Modèle et Précisions
HELENA DE RUYTER
• Pseudonyme : Aucun. Pour le moment.
• Age : 21
• Sexe : Femme
• Race : Humain
• Métier : Soldat, rang le plus bas possible
• Groupe : Marine Régulière
• Age : 21
• Sexe : Femme
• Race : Humain
• Métier : Soldat, rang le plus bas possible
• Groupe : Marine Régulière
• But : Retrouver le père de son fils et lui faire cracher ses dents et ses mois de pension alimentaire à la bourre.
• Équipement : Un uniforme de bidasse basique de la Marine, ainsi que le fusil, le sabre et tous les petits équipements (matériel d’entretien des armes, boussole standard, manuel des procédures militaires, etc.) qui vont avec.
• Parrain : /
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Nope
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement : (Il y en a deux, un par charte. Mettez-les entre les balises sans les astérisques.)
• Équipement : Un uniforme de bidasse basique de la Marine, ainsi que le fusil, le sabre et tous les petits équipements (matériel d’entretien des armes, boussole standard, manuel des procédures militaires, etc.) qui vont avec.
• Parrain : /
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Nope
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement : (Il y en a deux, un par charte. Mettez-les entre les balises sans les astérisques.)
Description Physique
Le stéréotype marchant d’une couverture de magazine de mode ou de celui qu’on lit « pour les articles », Helena est le genre de personne qui remplit presque toutes les cases de la fiche de poste du rôle de l’idiote à gros seins de service. Culminant à un mètre cinquante-neuf sans talons hauts, la demoiselle n’est pas franchement mastoc, à deux grosses exceptions près; pas vraiment un physique qui en impose ou qui force le respect. Et le visage n’aide en rien; pas de traits durs ou d’yeux perçants, mais un sourire quasi-permanent, une longue et soyeuse chevelure blonde, des traits fins et de grands yeux bleus qui ne font que renforcer l’idée qu’elle a été embauchée pour faire joli sur un poster de recrutement plus qu’autre chose.
On dit « jamais deux sans trois », et si au niveau physique pur, Helena est tout sauf imposante, au niveau vocal, ce n’est pas mieux. Sa voix est plus douce et rieuse qu’autoritaire, même en criant, et son vocabulaire est un peu trop respectueux pour imposer l’autorité. Heureusement qu’on regarde plus les performances au travail que la personne en elle-même, car pour le moment, Helena risque plus d’être promue amiral des pots de fleurs ou commandant des stocks de crayons qu’autre chose. L’avantage, c’est que les officiers ne hurlent pas aussi fort quand une ânerie est faite...
Niveau gestuel… Les petits gestes et tics physiques sont présents au rendez-vous aussi, pour beaucoup destinés à essayer de se faire plus imposante qu’elle ne l’est vraiment. Les deux plus notables étant croiser les bras dés qu’elle à les mains libres, aussi bien pour tenter de se donner un peu plus de prestance que pour se protéger d’un regard lubrique; et le plus grave des deux: son incapacité totale à mentir sans se tripoter la tête d’une façon ou d’une autre, généralement en ajustant son couvre-chef du moment ou en repoussant une mèche rebelle.
Niveau vestimentaire, Helena tape du pied en attendant son heure. Les uniformes réguliers de la Marine font leur boulot en tant que vêtements simples, pour le travail ainsi que la vie de tous les jours, mais avouons-le, c’est basique et moche peu importe à quel point on le remplit bien. Aussi, elle porte le sien en attendant avec impatience le jour où elle atteindra le grade (et le salaire) qui permet une liberté vestimentaire totale pour se faire faire son propre uniforme sur mesure. Elle l’a dessiné elle-même, c’est vous dire !
On dit « jamais deux sans trois », et si au niveau physique pur, Helena est tout sauf imposante, au niveau vocal, ce n’est pas mieux. Sa voix est plus douce et rieuse qu’autoritaire, même en criant, et son vocabulaire est un peu trop respectueux pour imposer l’autorité. Heureusement qu’on regarde plus les performances au travail que la personne en elle-même, car pour le moment, Helena risque plus d’être promue amiral des pots de fleurs ou commandant des stocks de crayons qu’autre chose. L’avantage, c’est que les officiers ne hurlent pas aussi fort quand une ânerie est faite...
Niveau gestuel… Les petits gestes et tics physiques sont présents au rendez-vous aussi, pour beaucoup destinés à essayer de se faire plus imposante qu’elle ne l’est vraiment. Les deux plus notables étant croiser les bras dés qu’elle à les mains libres, aussi bien pour tenter de se donner un peu plus de prestance que pour se protéger d’un regard lubrique; et le plus grave des deux: son incapacité totale à mentir sans se tripoter la tête d’une façon ou d’une autre, généralement en ajustant son couvre-chef du moment ou en repoussant une mèche rebelle.
Niveau vestimentaire, Helena tape du pied en attendant son heure. Les uniformes réguliers de la Marine font leur boulot en tant que vêtements simples, pour le travail ainsi que la vie de tous les jours, mais avouons-le, c’est basique et moche peu importe à quel point on le remplit bien. Aussi, elle porte le sien en attendant avec impatience le jour où elle atteindra le grade (et le salaire) qui permet une liberté vestimentaire totale pour se faire faire son propre uniforme sur mesure. Elle l’a dessiné elle-même, c’est vous dire !
Description Psychologique
Comme l’arbre et la forêt du fameux proverbe, la dégaine d’idiote aux gros seins d’Helena cache une tête bien faite. Ses parents ont dépensé sans compter pour lui assurer une bonne éducation aussi bien sur les bancs de l’école qu’en société, et elle en a profité. De Ruyter est le genre de personne qui va s’intéresser un minimum au moindre sujet. Que ce soit la stratégie, la musique, la météo ou la production de fromage de brebis affiné dans le fumier, la moindre chose à laquelle elle ne comprend rien ou n’a qu’une connaissance très superficielle du sujet sera l’occasion d’en savoir plus. D’une part parce qu’on ne sait jamais quand est-ce qu’une information à tout point de vue inutile peut s’avérer importante, d’autre part parce que c’est fun d’apprendre des choses. Mettez ça sur le dos d’être native de Jalabert. Ajoutons à cette soif de connaissance un grand talent en dessin et en musique.
Cependant, personne n’est parfait et elle n’y fait pas exception; sa voix de chanteuse, toute douce qu’elle est, est considérable comme instrument de torture et ses tics verbaux sont nombreux : répéter plusieurs fois le même mot quand elle est stressée ou faire traîner en longueur un seul mot, généralement vulgaire, une fois énervée; sortir un discours sans aucune cohérence (aussi appelé plus crûment « diarrhée verbale ») si effrayée ou frustrée; ou plus couramment, manifester son mécontentement à grands coups de sarcasme si confrontée à un individu qui n’est pas au même niveau intellectuel qu’elle ou carrément idiot. Pas forcément à haute voix, vu que les « idiots » capables de vous mettre en orbite d’une pichenette, ou de vous faire faire 1500 pompes pour insubordination, sont légion dans ce monde.
Un autre gros point sensible est Carlo, son petit garçon de 4 ans. Même avec l’aide non-négligeable de ses parents, De Ruyter prend son rôle de mère très au sérieux et se démène pour éduquer son fils par elle-même autant que faire se peut, ayant accepté des aménagements qui nuisent à son avancée juste pour pouvoir passer plus de temps avec lui, aussi bien pour faire taire les mauvaises langues que par désir de faire de son mieux. La question du « est-ce que cet instinct maternel va aussi se répercuter sur ses éventuelles troupes » reste en suspens pour le moment vu qu’elle ne commande personne excepté elle-même, et son drôle quand c’est l’heure d’aller se coucher ou de manger ses légumes.
Des questions comme « Pourquoi ne pas juste l’oublier et se concentrer sur élever ton fils? » et « Pourquoi travailler pour une organisation où tu vas vite te faire des ennemis mortels et éventuellement crapahuter sur Grand Line voire plus loin si tu grimpes les échelons? » ont été posées, mais aussitôt esquivées. En son for intérieur, Helena sait bien que cumuler vie de famille paisible et carrière dans la Marine est quasiment impossible, mais par fierté mal placée et désir de vengeance envers son ex, mettre le sujet sur la table la met aussitôt sur la défensive. Et évoquer, même à la blague, qu’un jour il pourrait vouloir faire comme papa, vous vaudra un ou deux pains dans la gueule.
Les parents d’Helena lui ont toujours répété que les pirates, comme tous les criminels, sont des gens qui ne servaient à rien dans la société et ont décidé de gagner leur vie en devenant des bandits des mers. Cette vision du monde n’a pas changé, à l’évidente exception du père de son fils qui a décidé d’en devenir un. Pirates, voleurs, révolutionnaires, tous la même engeance : des types qui ont décidé d’utiliser leurs biceps et de mettre le contrat social au placard au lieu de se lever et d’aller pointer au boulot. Le traitement est le même dans tous les cas : une bonne rouste et en prison, ou au cimetière si jamais ils ne veulent pas se rendre (bien que l’opportunité ne s’est pas encore présenté).
Excepté pour un seul cas. Ceux qui se vantent de ou font du mal aux enfants, même si ce n’est pas le sien. Auquel cas, tous les traits de caractère mentionnés ci-dessus volent en éclats et laissent place à une colère froide mais intense avec comme seul objectif faire en sorte que le fauteur de troubles soit tellement démoli qu’on puisse l’enterrer dans une boîte à sardines.
Cependant, personne n’est parfait et elle n’y fait pas exception; sa voix de chanteuse, toute douce qu’elle est, est considérable comme instrument de torture et ses tics verbaux sont nombreux : répéter plusieurs fois le même mot quand elle est stressée ou faire traîner en longueur un seul mot, généralement vulgaire, une fois énervée; sortir un discours sans aucune cohérence (aussi appelé plus crûment « diarrhée verbale ») si effrayée ou frustrée; ou plus couramment, manifester son mécontentement à grands coups de sarcasme si confrontée à un individu qui n’est pas au même niveau intellectuel qu’elle ou carrément idiot. Pas forcément à haute voix, vu que les « idiots » capables de vous mettre en orbite d’une pichenette, ou de vous faire faire 1500 pompes pour insubordination, sont légion dans ce monde.
Un autre gros point sensible est Carlo, son petit garçon de 4 ans. Même avec l’aide non-négligeable de ses parents, De Ruyter prend son rôle de mère très au sérieux et se démène pour éduquer son fils par elle-même autant que faire se peut, ayant accepté des aménagements qui nuisent à son avancée juste pour pouvoir passer plus de temps avec lui, aussi bien pour faire taire les mauvaises langues que par désir de faire de son mieux. La question du « est-ce que cet instinct maternel va aussi se répercuter sur ses éventuelles troupes » reste en suspens pour le moment vu qu’elle ne commande personne excepté elle-même, et son drôle quand c’est l’heure d’aller se coucher ou de manger ses légumes.
Des questions comme « Pourquoi ne pas juste l’oublier et se concentrer sur élever ton fils? » et « Pourquoi travailler pour une organisation où tu vas vite te faire des ennemis mortels et éventuellement crapahuter sur Grand Line voire plus loin si tu grimpes les échelons? » ont été posées, mais aussitôt esquivées. En son for intérieur, Helena sait bien que cumuler vie de famille paisible et carrière dans la Marine est quasiment impossible, mais par fierté mal placée et désir de vengeance envers son ex, mettre le sujet sur la table la met aussitôt sur la défensive. Et évoquer, même à la blague, qu’un jour il pourrait vouloir faire comme papa, vous vaudra un ou deux pains dans la gueule.
Les parents d’Helena lui ont toujours répété que les pirates, comme tous les criminels, sont des gens qui ne servaient à rien dans la société et ont décidé de gagner leur vie en devenant des bandits des mers. Cette vision du monde n’a pas changé, à l’évidente exception du père de son fils qui a décidé d’en devenir un. Pirates, voleurs, révolutionnaires, tous la même engeance : des types qui ont décidé d’utiliser leurs biceps et de mettre le contrat social au placard au lieu de se lever et d’aller pointer au boulot. Le traitement est le même dans tous les cas : une bonne rouste et en prison, ou au cimetière si jamais ils ne veulent pas se rendre (bien que l’opportunité ne s’est pas encore présenté).
Excepté pour un seul cas. Ceux qui se vantent de ou font du mal aux enfants, même si ce n’est pas le sien. Auquel cas, tous les traits de caractère mentionnés ci-dessus volent en éclats et laissent place à une colère froide mais intense avec comme seul objectif faire en sorte que le fauteur de troubles soit tellement démoli qu’on puisse l’enterrer dans une boîte à sardines.
Biographie
Née à Jalabert, le coin intello par excellence de North Blue, Helena est la fille unique de deux des intellectuels tant communs dans cette ville. Ses parents avaient cependant la chance de cumuler intelligence, domaines utiles et éloquence, aussi leurs connaissances en agriculture en zone polaire leur apportaient pas mal d’étudiants ainsi que de lecteurs et, par extension, de frais pour assister à leurs cours et de royalties pour leurs publications. Sans vivre aussi bien qu’une famille de Bourgeoys, les De Ruyter étaient un cran au-dessus du niveau de vie moyen de Boréa. La vie se passait paisiblement entre deux leçons et deux chutes de neige, avec comme seul point noir le fait qu’Helena se destinait plus à une carrière dans la mode qu’à la vie académique et préférait dessiner des robes au lieu de théoriser sur les jachères… Et tout partit en sucette quand Jackey arriva.
Jackey était, comme beaucoup d’habitants de Jalabert, issu d’une famille académique, mais d’un domaine nettement moins intéressant. Mais Helena s’en fichait pas mal vu qu’il avait des muscles, du poil au menton et un tatouage cool en forme de serpent de mer dans le dos. Imaginez sa joie quand le beau s’avéra penser pareil à son sujet. Les regards en coin en classe devinrent des conversations gênées, puis des prises de mains sous les tables, puis des balades dans le dos des parents pour boire et fumer (sale habitude qu’elle à gardé !), puis en... Vous devinez la dernière étape. Et ses conséquences.
Jackey réagit étonnamment bien en apprenant la nouvelle, au grand bonheur d’Helena. Les deux avaient déjà des projets plein la tête : aller à la Chute Boréale prononcer leurs vœux, reprendre les études quand le petit serait en âge d’aller à l’école et-ah bah en fait non Jackey s’est barré sans laisser d’adresse 3 jours plus tard. En laissant juste un mot disant qu’il allait tenter sa chance dans la piraterie et qu’il reviendrait quand il aurait trouvé assez de butin pour qu’ils puissent vivre tous les trois comme des rois. Absolument rien à voir avec le fait qu’il a mis sa copine en cloques à 17 ans et n’assumait pas, juré sur la tête de sa mère.
Les parents furent bien sûr fous furieux en apprenant la nouvelle; il y eut des cris, des pleurs et même une paire de claques. Mais la tension retombée, la décision à prendre était claire : peu importe la réputation qui en prendrait un coup, le qu’en-dira-t-on et toutes ces choses, le futur gamin n’avait pas choisi d’être là, aussi il faudrait faire avec. L’enfant serait gardé, mais les études et les projets d’aller tenter sa chance à Bourgeoys comme apprentie chez un grand tailleur étaient foutus.
Décision qui fut vite regrettée 9 mois plus tard. Ou, pour résumer en utilisant les mots de notre protagoniste : « AAAAAAAAAAAAAAAH ». Des heures plus tard, Carlo rejoignait la famille. Un beau petit garçon de 4,1 kilos pour 53 centimètres. Avantage, après ça, la moindre douleur c’est du pipi de chat en comparaison.
Même si lui n’était qu’une victime collatérale, voir ce petit machin plongea Helena dans la déprime totale; projets d’avenir, études, couple, tout était désormais foutu tandis que l’autre responsable faisait les 400 coups à sa guise sur les mers. Et peu à peu, la dépression laissa finalement place à la colère. Et l’envie de se venger de Jackey pour sa lâcheté. Un des rares métiers qui cumulait possibilité de voyager partout dans le monde, être taillé sur mesure pour les idiots sans futur et où avoir la rage contre les pirates, même si c’était un seul en particulier, était vu comme une qualité, c’était la Marine. Et coup de chance, il y a une grosse garnison sur Boréa...
Sans formation au-delà de l’école classique, ni aptitude physiques spéciales, ni recommandations, la Marine n’accepta Helena qu’au rang le plus bas possible, mais peu importe. Peu importe que ça mette des mois voire des années de pouvoir partir à sa recherche. Chaque jour qui passe est une nouvelle occasion d’imaginer comment Jackey va se faire refaire le portrait sans anesthésie quand elle lui mettra le grappin dessus… Et combien de milliers de berrys en plus s’ajoutent à son ardoise, car même s’il n’a jamais reconnu son fils à l’état civil, il va cracher au bassinet.
Mais pas lundi, y a réunion de parents d’élèves.
Informations IRL
• Prénom : Secret !
• Age : Vieux.
• Aime : Faire du shitpost sous forme de RP (dans la limite du raisonnable) pour décompresser après le boulot, parmi d’autres choses.
• N'aime pas : Beaucoup beaucoup de choses.
• Personnage préféré de One Piece : Brook.
• Caractère : J’ai tendance à être beaucoup plus déconneur dans mes posts qu’en à côté, ainsi qu’à ne pas être trop actif sur les CB/chat/Discord et compagnie.
• Fait du RP depuis : Forum depuis 15 ans (aussi bien pur forum RP que JDR papier adapté sur forum). Notamment à mes débuts sur un forum One Piece.
• Disponibilité approximative : 1 ou 2 fois par semaine selon mes obligations. Tout absence plus longue sera évidemment annoncée à l’avance.
• Comment avez-vous connu le forum ? Tour de Jeu, et il me semblait le meilleur du lot parmi les forums One Piece.
• Fait du RP depuis : Forum depuis 15 ans (aussi bien pur forum RP que JDR papier adapté sur forum). Notamment à mes débuts sur un forum One Piece.
• Comment avez-vous connu le forum ? Tour de Jeu, et il me semblait le meilleur du lot parmi les forums One Piece.
Fin de démonstration...
Coucou Helena Secret et bienvenue ! On s'est peut-être croisés sur d'autres fofos vu ton vécu. Mais plutôt que refaire le monde, passons sur ta préz.
C'est une très bonne présentation. Les rares fautes ne sont pas des lacunes, mais une faille de relecture et sans envoyer de l'effet pyrotechnique dans le style, tout est bien maîtrisé, bien structuré et on comprend en te lisant que tu es capable de subtilités. C'est très agréable à lire.
Le concept du personnage est cool aussi. Un peu féministe, un peu ancré dans le réalisme, Helena offre plein de repères au lecteur et on a envie de savoir comment elle mène son combat, ainsi que comment les choses évolueront car, bonne idée au passage, créer un perso novice du combat et de l'aventure te donne énormément d'inconnues à considérer pour la suite. Nul doute que tu les exploiteras bien.
Un conseil que tu as déjà probablement assimilé, mais au cas où c'est cadeau : dose les allusions au physique de ton personnage et joue-en. Dans la description physique, tu rappelles pas mal qu'elle est bien gaulée, ce qui n'est pas utile. Le lecteur a tendance à se remémorer ce genre de détail, curieusement. Donc en rp pose le trait et profite du cadre manga pour jouer cette carte en avantages comme en défauts, quitte à parfois virer dans le caricatural si ce genre t'amuse. Oda ne s'en prive pas. Mais surtout, être belle et pouvoir sembler nunuche, ça ouvre des portes, mais ça fausse aussi les rapports sociaux, ce qui crée un handicap à ton personnage, qui peut en manquer sur le plan physique ou psychologique. Handicap social, en gros.
C'est une thématique peu souvent abordée car soit les persos féminins type "bimbo" sont des opportunistes à la Hancock, soit elles se défendent d'être vues comme des morceaux de viande, tout en étant dessinées avec une hypersexualisation la plupart du temps pour le fanservice. Chez toi, on gère une bimbo qui a des objectifs autres que tirer profit de sa silhouette, c'est chouette, ça la rend vivante. D'où le doser et jouer de ce trait. On ne peut pas en faire abstraction, mais tout ne doit pas tourner autour de ça. Mais je pense que tu le sais, y a pas tellement cet effet que j'appelle "écrire son personnage avec une seule main" chez toi. Bref, je suis enthousiaste.
Puisque tu fais bien comprendre que tu t'épanouis surtout en rp, je ne te retiens pas plus longtemps. 800 dorikis pour toi, amuse toi bien et que le post soit avec toi.