>> Pludbus Céldèborde
Pseudonyme : Le viok, le chieur, Pludbus la chance Age: approximativement 90 ans Sexe : homme, enfin, ce qui en reste Race : humain, sous-catégorie : ancêtre (voir vieux débris) Rang : Inconnu. Métier : Grosse Epine dans le pied de la Marine, Mascotte Groupe : Marine But : Survivre. S'occuper. Étaler son expérience à la bleusaille. Trouver l'âme sœur. Trouver un moyen de vivre plus longtemps afin de continuer à faire ce qu'il fait. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Moyen qui lui permettrait d'être immortel Équipements : Un porte feuille pas trop vide, un canne solide et une trousse blindé d'anti-douleurs et de médocs. Codes du règlement (2) : |
>> Physique Droit comme un piquet, il ferait une taille respectable. Les aléas de la vieillesse en ont décidé autrement. Courbé en avant, il ne dépasse pas le mètre dix ; en effet, il est bossu. Les membres fragiles, il lui arrive de trembloter, mais il ne veut jamais l'avouer. Sa peau est rêche et couverte de cicatrices ; souvenirs de batailles parfois gagnées, souvent perdues. Ses nombreuses rides en disent long sur son âge avancé et vous n'avez pas encore vu tous les effets secondaires de la vieillesse. C'est à en vous donner l'envie de vous flinguer avant le cap fatidique. Pourtant, Pludbus le vit assez bien, malgré la tonne de médicaments qu'il doit prendre chaque jour. Son visage est marqué par la vieillesse et semble mort. Seuls ses yeux, toujours aussi vifs, éclairent ce masque marqué par les âges. Il laisse pousser sa barbe et ses cheveux plus par flemme que par envie de ressembler à n'importe quoi. Il aime dire que ce sont les seules choses qu'il arrive encore à faire pousser chez lui. Comme on peut s'en douter, Pludbus ne court pas très vite. C'est à peine si on peut dire qu'il marche moyennement lentement. Son rythme d'escargot est inversement proportionnel à son rythme de parole. Une vraie pipelette ! Avec le temps, il s'est mis à parler en mâchant les mots, utilisant nombre de juron et de bruits à la signification encore indéfinie. Au cours d'une journée standard, Pludbus ne cessera de se plaindre de ses douleurs articulaires, de son lumbago et de ses hémorroïdes, mais ce n'est que la partie émergente ! Son foie fait des siennes. Son système gastrique le lâche souvent. Alzheimer s'accroit de jour en jour. Pludbus est comme un bateau en train de couler. Il a des fuites de tous les côtés et il se fait bouffer par les termites, mais même ainsi, il continue de rester fièrement à la barre, colmatant comme il peut à grand coup de suppositoires. >> Psychologie Avant toute chose, il faut éviter de croiser la route de Pludbus. Ce n'est pas qu'il est capable de vous mettre des bâtons dans les roues, c'est juste qu'il est chiant au-delà du possible. Il se croit utile, expérimenté et indispensable aux marines, alors que c'est tout le contraire. Sa seule utilité ? Faites le contraire de ce qu'il dit et vous survivrez. Pludbus est un vantard qui ne cesse de parler de ses faits d'armes un tantinet lamentables, mais qu'il ne cesse d'enjoliver après chaque récit. Il est impossible de discerner le vrai du faux, mais, à chaque fois où il est à son avantage, il est impossible que ce soit vrai. Certes, il a fait de bonnes choses, mais c'est essentiellement dû à sa chance insolente qui semble le protéger à vie. Il ressort toujours vivant des pires situations et d'étranges concours de circonstances lui permettent d'obtenir ce qu'il veut. Pour lui, c'est le destin. Pour d'autres, c'est de la grosse malchance. Même s'il n'est plus apte à combattre, Pludbus souhaite aider de tout son possible la marine. Il cherche à entrainer les jeunes marines, il donne des conseils aux officiers. Le plus souvent, on l'écoute d'une oreille discrète. Il ne s'en rend pas tout le temps compte, heureusement. Pludbus est, malgré ses défauts, quelqu'un de sympathique. Il aime rire et raconter des blagues rarement marrantes. Soyez gentil, faites semblant de rire, ça lui fera plaisir. Même s'il est vieux, Pludbus n'a pas perdu espoir de trouver l'âme sœur pour le plus grand désespoir de toutes les gentes dames qu'il croise. Pour lui, entre faire la cour et faire le voyeur lubrique, il n'y a pas de différence. On peut comprendre alors son peu de réussite dans cet exercice de charmes. Les marines féminins ont pour habitude d'éviter le plus possible le « vieux schnock » comme on l'appelle afin d'éviter les mains baladeuses. Enfin, Pludbus est lâche, mais il ne veut pas l'admettre. Pour survivre à cette âge, il faut bien faire avec quelques subtilités inavouables. Son honneur l'importe beaucoup, mais il le défend à coup de couteau dans le dos et de pièges en traitre. Toutefois, vous ne risquez pas grand chose contre lui. Il tient plus à sauver ce qu'il lui reste de corps plutôt que d'effectuer une action d'éclat. Quoique, avec sa malchance chanceuse, il est capable de se mettre dans le pétrin et d'en sortir grandi. Heureusement, c'est rare. >> Biographie La vie de Pludbus, c'est ses compatriotes de l'hospice qui pourrait vous la raconter. Beaucoup y sont dans des états plus ou moins lamentables par sa faute, mais, cela, vous allez le découvrir. Pludbus s'est fait un nom chez les marines. Pas le genre de nom que l'on murmure avec crainte et respect, mais qu'on sort lors de soirée bien arrosé lorsque la discussion dérive vers les pires buses de la Marine. Voici maintenant l'histoire de Pludbus, l'homme le plus chanceux au monde au détriment de ceux qui l'entourent, raconté comme aime faire les hommes ivres dans les bars. La fabuleuse épopée commence il y a moins d'un siècle en arrière. Son père était marine, sa mère élevait les gosses. Avec six garçons pour s'occuper, madame Céldèborde avait beaucoup à faire, surtout que son honorable mari était rarement là. Comble de son bonheur, les six rejetons, dont les ressemblances troublantes avec leur père laissaient croire au clonage, voulaient tous devenir comme leur père. Pludbus, dernier de la fratrie, put alors profiter de l'expérience de ses ainés ; quand il est né, son plus grand frère était déjà sous les drapeaux. Passons sur sa jeunesse, qui fut jalonnée d'entrainement et de cours théorique militaire payé par son père, suivant les traces de ses frères marines. Reprenons l'histoire à ses vingt ans. Il entre enfin dans la marine. Ses frères sont soit morts, soit à des grades respectables. Obligation fraternelle oblige, ils font de nombreux sacrifices afin d'amener leur plus jeune frère au plus haut niveau en peu de temps. À cette époque, Pludbus était totalement aspiré par son travail. Sa vie sociale n'existait pas. Il ne faisait qu'accomplir des missions, grimper des échelons et s'entrainer. Il n'était pas ce qu'on pouvait appeler un puissant soldat. Il perdait plus souvent qu'il ne gagnait, mais sa chance insolente le préservait, à la différence de ses collègues de travail qui commençaient à s'entasser dans les cimetières. Cela dura une trentaine d'années. Quelques jolis coups de filet dus à la chance lui valurent une certaine estime de ses supérieurs. Pendant ce temps, les rares frères qui lui restaient étaient devenus des pensionnaires à vie des différentes maisons de repos de la Marine. Désormais que Pludbus était son dernier fils encore entier, sa mère voulut lui trouver une place auprès d'une dame afin qu'il puisse mener une existence tranquille en donnant à sa mère les petits-enfants qu'elle méritait. À l'inverse, ce qui restait de son père ne voulait pas qu'il s'arrête en si bon chemin. Il pesa de tout son poids pour qu'il ait l'opportunité de grimper dans les plus hautes strates de la hiérarchie. Entre sa mère et son père, il choisit ce dernier. Les femmes ne l'intéressaient pas, ce qui n'était pas le cas de préservation de la paix. Sa mère périt peu après de chagrin, tout comme son père, mais d'une balle un peu trop bien ajustée qui vint se loger dans sa caboche. Il devint alors Amiral, une grande partie des marines étaient déjà choquées. Certes, il avait de la chance, il avait survécu, mais il était loin d'être puissant. Sa chance de cocu ne s'arrêta pas là. À cause d'un certain concours de circonstances, on le nomma au poste le plus haut. Amiral en chef. Ce fut le choc chez tous les marines du monde. Ce fut sans nul doute le pire Amiral en chef qu'ait connu la Marine. Les décisions qu'il prenait étaient irrémédiablement mauvaises et les bonnes n'étaient prises que grâce aux insistances de ses conseillers. Heureusement, il ne se passa rien de bien particulier pendant ses trois années au poste suprême. Après nombre de tractations, on trouva le moyen de le remplacer. Redevenu vice-amiral, il revint à sa tache première : combattre le mal sur les mers. Il va sans dire que, depuis lors, son équipage était composé totalement de designer volontaire. Menacer les mauvais marines d'être muté sous les ordres du vice-amiral Céldèborde suffisait à les faire rentrer dans le rang. Pludbus n'en avait pas conscience, certains de ses qualités et de son expérience redoutable. Passé la soixantaine, la vieillesse commença à se faire sentir, mais Pludbus ne voulait pas s'arrêter, même si l'ensemble des hauts gradés était pour une mise au placard. C'est à ce moment-là que sa soif de justice disparut petit à petit. Il se mit à rêver d'une donzelle à épouser, mais il se rendit compte que rares étaient les candidates à son bras. Après avoir essayé de nombreuses fois, il finit par se consoler uniquement dans les bras de professionnelles d'un soir. Il continua alors à servir, inlassablement. La marine était toute sa vie, il ne voulait pas la quitter. Désormais complètement inutile, il se contentait de commander, amassant un petit pactole du fait qu'il consommait rarement en dehors des bâtiments de la marine. Approchant les quatre-vingts ans, l'Amiral en chef de l'époque, voyant qu'il ne pensait toujours pas à la retraite, lui intima de quitter la marine. C'était sans compter l'envie de rester de Pludbus. Il le menaça de divulguer la totalité des informations qu'il possédait à la révolution si on l'obligeait à quitter la Marine. Il faut dire qu'en ayant voyagé sur toutes les mers, Pludbus connaissait beaucoup trop de secrets et d'informations confidentielles. Il pouvait vous raconter les effectifs complets de chaque base de la marine. De telles informations ne pouvaient être divulguées. À contrecœur, Pludbus fut autorisé à rester, sous certaines conditions. Il n'était plus vice-amiral. Il était juste… là. Ayant suffisamment de pouvoir pour se faire respecter de la bleusaille, il n'en avait aucune sur le reste. Les capitaines de navires se le passaient l'un l'autre quand ils en avaient l'occasion. Il devenait la mascotte d'une mission pour les hommes qui faisait alors tout pour ne pas lui ressembler. Il s'en contentait. Bien sûr, il faisait toujours le fier en prétextant être un grand officier, mais il n'était guère plus écouter qu'un sac de patates et encore moins utile que ce dernier. Encore aujourd'hui, il vogue sur les océans. Vieillissant lentement comme un bon cru. Les rumeurs continuaient de circuler sur son compte. Il continue à être trimballé de navire en navire, souvent comme punition pour un capitaine. Depuis quelque temps, il s'est mis en tête de devenir immortel. Pourquoi ça ? Tout simplement pour rester à jamais dans la marine. Il compte bien trouver ce qu'il cherche même si les officiers de la marine n'ont pas follement envie que cela arrive, comme on les comprend. >> Test RP Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. |
NB : J'ai parfaitement conscience que je me suis permis certaines choses pour ce personnage. Tout cela a été fait pour le rendre intéressant sur son caractère et sur ce qu'il a dire.
Du fait de son grand âge, je demanderais un plafond maximum de 8 dorikis en terme de puissance effective, si possible.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL
- Prénom : Baptiste
Age : Je vais sur mes 21 ans
Aime : Le Rugby, geeker, lire, la musique
N'aime pas : les trucs peoples, être malade
Personnage préféré de One Piece : Akainu, Fukurou
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Calme, mais déconneur. Toujours prêt à dégainer en discussion, complexe d'infériorité, campeur de CB
Fais du RP depuis : Plus de cinq ans
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif)Tout le temps sauf trucs exceptionnelles
Comment avez vous connu le forum ? Six mois que je pèse le pour et le contre après qu'on m'en a parlé.
Dernière édition par Pludbus Céldèborde le Ven 29 Juil 2011 - 7:20, édité 2 fois