Shell town, une ville pour le moins sympathique offrant énormément de possibilité. Que ce soit d’un point de vue élimination, ou destruction total, tout était possible. Après avoir débarqué grâce à un navire marchand, je marchais lentement dans la rue comme si de rien était. Quelque personne me regardaient, s’éloignant parfois de moi comme si de rien était. Calme, le visage serein, je me préparer à me venger. En effet, plusieurs jours auparavant, j’avais apprit que le marine qui m’avait privé de 25 millions de berry en brûlant un plan siéger dans cette ville. La vengeance est un plat qui se mange froid, néanmoins, la viande tiède et bien meilleurs et je compté bien le manger avant que son corps ne soit refroidit par la mort.
Je m’avançais tranquillement, habillé comme un civil, portant un simple jeans et un tee-shirt blanc, je n’avais prit que mon katana ainsi que ma dague laissant mon sabre au bon soin d’une petit cachette sur orange. Il me faudrait aller récupérer mes possessions un jour où bien tout laisser las bas. Cela n’avait pas vraiment d’importance. Le soleil était haut dans le ciel, il n’était pas encore midi et pourtant, la chaleur était fortement présente. Une goute de sueur coula lentement sur ma nuque tandis que je respirais un bon coup avant d’avancer dans le QG. L’homme que je me préparais à affronter était fort, je l’avais déjà combattu une foi. Sa technique de combat était impressionnante et l’avait sans aucun doute protégé de nombreuse attaque au cours de sa carrière. Néanmoins, depuis notre rencontre j’avais beaucoup réfléchis et avait fini par opter pour une contre attaque simple et efficace. En effet, une technique comme celle la demandait un déplacement extrêmement rapide et donc un bon jeux de jambes. Mais bouger les jambes lorsque l’on a l’impression d’avoir un tendon déchiré n’était pas si simple que sa.
Je souris me léchant avidement les lèvres avant d’entendre mon estomac grognait. Il était sans doute plus tard que je ne le pensais et mon estomac réclamer à manger. Je soupirais levant les yeux au ciel et finis par me décider de le contenter. En effet, il faudrait sans doute que je fuis après avoir tuer cet homme et manger au beau milieu d’une fuite n’est pas la meilleure façon de s’échapper. Attrapant un passant d’une main, je lui demandais dans qu’elle direction je pouvais trouver un restaurant. Il me regarda avec des yeux noire et voyant que je n’allais pas le lâcher avant qu’il ne me donne une réponse, il m’indiqua la direction à prendre. Avec des gestes brusque il tenta de se dégager et je fini par le lâcher comme un vulgaire insecte pour lequel j’aurais perdus toute intérêt. D’un pas rapide, pressé de finir mon repas, je me dirigeais dans la direction indiqué, légèrement en aval de ma position actuelle.
L’établissement fus extrêmement facile à trouver, en effet, un restaurant se démarque facilement par rapport aux autres. Je pénétrais donc dans celui-ci comme si j’étais chez moi et alla m’assoir à une table. Commandant un repas simple mais consistant, je reçus une bonne dizaine de minutes plus tard, une assiette de frites ainsi qu’un bon steak que je payais sans protester. M’attaquant avidement au repas, je savourais comme il se devait la viande au goût magnifique. Les frites, d’une banalité mortel n’avait en elle-même rien de spécial et servaient uniquement à remplir mon ventre. Le tout était accompagné d’un verre d’eau et d’une carafe elle-même remplis de se breuvage servant à désaltéré tout être vivant. Je prenais mon temps, le marine n’allait pas s’échapper. J’étais venus jusqu’à cette endroit sans aucun autre plan que le moment ou je pourrais enfin le tuer. Et pourtant, il faudrait bien que j’accède jusqu’à lui.
Je m’avançais tranquillement, habillé comme un civil, portant un simple jeans et un tee-shirt blanc, je n’avais prit que mon katana ainsi que ma dague laissant mon sabre au bon soin d’une petit cachette sur orange. Il me faudrait aller récupérer mes possessions un jour où bien tout laisser las bas. Cela n’avait pas vraiment d’importance. Le soleil était haut dans le ciel, il n’était pas encore midi et pourtant, la chaleur était fortement présente. Une goute de sueur coula lentement sur ma nuque tandis que je respirais un bon coup avant d’avancer dans le QG. L’homme que je me préparais à affronter était fort, je l’avais déjà combattu une foi. Sa technique de combat était impressionnante et l’avait sans aucun doute protégé de nombreuse attaque au cours de sa carrière. Néanmoins, depuis notre rencontre j’avais beaucoup réfléchis et avait fini par opter pour une contre attaque simple et efficace. En effet, une technique comme celle la demandait un déplacement extrêmement rapide et donc un bon jeux de jambes. Mais bouger les jambes lorsque l’on a l’impression d’avoir un tendon déchiré n’était pas si simple que sa.
Je souris me léchant avidement les lèvres avant d’entendre mon estomac grognait. Il était sans doute plus tard que je ne le pensais et mon estomac réclamer à manger. Je soupirais levant les yeux au ciel et finis par me décider de le contenter. En effet, il faudrait sans doute que je fuis après avoir tuer cet homme et manger au beau milieu d’une fuite n’est pas la meilleure façon de s’échapper. Attrapant un passant d’une main, je lui demandais dans qu’elle direction je pouvais trouver un restaurant. Il me regarda avec des yeux noire et voyant que je n’allais pas le lâcher avant qu’il ne me donne une réponse, il m’indiqua la direction à prendre. Avec des gestes brusque il tenta de se dégager et je fini par le lâcher comme un vulgaire insecte pour lequel j’aurais perdus toute intérêt. D’un pas rapide, pressé de finir mon repas, je me dirigeais dans la direction indiqué, légèrement en aval de ma position actuelle.
L’établissement fus extrêmement facile à trouver, en effet, un restaurant se démarque facilement par rapport aux autres. Je pénétrais donc dans celui-ci comme si j’étais chez moi et alla m’assoir à une table. Commandant un repas simple mais consistant, je reçus une bonne dizaine de minutes plus tard, une assiette de frites ainsi qu’un bon steak que je payais sans protester. M’attaquant avidement au repas, je savourais comme il se devait la viande au goût magnifique. Les frites, d’une banalité mortel n’avait en elle-même rien de spécial et servaient uniquement à remplir mon ventre. Le tout était accompagné d’un verre d’eau et d’une carafe elle-même remplis de se breuvage servant à désaltéré tout être vivant. Je prenais mon temps, le marine n’allait pas s’échapper. J’étais venus jusqu’à cette endroit sans aucun autre plan que le moment ou je pourrais enfin le tuer. Et pourtant, il faudrait bien que j’accède jusqu’à lui.