Nedine, Jora
• Pseudonyme : Nessi
• Age : 23 ans
• Sexe : Homme
• Race : Homme-Poisson de type requin-renard
• Métier : Éclaireur
• Groupe : Pirate, mais ayant une affinité avec les idéaux des révolutionnaires
• Age : 23 ans
• Sexe : Homme
• Race : Homme-Poisson de type requin-renard
• Métier : Éclaireur
• Groupe : Pirate, mais ayant une affinité avec les idéaux des révolutionnaires
• But : Retourner à l’île des hommes-poissons et retrouver les siens. Retourner à Marie-joie, sauver tous les esclaves, éradiquer les dragons célestes. Stopper l’esclavage.
• Équipement : Présentement Jora ne possède rien, mais j'aimerais dans un futur proche (ou pas trop loin) une longue vue et une épée en forme de tête d’espadon; n’ayant trouvé de photo pouvant représenté l’épée voici une petite description: comme dit plus haut l’épée est en tout point semblable à une tête d’espadon, la lame est donc le nez de ce poisson, la poignée de l’épée se trouve dans la tête et celle-ci sert donc de protection pour la main porteuse.
• Parrain : Personne, ou tout le monde je suis allez voir les votes des tops forums et vous étiez no.1 donc c'est grâce à tous ceux qui ont voté.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Codes du règlement :
• Équipement : Présentement Jora ne possède rien, mais j'aimerais dans un futur proche (ou pas trop loin) une longue vue et une épée en forme de tête d’espadon; n’ayant trouvé de photo pouvant représenté l’épée voici une petite description: comme dit plus haut l’épée est en tout point semblable à une tête d’espadon, la lame est donc le nez de ce poisson, la poignée de l’épée se trouve dans la tête et celle-ci sert donc de protection pour la main porteuse.
• Parrain : Personne, ou tout le monde je suis allez voir les votes des tops forums et vous étiez no.1 donc c'est grâce à tous ceux qui ont voté.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Codes du règlement :
Description Physique
Un homme d’une grande carrure dû à l’anatomie des hommes-poissons, Jora mesure à peu près deux mètres et possède une musculature plutôt développé ainsi que bien sculpté. En guise de nez et d'arcade sourcilière, il possède une ossature particulière qui ressemble un peu à la tête d’un requin-marteau, elle est en fait le début d’une longue “queue” de poisson qui est ce qui lui sert de “chevelure”. Au milieu de son ossature se trouve une lignée de point plus pâle que le reste de sa “crinière”. De part et d’autre de son “nez”se retrouve deux yeux à l’éclat doré. Sa bouche possède des lèvres fines à peine perceptible puisqu'étant de la même couleur que le centre de son visage. Comme la plupart des hommes-poissons de type requin il possède une dentition tranchante et pointue, mais la majorité du temps il préfère la cacher pour ne pas instiguer la peur chez les inconnus.
En tant qu’homme poisson, Jora possède une physiologie particulière: des palmes aux mains et aux pieds ainsi qu’une membrane des coudes à la mi-ventre multicolores comme les ailes d’un Aras, des branchies au ventre (quoique généralement retrouver dans le cou chez ceux de son espèce) et pour finir dû à sa catégorie d’homme-poisson de type requin-renard; une très longue queue de poisson similaire à celle sur sa tête, celle-ci traîne au sol vu sa longueur. Cette anatomie lui est très utile pour se déplacer dans l’eau où sa queue lui permet de virer abruptement et peut être utilisée tel un fouet sur ses ennemis. Il partage certains traits avec le requin tel son ventre et le centre du devant de son corps d’un blanc beige et le reste de son corps d’une autre couleur. Cette autre couleur étant plus particulière pour les requins, un rouge vif, elle lui provient probablement de ses ancêtres tritons et sirènes.
Ce qui semble être un accoutrement royal est en fait une trace de son passé d’esclave sous les dragons céleste. Ayant appartenu à un jeune tenryûbito étant tombé sous le charmes de ses couleurs exotiques il préférait se pavaner avec Jora tel un animal exotique que de l'utiliser pour sa force physique comme un esclave. Malgré tout ses épaulettes, ses bracelets ainsi que son diadème sont incrusté avec des vis sur ses os et il lui serait impossible de les enlever. Les chaînes qui semblent décorés son costume servaient un jour à l’asservir et à le tenir telle une laisse. Pour terminer le sifflet à son cou servait un jour à son maître pour le faire venir aux pieds.
En tant qu’homme poisson, Jora possède une physiologie particulière: des palmes aux mains et aux pieds ainsi qu’une membrane des coudes à la mi-ventre multicolores comme les ailes d’un Aras, des branchies au ventre (quoique généralement retrouver dans le cou chez ceux de son espèce) et pour finir dû à sa catégorie d’homme-poisson de type requin-renard; une très longue queue de poisson similaire à celle sur sa tête, celle-ci traîne au sol vu sa longueur. Cette anatomie lui est très utile pour se déplacer dans l’eau où sa queue lui permet de virer abruptement et peut être utilisée tel un fouet sur ses ennemis. Il partage certains traits avec le requin tel son ventre et le centre du devant de son corps d’un blanc beige et le reste de son corps d’une autre couleur. Cette autre couleur étant plus particulière pour les requins, un rouge vif, elle lui provient probablement de ses ancêtres tritons et sirènes.
Ce qui semble être un accoutrement royal est en fait une trace de son passé d’esclave sous les dragons céleste. Ayant appartenu à un jeune tenryûbito étant tombé sous le charmes de ses couleurs exotiques il préférait se pavaner avec Jora tel un animal exotique que de l'utiliser pour sa force physique comme un esclave. Malgré tout ses épaulettes, ses bracelets ainsi que son diadème sont incrusté avec des vis sur ses os et il lui serait impossible de les enlever. Les chaînes qui semblent décorés son costume servaient un jour à l’asservir et à le tenir telle une laisse. Pour terminer le sifflet à son cou servait un jour à son maître pour le faire venir aux pieds.
Description Psychologique
N’ayant eu pour seule éducation que les enseignements de sa mère avant d’être rendu à l’état d’esclavage, Jora manque cruellement de notions et d’informations sur le monde qui l’entour hors de son île natale. Malgré tout ayant toujours rêvé d’aventure, il voit cet inconnu comme un défi plutôt qu’un handicap. Il est ce qu’on peut considérer un joyeux luron, calme et serein, le sourire toujours aux lèvres, l’air un peu niais, il ne semble pas à première vue avoir passé la moitié de son existence en tant qu’esclave. Il voit la vie comme une aventure où chaque rencontre peut amener quelque chose de formidable. Il a espoir de rencontrer des êtres humains différents des Dragons céleste qui lui ont fait vivre un enfer. Il est ouvert sur le monde et accueillant, il n’est généralement pas méfiant et cela peut se trouver positif ou se retourner contre lui, tout dépendant.
Il ne faut pas se tromper sur le passé de Jora et il ne lui reste pas seulement des blessures physiques de son passé d’esclave. Celui-ci à laisser sa marque qui est profondément enfoui dans la psyché de l’homme-poisson. Ces cicatrices sont en lien avec son kidnapping rapide et ses années de servitude et elles ressortent à chaque fois qu’il est mention des dragons céleste ou de sa terre natale ainsi qu’à chaque fois qu’il se retrouve face à l’esclavage qu’il ne peut accepter. Dans certains cas Jora tombe dans un état de colère, comme aux contact d’esclaves ou sinon il se retrouve à éclater en sanglot se rappelant ses amis perdus. Ses objectifs sont liés à son passé et il ne pourrait faire autrement qu’agir pour la libération des siens, car il considère tout esclave comme faisant partie de sa famille, ayant partagé les mêmes blessures.
Pour terminer et pour ceux qui pourraient se demander si Jora est en mesure de se défendre; l’homme-poisson a appris à se battre en regardant la garde impériale quand il était enfant, quand il jouait aux aventures de capes et d’épées avec ses amis, mais surtout lors des combats d’esclaves donnés par le maître où il ne pouvait pas participer, mais il lui était obligé d’assister. Il ne connait malheureusement pas le karaté des hommes-poissons, s’étant fait kidnapper avant de l’apprendre, mais connaît son existence et souhait le pratiquer.
Il ne faut pas se tromper sur le passé de Jora et il ne lui reste pas seulement des blessures physiques de son passé d’esclave. Celui-ci à laisser sa marque qui est profondément enfoui dans la psyché de l’homme-poisson. Ces cicatrices sont en lien avec son kidnapping rapide et ses années de servitude et elles ressortent à chaque fois qu’il est mention des dragons céleste ou de sa terre natale ainsi qu’à chaque fois qu’il se retrouve face à l’esclavage qu’il ne peut accepter. Dans certains cas Jora tombe dans un état de colère, comme aux contact d’esclaves ou sinon il se retrouve à éclater en sanglot se rappelant ses amis perdus. Ses objectifs sont liés à son passé et il ne pourrait faire autrement qu’agir pour la libération des siens, car il considère tout esclave comme faisant partie de sa famille, ayant partagé les mêmes blessures.
Pour terminer et pour ceux qui pourraient se demander si Jora est en mesure de se défendre; l’homme-poisson a appris à se battre en regardant la garde impériale quand il était enfant, quand il jouait aux aventures de capes et d’épées avec ses amis, mais surtout lors des combats d’esclaves donnés par le maître où il ne pouvait pas participer, mais il lui était obligé d’assister. Il ne connait malheureusement pas le karaté des hommes-poissons, s’étant fait kidnapper avant de l’apprendre, mais connaît son existence et souhait le pratiquer.
Biographie
L’océan n’est généralement qu’un voile noir, le soleil ne pouvant que se refléter au contact de l’eau, sa lumière se perd graduellement dans les profondeurs faisant place à la noirceur de l’obscurité. Mais quelque part sous Redline, à plus d’un kilomètre de profondeur, se trouve un endroit seul en ce monde. Là où il ne devrait y avoir que noirceur se trouve une lumière étincelante. Celle-ci prend naissance dans des racines d’arbres gigantesques ayant leur cimes à la surface et possédant des propriétés méconnus. Ce milieu paradisiaque sorti tout droit d’un conte de fée n’est nul autre que l’île des hommes-poissons le lieu de naissances de toutes les espèces humanoïdes aquatiques. L’île est retenue grâce à une géante bulle d’air et est divisé en plusieurs quartiers, trône en son centre et au-dessus de tout le palais Ryuugu, fierté des hommes-poissons.
Malgré que l’île soit un passage obligatoire pour tout pirate voulant naviguer sur le nouveau-monde, il fait bon-vivre pour la majorité des habitants et il y a moyen d’être heureux au sein de cette population si dynamique, surtout pour les jeunes de l’île qui s’amuse d’un rien. Jora, 12 ans, est un jeune homme-poisson plein d’énergie et surtout très excité, car il sait ce qu’il l'attend en cette chaude journée d’été.
-Allez m’man… J’ai pas juste ça à faire… il faut que j’aie rejoindre les autres où ils vont partir sans moi!
En face de lui se tenait une sirène à la crinière orangé qui essayait tant bien que mal d’attacher le par-dessus de son fils qui ne pouvait tenir sur place.
-Ce serait plus facile si tu pouvais arrêter de gigoter mon trésor….eeeeetttttttt…...voiiiiii….llllllàààààà. Maintenant que tu es habillé tu peux aller rejoindre tes amis...Mais n’oublie pas tu n’approche d’aucun être humain et interdit non plus d’aller à plus d’une centaine de mètres de l’île à la surface...Compris ?
Le jeune garçon roula des yeux alors que sa mère parlait, connaissant déjà par coeur la comptine.
-Oui, oui c’est compris...je peux y aller maintenant...Pliiiiiiiiiizzzzzz?
La mère sourit et le jeune garçon parti à la course par la porte. Aujourd’hui comme à tous les vendredi d’été il allait avec ses amis à Shabaody à la surface. Jora se faufilait au travers des passants en haletant comme un chien, il avait déjà dix minutes de retard et craignait que ses amis ne partent sans lui… il pourrait les rejoindre, mais le voyage serait mille fois moins intéressant. Il fonça dans une passante ayant une multitude de boîtes dans les mains, s’excusa sans l’aider avec celles-ci et repris sa course, il ne pouvait s’attarder. Il dépassa la file qui se faisait pour le courant d’eau descendant vers l’entrée de l’île et sauta dans celui-ci. Sa vitesse décupla grâce au courant d’eau et on aurait difficilement pu le distinguer avec une torpille à ses côtés. Son inquiétude s’estompa arrivé aux abords de l’île, ses trois amis étaient là à l’attendre: Tinouk un homme-poisson de type poulpe, Mirceline une sirène et Bozark l’homme-poisson de type poisson-clown.
- Hé.. regardez qui qui arrive!
- Y’ était temps, on commençait à s’endormir hahaha!
- JORA!!!!!
Les quatre enfants étaient inséparables. Étant nés sensiblement dans les mêmes eaux, ils furent élevés ensemble et donc leur lien remontent à la pouponnière.
-Désoler les gars, vous connaissez m’man, si je suis pas bien préparé, y a pas moyen pour moi de sortir.
- Prêt pour le défi d’aujourd’hui?
Après avoir fini leur question les trois partir à la nage en direction de la surface… la course était commencée et Jora n’allait pas se laisser devancer aussi facilement et donc parti à leur poursuite. Quant aux règlements donnés par sa mère, ils étaient plus vu comme des défis que de réelle règles.
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“Ahah! Meilleure chance la prochaine fois” ce fut les premiers mots que Jora dit lorsqu’il arriva à la surface. Un après l’autre les trois autres émergèrent et dirent en coeur “C’est juste à cause de ta queue MEUHHHH!” en faisant la grimace. Ils ne purent pourtant pas tenir ce visage mécontent et éclatèrent de rire avec Jora, ils n’étaient pas mauvais perdant, ils savaient bien que Jora avait un gros avantage avec sa queue qui l’aidait à se propulser sous l’eau, ça ne changeait pas l’amour qu’ils portaient pour leur ami.
- Bon alors, on passe au vrai défi ? (Prenant alors la voix d’un animateur sportif) Mesdames et messieurs nous avons un score à battre aujourd’hui; la semaine dernière nous avons eu la chance de voir l’extraordinaire Miss. Mirceline émettre un nouveau record en s’approchant à moins de vingt mètres de distance de l’île SHA-BA-ÔÔÔÔ-DY!
Les trois autres émirent alors des “Wow” et des “Yeah” comme une foule sous le choc après un tel discours de la part du maître d’honneur/participant/ami. Après cela l’on choisit l’ordre de passage et le défi commença. Le premier à y aller fut Tinouk, l’homme-poulpe, mais à peine arrivé à cinquante mètres de distance, un caillou tomba dans l’eau, probablement jeté de la côte, coula tout doucement et… frôla l’homme-poulpe. Il ne fallut pas plus pour effrayer Tinouk qui jeta un jet d’encre et retourna sur ses pas comme si le feu était à ses fesses. Le deuxième à passer était notre maître d’honneur Bozark le poisson-clown; il se rendit plus loin que Tinouk, mais arrêta après vingt-huit mètres, son record personnel, sentant l’anxiété et le stress le gagner; il n’avait jamais été aussi près des “zhumains” et se disait qu’il l’était probablement bien assez. Il faut comprendre que malgré la présence régulière des pirates sur leur île, ainsi qu’un petit quartier résidentiel humain qui leur était interdit (Mais surtout complètement paumé si l’on reprend leurs paroles) ces quatre jeunes enfants avaient été épargnés de leur rencontre et donc n’avaient jamais vu d’humain et ne connaissaient d’eux que mythes et histoires.
- Woah! Je sais pas comment t’as fait l’autre fois Mirceline !? J’étais à peine à une trentaine de mètres et je sentais le sang monter à ma tête haha!
“Un bon nageur ne donne pas ses secrets” donna-t-elle en guise de réponse avec un clin d’oeil et un sourire. C’était au tour de Jora puisqu’on laissait la chance de finir à la grande championne. Il lui fallait impérativement battre le record de Mirceline et pas simplement d’un ou deux mètres ou elle serait en mesure de faire le même score, il lui fallait viser gros! *Peut-être que si je me fermais les yeux..? les deux autres se sont plaints d’avoir eu peur, mais si je ne vois rien, je ne peux pas avoir peur de ce que je ne vois pas!* Avec un nouveau plan en tête Jora se propulsa, tête sous l’eau, laissant à peine sa “chevelure” dépasser. Cent mètres...quatre-vingt-dix mètres….quatre-vingts mètres...soixante-dix….cinquante...quarante...trente….vingt...et c’est probablement à ce moment qu’avoir eu les yeux ouverts aurait pu être utile à Jora, car en face de lui était un navire flottant sur les eaux et il aurait très bien pu l'éviter….s’il avait eu les yeux ouverts. *BANG!* Jora s’assomma et perdit connaissance. Au même moment sur le navire, qui n’est nul autre qu’un navire de marchand d’esclaves, on se demande qu’avait bien pu causer un tel chahut. Un Matelot pointa vers Jora dans l’eau, ses compatriote le rejoignirent et avec un filet ils remontèrent l’homme-poisson. Au loin Tinouk, Mirceline et Bozark étaient en pleur, ils voyaient leur ami se faire prendre, mais avaient trop peur pour agir; probablement pour le mieux puisque vu leur âge et vu les assaillants, c’était peine perdue. Les trois décidèrent donc d’aller chercher de l’aide sur l’île des hommes-poissons...mais celle-ci arriva trop tard, le bateau ayant déjà quitté pour s’amarrer au port de Shabaody. Jora fut enchaîné et prits comme un autre esclave sans avoir la chance de dire adieu à ses amis ou sa famille. Au marché il fut vendu à un dragon céleste souhaitant l’offrir en cadeau à son jeune fils vivant à Marie-joie. La dernière chose qu’il entendit avant d’être enfermé dans son caisson étanche pour le voyage fut les rires du père.
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Le fils du Dragon Céleste fut ravie de son cadeau, il n’avait jamais vu un homme-poisson aussi coloré, c’était pour lui comme une oeuvre-d’art sur pattes et puisque cette oeuvre-d’art lui appartenait il voulait que tout le monde le sache. Alors, plutôt que de faire de Jora l’un de ses servant, l’un de ses repose pied, l’une de ses cibles de fléchettes ou toute autre position les plus dégradantes les unes que les autres, il décida de faire de lui un trophée. On vissa sur le corps de Jora de quoi lui donner un aire princier, pour rehausser ses couleurs, mais surtout pour garder les chaînes qui servent de rennes à son jeune maître. On posa des menottes qui avaient l’air de bracelet à ses poignets et cheville pour l’attacher dans sa “chambre” qui se résume à un bocal comme pour un poisson-rouge, mais version géante. Pour finir on lui pose un “diadème” qui était en fait un dispositif relié à un sifflet appartenant au maître multipliant par cent la puissance du son du sifflet; il suffisait au maître de poser ses lèvres sur celui-ci pour que Jora arrive à ses pieds, de peur de se faire meurtrir les tympans. Après son attirail prêt le maître sorti à chaque jour et eu la même routine avec Jora durant la journée; se pavaner devant les autres et montrer comment sa possession est plus belle que les leurs. Les jours passèrent pour laisser place aux semaines. Celles-ci laissèrent ensuite leur place aux mois qui à leur tour cédèrent la leur pour les années. En ces dix années d’existence en tant qu’esclave les jours furent de plus en plus noir, car le temps passant, l’intérêt du maître baissa... au point où il le traitait comme n’importe lequel de ses esclaves depuis deux ans, le frappant et lui crachant dessus à tout moment, mais se pavanant encore de temps à autre avec lui.
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Aujourd’hui, même si Jora ne le sait peut-être pas, cela fait maintenant officiellement onze ans qu’il est esclave et comme par hasard, si réellement s’en est un, aujourd’hui est aussi le jour où il décida qu’il allait s’enfuir et partir de Marie-Joie. Il se répétait son plan dans sa tête, enchaîné dans son bocal, ne pouvant sortir tant que son maître ne soit pas venu le chercher. *Au moment même où il va détacher mes menottes, je lui arrache son sifflet et le jette au bout de mes bras. Je le pousse et me mets à courir. Je n’arrête pas tant que je ne vois pas la couleur de l’eau.* Jora était tout de même chanceux puisque même s’il n’avait jamais eu le droit de venir sur le balcon, il savait que le manoir possédait un balcon donnant accès à la mer et donc qu’il n’avait pas besoin de sortir du manoir, ce qui lui évitait les problèmes avec les forces de l’ordre. *Click!* *Wouuuiiinn!* on débarrait la porte où son bocal se trouvait et quelqu’un entra alors que la porte grinçait; c’était le maître!
- Aujourd’hui je me sens d’humeur généreuse, alors je vais sortir avec toi; tu devrais me remercier de t’offrir cette possibilité, je ne peux imaginer la monstruosité que tu peux appeler terre natale. En tout cas trêve de bavardage, il doit encore y avoir deux ou trois personnes qui ne t’ont pas vu et que je pourrais rendre jalouse.
À ces mots il sorti les clés des menottes de Jora de ses poches. L’homme-poisson approcha, entendit le premier Clic des menottes...puis le deuxième et c’est à ce moment qu’il sauta hors de son bocal et d’un coup de queue arracha le sifflet du coup du Maître et l’envoya promener par la fenêtre. Le maître resta bouche-bée, fou de rage, Jora n’avait jamais montré le signe de révolte en onze ans et soudainement il éclate aujourd’hui ?! Il ne comprenait pas, mais ne laisserait pas cela passer.
- P...p.pp.p...PPPPAAAAAPPAAAAAAAAA!!!!!!
Jora savait qu’il n’avait plus de temps à perdre, il prit la porte et partit à courir à travers les corridors du manoir. Il avait une vague idée d’où se situait le balcon et il ne devait vraiment pas se perdre dans pareil moment. Il gravit un escalier, en descendit un autre, passa par plusieurs portes et finalement il vit la lueur de l'extérieur au bout du corridor en face de lui. *Ça y est, que quelques pas* en arrivant sur le balcon, en voulant sauté… qu’elle ne fut pas sa surprise de voir à quelle hauteur était situé Marie-Joie. Le plan était à l’eau...*Dum...Dum...Dum*, des bruits de pas derrière lui, il ne peut plus fuir. *Hé merde...si près du but...je t’emm***e Marie-Joie!!!* Jora se retourna, face à lui le père du Maître.
- Saloperie de mollusque, comment peux-tu te permettre de poser sur mon fils. Nous dragons célestes sommes au-dessus de vous sous-races et ne devrions pas avoir à partager ce monde avec vous. Si seulement la marine pouvait éradiquer tous vos peuples primitifs que nous puissions vivre en paix. Je croyais que tu pouvais être un simple animal de compagnie, mais on dirait bien qu’il est temps d’abattre le chien quand il commence à ne plus écouter le maître.
Sur ces mots le père sorti un pistolet et tira deux balles en direction Jora, “Tu voulais tant aller dans l’eau, bonne chance pour survivre le plongeon” et d’un coup de pied poussa Jora du bas du balcon le regardant tomber vers une mort certaine.
Jora n’avait jamais senti pareille douleur, il avait déjà été frappé par le passé, mais c’était la première fois qu’il avait été pris pour cible avec une arme à feu, cela lui faisait atrocement mal, mais il ne pouvait laisser tomber les bras sa mort était assurée s’il ne tentait rien.*Aïe...putain ça fait mal, mais au moins je suis encore conscient et en vie, maintenant il faut que je trouve un moyen de sauver mon atterrissage* il se souvenait avoir déjà vue des oiseaux marins pêchés et donc comme l’un d’eux se positionna comme un plongeur. *Même avec ça le choc va être trop fort, tous les os de mon corps, ou du moins ma face vont brisé, ma mort est encore à la porte...pense, pense,pense....* Soudain un éclair de génie! *Il faut que je brise la surface de l’eau avant mon contact!* Tout se déroula en l’espace de quelques secondes; alors que Jora allait toucher la surface de l’eau il se servi de sa queue pour fouetter l’eau et ainsi briser la tension l’espace d’un instant *Plouf* le plongeon fut miraculeusement parfait! Une fois dans l’eau, se sachant hors de danger et n’ayant plus un once d’énergie il s'évanouit et fut porté par les vagues. Étant un homme-poisson, il ne pouvait se noyer, seulement dérivé.
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On ne saura jamais exactement combien de temps Jora dériva, mais il arriva échoué sur la berge d’une île qu’il apprendra plus tard être Poiscaille, l’île maritime. Son aventure débute alors dans un monde qui lui est inconnu, mais sachant du moins maintenant qu’il peut véritablement goûter à la liberté.
Malgré que l’île soit un passage obligatoire pour tout pirate voulant naviguer sur le nouveau-monde, il fait bon-vivre pour la majorité des habitants et il y a moyen d’être heureux au sein de cette population si dynamique, surtout pour les jeunes de l’île qui s’amuse d’un rien. Jora, 12 ans, est un jeune homme-poisson plein d’énergie et surtout très excité, car il sait ce qu’il l'attend en cette chaude journée d’été.
-Allez m’man… J’ai pas juste ça à faire… il faut que j’aie rejoindre les autres où ils vont partir sans moi!
En face de lui se tenait une sirène à la crinière orangé qui essayait tant bien que mal d’attacher le par-dessus de son fils qui ne pouvait tenir sur place.
-Ce serait plus facile si tu pouvais arrêter de gigoter mon trésor….eeeeetttttttt…...voiiiiii….llllllàààààà. Maintenant que tu es habillé tu peux aller rejoindre tes amis...Mais n’oublie pas tu n’approche d’aucun être humain et interdit non plus d’aller à plus d’une centaine de mètres de l’île à la surface...Compris ?
Le jeune garçon roula des yeux alors que sa mère parlait, connaissant déjà par coeur la comptine.
-Oui, oui c’est compris...je peux y aller maintenant...Pliiiiiiiiiizzzzzz?
La mère sourit et le jeune garçon parti à la course par la porte. Aujourd’hui comme à tous les vendredi d’été il allait avec ses amis à Shabaody à la surface. Jora se faufilait au travers des passants en haletant comme un chien, il avait déjà dix minutes de retard et craignait que ses amis ne partent sans lui… il pourrait les rejoindre, mais le voyage serait mille fois moins intéressant. Il fonça dans une passante ayant une multitude de boîtes dans les mains, s’excusa sans l’aider avec celles-ci et repris sa course, il ne pouvait s’attarder. Il dépassa la file qui se faisait pour le courant d’eau descendant vers l’entrée de l’île et sauta dans celui-ci. Sa vitesse décupla grâce au courant d’eau et on aurait difficilement pu le distinguer avec une torpille à ses côtés. Son inquiétude s’estompa arrivé aux abords de l’île, ses trois amis étaient là à l’attendre: Tinouk un homme-poisson de type poulpe, Mirceline une sirène et Bozark l’homme-poisson de type poisson-clown.
- Hé.. regardez qui qui arrive!
- Y’ était temps, on commençait à s’endormir hahaha!
- JORA!!!!!
Les quatre enfants étaient inséparables. Étant nés sensiblement dans les mêmes eaux, ils furent élevés ensemble et donc leur lien remontent à la pouponnière.
-Désoler les gars, vous connaissez m’man, si je suis pas bien préparé, y a pas moyen pour moi de sortir.
- Prêt pour le défi d’aujourd’hui?
Après avoir fini leur question les trois partir à la nage en direction de la surface… la course était commencée et Jora n’allait pas se laisser devancer aussi facilement et donc parti à leur poursuite. Quant aux règlements donnés par sa mère, ils étaient plus vu comme des défis que de réelle règles.
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“Ahah! Meilleure chance la prochaine fois” ce fut les premiers mots que Jora dit lorsqu’il arriva à la surface. Un après l’autre les trois autres émergèrent et dirent en coeur “C’est juste à cause de ta queue MEUHHHH!” en faisant la grimace. Ils ne purent pourtant pas tenir ce visage mécontent et éclatèrent de rire avec Jora, ils n’étaient pas mauvais perdant, ils savaient bien que Jora avait un gros avantage avec sa queue qui l’aidait à se propulser sous l’eau, ça ne changeait pas l’amour qu’ils portaient pour leur ami.
- Bon alors, on passe au vrai défi ? (Prenant alors la voix d’un animateur sportif) Mesdames et messieurs nous avons un score à battre aujourd’hui; la semaine dernière nous avons eu la chance de voir l’extraordinaire Miss. Mirceline émettre un nouveau record en s’approchant à moins de vingt mètres de distance de l’île SHA-BA-ÔÔÔÔ-DY!
Les trois autres émirent alors des “Wow” et des “Yeah” comme une foule sous le choc après un tel discours de la part du maître d’honneur/participant/ami. Après cela l’on choisit l’ordre de passage et le défi commença. Le premier à y aller fut Tinouk, l’homme-poulpe, mais à peine arrivé à cinquante mètres de distance, un caillou tomba dans l’eau, probablement jeté de la côte, coula tout doucement et… frôla l’homme-poulpe. Il ne fallut pas plus pour effrayer Tinouk qui jeta un jet d’encre et retourna sur ses pas comme si le feu était à ses fesses. Le deuxième à passer était notre maître d’honneur Bozark le poisson-clown; il se rendit plus loin que Tinouk, mais arrêta après vingt-huit mètres, son record personnel, sentant l’anxiété et le stress le gagner; il n’avait jamais été aussi près des “zhumains” et se disait qu’il l’était probablement bien assez. Il faut comprendre que malgré la présence régulière des pirates sur leur île, ainsi qu’un petit quartier résidentiel humain qui leur était interdit (Mais surtout complètement paumé si l’on reprend leurs paroles) ces quatre jeunes enfants avaient été épargnés de leur rencontre et donc n’avaient jamais vu d’humain et ne connaissaient d’eux que mythes et histoires.
- Woah! Je sais pas comment t’as fait l’autre fois Mirceline !? J’étais à peine à une trentaine de mètres et je sentais le sang monter à ma tête haha!
“Un bon nageur ne donne pas ses secrets” donna-t-elle en guise de réponse avec un clin d’oeil et un sourire. C’était au tour de Jora puisqu’on laissait la chance de finir à la grande championne. Il lui fallait impérativement battre le record de Mirceline et pas simplement d’un ou deux mètres ou elle serait en mesure de faire le même score, il lui fallait viser gros! *Peut-être que si je me fermais les yeux..? les deux autres se sont plaints d’avoir eu peur, mais si je ne vois rien, je ne peux pas avoir peur de ce que je ne vois pas!* Avec un nouveau plan en tête Jora se propulsa, tête sous l’eau, laissant à peine sa “chevelure” dépasser. Cent mètres...quatre-vingt-dix mètres….quatre-vingts mètres...soixante-dix….cinquante...quarante...trente….vingt...et c’est probablement à ce moment qu’avoir eu les yeux ouverts aurait pu être utile à Jora, car en face de lui était un navire flottant sur les eaux et il aurait très bien pu l'éviter….s’il avait eu les yeux ouverts. *BANG!* Jora s’assomma et perdit connaissance. Au même moment sur le navire, qui n’est nul autre qu’un navire de marchand d’esclaves, on se demande qu’avait bien pu causer un tel chahut. Un Matelot pointa vers Jora dans l’eau, ses compatriote le rejoignirent et avec un filet ils remontèrent l’homme-poisson. Au loin Tinouk, Mirceline et Bozark étaient en pleur, ils voyaient leur ami se faire prendre, mais avaient trop peur pour agir; probablement pour le mieux puisque vu leur âge et vu les assaillants, c’était peine perdue. Les trois décidèrent donc d’aller chercher de l’aide sur l’île des hommes-poissons...mais celle-ci arriva trop tard, le bateau ayant déjà quitté pour s’amarrer au port de Shabaody. Jora fut enchaîné et prits comme un autre esclave sans avoir la chance de dire adieu à ses amis ou sa famille. Au marché il fut vendu à un dragon céleste souhaitant l’offrir en cadeau à son jeune fils vivant à Marie-joie. La dernière chose qu’il entendit avant d’être enfermé dans son caisson étanche pour le voyage fut les rires du père.
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Le fils du Dragon Céleste fut ravie de son cadeau, il n’avait jamais vu un homme-poisson aussi coloré, c’était pour lui comme une oeuvre-d’art sur pattes et puisque cette oeuvre-d’art lui appartenait il voulait que tout le monde le sache. Alors, plutôt que de faire de Jora l’un de ses servant, l’un de ses repose pied, l’une de ses cibles de fléchettes ou toute autre position les plus dégradantes les unes que les autres, il décida de faire de lui un trophée. On vissa sur le corps de Jora de quoi lui donner un aire princier, pour rehausser ses couleurs, mais surtout pour garder les chaînes qui servent de rennes à son jeune maître. On posa des menottes qui avaient l’air de bracelet à ses poignets et cheville pour l’attacher dans sa “chambre” qui se résume à un bocal comme pour un poisson-rouge, mais version géante. Pour finir on lui pose un “diadème” qui était en fait un dispositif relié à un sifflet appartenant au maître multipliant par cent la puissance du son du sifflet; il suffisait au maître de poser ses lèvres sur celui-ci pour que Jora arrive à ses pieds, de peur de se faire meurtrir les tympans. Après son attirail prêt le maître sorti à chaque jour et eu la même routine avec Jora durant la journée; se pavaner devant les autres et montrer comment sa possession est plus belle que les leurs. Les jours passèrent pour laisser place aux semaines. Celles-ci laissèrent ensuite leur place aux mois qui à leur tour cédèrent la leur pour les années. En ces dix années d’existence en tant qu’esclave les jours furent de plus en plus noir, car le temps passant, l’intérêt du maître baissa... au point où il le traitait comme n’importe lequel de ses esclaves depuis deux ans, le frappant et lui crachant dessus à tout moment, mais se pavanant encore de temps à autre avec lui.
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Aujourd’hui, même si Jora ne le sait peut-être pas, cela fait maintenant officiellement onze ans qu’il est esclave et comme par hasard, si réellement s’en est un, aujourd’hui est aussi le jour où il décida qu’il allait s’enfuir et partir de Marie-Joie. Il se répétait son plan dans sa tête, enchaîné dans son bocal, ne pouvant sortir tant que son maître ne soit pas venu le chercher. *Au moment même où il va détacher mes menottes, je lui arrache son sifflet et le jette au bout de mes bras. Je le pousse et me mets à courir. Je n’arrête pas tant que je ne vois pas la couleur de l’eau.* Jora était tout de même chanceux puisque même s’il n’avait jamais eu le droit de venir sur le balcon, il savait que le manoir possédait un balcon donnant accès à la mer et donc qu’il n’avait pas besoin de sortir du manoir, ce qui lui évitait les problèmes avec les forces de l’ordre. *Click!* *Wouuuiiinn!* on débarrait la porte où son bocal se trouvait et quelqu’un entra alors que la porte grinçait; c’était le maître!
- Aujourd’hui je me sens d’humeur généreuse, alors je vais sortir avec toi; tu devrais me remercier de t’offrir cette possibilité, je ne peux imaginer la monstruosité que tu peux appeler terre natale. En tout cas trêve de bavardage, il doit encore y avoir deux ou trois personnes qui ne t’ont pas vu et que je pourrais rendre jalouse.
À ces mots il sorti les clés des menottes de Jora de ses poches. L’homme-poisson approcha, entendit le premier Clic des menottes...puis le deuxième et c’est à ce moment qu’il sauta hors de son bocal et d’un coup de queue arracha le sifflet du coup du Maître et l’envoya promener par la fenêtre. Le maître resta bouche-bée, fou de rage, Jora n’avait jamais montré le signe de révolte en onze ans et soudainement il éclate aujourd’hui ?! Il ne comprenait pas, mais ne laisserait pas cela passer.
- P...p.pp.p...PPPPAAAAAPPAAAAAAAAA!!!!!!
Jora savait qu’il n’avait plus de temps à perdre, il prit la porte et partit à courir à travers les corridors du manoir. Il avait une vague idée d’où se situait le balcon et il ne devait vraiment pas se perdre dans pareil moment. Il gravit un escalier, en descendit un autre, passa par plusieurs portes et finalement il vit la lueur de l'extérieur au bout du corridor en face de lui. *Ça y est, que quelques pas* en arrivant sur le balcon, en voulant sauté… qu’elle ne fut pas sa surprise de voir à quelle hauteur était situé Marie-Joie. Le plan était à l’eau...*Dum...Dum...Dum*, des bruits de pas derrière lui, il ne peut plus fuir. *Hé merde...si près du but...je t’emm***e Marie-Joie!!!* Jora se retourna, face à lui le père du Maître.
- Saloperie de mollusque, comment peux-tu te permettre de poser sur mon fils. Nous dragons célestes sommes au-dessus de vous sous-races et ne devrions pas avoir à partager ce monde avec vous. Si seulement la marine pouvait éradiquer tous vos peuples primitifs que nous puissions vivre en paix. Je croyais que tu pouvais être un simple animal de compagnie, mais on dirait bien qu’il est temps d’abattre le chien quand il commence à ne plus écouter le maître.
Sur ces mots le père sorti un pistolet et tira deux balles en direction Jora, “Tu voulais tant aller dans l’eau, bonne chance pour survivre le plongeon” et d’un coup de pied poussa Jora du bas du balcon le regardant tomber vers une mort certaine.
Jora n’avait jamais senti pareille douleur, il avait déjà été frappé par le passé, mais c’était la première fois qu’il avait été pris pour cible avec une arme à feu, cela lui faisait atrocement mal, mais il ne pouvait laisser tomber les bras sa mort était assurée s’il ne tentait rien.*Aïe...putain ça fait mal, mais au moins je suis encore conscient et en vie, maintenant il faut que je trouve un moyen de sauver mon atterrissage* il se souvenait avoir déjà vue des oiseaux marins pêchés et donc comme l’un d’eux se positionna comme un plongeur. *Même avec ça le choc va être trop fort, tous les os de mon corps, ou du moins ma face vont brisé, ma mort est encore à la porte...pense, pense,pense....* Soudain un éclair de génie! *Il faut que je brise la surface de l’eau avant mon contact!* Tout se déroula en l’espace de quelques secondes; alors que Jora allait toucher la surface de l’eau il se servi de sa queue pour fouetter l’eau et ainsi briser la tension l’espace d’un instant *Plouf* le plongeon fut miraculeusement parfait! Une fois dans l’eau, se sachant hors de danger et n’ayant plus un once d’énergie il s'évanouit et fut porté par les vagues. Étant un homme-poisson, il ne pouvait se noyer, seulement dérivé.
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On ne saura jamais exactement combien de temps Jora dériva, mais il arriva échoué sur la berge d’une île qu’il apprendra plus tard être Poiscaille, l’île maritime. Son aventure débute alors dans un monde qui lui est inconnu, mais sachant du moins maintenant qu’il peut véritablement goûter à la liberté.
Informations IRL
• Prénom : Jérémie
• Age : 24 ans
• Aime : Les avatars d'homme-poisson
• N'aime pas : À quel point c'est difficile de trouver une belle avatar d'homme-poisson
• Personnage préféré de One Piece : Depuis que je viens de compléter l'arc de Dessrosa je suis tombé en amour avec Bartholoméo
• Caractère : Je suis pas mal "friendly" et j'espère m'entendre avec tout le monde
• Fait du RP depuis : J'en ai fait pendant environ 5 ans il y a de cela environ 10 ans, mon français n'était pas tant au point à l'époque, en espérant que je me sois amélioré
• Disponibilité approximative : d'un côté je suis pas mal tout le temps libre, je peux apporter mon PC à ma job, mais d'un autre côté je vie au Québec et de mon expérience la communauté est généralement européenne et donc on est pas debout aux même heures.
• Comment avez-vous connu le forum ? Google, tapper "Forum Rpg One piece" cliqué sur le premier lien français.
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Jora Nedine le Dim 7 Juin 2020 - 20:24, édité 3 fois