VOTRE NOM ET PRÉNOM ICI
• Pseudonyme : Votre surnom s’il y a lieu.
• Age : 20 ans
• Sexe : femme..
• Race : humain
• Métier : voleuse
• Groupe : pirate
• Age : 20 ans
• Sexe : femme..
• Race : humain
• Métier : voleuse
• Groupe : pirate
• But : decouvrir le monde et voler des trucs
• Équipement :
• Parrain :
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui, de Anna Cherchelune
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? je crois que c'est raph
Codes du règlement : (Il y en a deux, un par charte. Mettez-les entre les balises [hide*][/*hide] sans les astérisques.)
• Équipement :
• Parrain :
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui, de Anna Cherchelune
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? je crois que c'est raph
Codes du règlement : (Il y en a deux, un par charte. Mettez-les entre les balises [hide*][/*hide] sans les astérisques.)
Description Physique
Décrire Ewen est un exercice délicat un peu inutile vu la fréquence à laquelle elle en change. Elle en change pour le plaisir ou pour le travail, de la couleur de ses cheveux à l’âge de sa peau en passant par son sexe.
Si on voulait cependant en tirer une idée générale, on commencerait surement par parler de ses cheveux, d’un noir mate de base mais le plus souvent recouvert de teintures pouvant prendre la forme discrète d’un brun ou d’un noir commun. Mais c’était rare. En général, elle leur préfère l’éclat d’un bleu électrique, la pureté d’un blanc argenté ou encore le flamboyant d’une crinière rouge éclatant.
Son visage rond lui offre un air enfantin et androgyne qu’elle met régulièrement à partis pour ses déguisements. Les déguisements en homme étant facilité par des courbes discrètes, aisées à dissimuler derrière des vêtements amples ou en utilisant un simple bandeau. Elle s’amusait également régulièrement à se donner plus de « volume » en utilisant divers artifices. Elle trouvait toujours intéressant de voir comment l’attitude des gens à son égard se modifiait au gré de ses transformations.
La seule partie d’elle qu’elle aime, la seule qu’elle ne change que si elle le doit, ce sont ses yeux. Des yeux bleu-gris qui se mettaient à briller d’une douce couleur violette dans l’obscurité. Leur origine lui est mystérieuse, mais elle les aime néanmoins, ces étranges yeux qui étaient les seules choses qu’elle trouvait véritablement unique en elle.
Ewen est aussi le genre de personne qui occupe l’espace autour d’elle et c’est sans doute le meilleur moyen de la reconnaitre : peu importe l’apparence qu’elle se donne, elle ne parvient jamais à modifier sa façon d’être et envahi le monde d’un pas sautillant, de grands gestes maladroits et d’une voix dont elle maitrise mal le volume. Oui, c’est pratique pour une voleuse, mais pas insurmontable quand on sait courir vite. Et Ewen peut courir vraiment très vite
Si on voulait cependant en tirer une idée générale, on commencerait surement par parler de ses cheveux, d’un noir mate de base mais le plus souvent recouvert de teintures pouvant prendre la forme discrète d’un brun ou d’un noir commun. Mais c’était rare. En général, elle leur préfère l’éclat d’un bleu électrique, la pureté d’un blanc argenté ou encore le flamboyant d’une crinière rouge éclatant.
Son visage rond lui offre un air enfantin et androgyne qu’elle met régulièrement à partis pour ses déguisements. Les déguisements en homme étant facilité par des courbes discrètes, aisées à dissimuler derrière des vêtements amples ou en utilisant un simple bandeau. Elle s’amusait également régulièrement à se donner plus de « volume » en utilisant divers artifices. Elle trouvait toujours intéressant de voir comment l’attitude des gens à son égard se modifiait au gré de ses transformations.
La seule partie d’elle qu’elle aime, la seule qu’elle ne change que si elle le doit, ce sont ses yeux. Des yeux bleu-gris qui se mettaient à briller d’une douce couleur violette dans l’obscurité. Leur origine lui est mystérieuse, mais elle les aime néanmoins, ces étranges yeux qui étaient les seules choses qu’elle trouvait véritablement unique en elle.
Ewen est aussi le genre de personne qui occupe l’espace autour d’elle et c’est sans doute le meilleur moyen de la reconnaitre : peu importe l’apparence qu’elle se donne, elle ne parvient jamais à modifier sa façon d’être et envahi le monde d’un pas sautillant, de grands gestes maladroits et d’une voix dont elle maitrise mal le volume. Oui, c’est pratique pour une voleuse, mais pas insurmontable quand on sait courir vite. Et Ewen peut courir vraiment très vite
Description Psychologique
Peut-être qu’en prétendant assez fort qu’on est heureux, on finit par l’être.
Ewen aime le magret de canard, la sensation du vent sur sa peau, le confit de canard, l’odeur de la pluie, la terrine de canard, voler des trucs, chanter aussi fort que faux et voler des aiguillettes de canards (et les manger).
Elle traverse la vie en sautillant, un grand sourire barrant son visage. Ouverte et curieuse, elle rêve de découvrir le monde et souhaite visiter chacune des îles qu’abrite l’océan. Et si elle peut au passage voler une merveille locale à chaque fois, c’est encore mieux…
Si le vol est de fait son moyen de gagner de l’argent, ce n’est pas la raison première pour laquelle elle le fait, pas plus que pour des raisons idéologiques. Elle voit le vol comme un genre de sport extrême, excitant, dangereux, demandant une préparation sans faille. Ce qui ne signifie pas qu’elle cherche à être la meilleure voleuse, la seule personne qu’elle souhaite battre est elle-même. Bon, et celui qui veut l’empêcher de récupérer son objectif aussi, d’accord.
Ses différents traits de caractères ont une origine commune : elle ne supporte pas l’ennui. Et encore moins l’eau, mais ça c’est un autre problème. Un problème qui pose certes de nombreux ennuis, surtout pour qui rêve de voyager dans un monde recouvert par les mers.
Côté famille, elle a été élevée dans un orphelinat dans le royaume de Saint-Urea. La discipline stricte a développé son aversion pour toute forme d’autorité, bien qu’elle n’ait jamais vraiment été un modèle d’obéissance, les maigres possessions auxquelles elle avait droit lui avaient données l’idée de voler pour la première fois et les personnes admirables qu’elle avait rencontrées lui avaient offert la famille qu’elle n’avait pas.
Ewen aime le magret de canard, la sensation du vent sur sa peau, le confit de canard, l’odeur de la pluie, la terrine de canard, voler des trucs, chanter aussi fort que faux et voler des aiguillettes de canards (et les manger).
Elle traverse la vie en sautillant, un grand sourire barrant son visage. Ouverte et curieuse, elle rêve de découvrir le monde et souhaite visiter chacune des îles qu’abrite l’océan. Et si elle peut au passage voler une merveille locale à chaque fois, c’est encore mieux…
Si le vol est de fait son moyen de gagner de l’argent, ce n’est pas la raison première pour laquelle elle le fait, pas plus que pour des raisons idéologiques. Elle voit le vol comme un genre de sport extrême, excitant, dangereux, demandant une préparation sans faille. Ce qui ne signifie pas qu’elle cherche à être la meilleure voleuse, la seule personne qu’elle souhaite battre est elle-même. Bon, et celui qui veut l’empêcher de récupérer son objectif aussi, d’accord.
Ses différents traits de caractères ont une origine commune : elle ne supporte pas l’ennui. Et encore moins l’eau, mais ça c’est un autre problème. Un problème qui pose certes de nombreux ennuis, surtout pour qui rêve de voyager dans un monde recouvert par les mers.
Côté famille, elle a été élevée dans un orphelinat dans le royaume de Saint-Urea. La discipline stricte a développé son aversion pour toute forme d’autorité, bien qu’elle n’ait jamais vraiment été un modèle d’obéissance, les maigres possessions auxquelles elle avait droit lui avaient données l’idée de voler pour la première fois et les personnes admirables qu’elle avait rencontrées lui avaient offert la famille qu’elle n’avait pas.
Biographie
La première chose dont je puisse me souvenir, c’est un bain. Ou plutôt quelqu’un qui essaie de me faire prendre un bain. Je ne me souviens plus de qui il s’agit, probablement une fille plus âgée de l’orphelinat. En tout cas elle essayait de me faire rentrer de force dans le bain, ses réserves de patience visiblement épuisées. De mon côté, je résiste de toutes mes forces, criant du fond de mes poumons et remplissant la bassine sous moi de mes larmes. La scène est floue mais, après un long moment de lutte, je finis par renverser la bassine sur l’autre personne. Je ne sais toujours pas comment j’y suis arrivé.
Puis vient la partie qui fait que je me rappelle encore de cette scène : le moment où elle retire le bain de sa tête, révélant des yeux avec une lueur d’incompréhension, noyée dans une fournaise de colère qui m’annonçait de très gros ennuis.
Je n’ai aucune idée de pourquoi j’ai aussi peur de l’eau. Je n’ai pu une seule fois rentrer ne serait-ce qu’un doigt dans un verre d’eau malgré tous les efforts que j’ai pu faire pour surpasser cette peur. Je peux boire et me laver avec un linge humide, mais pas aller plus loin. Je ne peux même pas sauter dans une flaque pour éclabousser mes amis !
Si on enlève ce détail, j’ai vécu une enfance normale pour une enfant de la Maison bleu. Une vie à courir les rues avec les autres, à me bagarrer, à manger le peu que l’on avait et à rentrer le soir dans une petite chambre qui ne contenait à peine plus qu’un lit. J’avais reçu la maigre éducation que les responsables pouvaient leur offrir avec des sentiments dépendant fortement de mon intérêt pour le sujet. Pour faire simple, j’ai adoré tout ce qui se rapportait à l’exploration et détesté le reste par ce que je n’arrivais jamais à rester concentré dessus pendant plus de 15 secondes.
Maman avait rapidement compris et trouvait toujours le moyen de relier tout ce que je pouvais étudier à l’exploration et aux terres inconnues, comme ça j’ai pu survivre aux interminable cours de géométries, même si le lien avec la triangularisation des étoiles pour trouver sa position s’était souvent trouvé trop tenu pour que j’arrive à rester réveillé.
Maman n’est évidemment pas ma mère biologique, mais je l’aime comme telle. Et elle m’aime comme une fille. Ce n’était pas la seule à s’occuper de moi et je n’étais pas la seule dont elle s’occupait, mais nous nous sommes choisis, voilà tout. Je pourrais vous raconter des anecdotes sur comment elle a pu prendre soin de moi ou comment j’ai pu lui montrer que je l’aimais, mais vu comme je suis douée pour raconter ce genre de moment, vous vous ennuieriez plus que moi devant un cours expliquant le système gouvernemental.
J’ai aussi deux enfants que je considère comme mes frères et sœurs : Charlotte a trois ans de plus que moi et est partie faire ses classes dans la marine, et Noa qui a quatre ans de moins que moi et une capacité à supporter les cours qui m’impressionne et fait penser à tout le monde qu’il finira par trouver un bon métier et sortir de la basse-ville. Ah, oui. J’ai 20 ans.
De mon côté, je vole pour vivre. Charlotte est au courant, ça la gêne mais elle comprend. Ça avait commencé un jeu : je piquais des choses aux autres enfants, aux adultes aux alentours et leur rendais juste après. Bien sûr, j’ai eu quelques ennuis des fois, mais tout le monde comprenait que je n’avais pas de mauvaise intention. Puis vient l’adolescence.
Je m’amusais à « emprunter » des choses de plus en plus précieuses, à aller de plus en plus loin. Puis, à la suite d’un pari avec un gamin de la maison verte, je ne me rappelle même plus qui, je suis partit en expédition dans la ville haute. J’aurais surement fini par le faire sans le pari, mais l’histoire veut que j’y sois allé à cause d’un pari.
J’ai donc choisi une cible, commencé à m’infiltrer et… me suis fait piéger. Je pourrais dire comme une débutante, mais ce serait faux. Le système de sécurité de la maison était incroyablement plus complexe que tout ce que j’avais pu voir.
Toujours est-il que malgré tous les témoignages comme quoi je ne volais jamais vraiment ni mes explications n’ont su convaincre le propriétaire qui m’a envoyé au poste. L’officier qui a traité mon cas a été compréhensif et, après avoir vérifié mes dires, m’avait donné une sentence symbolique de trois jours en prison. Malgré la faible durée du séjour, j’ai eu droit à un aperçu de ce que signifie l’expression « un ennui mortel ». Je pense qu’en à peine une semaine j’aurais commencé à frapper ma tête contre les murs de désespoir.
Le tournant a été à ce moment-là, dans cette cellule. La richesse absurde de cet homme, couplé à la profonde antipathie qu’il me provoquait m’avait conduit à réaliser que le vol n’est pas tout le temps mal. Bien sûr, faire souffrir les gens était hors de question aussi, mais prendre quelque chose dont il ne remarquerait même pas la disparition et qui nous permettrais de manger mieux que la pauvre cantine de la maison n’avait rien de condamnable.
J’ai repris mes emprunts classiques en sortant, cherchant véritablement à m’améliorer, mais sans montrer aux gens ce qu’avait été mon véritable objectif. Ou je me contentais de le toucher ou je prenais la chose et la ramenais sur place avant que le propriétaire n’ait pu le remarquer.
Près d’un an après ma prison, je suis retournée chez lui et j’ai récupéré des choses, le genre de babioles que l’on pose sur une étagère puis qu’on ne regarde plus jamais. Puis je suis allé voir un homme dont je savais qu’il avait des liens avec les mafias et j’ai fondu ces décorations kitchs en or et en argent brut. Je n’en ai évidemment pas eu pour leur vraie valeur, mais les pièces entre mes mains représentaient plus d’argent que je n’en avais vu de ma vie.
Pendant tout ce temps dédié à la préparation, je me disais que ce n’était qu’une fois, que j’arrêterais après ce seul vol. J’ai vraiment essayé de m’y tenir.
Puis vient la partie qui fait que je me rappelle encore de cette scène : le moment où elle retire le bain de sa tête, révélant des yeux avec une lueur d’incompréhension, noyée dans une fournaise de colère qui m’annonçait de très gros ennuis.
Je n’ai aucune idée de pourquoi j’ai aussi peur de l’eau. Je n’ai pu une seule fois rentrer ne serait-ce qu’un doigt dans un verre d’eau malgré tous les efforts que j’ai pu faire pour surpasser cette peur. Je peux boire et me laver avec un linge humide, mais pas aller plus loin. Je ne peux même pas sauter dans une flaque pour éclabousser mes amis !
Si on enlève ce détail, j’ai vécu une enfance normale pour une enfant de la Maison bleu. Une vie à courir les rues avec les autres, à me bagarrer, à manger le peu que l’on avait et à rentrer le soir dans une petite chambre qui ne contenait à peine plus qu’un lit. J’avais reçu la maigre éducation que les responsables pouvaient leur offrir avec des sentiments dépendant fortement de mon intérêt pour le sujet. Pour faire simple, j’ai adoré tout ce qui se rapportait à l’exploration et détesté le reste par ce que je n’arrivais jamais à rester concentré dessus pendant plus de 15 secondes.
Maman avait rapidement compris et trouvait toujours le moyen de relier tout ce que je pouvais étudier à l’exploration et aux terres inconnues, comme ça j’ai pu survivre aux interminable cours de géométries, même si le lien avec la triangularisation des étoiles pour trouver sa position s’était souvent trouvé trop tenu pour que j’arrive à rester réveillé.
Maman n’est évidemment pas ma mère biologique, mais je l’aime comme telle. Et elle m’aime comme une fille. Ce n’était pas la seule à s’occuper de moi et je n’étais pas la seule dont elle s’occupait, mais nous nous sommes choisis, voilà tout. Je pourrais vous raconter des anecdotes sur comment elle a pu prendre soin de moi ou comment j’ai pu lui montrer que je l’aimais, mais vu comme je suis douée pour raconter ce genre de moment, vous vous ennuieriez plus que moi devant un cours expliquant le système gouvernemental.
J’ai aussi deux enfants que je considère comme mes frères et sœurs : Charlotte a trois ans de plus que moi et est partie faire ses classes dans la marine, et Noa qui a quatre ans de moins que moi et une capacité à supporter les cours qui m’impressionne et fait penser à tout le monde qu’il finira par trouver un bon métier et sortir de la basse-ville. Ah, oui. J’ai 20 ans.
De mon côté, je vole pour vivre. Charlotte est au courant, ça la gêne mais elle comprend. Ça avait commencé un jeu : je piquais des choses aux autres enfants, aux adultes aux alentours et leur rendais juste après. Bien sûr, j’ai eu quelques ennuis des fois, mais tout le monde comprenait que je n’avais pas de mauvaise intention. Puis vient l’adolescence.
Je m’amusais à « emprunter » des choses de plus en plus précieuses, à aller de plus en plus loin. Puis, à la suite d’un pari avec un gamin de la maison verte, je ne me rappelle même plus qui, je suis partit en expédition dans la ville haute. J’aurais surement fini par le faire sans le pari, mais l’histoire veut que j’y sois allé à cause d’un pari.
J’ai donc choisi une cible, commencé à m’infiltrer et… me suis fait piéger. Je pourrais dire comme une débutante, mais ce serait faux. Le système de sécurité de la maison était incroyablement plus complexe que tout ce que j’avais pu voir.
Toujours est-il que malgré tous les témoignages comme quoi je ne volais jamais vraiment ni mes explications n’ont su convaincre le propriétaire qui m’a envoyé au poste. L’officier qui a traité mon cas a été compréhensif et, après avoir vérifié mes dires, m’avait donné une sentence symbolique de trois jours en prison. Malgré la faible durée du séjour, j’ai eu droit à un aperçu de ce que signifie l’expression « un ennui mortel ». Je pense qu’en à peine une semaine j’aurais commencé à frapper ma tête contre les murs de désespoir.
Le tournant a été à ce moment-là, dans cette cellule. La richesse absurde de cet homme, couplé à la profonde antipathie qu’il me provoquait m’avait conduit à réaliser que le vol n’est pas tout le temps mal. Bien sûr, faire souffrir les gens était hors de question aussi, mais prendre quelque chose dont il ne remarquerait même pas la disparition et qui nous permettrais de manger mieux que la pauvre cantine de la maison n’avait rien de condamnable.
J’ai repris mes emprunts classiques en sortant, cherchant véritablement à m’améliorer, mais sans montrer aux gens ce qu’avait été mon véritable objectif. Ou je me contentais de le toucher ou je prenais la chose et la ramenais sur place avant que le propriétaire n’ait pu le remarquer.
Près d’un an après ma prison, je suis retournée chez lui et j’ai récupéré des choses, le genre de babioles que l’on pose sur une étagère puis qu’on ne regarde plus jamais. Puis je suis allé voir un homme dont je savais qu’il avait des liens avec les mafias et j’ai fondu ces décorations kitchs en or et en argent brut. Je n’en ai évidemment pas eu pour leur vraie valeur, mais les pièces entre mes mains représentaient plus d’argent que je n’en avais vu de ma vie.
Pendant tout ce temps dédié à la préparation, je me disais que ce n’était qu’une fois, que j’arrêterais après ce seul vol. J’ai vraiment essayé de m’y tenir.
Informations IRL
• Prénom :Quentin
• Age : 22 ans
• Aime : le canard
• N'aime pas : la chaleur
• Personnage préféré de One Piece :
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? C’est toujours plus agréable de savoir avec qui on écrit...
• Fait du RP depuis : chais plus
• Disponibilité approximative :
• Comment avez-vous connu le forum ?
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Ewen Chantenuit le Jeu 22 Oct 2020 - 13:00, édité 1 fois