sais depuis toujours : Devenir un pirate aussi puissant que mon père le fut à l'époque, et découvrir le monde, et ainsi créer mes propres histoires.
Test RP
Les mouettes volaient haut ce jour-ci et le soleil illuminait l’île. Il était onze heures et j’étais en train de me reposer à la célèbre taverne « le laineux », avec une de leurs succulente bière, quand soudain Phil, un éleveur de moutons du coin débarqua en trombe.
- LES GARS ! LA MARINE A ARRÊTÉ THIRY !!
- (Me retournant brusquement) Quoi ? Qu’es ce que tu racontes Phil ?
- Ah, Joffury, tu es là ! Je te raconte pas des sornettes ! J’ai vu la Marine venir en nombre dans votre Ferme , ils ont mis le souk et ont embarqué ton père !
Je pris alors conscience de la situation, et me hâta le plus vite possible à notre petite colline, où l’on résidaient.
Arrivant à la ferme, mon choc fut immédiat. Je regardais tout en tremblant, l’horreur qu’il c’était produit ici. La ferme était quasiment détruite : Murs brisés, fenêtres en milles morçeaux, tonneaux renverser, moutons blessés…
Soudain j’aperçus tout en bas de notre colline un homme que j’ai pu reconnaître de suite, cet homme n’était qu’autre que le Lieutenant Colonel Lümbert.
Lümbert est chargé de diriger la 412ème division de la Marine, connu aussi pour être un chef compréhensif et encourageant, on peut le voir souvent aux fêtes de villages, mais il n’en est pas moins une personne puissante, on peut dire que c’est lui le principal protecteur de l’île.
Il marchait d’un pas calme, les mains dans le dos, le visage consterné. Cet homme, bien qu’assez âgé était impressionnant, il mesurait environ 2 mètres et avait une musculature digne de Hercule. Il possèdait une barbe blanche ainsi qu’une cicatrice sur son œil gauche.
Il arriva devant moi, me mis doucement sa main droite sur mon épaule.
- Je suis désolé pour ton père… Nous avons eu récemment des vieilles primes à classer dans nos archives et l’un de mes brave soldat a vu qu’un de ces pirates ressemblait énormément à ton père. Après vérification, j’ai su que l’homme sur cette prime et notre grand éleveur de mouton était le même. Mon devoir était donc de l’arrêter… Je suis désolé...
Le temps fut alors comme stoppé, trop de questions me venaient en tête. Que lui on-t-il fait ? Es-ce qu’il va bien ? Es-ce que Lümbert va me mettre aussi au trou ?
- Tu devais sûrement être au courant de ce qu’il était, ce qui fait de toi un complice par omission.
- (Le regardant droit dans les yeux) J’imagine que vous aller m’arrêter ?
- … Non, j’ai décidé de te laisser tranquille. Vu que tu n’es pas un mauvais bougre, je ne pense pas que ce soit utile de te mettre aux fers. Et maintenant il faut bien que quelqu’un reprenne la ferme de ton père…
- (Larmes aux yeux) Qu’est-il arriver à la ferme ? Et qu’avez vous fait de mon père ?
- Une trentaine de mes hommes et moi-même sommes venu l’arrêté à huit heures, ce matin. Évidemment ton père ne s’est pas laissé faire. Nous avons été contraints d’utilisé la force. Mon dos a d’ailleurs bien été endommagé, il me faudra plusieurs mois pour m’en remettre. On peut dire que ton père se débrouille encore bien ! Il a mis presque tous les hommes à terre ! (dit-t-il en souriant, tout étant mal à l’aise)
- Et donc ? Où est mon père ? Es-ce qu’il va être libéré un jour ?
- Thiry est actuellement enfermé dans une de nos cellules, à la base de la Marine de Tanuki. Un navire viendra le chercher au port lundi soir, afin de le transférer dans une prison plus sécurisé. J’ignore dans quel pénitencier il va être emmené. Malheureusement il y sera jusqu’à la fin de sa vie… Je suis désolé Joffury, ça ne doit pas être facile pour toi...
Je baissais alors la tête, me retournais et me dirigea vers les moutons.
- (Parlant sur un ton plus fort) Quittez notre propriété Lümbert, j’ai des moutons à soigner et une ferme à reconstruire moi !
- (En étant calme) Je t’ai mis la somme d’un million de Berries sur ton lit, j’espère que ça te suffira pour reconstruire ta ferme… Bonne chance pour la suite !
Le Lieutenant-Colonel redescendit alors tout doucement de la colline, afin d’avoir le moins mal possible à son dos.
Pendant plusieurs heures, je guérissais les moutons du mieux que je pouvais.
Tout en réparant la ferme, je réfléchissais. Que faire ? Laisser mon père croupir en prison la fin de sa vie ? Tenter de le libérer en mettant ma propre vie en danger ?
Mon cerveau était en ébullition.
~ Le lendemain ~
Me réveillant à six heures du matin, il était compliqué pour moi de bien dormir, mais mon cerveau était déjà plus frais qu’hier, et encore allongé dans mon lit je n’avais qu’une seule idée en tête,
- Sauver mon père ! (en effrayant le mouton qui dormait sur les jambes de Joffury)
Je me relevais alors, prêt à en découdre ! Mais pas de précipitation, il me faillait un plan. Il m’est impossible de foncer au QG en détruisant tout pour libérer mon père, ils m’arrêteraient net ! Il fallait donc que mon plan soit parfait afin de réussir à coup sûr ma mission.
Mon père devrait être transporté lundi soir, ce qui me laisse en comptant aujourd’hui… quatre jours !
Je devais me préparer le plus possible pour libérer mon père et m’enfuir avec lui, il était inconcevable de rester vivre avec lui sur cette île, ce serait du suicide !
Avec l’argent que j’avais prévu pour mon départ en tant que pirate, et ce que Lümbert m’a donné pour réparer la ferme, j’atteignais un total de deux millions de Berries !
Il était temps de tout acheter et de tout préparer !
~ 4 jours plus tard, le jour J ~
Je me levais, plus déterminé que jamais, et vérifiais si tout était bien prêt pour lancer mon plan !
Je sentais l’exaltation mais aussi le stress monter en moi, aujourd’hui c’est tout ou rien !
En m’habillant je me rendais compte que c’était sûrement la dernière fois que je voyais notre ferme… Une grande partie de mes souvenirs sont basé sur ses terres… Mais ce n’était pas le moment de niaiser ! Il fallait commencer mon plan de secours !
Étape 1 : L’infiltration dans la base !
Mon but étant de rentrer dans le QG de la Marine de l’île, il me faut être discret et choisir le moment opportun. J’ai choisi précisément ce jour car c’est à ce moment-là que le navire arrivera au port, il y aura donc un bon nombre de soldats de la Marine qui devra s’absenter du QG pour accueillir comme il se doit le navire. Il y aurait donc potentiellement moins de soldats près de mon père. Le QG étant à côté d’une ville, et près de nos champs il me faut aviser sur ce point-là.
- Vous êtes prêts les moutons ? Alors en avant !
- Bêêêêêêêêh
- Bèèèè
- Bééééééh
Eh oui, mon plan impliquait l’ensemble de nos 360 moutons, ce qui me faisait une armée plutôt redoutable. Nos moutons étant de l’espèce des moutons Angoras, ils sont vastement plus intelligents que la moyenne des moutons ordinaires, étant élevé dans notre ferme depuis leur naissance ils me comprenaient donc bien et ne répondaient qu’à mes ordres ou à ceux de mon père.
Tandis que l’on s’avançait, je disais aux moutons de se resserrer le plus possible, afin d’avoir un amas de laine blanche.
On s’approchait enfin du QG, c’était le moment !
Je me mis à genoux, fouilla dans ma grosse sacoche où toutes mes affaires étaient préparées pour ce moment. J’en sortis de ce sac un pantalon, une veste et un bonnet, les trois totalement faits de laine de moutons, je les avais faits conçus hier. Je les enfilai, et je pouvais déjà sentir la chaleur des vêtements, ils portaient vraiment très chauds, en quelques instants j’étais une fournaise. Mais ce n’était pas la chaleur qui allait m’arrêter !
En me mettant à croupi entre tous mes moutons j’étais alors devenu invisible, un point blanc parmi des dizaines de points blancs, il était alors impossible de me repérer.
C’est alors que nous arrivâmes à l’entrée du QG de la Marine, qui pour moi me semblait vraiment aussi gros qu’une forteresse.
- (Sifflement) fiiiitfiouuuu!!!
C’est alors que mes alliés moutons se rapprochèrent du portail d’entrée du QG.
Cela attira évidemment les soldats de la cour extérieure, qui ne voyaient que des moutons, ce qui attirait évidemment leur curiosité.
- (soldat de la Marine) Vous avez vu tous ces moutons ? Comment ce fait-il qu’ils soient ici ?
- (soldat de la marine) Ils ont dû se perdre, à moins que leur propriétaire se soit trompé de chemin. (En parlant plus fort) Ouvrez le portail ! je vais voir si leur maître n’est pas loin !
Évidemment , je comptais sur la réaction des soldats de la Marine, je savais bien qu’un troupeau de moutons devant chez eux aller leur provoquer de la curiosité.
~ Ouverture du portail ~
- (Sifflement) fiouu !
Dès l’ouverture complète du portail, les moutons réagissèrent au sifflement et tous se hâtèrent tout en bêlant le plus fort possible à l’intérieur de la cour.
- Qu’est ce qui ce passe ? Pourquoi ils viennent par ici ? (Hurlant sur les autres hommes qui ne l’entendaient pas) FERMEZ LE PORTAIL, VITE !
- Bêêêêêêh
- ON N’Y ARRIVE PAS ! IL Y A BEAUCOUP TROP DE MOUTONS QUI BLOQUENT !
- Béééh
Les moutons remplissèrent alors totalement la cour, tandis que les soldats cherchaient désespérément le propriétaire de ces animaux afin qu’il les rappelle. Moi de mon côté, je me rapprochais tout doucement d’une porte laissée entre ouverte, sûrement dû à l’inattention d’un soldat, en même temps qui penserait que ces moutons étaient juste une diversion ?
Je marchais alors doucement dans un couloir, vide, mon but étant de trouver les cachots.
J’étais alors accompagné de deux de mes moutons porteurs, qui servaient à attacher en dessous d’eux les différentes affaires dont j’aurais besoin pour accomplir ma mission.
Je possédais sur moi uniquement ma tenue de mouton ainsi que ma sacoche, ma sarbacane elle, étant attaché sous l’un de mes moutons, je pris cette dernière en main, et dit discrètement aux moutons de filer dans la cour, ce qu’ils exécutèrent directement.
J’atteignis tout doucement un escalier, je descendais alors, de manière à trouver un éventuel cachot.
Suite à cela, je me retrouvais dans une sorte de cave, où j’entendais au loin quatre personnes discuter entre eux.
je sentais ma sueur coulée le long de mon front, j’étais stressé à un point inimaginable ! Je me penchai tout doucement de manière à les apercevoir, , je vis alors quatre gardes jouant au tarot, sur une table en bois, devant la cellule où se trouvait, devinez qui ? Oui, mon père !
Mon père était attaché à ses deux mains ainsi qu’à ses deux pieds, directement accroché, dos contre le mur, il bavait, endormit… Je pense qu’ils lui avaient administré un somnifère puissant afin de le maîtriser.
Étape 2 : Libération de mon père !
J’avais prévu de tomber sur des gardes, mon plan était alors de les immobiliser afin de récupérer les clés de la cellule. Les hommes avaient leurs armes posées au sol, contre le mur, je pouvais les avoir par surprise. Leur escargophone était posé sur la table, il fallait que j’agisse vite pour qu’ils ne contactent pas du renfort.
C’est à ce moment précis que j’allais devoir lutter contre des représentants de l’ordre, jusqu’à présent je n’avais jamais fait une telle action qui pouvait me coûter ma liberté. J’hésitais…
Et je me lançai : Je pris ma sarbacane devant ma bouche et sortis de ma sacoche mes projectiles,
Gros soufflement, et hop, mon premier projectile fut expédié de mon arme pour se rendre immédiatement sur l’escargophone, afin de le rendre inutilisable, eh oui, un caillou ça peut faire mal !
Soudainement les quatre soldats me regardèrent d’un coup, et se levèrent le plus vite possible. Durant ce laps de temps, j’ai pu propulser à l’aide de Bikkuri, quatre de mes petits piments extra-forts, directement dans leurs bouches grandes ouvertes sous le coup de l’étonnement, il fallait qu’ils soient incapable d’appeler au secours, sinon ils allaient prévenir leurs compagnons ! Ces piments que j’avais achetés à prix coûteux étaient de loin les plus forts piments de l’île ! Tandis qu’ils se prirent chacun la gorge entre leurs mains, et que leur visage devenait rouge, je fonçai directement sur eux et sauta sur la table, puis, grand coup de balayement avec ma sarbacane, les frappèrent tous au crâne, ce qui mit les quatre pauvres soldats complètement amorphe, jonché sur le sol.
C’était du rapide, il m’a pas fallu 20 secondes pour m’occuper d’eux ! Mon entraînement avait bien porté ses fruits.
Je descendis alors de la table, puis les fouillas afin de trouver mon dû. Et Eurêka, un d’eux les avaient bien en sa possession. Ce fut un moment vraiment très jouissif, j’avais les clés qui me permettaient de réussir !
Ouvrant la cage le plus rapidement possible, je me précipitai vers mon père et le détachai au plus vite.
- Papa, tu m’entends ? C’est moi, Joffury ! Je suis venu te libérer !
- (le père sous l’effet du somnifère) Gné ? Ar..ju…kné ?
- Ne t’inquiète pas, je vais te sortir de là et on va partir sain et sauf ensemble ! J’ai préparé un bateau pour que l’on puisse s’enfuir !
- Umhh…baaahh..tooo…
Je mis mon père sur mon dos, je l’attachai contre moi avec une corde que j’avais pris au préalable, ce qui me laissai mes mains libres. Puis tout doucement je remontai les escaliers, pour me retrouver dans le couloir. Ce couloir était bien vide, mais je vis par la fenêtre les Marines qui repoussaient les moutons afin de fermer le portail. Je n’avais plus de moyen de me cacher afin de m’enfuir, de plus le portail était la seule entrée possible de cette base. J’étais dans un beau pétrin.
Étape 3 : Sortir de la base !
Mon plan initial était de sortir de la base comme j’étais venu, en me faufilant à travers mes moutons, mais maintenant que les moutons étaient bien éloignés et entouré de soldats de la Marine, mon plan tombait à l’eau. Il fallait improviser. Et j’avais une idée !
Il me semblait qu’à côté des escaliers qui menaient à la cave, Il y avait également des chambres. Je me hâtai alors directement vers ses chambres et nous enfermais dans la première venue. Il y avait peu d’affaires, mais ce que je voulais était bien présent ! J’arrachai des morceaux d’armoires, des lattes de lits, des tiroirs de bureaux, afin de pouvoir prendre le plus de matériel possible. Je pris également plusieurs draps de lit. Je fus chargé comme un bœuf, il me fallais beaucoup d’énergies pour transporter tout ça, mais ça tombe bien, j’étais chargé à bloc !
En ouvrant, tout doucement la porte, un Soldat fût juste en face de moi…
- QUI ÊTES VO…
Coup de boule, bien fort et bien sec ! Je le mis à terre d’une traite ! Je le déplaçais alors vite dans la chambre et puis refermais la porte. Je courrais le long du couloir, afin de tomber sur un escalier menant sur le toit du bâtiment. Le destin avait l’air de mon côté ce jour-là, car je tombais sur un panneau qui m’indiquait le toit. J’eus de la chance de ne croiser aucun soldat, heureusement ils étaient quasiment tous occupé par les moutons ou étaient en train d’accueillir le bateau.
J’arrivais enfin sur le sommet du bâtiment, c’était un toit plat avec des petits murés, je condamnai rapidement la porte du mieux que je pouvais pour empêcher quelqu’un de s’approcher. Je me détachais de mon père, puis enlevais les vêtements en laine qui me tenaient beaucoup trop chauds.
Et c’était à moi encore d’assurer sur ce coup, car à l’aide du bois et des draps que j’ai récupérés dans la chambre, il fallait que je construise un objet démentiel : un deltaplane.
Ayant fait de nombreux bricolages dans la ferme, je savais bien construire, de plus j’avais pas mal de clous dans ma sacoche. Tout en construisant, des souvenirs me revinrent, comme ceux où mon père m’apprenait à construire mon propre cerf-volant. Mais fallait pas que je me repose sur mes lauriers car le temps m’était compté ! Si on me découvre ou l’on découvre un des soldats que j’ai mis à terre, je suis fini !
~ Environ 40 minutes plus tard ~
Je finalisais mon deltaplane, le soleil était brûlant, mais mon père revenait peu à peu à lui-même.
Soudain surgis une alarme très puissante : POOOOOH ! POOOOOH ! POOOOOH !
- ALERTE ÉVASION ! JE RÉPÈTE ! ALERTE ÉVASION ! CECI N’EST PAS UN EXERCICE !
J’ai soudainement ressenti un stress intense, à tel point que je n’arrivais plus à me concentrer !
- Joff..ry… sauv..toâââ…viiiite.
- Je ne pars pas sans toi papa ! J’ai presque fini, ne t’en fait pas !
De plus j’apercevais discrètement du haut du toit une chose qui ne me laissait pas de marbre : la Marine qui était venue récupérer mon père arrivait à l’entrée de la base ! Elle était accompagnée des soldats qui les avaient accueillis, ce qui faisait un nombre considérable d’ennemis supplémentaire !
Soudainement, la porte que j’avais bloquée éclata et vola en morceaux, des débris furent projetés partout sur le toit !
Je me retournais alors, pris ma sarbacane en main.
C’est à ce moment que j’ai compris que si je voulais m’enfuir, il me fallais battre toute chose qui pouvait se mettre en travers de ma route. Mais ce n’était pas si facile, car en face de moi il y avait pas n’importe quoi ni n’importe qui ! En face de moi il y avait le plus fort soldat de Tanuki : le Sergent Colonel Lümbert en personne !
Il était seul, mais pas pour autant faible. Il ne portait plus sa veste, je pouvais voir quel monstre il pouvait être ! J’apercevais ces muscles, ainsi que ces veines. Il s’approcha de moi, tout doucement.
- J’espère que tu es fière de toi maintenant ! Te voilà devenu un hors la loi !
- Je… Je n’avais pas le choix ! Je n’allais tout de même pas laisser mon père crever en prison !
- Peu importe ! Tu as touché à mes hommes, c’était l’erreur de trop ! Tu vas goûter de mon poing !
Lümbert étant connu pour sa parfaite maîtrise de la boxe, son coup de poing était connu à travers toute l’île. Il se mit à courir dans ma direction ! Il me fallais agir aussi vite !
Avec une dizaine de billes que je pris de ma sacoche, je les plaçais directement dans ma sarbacane afin d’en tirer un maximum en direction de ses pieds. À cause à son déplacement rapide et à mes billes idéalement situées, il glissa et tomba dos contre le sol. J’entendais son vieux dos encore fragilisé tombé à terre. Sa blessure au dos était encore récente, il était essentiel d’en jouer.
Je m’approchai directement et lui assaini un coup de sarbacane directement sur la tête ! Son avant-bras gauche me bloqua facilement et Lümbert m’attrapât subitement avec sa main droite.
Il se releva, me portant au col, puis d’un élan, il me fracassa contre le sol !
La puissance du choc était considérable !
J’étais écrasé entre son bras et les gravas du sol, j’étais complètement sonné, il m’était dur d’agir…
- Alors ? C’est déjà fini ? Et ça veut sauver son père ?
- (Thiry, coucher contre le sol) Lééé…ssseee…moooon…gaarssssoooon
- Ah, je vois que tu es enfin réveillé ! J’espère que tu es fière de toi ! Tu as transformé ton fils en criminel !
Revenant à moi, je profitais alors de ce moment d’inattention ! Je pris dans ma sacoche un gros clou qui me restait, et de toutes mes forces, l’enfonça dans la poitrine de Lümbert ! La douleur lui fit lâcher mon torse, ce qui me donna l’occasion de me relever et de m’éloigner !
- (En enlevant le clou) Encore un coup fourbe ! Tu es bien le fils d’un pirate !
Il prit un morceau de roche du toit et, de toutes ses forces, me le lança dessus. Avec ma bonne maîtrise de Bikkuri, j’ai pu réussir à fendre en deux son projectile. Lûmbert fût un bond vers moi, et avec sa main droite, lança un coup de poing surpuissant ! Je l’esquivai de peu ! C’était moins une ! Je sortais directement de mon sac une bouteille pleine, faite en verre et brisa cette dernière à même le bras droit du Lieutenant Commandant. En passant sous ses jambes, je me lançais alors avec difficulté derrière lui.
Il se retournât, et avaient de nombreux morceaux de verre planté dans son avant-bras.
- Oui, je suis le fils d’un pirate ! Et j’en suis fière !
Lûmbert regardait soudain mon père, et s’en approcha en marchant.
- Ne t’approche pas de lui ! C’est notre combat !
À l’aide d’une allumette, je mis feu une petite boule de graisse que j’avais placé dans ma sarbacane. Et d’une respiration forte, envoya directement la petite boule enflammé sur Lümbert. Et prit soudainement feu !
- WHOUAAAAA, JE PREND FEU !!!
La bouteille que j’avais explosé contre son bras était un produit hautement inflammable, de ma conception. Durant plusieurs années j’ai crée différentes petites techniques qui pourraient être utile pour me défendre.
La moitié du corps en feu, Lümbert était encore à même de se battre et me fonça dessus la tête en avant ! Je me pris son coup de boule en plein estomac, si fort que j’ai cru qu’il m’avait transpercé !
Gisant tous les deux au sol, je le voyais se rouler par terre. Suite à cela, il a pu éteindre les flammes sur son corps.
Il se leva, se mit droit au-dessus de moi, tel un géant regardant une fourmi.
Et c’est là que j’ai cru que ma vie était finie : Il m’assainit de toutes ses forces une multitude de coups de poings dans toutes parties de mon corps, ce qui nous fîmes traverser le toit et tomber à l’étage inférieur…
N’arrivant même plus à ouvrir les yeux, j’entendis plusieurs voix.
- Chef ! On vous a retrouvé ! Vous allez bien ?
- …Emmenez ce jeune homme s’il vous plaît… Et qu’un groupe aille chercher notre pirate couché sur le toit !
Mes forces et ma santé étant au plus bas, j’utilisais tout ce qui me restait pour ouvrir les yeux, et soudain...je me suis levé ! Aussi fou que ça paraisse, mon corps s’est relevé, même s’il était achevé. Et, prenant Bikkuri dans mes mains, je tentai un dernier assaut.
Je me projetai soudainement contre les 3 soldats devant moi et grâce à ma technique de combat j’esquivai leurs coups de sabre, et les frappèrent dans l’estomac, puis ils s’écroulèrent directement.
Lümbert était encore là, droit devant moi, les yeux écarquillés.
- Co…Co…Comment fais-tu pour te relever après ça ? Aucune personne n’a su se relever après avoir reçu autant de mes attaques !
Étant incapable de répondre, il était temps d’en finir. Et je savais comment en finir ! Je commençais à tourner la sarbacane dans mes mains, elle tourna de plus en plus vite, à tel point que le vent fût puissant dans la salle. Et là, je me suis rué vers lui, et hurlai !
- ATTAQUE SPECIALE ! COUP DANS LES BOULES !
Tout homme sachant qu’il va se prendre un coup dans les testicules fait un geste inné d’autoprotection qui consiste à mettre ses mains devant ses parties intimes. C’est en ça que consiste la technique, car la personne va se protéger le bas et laisser le haut de son corps complètement à découvert. C’est à ce moment précis que je martèle d’un coup puissant le haut de la tête de mon adversaire !
Le lieutenant Colonel Lümbert se prit ce coup dévastateur en plein sur le sommet de son crâne !
Le craquement de son coup était aussi puissant qu‘un coup de tonnerre !
Il s’écroula alors brutalement à même les gravas.
Chose qui me semblait alors impossible était faite… Lümbert était vaincu…
Mais il ne fallait pas perdre du temps ! En m’aidant de meubles pour remonter sur le toit, j’aperçus mon père debout, il arrivait à peine à tenir sur ses jambes.
J’entendais déjà les soldats de la Marine se précipiter dans les escaliers. Il était temps de partir, même si mon deltaplane n’était pas encore entièrement finalisé. Je mis Bikkuri dans mon dos, puis en prenant le deltaplane pour m’élancer, je dis à mon père de se tenir à moi, je n’avais malheureusement pas le temps de l’attacher.
- Stop ! Vous là sur le toit, arrêtez-vous !
C’est à ce moment précis qu’on a commencé à courir, puis à se rapprocher du bord du bâtiment. Je priais intérieurement pour que le deltaplane improvisé s’envole correctement. Et Soudain, ça y est, nous étions dans les airs !
- Papa ! On vole ! On vole !
Mais à peine eut le temps de savourer notre réussite que le deltaplane descendit de plus en plus vers le bas. Si nous ne faisons rien, nous étions condamnés à foncer droit dans la cour du QG, et même si on survivait à l’impact, nos efforts auraient été vains, car on aurait été enfermé avec plus d’une centaine de soldat de la Marine. On serait bon pour le bagne.
- Nous…sommes…trop lourd…
Mon père avait cerné le souci, effectivement ce deltaplane de fortune était bien trop petit pour supporter nos deux poids. Tandis que nous survolons de quelques mètres seulement tous les soldats qui nous avaient en ligne de mire, mon père fit un choix.
- … Devient… un pirate fort… et reviens me… chercher...
C’est alors que mon père ouvrit ses bras et chuta du deltaplane… Ne pouvant le retenir.
Sa chute fût rapide, nous n’étions plus très haut.
Je le voyais s’effondrait dans la cour, entre les soldats. Ces derniers s’empressaient de l’attraper.
- (En pleurs) PAPAAAAAAA !!!
Soudainement le deltaplane rehaussa son nez et je commençais à reprendre de l’altitude, à tel point que je passais in extremis au-dessus du portail de l’entrée.
Je continuais de prendre de la hauteur, et fus très éloigné de la base.
J’étais une nouvelle fois perdu dans mes pensées! J’espérais juste que mon père avait survécu à sa chute…
En quelque instants, sur mon deltaplane, je fus une promesse !
Celle de devenir un grand pirate ! Et un jour, avec l’aide d’un équipage, j’irais sauver mon père, peu importe dans quelle prison il serait transféré !
Étape 4 : S’enfuir avec mon père à bord du Sheep-Sheep !
C’est ainsi que je me dirigeais vers le Sheep-Sheep. Ce dernier était un petit navire d’occasion que je venais d’acheter pour la modique somme de trente millions de Berries. Pour pouvoir l’acheter j’avais vendu trois jours auparavant toute notre terre, notre ferme, ainsi que tous nos moutons… Je devais laisser la propriété dans la semaine, voilà chose faite. On a peut-être plus de terrains, mais désormais je possède un beau petit navire, on peut même y loger à quatre ou cinq en s’y serrant un peu !
Arrivant tout doucement à ma destination, je tentais un atterrissage, qui se traduisit par un échec. Je m’écrasai dans la boue, et brisa mon deltaplane en mille morceaux. Étant allongé par terre, je cherchais la force pour me lever, je n’y arrivais guerre mais j’avais la force de marcher à quatre pattes jusqu’à un arbre, j’ai pu m’en servir pour me lever, il faisait un bon appui.
J’arrivais donc ensanglanté, boueux, couverts de bosses à mon tout nouveau navire.
J’avais mis ce bateau à un endroit stratégique, il fallait juste que j’enlève l’encre et que j’ouvre les voiles et le courant de cet endroit me mènera vite loin de Tanuki.
Ce n’était pas chose aisée de faire cela, mon état était vraiment désastreux. À peine ayant ouvert les voiles et remonté l’encre que je m’écroulai sur le pont du Sheep-Sheep…
Un bon repos me fera le plus grand bien, et je n’avais plus que ça à faire de toute façon ! Le bateau était en route ! En route vers où ? Je ne le savais pas, mais j’y allais !
Compte rendu de ce RP :
Berries :
- Vente du terrain et du contenu : 40 000 000 Berries
- Achat du Sheep-Sheep : 30 000 000 Berries
- Achat de diverses affaires : 3 300 000 Berries
- Argent donné par Lümbert : 1 000 000 Berries
- Argent de côté : 1 000 000 Berries
- Argent total à la fin du RP : 8 700 000 Berries.
Affaires que Joffury possède à la fin du RP:
- Sheep-Sheep : Navire d’occasion de petite taille
- Bikkuri : Sarbacane en métal
- Réserve de nourriture, de quoi se nourrir 3 semaines.
- Grosse sacoche contenant différentes choses : - une dizaine de billes
- encore quelques petits piments extra-forts,
- une boîte d’allumettes quasi pleine,
- une corde assez solide de 3 mètres de long,
- un assortiment d’un pantalon, veste et bonnet en laine de mouton angora,
- quelques petits cailloux,
- bandages et trousse de soin,
- 6 grands clous de 10 cm de long.
- LES GARS ! LA MARINE A ARRÊTÉ THIRY !!
- (Me retournant brusquement) Quoi ? Qu’es ce que tu racontes Phil ?
- Ah, Joffury, tu es là ! Je te raconte pas des sornettes ! J’ai vu la Marine venir en nombre dans votre Ferme , ils ont mis le souk et ont embarqué ton père !
Je pris alors conscience de la situation, et me hâta le plus vite possible à notre petite colline, où l’on résidaient.
Arrivant à la ferme, mon choc fut immédiat. Je regardais tout en tremblant, l’horreur qu’il c’était produit ici. La ferme était quasiment détruite : Murs brisés, fenêtres en milles morçeaux, tonneaux renverser, moutons blessés…
Soudain j’aperçus tout en bas de notre colline un homme que j’ai pu reconnaître de suite, cet homme n’était qu’autre que le Lieutenant Colonel Lümbert.
Lümbert est chargé de diriger la 412ème division de la Marine, connu aussi pour être un chef compréhensif et encourageant, on peut le voir souvent aux fêtes de villages, mais il n’en est pas moins une personne puissante, on peut dire que c’est lui le principal protecteur de l’île.
Il marchait d’un pas calme, les mains dans le dos, le visage consterné. Cet homme, bien qu’assez âgé était impressionnant, il mesurait environ 2 mètres et avait une musculature digne de Hercule. Il possèdait une barbe blanche ainsi qu’une cicatrice sur son œil gauche.
Il arriva devant moi, me mis doucement sa main droite sur mon épaule.
- Je suis désolé pour ton père… Nous avons eu récemment des vieilles primes à classer dans nos archives et l’un de mes brave soldat a vu qu’un de ces pirates ressemblait énormément à ton père. Après vérification, j’ai su que l’homme sur cette prime et notre grand éleveur de mouton était le même. Mon devoir était donc de l’arrêter… Je suis désolé...
Le temps fut alors comme stoppé, trop de questions me venaient en tête. Que lui on-t-il fait ? Es-ce qu’il va bien ? Es-ce que Lümbert va me mettre aussi au trou ?
- Tu devais sûrement être au courant de ce qu’il était, ce qui fait de toi un complice par omission.
- (Le regardant droit dans les yeux) J’imagine que vous aller m’arrêter ?
- … Non, j’ai décidé de te laisser tranquille. Vu que tu n’es pas un mauvais bougre, je ne pense pas que ce soit utile de te mettre aux fers. Et maintenant il faut bien que quelqu’un reprenne la ferme de ton père…
- (Larmes aux yeux) Qu’est-il arriver à la ferme ? Et qu’avez vous fait de mon père ?
- Une trentaine de mes hommes et moi-même sommes venu l’arrêté à huit heures, ce matin. Évidemment ton père ne s’est pas laissé faire. Nous avons été contraints d’utilisé la force. Mon dos a d’ailleurs bien été endommagé, il me faudra plusieurs mois pour m’en remettre. On peut dire que ton père se débrouille encore bien ! Il a mis presque tous les hommes à terre ! (dit-t-il en souriant, tout étant mal à l’aise)
- Et donc ? Où est mon père ? Es-ce qu’il va être libéré un jour ?
- Thiry est actuellement enfermé dans une de nos cellules, à la base de la Marine de Tanuki. Un navire viendra le chercher au port lundi soir, afin de le transférer dans une prison plus sécurisé. J’ignore dans quel pénitencier il va être emmené. Malheureusement il y sera jusqu’à la fin de sa vie… Je suis désolé Joffury, ça ne doit pas être facile pour toi...
Je baissais alors la tête, me retournais et me dirigea vers les moutons.
- (Parlant sur un ton plus fort) Quittez notre propriété Lümbert, j’ai des moutons à soigner et une ferme à reconstruire moi !
- (En étant calme) Je t’ai mis la somme d’un million de Berries sur ton lit, j’espère que ça te suffira pour reconstruire ta ferme… Bonne chance pour la suite !
Le Lieutenant-Colonel redescendit alors tout doucement de la colline, afin d’avoir le moins mal possible à son dos.
Pendant plusieurs heures, je guérissais les moutons du mieux que je pouvais.
Tout en réparant la ferme, je réfléchissais. Que faire ? Laisser mon père croupir en prison la fin de sa vie ? Tenter de le libérer en mettant ma propre vie en danger ?
Mon cerveau était en ébullition.
~ Le lendemain ~
Me réveillant à six heures du matin, il était compliqué pour moi de bien dormir, mais mon cerveau était déjà plus frais qu’hier, et encore allongé dans mon lit je n’avais qu’une seule idée en tête,
- Sauver mon père ! (en effrayant le mouton qui dormait sur les jambes de Joffury)
Je me relevais alors, prêt à en découdre ! Mais pas de précipitation, il me faillait un plan. Il m’est impossible de foncer au QG en détruisant tout pour libérer mon père, ils m’arrêteraient net ! Il fallait donc que mon plan soit parfait afin de réussir à coup sûr ma mission.
Mon père devrait être transporté lundi soir, ce qui me laisse en comptant aujourd’hui… quatre jours !
Je devais me préparer le plus possible pour libérer mon père et m’enfuir avec lui, il était inconcevable de rester vivre avec lui sur cette île, ce serait du suicide !
Avec l’argent que j’avais prévu pour mon départ en tant que pirate, et ce que Lümbert m’a donné pour réparer la ferme, j’atteignais un total de deux millions de Berries !
Il était temps de tout acheter et de tout préparer !
~ 4 jours plus tard, le jour J ~
Je me levais, plus déterminé que jamais, et vérifiais si tout était bien prêt pour lancer mon plan !
Je sentais l’exaltation mais aussi le stress monter en moi, aujourd’hui c’est tout ou rien !
En m’habillant je me rendais compte que c’était sûrement la dernière fois que je voyais notre ferme… Une grande partie de mes souvenirs sont basé sur ses terres… Mais ce n’était pas le moment de niaiser ! Il fallait commencer mon plan de secours !
Étape 1 : L’infiltration dans la base !
Mon but étant de rentrer dans le QG de la Marine de l’île, il me faut être discret et choisir le moment opportun. J’ai choisi précisément ce jour car c’est à ce moment-là que le navire arrivera au port, il y aura donc un bon nombre de soldats de la Marine qui devra s’absenter du QG pour accueillir comme il se doit le navire. Il y aurait donc potentiellement moins de soldats près de mon père. Le QG étant à côté d’une ville, et près de nos champs il me faut aviser sur ce point-là.
- Vous êtes prêts les moutons ? Alors en avant !
- Bêêêêêêêêh
- Bèèèè
- Bééééééh
Eh oui, mon plan impliquait l’ensemble de nos 360 moutons, ce qui me faisait une armée plutôt redoutable. Nos moutons étant de l’espèce des moutons Angoras, ils sont vastement plus intelligents que la moyenne des moutons ordinaires, étant élevé dans notre ferme depuis leur naissance ils me comprenaient donc bien et ne répondaient qu’à mes ordres ou à ceux de mon père.
Tandis que l’on s’avançait, je disais aux moutons de se resserrer le plus possible, afin d’avoir un amas de laine blanche.
On s’approchait enfin du QG, c’était le moment !
Je me mis à genoux, fouilla dans ma grosse sacoche où toutes mes affaires étaient préparées pour ce moment. J’en sortis de ce sac un pantalon, une veste et un bonnet, les trois totalement faits de laine de moutons, je les avais faits conçus hier. Je les enfilai, et je pouvais déjà sentir la chaleur des vêtements, ils portaient vraiment très chauds, en quelques instants j’étais une fournaise. Mais ce n’était pas la chaleur qui allait m’arrêter !
En me mettant à croupi entre tous mes moutons j’étais alors devenu invisible, un point blanc parmi des dizaines de points blancs, il était alors impossible de me repérer.
C’est alors que nous arrivâmes à l’entrée du QG de la Marine, qui pour moi me semblait vraiment aussi gros qu’une forteresse.
- (Sifflement) fiiiitfiouuuu!!!
C’est alors que mes alliés moutons se rapprochèrent du portail d’entrée du QG.
Cela attira évidemment les soldats de la cour extérieure, qui ne voyaient que des moutons, ce qui attirait évidemment leur curiosité.
- (soldat de la Marine) Vous avez vu tous ces moutons ? Comment ce fait-il qu’ils soient ici ?
- (soldat de la marine) Ils ont dû se perdre, à moins que leur propriétaire se soit trompé de chemin. (En parlant plus fort) Ouvrez le portail ! je vais voir si leur maître n’est pas loin !
Évidemment , je comptais sur la réaction des soldats de la Marine, je savais bien qu’un troupeau de moutons devant chez eux aller leur provoquer de la curiosité.
~ Ouverture du portail ~
- (Sifflement) fiouu !
Dès l’ouverture complète du portail, les moutons réagissèrent au sifflement et tous se hâtèrent tout en bêlant le plus fort possible à l’intérieur de la cour.
- Qu’est ce qui ce passe ? Pourquoi ils viennent par ici ? (Hurlant sur les autres hommes qui ne l’entendaient pas) FERMEZ LE PORTAIL, VITE !
- Bêêêêêêh
- ON N’Y ARRIVE PAS ! IL Y A BEAUCOUP TROP DE MOUTONS QUI BLOQUENT !
- Béééh
Les moutons remplissèrent alors totalement la cour, tandis que les soldats cherchaient désespérément le propriétaire de ces animaux afin qu’il les rappelle. Moi de mon côté, je me rapprochais tout doucement d’une porte laissée entre ouverte, sûrement dû à l’inattention d’un soldat, en même temps qui penserait que ces moutons étaient juste une diversion ?
Je marchais alors doucement dans un couloir, vide, mon but étant de trouver les cachots.
J’étais alors accompagné de deux de mes moutons porteurs, qui servaient à attacher en dessous d’eux les différentes affaires dont j’aurais besoin pour accomplir ma mission.
Je possédais sur moi uniquement ma tenue de mouton ainsi que ma sacoche, ma sarbacane elle, étant attaché sous l’un de mes moutons, je pris cette dernière en main, et dit discrètement aux moutons de filer dans la cour, ce qu’ils exécutèrent directement.
J’atteignis tout doucement un escalier, je descendais alors, de manière à trouver un éventuel cachot.
Suite à cela, je me retrouvais dans une sorte de cave, où j’entendais au loin quatre personnes discuter entre eux.
je sentais ma sueur coulée le long de mon front, j’étais stressé à un point inimaginable ! Je me penchai tout doucement de manière à les apercevoir, , je vis alors quatre gardes jouant au tarot, sur une table en bois, devant la cellule où se trouvait, devinez qui ? Oui, mon père !
Mon père était attaché à ses deux mains ainsi qu’à ses deux pieds, directement accroché, dos contre le mur, il bavait, endormit… Je pense qu’ils lui avaient administré un somnifère puissant afin de le maîtriser.
Étape 2 : Libération de mon père !
J’avais prévu de tomber sur des gardes, mon plan était alors de les immobiliser afin de récupérer les clés de la cellule. Les hommes avaient leurs armes posées au sol, contre le mur, je pouvais les avoir par surprise. Leur escargophone était posé sur la table, il fallait que j’agisse vite pour qu’ils ne contactent pas du renfort.
C’est à ce moment précis que j’allais devoir lutter contre des représentants de l’ordre, jusqu’à présent je n’avais jamais fait une telle action qui pouvait me coûter ma liberté. J’hésitais…
Et je me lançai : Je pris ma sarbacane devant ma bouche et sortis de ma sacoche mes projectiles,
Gros soufflement, et hop, mon premier projectile fut expédié de mon arme pour se rendre immédiatement sur l’escargophone, afin de le rendre inutilisable, eh oui, un caillou ça peut faire mal !
Soudainement les quatre soldats me regardèrent d’un coup, et se levèrent le plus vite possible. Durant ce laps de temps, j’ai pu propulser à l’aide de Bikkuri, quatre de mes petits piments extra-forts, directement dans leurs bouches grandes ouvertes sous le coup de l’étonnement, il fallait qu’ils soient incapable d’appeler au secours, sinon ils allaient prévenir leurs compagnons ! Ces piments que j’avais achetés à prix coûteux étaient de loin les plus forts piments de l’île ! Tandis qu’ils se prirent chacun la gorge entre leurs mains, et que leur visage devenait rouge, je fonçai directement sur eux et sauta sur la table, puis, grand coup de balayement avec ma sarbacane, les frappèrent tous au crâne, ce qui mit les quatre pauvres soldats complètement amorphe, jonché sur le sol.
C’était du rapide, il m’a pas fallu 20 secondes pour m’occuper d’eux ! Mon entraînement avait bien porté ses fruits.
Je descendis alors de la table, puis les fouillas afin de trouver mon dû. Et Eurêka, un d’eux les avaient bien en sa possession. Ce fut un moment vraiment très jouissif, j’avais les clés qui me permettaient de réussir !
Ouvrant la cage le plus rapidement possible, je me précipitai vers mon père et le détachai au plus vite.
- Papa, tu m’entends ? C’est moi, Joffury ! Je suis venu te libérer !
- (le père sous l’effet du somnifère) Gné ? Ar..ju…kné ?
- Ne t’inquiète pas, je vais te sortir de là et on va partir sain et sauf ensemble ! J’ai préparé un bateau pour que l’on puisse s’enfuir !
- Umhh…baaahh..tooo…
Je mis mon père sur mon dos, je l’attachai contre moi avec une corde que j’avais pris au préalable, ce qui me laissai mes mains libres. Puis tout doucement je remontai les escaliers, pour me retrouver dans le couloir. Ce couloir était bien vide, mais je vis par la fenêtre les Marines qui repoussaient les moutons afin de fermer le portail. Je n’avais plus de moyen de me cacher afin de m’enfuir, de plus le portail était la seule entrée possible de cette base. J’étais dans un beau pétrin.
Étape 3 : Sortir de la base !
Mon plan initial était de sortir de la base comme j’étais venu, en me faufilant à travers mes moutons, mais maintenant que les moutons étaient bien éloignés et entouré de soldats de la Marine, mon plan tombait à l’eau. Il fallait improviser. Et j’avais une idée !
Il me semblait qu’à côté des escaliers qui menaient à la cave, Il y avait également des chambres. Je me hâtai alors directement vers ses chambres et nous enfermais dans la première venue. Il y avait peu d’affaires, mais ce que je voulais était bien présent ! J’arrachai des morceaux d’armoires, des lattes de lits, des tiroirs de bureaux, afin de pouvoir prendre le plus de matériel possible. Je pris également plusieurs draps de lit. Je fus chargé comme un bœuf, il me fallais beaucoup d’énergies pour transporter tout ça, mais ça tombe bien, j’étais chargé à bloc !
En ouvrant, tout doucement la porte, un Soldat fût juste en face de moi…
- QUI ÊTES VO…
Coup de boule, bien fort et bien sec ! Je le mis à terre d’une traite ! Je le déplaçais alors vite dans la chambre et puis refermais la porte. Je courrais le long du couloir, afin de tomber sur un escalier menant sur le toit du bâtiment. Le destin avait l’air de mon côté ce jour-là, car je tombais sur un panneau qui m’indiquait le toit. J’eus de la chance de ne croiser aucun soldat, heureusement ils étaient quasiment tous occupé par les moutons ou étaient en train d’accueillir le bateau.
J’arrivais enfin sur le sommet du bâtiment, c’était un toit plat avec des petits murés, je condamnai rapidement la porte du mieux que je pouvais pour empêcher quelqu’un de s’approcher. Je me détachais de mon père, puis enlevais les vêtements en laine qui me tenaient beaucoup trop chauds.
Et c’était à moi encore d’assurer sur ce coup, car à l’aide du bois et des draps que j’ai récupérés dans la chambre, il fallait que je construise un objet démentiel : un deltaplane.
Ayant fait de nombreux bricolages dans la ferme, je savais bien construire, de plus j’avais pas mal de clous dans ma sacoche. Tout en construisant, des souvenirs me revinrent, comme ceux où mon père m’apprenait à construire mon propre cerf-volant. Mais fallait pas que je me repose sur mes lauriers car le temps m’était compté ! Si on me découvre ou l’on découvre un des soldats que j’ai mis à terre, je suis fini !
~ Environ 40 minutes plus tard ~
Je finalisais mon deltaplane, le soleil était brûlant, mais mon père revenait peu à peu à lui-même.
Soudain surgis une alarme très puissante : POOOOOH ! POOOOOH ! POOOOOH !
- ALERTE ÉVASION ! JE RÉPÈTE ! ALERTE ÉVASION ! CECI N’EST PAS UN EXERCICE !
J’ai soudainement ressenti un stress intense, à tel point que je n’arrivais plus à me concentrer !
- Joff..ry… sauv..toâââ…viiiite.
- Je ne pars pas sans toi papa ! J’ai presque fini, ne t’en fait pas !
De plus j’apercevais discrètement du haut du toit une chose qui ne me laissait pas de marbre : la Marine qui était venue récupérer mon père arrivait à l’entrée de la base ! Elle était accompagnée des soldats qui les avaient accueillis, ce qui faisait un nombre considérable d’ennemis supplémentaire !
Soudainement, la porte que j’avais bloquée éclata et vola en morceaux, des débris furent projetés partout sur le toit !
Je me retournais alors, pris ma sarbacane en main.
C’est à ce moment que j’ai compris que si je voulais m’enfuir, il me fallais battre toute chose qui pouvait se mettre en travers de ma route. Mais ce n’était pas si facile, car en face de moi il y avait pas n’importe quoi ni n’importe qui ! En face de moi il y avait le plus fort soldat de Tanuki : le Sergent Colonel Lümbert en personne !
Il était seul, mais pas pour autant faible. Il ne portait plus sa veste, je pouvais voir quel monstre il pouvait être ! J’apercevais ces muscles, ainsi que ces veines. Il s’approcha de moi, tout doucement.
- J’espère que tu es fière de toi maintenant ! Te voilà devenu un hors la loi !
- Je… Je n’avais pas le choix ! Je n’allais tout de même pas laisser mon père crever en prison !
- Peu importe ! Tu as touché à mes hommes, c’était l’erreur de trop ! Tu vas goûter de mon poing !
Lümbert étant connu pour sa parfaite maîtrise de la boxe, son coup de poing était connu à travers toute l’île. Il se mit à courir dans ma direction ! Il me fallais agir aussi vite !
Avec une dizaine de billes que je pris de ma sacoche, je les plaçais directement dans ma sarbacane afin d’en tirer un maximum en direction de ses pieds. À cause à son déplacement rapide et à mes billes idéalement situées, il glissa et tomba dos contre le sol. J’entendais son vieux dos encore fragilisé tombé à terre. Sa blessure au dos était encore récente, il était essentiel d’en jouer.
Je m’approchai directement et lui assaini un coup de sarbacane directement sur la tête ! Son avant-bras gauche me bloqua facilement et Lümbert m’attrapât subitement avec sa main droite.
Il se releva, me portant au col, puis d’un élan, il me fracassa contre le sol !
La puissance du choc était considérable !
J’étais écrasé entre son bras et les gravas du sol, j’étais complètement sonné, il m’était dur d’agir…
- Alors ? C’est déjà fini ? Et ça veut sauver son père ?
- (Thiry, coucher contre le sol) Lééé…ssseee…moooon…gaarssssoooon
- Ah, je vois que tu es enfin réveillé ! J’espère que tu es fière de toi ! Tu as transformé ton fils en criminel !
Revenant à moi, je profitais alors de ce moment d’inattention ! Je pris dans ma sacoche un gros clou qui me restait, et de toutes mes forces, l’enfonça dans la poitrine de Lümbert ! La douleur lui fit lâcher mon torse, ce qui me donna l’occasion de me relever et de m’éloigner !
- (En enlevant le clou) Encore un coup fourbe ! Tu es bien le fils d’un pirate !
Il prit un morceau de roche du toit et, de toutes ses forces, me le lança dessus. Avec ma bonne maîtrise de Bikkuri, j’ai pu réussir à fendre en deux son projectile. Lûmbert fût un bond vers moi, et avec sa main droite, lança un coup de poing surpuissant ! Je l’esquivai de peu ! C’était moins une ! Je sortais directement de mon sac une bouteille pleine, faite en verre et brisa cette dernière à même le bras droit du Lieutenant Commandant. En passant sous ses jambes, je me lançais alors avec difficulté derrière lui.
Il se retournât, et avaient de nombreux morceaux de verre planté dans son avant-bras.
- Oui, je suis le fils d’un pirate ! Et j’en suis fière !
Lûmbert regardait soudain mon père, et s’en approcha en marchant.
- Ne t’approche pas de lui ! C’est notre combat !
À l’aide d’une allumette, je mis feu une petite boule de graisse que j’avais placé dans ma sarbacane. Et d’une respiration forte, envoya directement la petite boule enflammé sur Lümbert. Et prit soudainement feu !
- WHOUAAAAA, JE PREND FEU !!!
La bouteille que j’avais explosé contre son bras était un produit hautement inflammable, de ma conception. Durant plusieurs années j’ai crée différentes petites techniques qui pourraient être utile pour me défendre.
La moitié du corps en feu, Lümbert était encore à même de se battre et me fonça dessus la tête en avant ! Je me pris son coup de boule en plein estomac, si fort que j’ai cru qu’il m’avait transpercé !
Gisant tous les deux au sol, je le voyais se rouler par terre. Suite à cela, il a pu éteindre les flammes sur son corps.
Il se leva, se mit droit au-dessus de moi, tel un géant regardant une fourmi.
Et c’est là que j’ai cru que ma vie était finie : Il m’assainit de toutes ses forces une multitude de coups de poings dans toutes parties de mon corps, ce qui nous fîmes traverser le toit et tomber à l’étage inférieur…
N’arrivant même plus à ouvrir les yeux, j’entendis plusieurs voix.
- Chef ! On vous a retrouvé ! Vous allez bien ?
- …Emmenez ce jeune homme s’il vous plaît… Et qu’un groupe aille chercher notre pirate couché sur le toit !
Mes forces et ma santé étant au plus bas, j’utilisais tout ce qui me restait pour ouvrir les yeux, et soudain...je me suis levé ! Aussi fou que ça paraisse, mon corps s’est relevé, même s’il était achevé. Et, prenant Bikkuri dans mes mains, je tentai un dernier assaut.
Je me projetai soudainement contre les 3 soldats devant moi et grâce à ma technique de combat j’esquivai leurs coups de sabre, et les frappèrent dans l’estomac, puis ils s’écroulèrent directement.
Lümbert était encore là, droit devant moi, les yeux écarquillés.
- Co…Co…Comment fais-tu pour te relever après ça ? Aucune personne n’a su se relever après avoir reçu autant de mes attaques !
Étant incapable de répondre, il était temps d’en finir. Et je savais comment en finir ! Je commençais à tourner la sarbacane dans mes mains, elle tourna de plus en plus vite, à tel point que le vent fût puissant dans la salle. Et là, je me suis rué vers lui, et hurlai !
- ATTAQUE SPECIALE ! COUP DANS LES BOULES !
Tout homme sachant qu’il va se prendre un coup dans les testicules fait un geste inné d’autoprotection qui consiste à mettre ses mains devant ses parties intimes. C’est en ça que consiste la technique, car la personne va se protéger le bas et laisser le haut de son corps complètement à découvert. C’est à ce moment précis que je martèle d’un coup puissant le haut de la tête de mon adversaire !
Le lieutenant Colonel Lümbert se prit ce coup dévastateur en plein sur le sommet de son crâne !
Le craquement de son coup était aussi puissant qu‘un coup de tonnerre !
Il s’écroula alors brutalement à même les gravas.
Chose qui me semblait alors impossible était faite… Lümbert était vaincu…
Mais il ne fallait pas perdre du temps ! En m’aidant de meubles pour remonter sur le toit, j’aperçus mon père debout, il arrivait à peine à tenir sur ses jambes.
J’entendais déjà les soldats de la Marine se précipiter dans les escaliers. Il était temps de partir, même si mon deltaplane n’était pas encore entièrement finalisé. Je mis Bikkuri dans mon dos, puis en prenant le deltaplane pour m’élancer, je dis à mon père de se tenir à moi, je n’avais malheureusement pas le temps de l’attacher.
- Stop ! Vous là sur le toit, arrêtez-vous !
C’est à ce moment précis qu’on a commencé à courir, puis à se rapprocher du bord du bâtiment. Je priais intérieurement pour que le deltaplane improvisé s’envole correctement. Et Soudain, ça y est, nous étions dans les airs !
- Papa ! On vole ! On vole !
Mais à peine eut le temps de savourer notre réussite que le deltaplane descendit de plus en plus vers le bas. Si nous ne faisons rien, nous étions condamnés à foncer droit dans la cour du QG, et même si on survivait à l’impact, nos efforts auraient été vains, car on aurait été enfermé avec plus d’une centaine de soldat de la Marine. On serait bon pour le bagne.
- Nous…sommes…trop lourd…
Mon père avait cerné le souci, effectivement ce deltaplane de fortune était bien trop petit pour supporter nos deux poids. Tandis que nous survolons de quelques mètres seulement tous les soldats qui nous avaient en ligne de mire, mon père fit un choix.
- … Devient… un pirate fort… et reviens me… chercher...
C’est alors que mon père ouvrit ses bras et chuta du deltaplane… Ne pouvant le retenir.
Sa chute fût rapide, nous n’étions plus très haut.
Je le voyais s’effondrait dans la cour, entre les soldats. Ces derniers s’empressaient de l’attraper.
- (En pleurs) PAPAAAAAAA !!!
Soudainement le deltaplane rehaussa son nez et je commençais à reprendre de l’altitude, à tel point que je passais in extremis au-dessus du portail de l’entrée.
Je continuais de prendre de la hauteur, et fus très éloigné de la base.
J’étais une nouvelle fois perdu dans mes pensées! J’espérais juste que mon père avait survécu à sa chute…
En quelque instants, sur mon deltaplane, je fus une promesse !
Celle de devenir un grand pirate ! Et un jour, avec l’aide d’un équipage, j’irais sauver mon père, peu importe dans quelle prison il serait transféré !
Étape 4 : S’enfuir avec mon père à bord du Sheep-Sheep !
C’est ainsi que je me dirigeais vers le Sheep-Sheep. Ce dernier était un petit navire d’occasion que je venais d’acheter pour la modique somme de trente millions de Berries. Pour pouvoir l’acheter j’avais vendu trois jours auparavant toute notre terre, notre ferme, ainsi que tous nos moutons… Je devais laisser la propriété dans la semaine, voilà chose faite. On a peut-être plus de terrains, mais désormais je possède un beau petit navire, on peut même y loger à quatre ou cinq en s’y serrant un peu !
Arrivant tout doucement à ma destination, je tentais un atterrissage, qui se traduisit par un échec. Je m’écrasai dans la boue, et brisa mon deltaplane en mille morceaux. Étant allongé par terre, je cherchais la force pour me lever, je n’y arrivais guerre mais j’avais la force de marcher à quatre pattes jusqu’à un arbre, j’ai pu m’en servir pour me lever, il faisait un bon appui.
J’arrivais donc ensanglanté, boueux, couverts de bosses à mon tout nouveau navire.
J’avais mis ce bateau à un endroit stratégique, il fallait juste que j’enlève l’encre et que j’ouvre les voiles et le courant de cet endroit me mènera vite loin de Tanuki.
Ce n’était pas chose aisée de faire cela, mon état était vraiment désastreux. À peine ayant ouvert les voiles et remonté l’encre que je m’écroulai sur le pont du Sheep-Sheep…
Un bon repos me fera le plus grand bien, et je n’avais plus que ça à faire de toute façon ! Le bateau était en route ! En route vers où ? Je ne le savais pas, mais j’y allais !
Compte rendu de ce RP :
Berries :
- Vente du terrain et du contenu : 40 000 000 Berries
- Achat du Sheep-Sheep : 30 000 000 Berries
- Achat de diverses affaires : 3 300 000 Berries
- Argent donné par Lümbert : 1 000 000 Berries
- Argent de côté : 1 000 000 Berries
- Argent total à la fin du RP : 8 700 000 Berries.
Affaires que Joffury possède à la fin du RP:
- Sheep-Sheep : Navire d’occasion de petite taille
- Bikkuri : Sarbacane en métal
- Réserve de nourriture, de quoi se nourrir 3 semaines.
- Grosse sacoche contenant différentes choses : - une dizaine de billes
- encore quelques petits piments extra-forts,
- une boîte d’allumettes quasi pleine,
- une corde assez solide de 3 mètres de long,
- un assortiment d’un pantalon, veste et bonnet en laine de mouton angora,
- quelques petits cailloux,
- bandages et trousse de soin,
- 6 grands clous de 10 cm de long.
Informations IRL
• Prénom : Joffrey
• Age : 23 ans
• Aime : Utiliser mon imagination, le jus d'orange, et les vacances !
• N'aime pas : Les personnes égoïstes, être seul.
• Personnage préféré de One Piece : Grosse hésitation entre Bon Clay et Usopp.
• Caractère : Je suis une personne souvent optimiste, et je suis un gros fan de jeux de sociétés !
• Fait du RP depuis : C'est la première fois, mais ça à l'air trop cool.
• Disponibilité approximative : 2 fois par semaine, et parfois plus.
• Comment avez-vous connu le forum ? J'aime one piece, je me suis dit "Tiens, un jeu de rôle One Piece ça pourrait être grave stylé", du coup je suis tombé sur ce site !
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Joffury le Ven 10 Avr 2020 - 12:33, édité 4 fois