Fango et Ivanka était assis à l'une des tables de l'un des nombreux café de Shell Town.
Ils avaient commandé des croissant accompagnés de deux cafés bien chaud.
Notre héros dégustait tranquillement son croissant quand son acolyte lui posa une question.
- Qu'allons nous faire aujourd'hui dit Ivanka d'un ton calme et posé.
Fango prit le temps d'avaler son croissant et répondit à la question d'Ivanka.
- Je crois que je vais aller m'entrainer, voudras tu m'accompagner ?
- Oui bien sur !
Dit Ivanka un grand sourire aux lèvres.
Il finirent de déguster tranquillement leurs repas puis avant de partir payèrent l'addition.
- Ou va tu aller t'entrainer demanda Ivanka à son capitaine.
- Sur la colline au sud de l'ile répondit il lentement.
Sur le chemin vers la colline Ivanka proposa à Fango de s'assoir sur un banc.
Il y avait déjà un enfant dégustant une glace à la texture jaune ainsi que la personne qui devait surement être son père à coté de lui.
Ivanka s'assit sur le banc et l'homme ne put se retenir de lâcher un regard sur la femme.
Gêné de l'acte qu'il venait de commettre il baissa alors rapidement les yeux et les gardas par terre.
Alors qu'il allait s'asseoir Fango entendit la glace de l'enfant s'écrouler au sol.
Il se pencha alors pour la ramasser et l'enfant se mit à pleurer.
Fango avait compris ...
Il avait une fois de plus effrayé des civils.
Le père de l'enfant leva la tête pour comprendre la situation et son visage se figea.
Il avait les yeux braqué sur l'horrible cicatrice de Fango, il commença alors à trembler et dit la voix tremblante.
- S'il vous plait prenez mon argent mais ne nous faites rien ... j'ai un fils !
Ivanka comprenant alors la situation pris Fango par la main et essaya de l'emmener avec elle, mais ce dernier ne bougeait pas.
- Qu'est ce que tu fait dit Ivanka avec un ton perplexe.
- Commence à avancer je te rejoindrai plus tard dit alors Fango, aucune émotion ne se dégageait de sa voix on aurait dit que ce n''était pas lui qui avait prononcé ces mots.
Ivanka jugea alors d'un regard perplexe l'homme qu'elle aimait et après quelque seconde parti vers le sud.
L'homme avait toujours le regard fixé sur le front de Fango et l'enfant quand à lui avait cesser de pleurer pour ne laisser échapper de lui que quelque gémissement.
Fango chercha alors quelque chose dans sa veste, il en ressortit alors 10 billets de 1 000 berry et les tendît au garçon.
- Jjje nne ... jeje nnne peut pas accepter cela de votre part dit l'homme en regardant Fango.
- Ça tombe bien car cette argent n'est justement pas fait pour vous dit notre héros.
Il prit alors la main de l'enfant et posa les billets dans sa main avant de partir sans aucun bruit.
Il marcha alors vers le sud pendant quelque minute lorsqu'il entendit du bruit dans une rue.
Un groupe de 5 hommes armés de fusils de chasse était en train d'entourer une femme, les passant faisant mine de rien pour éviter les problèmes.
C'est à ce moment qu'Ivanka apparut.
- Tu à été plus rapide que moi à ce que je vois dit t'elle avec ironie.
- Il faut dire que ce n'est pas vraiment compliquer dit alors calmement Fango.
Ivanka ne put se retenir de lâcher un sourire qu'elle n'arrivait d'ailleurs plus à dissimuler.
- Alors tu compte intervenir demanda t'elle à Fango en regardant la situation.
Il hocha la tête et s'avança vers le groupe d'individu.
L'homme qui devait surement être le chef de la bande posa sa main sur la cuisse de la dame et commença à se rapproché d'elle.
Fango sortit alors son sabre de son dos et le pointa derrière le coup de l'homme.
- Laisse la partir dit il à l'agresseur.
L'homme en question sentant la lame froide du sabre ne put s'empêcher de trembler et jeta la femme par terre.
- Et mec on peut s'arranger si tu veux des femmes yen à des centaines sur cette ile tu sait quoi on va faire un arrangement je te laisse celle la et toi tu me passe la bombasse qui est à tes coté.
- Je crois que tu n'est pas en faveur de dicter les règles dit alors Fango.
- Si je le crois dit alors l'homme en ricanant, ces hommes braquèrent alors leurs fusils de chasse sur Fango, il n'était pas sur d'eux et sa notre héros l'avait deviné.
L'agresseur posa son pied sur la gorge de la femme qui était couché par terre et pressa lentement sur son coup.
Tout à coup Ivanka laissa tomber son épée et se mit à pleurer.
- Je serais à vous si vous laisser partir mon amis et cette pauvre dame ! Fango lâche ton épée dit elle en criant.
Fango avait compris son plan il sourît alors et laissa tomber son épée.
Gagner ! se dit il dans sa tête.
- Baisser vos armes dit alors l'agresseur à c'est hommes de mains.
Il s'approcha d' Ivanka et la contempla en riant.
Elle avait les yeux baissé et pleurait maintenant en silence.
- Regarde moi quand je te parle dit il en ricanant.
Elle leva alors les yeux et lui dit.
- C'est toi qui ferait mieux de me regarder dans les yeux connard.
En une fraction de seconde elle décrocha un violent coup de coude qui frappa de plein fouet le visage de l'agresseur, ce dernier vola quelque mètres en arrière avant de s'écraser lourdement par terre.
Les hommes de main n'urent même pas le temps de relever leurs armes que Fango ramassa son sabre et leurs trancha à chacun les jambes.
La femme n'eut même pas le temps de les remercier qu'ils était déjà partit...
Ils avaient commandé des croissant accompagnés de deux cafés bien chaud.
Notre héros dégustait tranquillement son croissant quand son acolyte lui posa une question.
- Qu'allons nous faire aujourd'hui dit Ivanka d'un ton calme et posé.
Fango prit le temps d'avaler son croissant et répondit à la question d'Ivanka.
- Je crois que je vais aller m'entrainer, voudras tu m'accompagner ?
- Oui bien sur !
Dit Ivanka un grand sourire aux lèvres.
Il finirent de déguster tranquillement leurs repas puis avant de partir payèrent l'addition.
- Ou va tu aller t'entrainer demanda Ivanka à son capitaine.
- Sur la colline au sud de l'ile répondit il lentement.
Sur le chemin vers la colline Ivanka proposa à Fango de s'assoir sur un banc.
Il y avait déjà un enfant dégustant une glace à la texture jaune ainsi que la personne qui devait surement être son père à coté de lui.
Ivanka s'assit sur le banc et l'homme ne put se retenir de lâcher un regard sur la femme.
Gêné de l'acte qu'il venait de commettre il baissa alors rapidement les yeux et les gardas par terre.
Alors qu'il allait s'asseoir Fango entendit la glace de l'enfant s'écrouler au sol.
Il se pencha alors pour la ramasser et l'enfant se mit à pleurer.
Fango avait compris ...
Il avait une fois de plus effrayé des civils.
Le père de l'enfant leva la tête pour comprendre la situation et son visage se figea.
Il avait les yeux braqué sur l'horrible cicatrice de Fango, il commença alors à trembler et dit la voix tremblante.
- S'il vous plait prenez mon argent mais ne nous faites rien ... j'ai un fils !
Ivanka comprenant alors la situation pris Fango par la main et essaya de l'emmener avec elle, mais ce dernier ne bougeait pas.
- Qu'est ce que tu fait dit Ivanka avec un ton perplexe.
- Commence à avancer je te rejoindrai plus tard dit alors Fango, aucune émotion ne se dégageait de sa voix on aurait dit que ce n''était pas lui qui avait prononcé ces mots.
Ivanka jugea alors d'un regard perplexe l'homme qu'elle aimait et après quelque seconde parti vers le sud.
L'homme avait toujours le regard fixé sur le front de Fango et l'enfant quand à lui avait cesser de pleurer pour ne laisser échapper de lui que quelque gémissement.
Fango chercha alors quelque chose dans sa veste, il en ressortit alors 10 billets de 1 000 berry et les tendît au garçon.
- Jjje nne ... jeje nnne peut pas accepter cela de votre part dit l'homme en regardant Fango.
- Ça tombe bien car cette argent n'est justement pas fait pour vous dit notre héros.
Il prit alors la main de l'enfant et posa les billets dans sa main avant de partir sans aucun bruit.
Il marcha alors vers le sud pendant quelque minute lorsqu'il entendit du bruit dans une rue.
Un groupe de 5 hommes armés de fusils de chasse était en train d'entourer une femme, les passant faisant mine de rien pour éviter les problèmes.
C'est à ce moment qu'Ivanka apparut.
- Tu à été plus rapide que moi à ce que je vois dit t'elle avec ironie.
- Il faut dire que ce n'est pas vraiment compliquer dit alors calmement Fango.
Ivanka ne put se retenir de lâcher un sourire qu'elle n'arrivait d'ailleurs plus à dissimuler.
- Alors tu compte intervenir demanda t'elle à Fango en regardant la situation.
Il hocha la tête et s'avança vers le groupe d'individu.
L'homme qui devait surement être le chef de la bande posa sa main sur la cuisse de la dame et commença à se rapproché d'elle.
Fango sortit alors son sabre de son dos et le pointa derrière le coup de l'homme.
- Laisse la partir dit il à l'agresseur.
L'homme en question sentant la lame froide du sabre ne put s'empêcher de trembler et jeta la femme par terre.
- Et mec on peut s'arranger si tu veux des femmes yen à des centaines sur cette ile tu sait quoi on va faire un arrangement je te laisse celle la et toi tu me passe la bombasse qui est à tes coté.
- Je crois que tu n'est pas en faveur de dicter les règles dit alors Fango.
- Si je le crois dit alors l'homme en ricanant, ces hommes braquèrent alors leurs fusils de chasse sur Fango, il n'était pas sur d'eux et sa notre héros l'avait deviné.
L'agresseur posa son pied sur la gorge de la femme qui était couché par terre et pressa lentement sur son coup.
Tout à coup Ivanka laissa tomber son épée et se mit à pleurer.
- Je serais à vous si vous laisser partir mon amis et cette pauvre dame ! Fango lâche ton épée dit elle en criant.
Fango avait compris son plan il sourît alors et laissa tomber son épée.
Gagner ! se dit il dans sa tête.
- Baisser vos armes dit alors l'agresseur à c'est hommes de mains.
Il s'approcha d' Ivanka et la contempla en riant.
Elle avait les yeux baissé et pleurait maintenant en silence.
- Regarde moi quand je te parle dit il en ricanant.
Elle leva alors les yeux et lui dit.
- C'est toi qui ferait mieux de me regarder dans les yeux connard.
En une fraction de seconde elle décrocha un violent coup de coude qui frappa de plein fouet le visage de l'agresseur, ce dernier vola quelque mètres en arrière avant de s'écraser lourdement par terre.
Les hommes de main n'urent même pas le temps de relever leurs armes que Fango ramassa son sabre et leurs trancha à chacun les jambes.
La femme n'eut même pas le temps de les remercier qu'ils était déjà partit...