Une fortune s'élevant à 32 156 886,61 Berrys. Là était ce que possédait Satoshi Noriyaki, de passage pour sans doute quelques jours à Hinu Town. La nuit venait de remplacer le jour. Les sons nocturnes habituels – tels entendre une vieille mémé gazer à des kilomètres à la ronde… Non, non ! Je blague ! – envahissaient Hinu Town. Chacun dormait, flânait dans des tavernes louches, ou encore dormait, tout simplement. Pas lui, bien évidemment. Le beau gosse buvait. Encore. La routine.
Et il ressassait des souvenirs, aussi. Les nouvelles qu’il avait appris aujourd’hui même. Un double malheur dans le camp des anti-pirates. Tout d’abord, le pillage de deux monuments très célèbre : Le conyssé et l'Omynpe. Les auteurs de cela ? Eh bien nul autre que l'équipage de Pingu et celui de Catowaman. Les gardes qui patrouillant autour des deux bâtiments s'étaient fait magnifiquement piner. Pingu était un as du déguisement, il s'était fait passé pour le concierge, il avait du rester un bon moment là dedans à s'emmerder.
On dit que la pirate Catawaman avait été vue dans la ville quelques jours plus tôt, ils auraient du doubler la sécurité avec ça dans les environs... Non, il était clair que quelqu'un a trafiqué quelque chose, la marine avait merdé, il y avait un ripoux, et celui ci avait du lui aussi, se faire piner. Élémentaire, mon cher Mercer. Huhu.
Revenons en à ce cher Satoshi, Il se leva de sa chaise, laissant là son verre rempli d'un fond de rhum. Il n’avait plus envie de tout ça. Se déplaçant avec une lenteur qui trahissait son ennui, Noriyaki marcha vers la grande porte donnant sur la rue pavée puis l’ouvrit. Le paysage était obscur ( Normal c'est la nuit ) Il arrivait à percevoir le doux bruit des ... Des ... Non en fait il n'était pas doux ce bruit, c'était des ... Euh, cris de femmes ? Voila ce dont il avait besoin pour retrouver une certaine envie, alors là il ne trainait plus de la patte, tout de suite quand c'est pour sauver une damoiselle en danger ça se bouge !
Tous ces sons l’assaillaient. Il essayait de percevoir d'où ils venaient, mais difficile était cela. Droite, gauche, tout dru, nan pas par là. Il ne savait pas où aller, pourtant il savait qu'elle se trouvait tout près. Il s'alluma une cigarette pour faire passer le stress, il ne savait plus où all... Ah mais... Il aperçu l'ombre d'une femme, puis celle d'un homme, à travers la fenêtre d'une maison illuminée par les bougies. La main du mâle vint s'abattre sur le visage de la belle damoiselle en détresse, et dans un élan de colère, il envoya un coup de sabot dans la porte pour laisser apparaître un trou béant, et enfin tourner la clé présente à l'intérieur de la maison. Il mis toute son âme dans l'ascension des escaliers, trois par trois qu'il les montait pour enfin arriver en face de cet homme.
« Stoppe tout de suite ton action de violence envers ce doux visage pur et innocent infâme ! »
Il ne pris garde aux paroles sérieuses et belles de Satoshi, celui ci ne pu se retenir après ça.
« Tu as pourri ma réplique... »
Il s'avançait vers lui, regardant le mauvais garçon frapper toujours plus fort sa femme qui elle pleurait de plus en plus, jusqu'à vider son corps de larmes. Au dernier coup, il attrapa son poignet avec une férocité rarement vue chez lui, une férocité telle qu'il ne s'arrêta pas à ça.
« Nami... »
Il tordit le poignet du mécréant, il le tordit de toutes ses forces. On entendit le bruit des os se fracturer, les cris de douleurs de cet imbécile devaient se faire entendre dans toute l'île, désolation, apocalypse, ses yeux semblaient verser des larmes tel ceux d'une femmelette, il semblait voir l'enfer se rapprocher de lui, on croirait que sa mâchoire allait exploser au vu de la façon dont il ouvrait la bouche, on entendait à peine le mot qu'il voulait dire "Pitié". Satoshi quand à lui semblait être dans une profonde colère, une colère telle qu'il ne voulait pas s'arrêter, mais la main de la douce qu'il voulait protéger vint se poser sur son épaule, et la petite voie innocente et apeurée se fit à peine entendre.
« Arrêtez .... »
Il lâcha le poignet de l'homme, approcha ses lèvres de l'oreille de la femme, puis lui murmura d'appeler la marine tout en donnant son nom. Il jeta un sombre regard à celui-dont-il-ne-connait-pas-le-nom et s'en alla, pour retourner au bar dans lequel il était il y a peu, tout en s'allumant une nouvelle cigarette.
Et il ressassait des souvenirs, aussi. Les nouvelles qu’il avait appris aujourd’hui même. Un double malheur dans le camp des anti-pirates. Tout d’abord, le pillage de deux monuments très célèbre : Le conyssé et l'Omynpe. Les auteurs de cela ? Eh bien nul autre que l'équipage de Pingu et celui de Catowaman. Les gardes qui patrouillant autour des deux bâtiments s'étaient fait magnifiquement piner. Pingu était un as du déguisement, il s'était fait passé pour le concierge, il avait du rester un bon moment là dedans à s'emmerder.
On dit que la pirate Catawaman avait été vue dans la ville quelques jours plus tôt, ils auraient du doubler la sécurité avec ça dans les environs... Non, il était clair que quelqu'un a trafiqué quelque chose, la marine avait merdé, il y avait un ripoux, et celui ci avait du lui aussi, se faire piner. Élémentaire, mon cher Mercer. Huhu.
Revenons en à ce cher Satoshi, Il se leva de sa chaise, laissant là son verre rempli d'un fond de rhum. Il n’avait plus envie de tout ça. Se déplaçant avec une lenteur qui trahissait son ennui, Noriyaki marcha vers la grande porte donnant sur la rue pavée puis l’ouvrit. Le paysage était obscur ( Normal c'est la nuit ) Il arrivait à percevoir le doux bruit des ... Des ... Non en fait il n'était pas doux ce bruit, c'était des ... Euh, cris de femmes ? Voila ce dont il avait besoin pour retrouver une certaine envie, alors là il ne trainait plus de la patte, tout de suite quand c'est pour sauver une damoiselle en danger ça se bouge !
Tous ces sons l’assaillaient. Il essayait de percevoir d'où ils venaient, mais difficile était cela. Droite, gauche, tout dru, nan pas par là. Il ne savait pas où aller, pourtant il savait qu'elle se trouvait tout près. Il s'alluma une cigarette pour faire passer le stress, il ne savait plus où all... Ah mais... Il aperçu l'ombre d'une femme, puis celle d'un homme, à travers la fenêtre d'une maison illuminée par les bougies. La main du mâle vint s'abattre sur le visage de la belle damoiselle en détresse, et dans un élan de colère, il envoya un coup de sabot dans la porte pour laisser apparaître un trou béant, et enfin tourner la clé présente à l'intérieur de la maison. Il mis toute son âme dans l'ascension des escaliers, trois par trois qu'il les montait pour enfin arriver en face de cet homme.
« Stoppe tout de suite ton action de violence envers ce doux visage pur et innocent infâme ! »
Il ne pris garde aux paroles sérieuses et belles de Satoshi, celui ci ne pu se retenir après ça.
« Tu as pourri ma réplique... »
Il s'avançait vers lui, regardant le mauvais garçon frapper toujours plus fort sa femme qui elle pleurait de plus en plus, jusqu'à vider son corps de larmes. Au dernier coup, il attrapa son poignet avec une férocité rarement vue chez lui, une férocité telle qu'il ne s'arrêta pas à ça.
« Nami... »
Il tordit le poignet du mécréant, il le tordit de toutes ses forces. On entendit le bruit des os se fracturer, les cris de douleurs de cet imbécile devaient se faire entendre dans toute l'île, désolation, apocalypse, ses yeux semblaient verser des larmes tel ceux d'une femmelette, il semblait voir l'enfer se rapprocher de lui, on croirait que sa mâchoire allait exploser au vu de la façon dont il ouvrait la bouche, on entendait à peine le mot qu'il voulait dire "Pitié". Satoshi quand à lui semblait être dans une profonde colère, une colère telle qu'il ne voulait pas s'arrêter, mais la main de la douce qu'il voulait protéger vint se poser sur son épaule, et la petite voie innocente et apeurée se fit à peine entendre.
« Arrêtez .... »
Il lâcha le poignet de l'homme, approcha ses lèvres de l'oreille de la femme, puis lui murmura d'appeler la marine tout en donnant son nom. Il jeta un sombre regard à celui-dont-il-ne-connait-pas-le-nom et s'en alla, pour retourner au bar dans lequel il était il y a peu, tout en s'allumant une nouvelle cigarette.
Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Lun 14 Nov 2011 - 23:04, édité 1 fois