Mallory Murphy
• Pseudonyme : “Lucky ”
• Age : 21 ans (Le 13 Octobre 1606, étrangement ce n’était pas un vendredi)
• Sexe : Femme
• Race : Femme-poisson (peau bleu)
• Métier : N’a pas cette chance
• Groupe : Civil
• Age : 21 ans (Le 13 Octobre 1606, étrangement ce n’était pas un vendredi)
• Sexe : Femme
• Race : Femme-poisson (peau bleu)
• Métier : N’a pas cette chance
• Groupe : Civil
• But : Retourner au port des jumeaux et accessoirement trouver un porte-bonheur digne de ce nom, une incantation ou qu’un prince charmant ou qu’une princesse descende du ciel et vient mettre fin à son maléfice d’un doux baiser, n’importe quoi pour se débarrasser de cette poisse!
• Équipement : Joli peigne en ivoire « porte-bonheur »
• Parrain : Nope
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? tout beau tout neuf
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement :
• Équipement : Joli peigne en ivoire « porte-bonheur »
• Parrain : Nope
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? tout beau tout neuf
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement :
Description Physique
Quand Mallory dédale aléatoirement, les simples et bons gens qu’elle rencontre ont une vilaine manie de baisser les yeux, ce qui n’est pas très sympa, ou encore de la dévisagée, ce qui l’est encore moins. Bon, il est vrai qu’il y a PEUT-ÊTRE quelque chose d’intimidant ou de singulier dans une femme de 2 mètres 15, assez musclée pour forcer le respect, munie d’une dentition que plusieurs croyaient réservés aux ogres et loups de conte de fée et recouverte de nombreuses cicatrices. Sans mentionner ce regard impassible et ces yeux cramoisis… Et puis il y a la couleur cyan de sa peau, nageoire dorsale, branchies et autres petits détails qui laissent deviner son origine et suffisent quelques fois pour se faire coller une étiquette de monstre marin sanguinaire.
Mais tout ça ce ne sont que des suppositions à la mords-moi-le-nœud. Mallory n’a rien d’une combattante d’anthologie, pour dire, la majorité de ses cicatrices font suite à de vilaines chutes dans les escaliers ou d’autre accidents tout aussi banals. Son regard inexpressif n’est pas celui d’un prédateur, davantage celui d’un poisson mort. Il est vrai qu’il y a quelques inconvénients à posséder une carrure qui invite les autres à libérer le trottoir. Entre autres, rare sont les passants qui viennent la complimenter sur sa longue tignasse bleue d’outremers, infailliblement brosser, peignée et tressée à tous les matins. Ses cheveux sont magnifique! Dommage que son auditoire préfère regarder le bout de leurs godasses… Et que le reste de son accoutrement ne décrit pas la même élégance. Elle porte une salopette en denim, salopette qui a vu de meilleurs jours, tailladée à plusieurs endroits et laissant apparaitre par endroit le bleu de ses jambes, elle pourrait toujours défendre que ce soit par effet de style, mais bon…
Mallory bat la semelle sur les routes (du moins si elle portait des chaussures) en trainant du pied et en affichant une mine déconfite, s’il y a bien un avantage à être aussi intimidante c’est qu’on vous laisse tranquille. Pas que la fille soit timide, ou souffre d’un quelconque problème d’élocution, elle a d’ailleurs une très jolie voix, bien qu’un peu monotone et abattue, elle est exceptionnellement douce pour quelqu’un de sa taille. Elle est une femme de peu de mots, préférant les phrases courtes, concises et précises, laissant le moins de place possible aux malentendus.
Quand ceux-ci montrent inévitablement le bout de leur nez, le débit des paroles s’accélèrent
saccrifiant la cohérence au passage, un ultime effort pour se libérer de ce terrain glissant. Son visage, instinctivement, se déforme dès que la situation s’envenime. Ses yeux tentent de se cacher dans leurs orbites, sa bouche se crispe en une hideuse grimace et sa respiration devient sifflante. Une expression facilement reconnaissable qui réapparait souvent sur le visage de la jeune femme, sa manière bien à elle de se préparer pour les coups du destin qu’elle sait qu’elle va se manger en pleine poire. Et quand la pression devient intenable, pour éviter qu'elle force le premier venu à avaler ses dents, elle décompresse générallement en en mâchonnant nerveusement des trucs trouvés sur place, passant d'un simple bâton, une chaussure de cuir à un barreau de fer selon ce qu'elle a sous la main, la force de ses mâchoires est suffisante pour les rendre méconaissable. ... Gardez tout de même un oeil sur votre jambe de bois si elle s'énerve en vôtre présence
Mais tout ça ce ne sont que des suppositions à la mords-moi-le-nœud. Mallory n’a rien d’une combattante d’anthologie, pour dire, la majorité de ses cicatrices font suite à de vilaines chutes dans les escaliers ou d’autre accidents tout aussi banals. Son regard inexpressif n’est pas celui d’un prédateur, davantage celui d’un poisson mort. Il est vrai qu’il y a quelques inconvénients à posséder une carrure qui invite les autres à libérer le trottoir. Entre autres, rare sont les passants qui viennent la complimenter sur sa longue tignasse bleue d’outremers, infailliblement brosser, peignée et tressée à tous les matins. Ses cheveux sont magnifique! Dommage que son auditoire préfère regarder le bout de leurs godasses… Et que le reste de son accoutrement ne décrit pas la même élégance. Elle porte une salopette en denim, salopette qui a vu de meilleurs jours, tailladée à plusieurs endroits et laissant apparaitre par endroit le bleu de ses jambes, elle pourrait toujours défendre que ce soit par effet de style, mais bon…
Mallory bat la semelle sur les routes (du moins si elle portait des chaussures) en trainant du pied et en affichant une mine déconfite, s’il y a bien un avantage à être aussi intimidante c’est qu’on vous laisse tranquille. Pas que la fille soit timide, ou souffre d’un quelconque problème d’élocution, elle a d’ailleurs une très jolie voix, bien qu’un peu monotone et abattue, elle est exceptionnellement douce pour quelqu’un de sa taille. Elle est une femme de peu de mots, préférant les phrases courtes, concises et précises, laissant le moins de place possible aux malentendus.
Quand ceux-ci montrent inévitablement le bout de leur nez, le débit des paroles s’accélèrent
saccrifiant la cohérence au passage, un ultime effort pour se libérer de ce terrain glissant. Son visage, instinctivement, se déforme dès que la situation s’envenime. Ses yeux tentent de se cacher dans leurs orbites, sa bouche se crispe en une hideuse grimace et sa respiration devient sifflante. Une expression facilement reconnaissable qui réapparait souvent sur le visage de la jeune femme, sa manière bien à elle de se préparer pour les coups du destin qu’elle sait qu’elle va se manger en pleine poire. Et quand la pression devient intenable, pour éviter qu'elle force le premier venu à avaler ses dents, elle décompresse générallement en en mâchonnant nerveusement des trucs trouvés sur place, passant d'un simple bâton, une chaussure de cuir à un barreau de fer selon ce qu'elle a sous la main, la force de ses mâchoires est suffisante pour les rendre méconaissable. ... Gardez tout de même un oeil sur votre jambe de bois si elle s'énerve en vôtre présence
Description Psychologique
Le monde est un endroit merveilleux, mais Mallory voudrait savoir ce qu’elle lui a fait pour rentrer dans ses mauvaises grâces. Depuis qu’elle est toute jeune, Mallory porte la poisse, autant à elle-même qu’aux gens de son entourage. Alors oui, se faire frapper par la foudre une fois on peut croire à l’accident, mais maintenant qu’elle n’a plus assez de doigts pour les compter, c’est une tentative de meurtre! Il ne faut pas être étonnée que Mallory n’a pas le goût de sourire, depuis qu’elle est toute petite les coups du destin s’amusent à la renvoyer dans les cordes.
Elle n’a plus besoins de demander SI la malchance va s’abattre sur elle, elle se demande QUAND. C’est une épée de Damoclès, mais après toutes ses années elle a perdue de son tranchant. Mallory continue à vivre sa vie, ne bronchant à peine désormais quand un serveur renverse un troisième pichet sur une robe qu’elle s’était achetée pour l’occasion, qu’une bourrasque inattendue l’envoie dévaler une colline à toute allure… Bien sûr qu’elle un poil parano, elle sait pertinemment que tout ce qui l’entoure est source de calamités! Mais elle ne fait pas plus d’efforts que ça pour les éviter, on est habitué à force!
Mais ça se n’est que pour les petits accidents, dès qu’elle remarque qu’une situation pue des pieds, elle préfère prendre la poudre d’escampette ou mentir pour se sortir de situations périlleuses que de se battre vaillamment jusqu’au dernier souffle. Malheureusement, il arrive souvent que ses excuses et tentatives d’évasions ne font que l’enfoncer plus profondément dans le guêpier. Une fois qu’elle a compris qu’il n’y a plus d’échappatoire, que son visage fut de nouveau déformé par une énième grimace, elle accepte tristement son sort. Elle serre les dents et elle espère que ça passe en entendant une autre occasion pour filer discrètement. Mais sa patience à tout de même des limites, si les malheurs se succèdent sans temps de répis elle risque fortement de péter un plomb, les dégâts collatéraux peuvent rapidement s'accumuler si elle ne trouve rien à ce mettre sous la dent...
Si quelqu’un lui cherche des noises alors là attention! Vous ne verrez PERSONNE capable de s’enfuir aussi lâchement. Elle est certaine de trébucher quelques mètres plus loin et d’y laisser des plumes, mais au moins elle ne finira pas découpée en rondelle! Elle n’exposera que ses habilités qu’une fois dos au mur. Je tiens à rappeler que l’on parle toujours d’une femme-poisson de plus de deux mètres… Faites gaffe quand même!
Dans sa jeunesse elle ne sortait pas beacoup, Reverse Mountain n'était pas un endroit propice pour se faire des copains, la vie en dehors de son nid douillet c'est encore tout nouveau pour elle, et à ses yeux, toutes ses nouveautés ne sont que des sources de désastres potentielles! Pareils pour les personnes qu'elle rencontre sur son chemin. Elle est curieuse de découvrir le monde, mais bon... Ce n'est pas nécessaire et elle ne croit pas que le risque en vaut la chandelle. Si on lui donne le choix, elle préfère les endroits calmes, des activités tranquilles que l'on peut partager avec des gens sympas et calmes, qu'elle afin de réduire un maximum les risques. Mais bon... Pour partager des moment de quiétudes avec des amis, il faut d'abord avoir des amis... Ce qui n'est pas facile quand on les évite tout le monde comme la peste. Hors de questions qu’elle se lance de son plein gré dans des activités potentiellement mortelles, mais soyez sans crainte, la vie, dans son sens de l’humour à toute épreuve, semble trouver ça marrant de la pousser toujours un peu plus loin de sa zone de confort.
Cette méfiance constante l'empêche de profiter pleinement de la vie, elle s'imagine seule en vers et contre tous, les autres ne sont que des acteurs potentiels de son malheur. Du coup elle ne voit vraiment d'inconvénient à jeter quelqu'un aux lions si elle a une chance de s'en tirer. Hé oh ça va! Avec toute cette malchance qu'elle se prend en pleine gueule ils peuvent au moins faire l'effort de partager le fardeau ces flemmards!
Malgré tout, Mallory n'est pas insensible sous cette épaisse couche d’amertume. L'enfant insoussiante qu'elle était jadis est encore là! Il suffit de creuser un peu... Éternelle romantique, qui adore les histoires à l’eau de rose ou de capes et d’épées où les gentils battent les méchant et se font des bisous. Elle aimerait bien qu’un prince, ou une princesse, au choix, viennent la libérer de ce cruel maléfice. Si l’occasion se présente elle serait prête à inverser les rôles! Elle c’est que c’est extrêmement improbable, mais bon, il faut bien rêver!
Elle garde de sa mère une certaine fierté en ses compétences, sa force, sa vitesse de nage entre autres. Ses joues vont rapidement s’empourprer si on lui fait le plus simple des compliments. Bien qu’habituées aux insultes de toutes sortes, c’est toujours plaisant de recevoir de bons commentaires de temps-à-autres. Il ne lui faut pas grand-chose pour faire battre son cœur, mais elle ne tombera pas pour n’importe quel(le) prétendant(e) pour autant, si toutes ses années de malchance lui ont appris un truc c’est que si quelque chose est trop beau pour être vrai, c’est parce que ça l’est!
Mais s'il y a bien une chose qui peut la faire sortir de ses gonds et ruinner toutes les chances de sympatiser avec elle, ce sont les personnes qui ressentent le besoins de lui dire qu'elle est chanceuse au final. "Oh bien vous avez survécu à votre troisième électrocution! Tout le monde n'a pas cette CHANCE!" Ou pire! les fous furieux qui utilisent la phrase: "Qu'est-ce-qui pourrait mal se passer?" ou toute autres paroles qui invite l'univers à lui tomber dessus.
Elle n’a plus besoins de demander SI la malchance va s’abattre sur elle, elle se demande QUAND. C’est une épée de Damoclès, mais après toutes ses années elle a perdue de son tranchant. Mallory continue à vivre sa vie, ne bronchant à peine désormais quand un serveur renverse un troisième pichet sur une robe qu’elle s’était achetée pour l’occasion, qu’une bourrasque inattendue l’envoie dévaler une colline à toute allure… Bien sûr qu’elle un poil parano, elle sait pertinemment que tout ce qui l’entoure est source de calamités! Mais elle ne fait pas plus d’efforts que ça pour les éviter, on est habitué à force!
Mais ça se n’est que pour les petits accidents, dès qu’elle remarque qu’une situation pue des pieds, elle préfère prendre la poudre d’escampette ou mentir pour se sortir de situations périlleuses que de se battre vaillamment jusqu’au dernier souffle. Malheureusement, il arrive souvent que ses excuses et tentatives d’évasions ne font que l’enfoncer plus profondément dans le guêpier. Une fois qu’elle a compris qu’il n’y a plus d’échappatoire, que son visage fut de nouveau déformé par une énième grimace, elle accepte tristement son sort. Elle serre les dents et elle espère que ça passe en entendant une autre occasion pour filer discrètement. Mais sa patience à tout de même des limites, si les malheurs se succèdent sans temps de répis elle risque fortement de péter un plomb, les dégâts collatéraux peuvent rapidement s'accumuler si elle ne trouve rien à ce mettre sous la dent...
Si quelqu’un lui cherche des noises alors là attention! Vous ne verrez PERSONNE capable de s’enfuir aussi lâchement. Elle est certaine de trébucher quelques mètres plus loin et d’y laisser des plumes, mais au moins elle ne finira pas découpée en rondelle! Elle n’exposera que ses habilités qu’une fois dos au mur. Je tiens à rappeler que l’on parle toujours d’une femme-poisson de plus de deux mètres… Faites gaffe quand même!
Dans sa jeunesse elle ne sortait pas beacoup, Reverse Mountain n'était pas un endroit propice pour se faire des copains, la vie en dehors de son nid douillet c'est encore tout nouveau pour elle, et à ses yeux, toutes ses nouveautés ne sont que des sources de désastres potentielles! Pareils pour les personnes qu'elle rencontre sur son chemin. Elle est curieuse de découvrir le monde, mais bon... Ce n'est pas nécessaire et elle ne croit pas que le risque en vaut la chandelle. Si on lui donne le choix, elle préfère les endroits calmes, des activités tranquilles que l'on peut partager avec des gens sympas et calmes, qu'elle afin de réduire un maximum les risques. Mais bon... Pour partager des moment de quiétudes avec des amis, il faut d'abord avoir des amis... Ce qui n'est pas facile quand on les évite tout le monde comme la peste. Hors de questions qu’elle se lance de son plein gré dans des activités potentiellement mortelles, mais soyez sans crainte, la vie, dans son sens de l’humour à toute épreuve, semble trouver ça marrant de la pousser toujours un peu plus loin de sa zone de confort.
Cette méfiance constante l'empêche de profiter pleinement de la vie, elle s'imagine seule en vers et contre tous, les autres ne sont que des acteurs potentiels de son malheur. Du coup elle ne voit vraiment d'inconvénient à jeter quelqu'un aux lions si elle a une chance de s'en tirer. Hé oh ça va! Avec toute cette malchance qu'elle se prend en pleine gueule ils peuvent au moins faire l'effort de partager le fardeau ces flemmards!
Malgré tout, Mallory n'est pas insensible sous cette épaisse couche d’amertume. L'enfant insoussiante qu'elle était jadis est encore là! Il suffit de creuser un peu... Éternelle romantique, qui adore les histoires à l’eau de rose ou de capes et d’épées où les gentils battent les méchant et se font des bisous. Elle aimerait bien qu’un prince, ou une princesse, au choix, viennent la libérer de ce cruel maléfice. Si l’occasion se présente elle serait prête à inverser les rôles! Elle c’est que c’est extrêmement improbable, mais bon, il faut bien rêver!
Elle garde de sa mère une certaine fierté en ses compétences, sa force, sa vitesse de nage entre autres. Ses joues vont rapidement s’empourprer si on lui fait le plus simple des compliments. Bien qu’habituées aux insultes de toutes sortes, c’est toujours plaisant de recevoir de bons commentaires de temps-à-autres. Il ne lui faut pas grand-chose pour faire battre son cœur, mais elle ne tombera pas pour n’importe quel(le) prétendant(e) pour autant, si toutes ses années de malchance lui ont appris un truc c’est que si quelque chose est trop beau pour être vrai, c’est parce que ça l’est!
Mais s'il y a bien une chose qui peut la faire sortir de ses gonds et ruinner toutes les chances de sympatiser avec elle, ce sont les personnes qui ressentent le besoins de lui dire qu'elle est chanceuse au final. "Oh bien vous avez survécu à votre troisième électrocution! Tout le monde n'a pas cette CHANCE!" Ou pire! les fous furieux qui utilisent la phrase: "Qu'est-ce-qui pourrait mal se passer?" ou toute autres paroles qui invite l'univers à lui tomber dessus.
Biographie
Mallory Murphy, fille unique du clan Murphy, vécut une vie tranquille avec son père, Gustave Murphy et de sa mère Lotie « Sweet tooth » Sweete. Gustave et Lotie étaient respectivement chefs à bord du navire de deux pirates rivaux, Nina dit « Mâchefer », et de Clovis, homme-poisson de son état, dit « Cloclo ». Les deux capitaines de fortune se vouant une rivalité sans-merci suite à une terrible compétition de tire-au-poignet qui s’est clos sur une égalité, aucun des participants ne put repartir avec le pactole; 5000 Berry et un chandail commémoratif de l’évènement.
Les seuls membres de l’équipage mis à l’écart de cette compétition sans fin furent les deux cuistots, ils ne participaient pas aux affrontements, trop occupés à remettre le reste de l’équipage sur pied après une défaite ou encore une victoire un peu trop bien arrosée. Les chefs se côtoyaient quelques fois, alors que les autres marins s’adonnaient à d’autres concours plus stupides les uns que les autres. Ils s’échangeaient des recettes en misant sur le résultat du prochain jeu. Et puis leurs rencontrent devinrent de plus en plus intimes, si bien que certains départs furent retardés et que des rumeurs ou des commentaires plus ou moins salaces passaient de bouches à oreilles à bord des deux navires.
Gustave était un cuistot tout ce qu’il y a de plus normal. Bon, il est vrai qu’il a un peu une tête qui n’inspire pas confiance, un long nez crochu, une fine moustache, des petits yeux sournois et un sourire de vautour. Si on ajoute ça à sa mauvaise habitude de lustrer les bouts de sa moustache et son rire mauvais, il ne faut pas être surpris que l’équipage ne soit pas tout à fait à leur aise quand il dit des trucs du genre :
« Je me suis procuré de nouvelles épices pour le ragout de ce soir… Vous m’en direz des nouvelles! Hehehehehehe… »
Et puis il y a Lotie, qui même dans un équipage majoritairement composé d’hommes-poissons baraqués, impose le respect. Le grand requin blanc, dépassant 3 mètres de hauts et apparait capable de renverser une armée à elle-seule n’a pas exactement la tête de l’emploie, malgré son joli tablier et bandeau assortis. Elle reste tout de même une femme sensible, une excellente confidente et une meilleure cuisinère et personne à bord du navire ne dirait le contraire! Principallement car les derniers qui l'ont contrariée se sont retrouvés dans le plâtre jusqu'aux oreilles.
La rivalité allait de bon train, et puis un un après-midi fatidique les deux embarcations se rencontrèrent peu de temps avant de s’engager sur Reverse Mountain...
« Hé! Mais ce sont les nuls! »
S’écria soudainnement un marin de l’équipage de Cloclo.
« M-mais, mais c’est vous les nuls! »
Retorqua un mousse du navire adverse.
Les boulets se mirent rapidement à voler après cet incroyable échange. Par mégarde, les deux capitaines ne prirent pas l’initiative de changer de cap, et du coup les deux vaisseaux s’engagèrent simultanément dans le courant! La panique se propagea en un instant, ordres, cris et craquements fusaient de tous bords tous côtés. Par un coup de chance incroyable personne ne perdit la vie, certains perdirent un membre ou deux, les jumelles Debby par exemple, n’ont désormais qu’une paire de jambes à elles deux et « le beau Marco » devra se contenter que les autres membres de l’équipage l’appellent « Marco » depuis qu’il s’est arrangé le portrait sur le pont du navire. Avec plus de peur, mais quand même beaucoup de mal, la paire de capitaines déclara une trêve, après quelques semaines passées au port, les deux bandes étaient à nouveau à flot. Ils reprirent la mer sur un seul navire, allégé de deux moussaillons, Gustave et Lotie avaient vécus suffisamment d’aventures trépidantes pour une vie. L’équipage nouvellement constitué, par élan de romantisme, ne vu aucun inconvénient, ils durent cependant avoir quelques regrets lorsque sonna l’heure du diner.
Ils s’achetèrent une petite boutique et ouvrirent une pâtisserie, « Sea Shantilly » (ouais je sais…), de délicates friandises et des gâteaux de toutes sortes faisaient changement des repas que demandaient les pirates, ça préfère la viande ces bêtes-là. Les affaires roulaient bien, et il ne fut pas attendre longtemps pour que s’élargisse la cellule familiale. Tirant d’avantage de sa mère que du paternel, la petite Mallory devint rapidement le joyau des deux tourtereaux, elle était leur petite princesse à eux. Même si le mauvais sort ne lâchait pas la gamine d’une semelle. Si les parents la perdaient de vue une seconde ils la retrouvaient dans des situations peu probables. Lotie n’oubliera jamais le jours où elle vu sa fille mettre pied sur une planche pourrie et soudainement traverser la fondation pour plonger dans l’eau salée directement en dessous. Mallory n’eut d’autre choix que de rapidement apprendre à nager cette journée-là.
Le port des jumeaux n'est pas l'endroit idéal pour élever un enfant, c'est une ville de passage après tout. Ce n'est pas facile de prendre racine sur une ville sur pilloti. L'école se faisait à la maison (deuxième étage de leur charmante boutique), le parent ayant le moins à faire jouait le rôle du professeur. Avec deux cuisiniers en guise d'instituteurs, elle appris tout ce qu'il avait à savoir sur la cuisine, et d'autres trucs plus ou moins utile; lire, écrire, la politique mondiale, passer la serpillère, compter la caisse, lisser sa moustache à la perfection, briser un boulet avec ses dents, des trucs du genre. Ce n'était pas toujours facile, la gamine se faisaient les dents sur à peu prêt n'importe quoi. Gustave a plusieurs cicatrices au molet droit, qu'il arrive à dater en se basant sur le rayon de la morsure et qu'il montre fièrement à tous ceux moyennement intéressés par sa progéniture. Mallory montrait les dents chaque fois que quelque chose la contragnait, ils ont donc développé l'habitude de lui mettre un jouet en caoutchouc entre les dents dès qu'elle s'énervait. Elle c'est rapidement calmée... Même si elle a gardé le tic de mordiller sur des trucs quand elle a les nerfs en boule...
Ses parent firent tout ce qui était dans leur pouvoir pour lui offrir une enfance digne de ce nom, une fois les leçons terminées elle nageait près des quaies en compagnie de sa mère pour la garder active. Son père lui faisait la lecture de légendes et d'histoires niaises. Ces contes devinrent le seul récomfort de la fillette quand sa malchance la clouait au lit. Mêmes avec toutes les précautions du monde, il n’y a que très peu de choses qu’un parent peut faire quand son mioche a été foudroyé deux fois la même semaine. Fort heureusement, elle était chanceuse dans son malheur puisqu’elle sent sort toujours en un seul morceau! C’est du moins ce que disait le toubib après avoir enveloppé la petite de bandages.
De ces légendres lui poussa l'envie que sa vie se métamorphose en conte de fée. Elle aurait aimée devenir une vraie princesse, porter des vêtements fin et délicats, mais le froufrou est beaucoup trop inflammable, du coup elle se satisfaisait de vêtements moins grâcieux, mais plus solide. Voilà la vie de Mallory Murphy, une vie tranquille, exeption faites des pirates et autres voyageurs un peu plus turbulent qui passe dans le coin. Ses parents tentèrent bien de la motiver à quitter le cocon famial, à aller en vacance, voir plus loin que l'horizon, mais la simple idée d'être sur une embarquation bralante loins de chez elle lui donnait une boule au ventre, ils ont donc abandonné l'idée. Une fois que la gamine fut grande ses parents tentèrent de chasser ses idées noires en lui faisant participer dans les tâches qui viennent avec l’entretient d’une pâtisserie. Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas travailler en cuisine, au contraire, mais elle voyait bien qu’elle encombrait la petite famille. Certes, ils étaient en pâmoison dès qu’elle mettait son tablier, et ce même si le gâteau qu’elle venait de sortir du four était carbonisé, mais dès qu’elle se mettait à la besogne la quantité de plats renversés, pâtisseries brûlées, poches à douille percées augmentait exponentiellement. Le point culminant fut l'explosion soudaine d'un four, la déflagration envoyant Mallory et Lotie valdinguer dans la pièce voisine. À ce jour le dos du grand requin blanc est encore marqué au fer rouge.
Elle décida donc de s'occuper des livraisons, chassant ses idées noires avec des tâches monotones, mais peu risquée. Elle ramenait les barrils et caisses d'ingrédients à bon port. Il lui arrivait d’échapper un caisson de temps à autre, mais rien de dramatique. Le pire qui pouvait arriver, et qui arriva à multiples reprises, fut le bris de quelques douzaines d’œufs, ou que le fond se brise et déverse le contenu de la boite sur ses pieds. Sinon, elle occupait son temps à se promener de boutiques en boutiques, utilisant son argent de poche pour payer les bibelots qui tombaient des étagères et s’explosaient au sol en sa présence. Quand elle était petite, les commerçants hésitaient à faire payer une fillette aux yeux larmoillants, mais cette époque était révolue, elle ne pleure plus quand le commerçant hausse le ton, un soupir exaspéré a pris la place de ses larmes et ils savent désormais qu'elle a de quoi payer. Elle a d’ailleurs trouvé son peigne porte bonheur dans l’une de ces boutiques. " Porte-bonheur " parce que malgré son incroyable fragilité, le peigne n'avait pas éclaté lors de sa colision avec le sol! Mallory fut tellement surprise qu'elle laissa échapper un cris de joie. Elle pouvait simplement le remettre à sa pl-
«« Wowowo! Vous allez devoir le prendre ma petite dame! »
« H-hein? Mais pourquoi?! »
Le boutiquier pointa une dent du peigne, le requin bleu dût plisser les yeux pour voir que l'une des dents, la plus petite et insignifiante, était en effet racourcie de un ou deux milimètres.
« ... M-mais... »
« Ça vous fera 20 000 Berry. »
« ... »
On fait avec ce qu'on a...
La jeune femme avait maintenant 22 piges, toujours pas de nouvelles de son prince ou princesse charmant/charmante ou d’une marraine magique. Exténuée elle se rendit chez elle, le soleil se couchait et ses parents préparaient la fermeture.
« Ah bonsoir joli cœur! Passé une bonne journée? »
« Mouais… »
Elle se tira une chaise, une fois assise les 4 pattes rompirent à l’unisson, personne dans la pièce ne sursauta, mais la jeune femme se recroquevilla sur elle-même, posant son menton sur ses genoux.
« Dites… Est-ce-que vous trouvez que je porte la poisse? »
Gustave et Lotie s’échangèrent un regard surpris, ils s’étaient préparés à la question depuis maintenant 10 ans, ils se demandaient si elle allait la poser un jour, Lotie fut la première à prendre parole.
« Mais non ma louloute, ce ne sont que des coïncidences! »
l’énorme requin s’agenouilla devant sa grande fille et l’invita gentiment à lever la tête.
« Fait moi confiance, un jour ta chance va tournée, voilà tout!. »
Mallory n’était pas convaincue, c’était donc au tour du paternel de rentré en scène en se tortillant nerveusement la moustache.
« E-et puis tu sais, même si tu ne peux pas le voir sur le vif, il y a peut-être du bon dissimulé dans toute cette poisse… Tu te souviens quand Aoi D. Nakajima est passée dans le coin? »
Sa fille leva les yeux avec une mine renfrognée, les mâchoires bien serrées elle laissait à peine à peine entendre :
« Je me suis réfugiée dans la boutique voisine et j’ai été ensevelie sous des débris pendant environs 3 jours…»
« Alors oui, mais c’étaient les ruines de notre compétiteur direct tu sauras! Hehehe... Ils furent forcé de mettre la clé sous la porte et de-»
Un regard sévère de sa terrifiante dulcinée suffit à lui faire comprendre qu’il n’était pas le temps de parler affaire.
« Ce que ton père essaye de dire, c'est que même si le destin continue ses mauvais tours pendant 10 ans encore, nous serons là pour toi! Tu resteras toujours notre petite princesse. Nous avons »
La douce géante se pencha pour embrasser le front de sa fille quand celle-ci ce leva d'un bon, retenant à peine ses larmes.
« C'est justement ça le problème! Je ne pourrai pas vivre une journée sans me soucier que le viel ne me tombe sur la tête? Sans me demander si ma simple existence est un fléau pour tout ceux qui m'entourent? Où je pourrais tout simplement faire la cuisine avec vous sans me sentir comme une bombe à retardemment? »
Sa gorge se serra sur cette dernière phrase, les larmes coulaient à flots. Elle se précipita vers la sortie, attrapa une patte de la chaise amputée et serra le bout de bois entre ses dents, s'heurtant inévitablement la tête au cadre de porte avant de sortir.
« O-où-est-ce que tu vas mon cœur? »
« Che vais me ra'raîchir 'es idée... »
« D’accord, mais reviens vite! Il ne faudrait pas que tu attrapes froid! »
Avec un pincement au cœur elle se dirigea vers le quai et d'un trait, sans même enlever ses vêtements de la journée, elle plongea dans les eaux glacées avec une forme impeccable. Elle pataugea un moment, laissant l’eau engourdir ses membres… C’était une belle nuit étoilée… Elle qui n’avait pas de bonne étoile elle se dit que ce soir était une bonne soirée pour se choisir un astre céleste. Elle plongea de plus en plus profondemment, qu'elle ne puissent plus sentir ses larmes sur ses joues. C'était si paisible... La patte de chaise partiellement déchiquetée fut libérée des puissantes mâchoires du requin et flotta jusqu'à la surface, Mallory la suivit mollement et se laissa bercée par les flots un moment. Il fallait bien que toute cette nervosité suite à l'acharnement incessant du destin sorte au grand jour. Elle venait de crever l'abcès, elle pris une grande bouffée d'air salin et soupira, ce n'était peut-être pas la joie, mais c'était tout ce qu'elle avait... Elle ne pouvait imaginer comment elle pourrait avoir moins de chance, simplement y penser lui fit décocher un sourire.
C’est toujours quand on pense avoir atteint le fond que la vie nous refourgue une pelle… Cette pelle pris l’apparence en cette douce soirée d’un roi des mers, malchanceux dans son territoire de chasse habituel la faim le poussa de plus en plus vers Reverse Mountain, où, miracle! Il trouva un petit poisson à se mettre sous la dent, emportant avec sa prise un morceau des docks.
Mallory ne comprit pas tout de suite ce qu’il venait de lui arriver. Un moment elle regardait les étoiles, et le suivant, POUF, les étoiles disparurent! Fort heureusement, porte-poisse qu’elle est, elle ne finit pas sa route dans l’estomac de la gigantesque murène, mais réussit à rester coincée dans sa gorge! Ce n’est pas commode d’avoir un petit bout de viande criant, gesticulant et griffant bloqué dans l’œsophage.
L’inconfort fut tel que le monstre, après des jours et des nuits à nager aléatoirement finit par rentrer en collision frontale avec un cuirassé de la marine et de s’échoua lamentablement sur une plage d’Inu Town, où les pécheurs locaux pouvaient se disputer sur lequel d’entre eux avaient réussi cette prise! C’est alors que Mallory s’extirpa faiblement de la gueule de la bête sous les yeux stupéfiaient de la troupe que le monstre avait attirée, recouverte de la tête aux pieds d’un mucus bien épais et dégueu… Génial… La voilà maintenant sur East Blue, sans un sous, empestant le poisson pourris et cerise sur le gâteau…
« Eh bien… » se lança un jeune mousse de la marine qui avait assisté à la scène en se grattant la tête, « Se faire avaler par un roi des mers et en ressortir vivant… Il faut dire que vous en avez de la chance! »
S’en était trop, la femme-poisson se mit à chialer sur le coup. Elle l'aurait regretté sans doute, mais si elle en avait eu les forces elle l’aurait étranglé avant même qu’il ne finisse sa phrase!
Les seuls membres de l’équipage mis à l’écart de cette compétition sans fin furent les deux cuistots, ils ne participaient pas aux affrontements, trop occupés à remettre le reste de l’équipage sur pied après une défaite ou encore une victoire un peu trop bien arrosée. Les chefs se côtoyaient quelques fois, alors que les autres marins s’adonnaient à d’autres concours plus stupides les uns que les autres. Ils s’échangeaient des recettes en misant sur le résultat du prochain jeu. Et puis leurs rencontrent devinrent de plus en plus intimes, si bien que certains départs furent retardés et que des rumeurs ou des commentaires plus ou moins salaces passaient de bouches à oreilles à bord des deux navires.
Gustave était un cuistot tout ce qu’il y a de plus normal. Bon, il est vrai qu’il a un peu une tête qui n’inspire pas confiance, un long nez crochu, une fine moustache, des petits yeux sournois et un sourire de vautour. Si on ajoute ça à sa mauvaise habitude de lustrer les bouts de sa moustache et son rire mauvais, il ne faut pas être surpris que l’équipage ne soit pas tout à fait à leur aise quand il dit des trucs du genre :
« Je me suis procuré de nouvelles épices pour le ragout de ce soir… Vous m’en direz des nouvelles! Hehehehehehe… »
Et puis il y a Lotie, qui même dans un équipage majoritairement composé d’hommes-poissons baraqués, impose le respect. Le grand requin blanc, dépassant 3 mètres de hauts et apparait capable de renverser une armée à elle-seule n’a pas exactement la tête de l’emploie, malgré son joli tablier et bandeau assortis. Elle reste tout de même une femme sensible, une excellente confidente et une meilleure cuisinère et personne à bord du navire ne dirait le contraire! Principallement car les derniers qui l'ont contrariée se sont retrouvés dans le plâtre jusqu'aux oreilles.
La rivalité allait de bon train, et puis un un après-midi fatidique les deux embarcations se rencontrèrent peu de temps avant de s’engager sur Reverse Mountain...
« Hé! Mais ce sont les nuls! »
S’écria soudainnement un marin de l’équipage de Cloclo.
« M-mais, mais c’est vous les nuls! »
Retorqua un mousse du navire adverse.
Les boulets se mirent rapidement à voler après cet incroyable échange. Par mégarde, les deux capitaines ne prirent pas l’initiative de changer de cap, et du coup les deux vaisseaux s’engagèrent simultanément dans le courant! La panique se propagea en un instant, ordres, cris et craquements fusaient de tous bords tous côtés. Par un coup de chance incroyable personne ne perdit la vie, certains perdirent un membre ou deux, les jumelles Debby par exemple, n’ont désormais qu’une paire de jambes à elles deux et « le beau Marco » devra se contenter que les autres membres de l’équipage l’appellent « Marco » depuis qu’il s’est arrangé le portrait sur le pont du navire. Avec plus de peur, mais quand même beaucoup de mal, la paire de capitaines déclara une trêve, après quelques semaines passées au port, les deux bandes étaient à nouveau à flot. Ils reprirent la mer sur un seul navire, allégé de deux moussaillons, Gustave et Lotie avaient vécus suffisamment d’aventures trépidantes pour une vie. L’équipage nouvellement constitué, par élan de romantisme, ne vu aucun inconvénient, ils durent cependant avoir quelques regrets lorsque sonna l’heure du diner.
Ils s’achetèrent une petite boutique et ouvrirent une pâtisserie, « Sea Shantilly » (ouais je sais…), de délicates friandises et des gâteaux de toutes sortes faisaient changement des repas que demandaient les pirates, ça préfère la viande ces bêtes-là. Les affaires roulaient bien, et il ne fut pas attendre longtemps pour que s’élargisse la cellule familiale. Tirant d’avantage de sa mère que du paternel, la petite Mallory devint rapidement le joyau des deux tourtereaux, elle était leur petite princesse à eux. Même si le mauvais sort ne lâchait pas la gamine d’une semelle. Si les parents la perdaient de vue une seconde ils la retrouvaient dans des situations peu probables. Lotie n’oubliera jamais le jours où elle vu sa fille mettre pied sur une planche pourrie et soudainement traverser la fondation pour plonger dans l’eau salée directement en dessous. Mallory n’eut d’autre choix que de rapidement apprendre à nager cette journée-là.
Le port des jumeaux n'est pas l'endroit idéal pour élever un enfant, c'est une ville de passage après tout. Ce n'est pas facile de prendre racine sur une ville sur pilloti. L'école se faisait à la maison (deuxième étage de leur charmante boutique), le parent ayant le moins à faire jouait le rôle du professeur. Avec deux cuisiniers en guise d'instituteurs, elle appris tout ce qu'il avait à savoir sur la cuisine, et d'autres trucs plus ou moins utile; lire, écrire, la politique mondiale, passer la serpillère, compter la caisse, lisser sa moustache à la perfection, briser un boulet avec ses dents, des trucs du genre. Ce n'était pas toujours facile, la gamine se faisaient les dents sur à peu prêt n'importe quoi. Gustave a plusieurs cicatrices au molet droit, qu'il arrive à dater en se basant sur le rayon de la morsure et qu'il montre fièrement à tous ceux moyennement intéressés par sa progéniture. Mallory montrait les dents chaque fois que quelque chose la contragnait, ils ont donc développé l'habitude de lui mettre un jouet en caoutchouc entre les dents dès qu'elle s'énervait. Elle c'est rapidement calmée... Même si elle a gardé le tic de mordiller sur des trucs quand elle a les nerfs en boule...
Ses parent firent tout ce qui était dans leur pouvoir pour lui offrir une enfance digne de ce nom, une fois les leçons terminées elle nageait près des quaies en compagnie de sa mère pour la garder active. Son père lui faisait la lecture de légendes et d'histoires niaises. Ces contes devinrent le seul récomfort de la fillette quand sa malchance la clouait au lit. Mêmes avec toutes les précautions du monde, il n’y a que très peu de choses qu’un parent peut faire quand son mioche a été foudroyé deux fois la même semaine. Fort heureusement, elle était chanceuse dans son malheur puisqu’elle sent sort toujours en un seul morceau! C’est du moins ce que disait le toubib après avoir enveloppé la petite de bandages.
De ces légendres lui poussa l'envie que sa vie se métamorphose en conte de fée. Elle aurait aimée devenir une vraie princesse, porter des vêtements fin et délicats, mais le froufrou est beaucoup trop inflammable, du coup elle se satisfaisait de vêtements moins grâcieux, mais plus solide. Voilà la vie de Mallory Murphy, une vie tranquille, exeption faites des pirates et autres voyageurs un peu plus turbulent qui passe dans le coin. Ses parents tentèrent bien de la motiver à quitter le cocon famial, à aller en vacance, voir plus loin que l'horizon, mais la simple idée d'être sur une embarquation bralante loins de chez elle lui donnait une boule au ventre, ils ont donc abandonné l'idée. Une fois que la gamine fut grande ses parents tentèrent de chasser ses idées noires en lui faisant participer dans les tâches qui viennent avec l’entretient d’une pâtisserie. Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas travailler en cuisine, au contraire, mais elle voyait bien qu’elle encombrait la petite famille. Certes, ils étaient en pâmoison dès qu’elle mettait son tablier, et ce même si le gâteau qu’elle venait de sortir du four était carbonisé, mais dès qu’elle se mettait à la besogne la quantité de plats renversés, pâtisseries brûlées, poches à douille percées augmentait exponentiellement. Le point culminant fut l'explosion soudaine d'un four, la déflagration envoyant Mallory et Lotie valdinguer dans la pièce voisine. À ce jour le dos du grand requin blanc est encore marqué au fer rouge.
Elle décida donc de s'occuper des livraisons, chassant ses idées noires avec des tâches monotones, mais peu risquée. Elle ramenait les barrils et caisses d'ingrédients à bon port. Il lui arrivait d’échapper un caisson de temps à autre, mais rien de dramatique. Le pire qui pouvait arriver, et qui arriva à multiples reprises, fut le bris de quelques douzaines d’œufs, ou que le fond se brise et déverse le contenu de la boite sur ses pieds. Sinon, elle occupait son temps à se promener de boutiques en boutiques, utilisant son argent de poche pour payer les bibelots qui tombaient des étagères et s’explosaient au sol en sa présence. Quand elle était petite, les commerçants hésitaient à faire payer une fillette aux yeux larmoillants, mais cette époque était révolue, elle ne pleure plus quand le commerçant hausse le ton, un soupir exaspéré a pris la place de ses larmes et ils savent désormais qu'elle a de quoi payer. Elle a d’ailleurs trouvé son peigne porte bonheur dans l’une de ces boutiques. " Porte-bonheur " parce que malgré son incroyable fragilité, le peigne n'avait pas éclaté lors de sa colision avec le sol! Mallory fut tellement surprise qu'elle laissa échapper un cris de joie. Elle pouvait simplement le remettre à sa pl-
«« Wowowo! Vous allez devoir le prendre ma petite dame! »
« H-hein? Mais pourquoi?! »
Le boutiquier pointa une dent du peigne, le requin bleu dût plisser les yeux pour voir que l'une des dents, la plus petite et insignifiante, était en effet racourcie de un ou deux milimètres.
« ... M-mais... »
« Ça vous fera 20 000 Berry. »
« ... »
On fait avec ce qu'on a...
La jeune femme avait maintenant 22 piges, toujours pas de nouvelles de son prince ou princesse charmant/charmante ou d’une marraine magique. Exténuée elle se rendit chez elle, le soleil se couchait et ses parents préparaient la fermeture.
« Ah bonsoir joli cœur! Passé une bonne journée? »
« Mouais… »
Elle se tira une chaise, une fois assise les 4 pattes rompirent à l’unisson, personne dans la pièce ne sursauta, mais la jeune femme se recroquevilla sur elle-même, posant son menton sur ses genoux.
« Dites… Est-ce-que vous trouvez que je porte la poisse? »
Gustave et Lotie s’échangèrent un regard surpris, ils s’étaient préparés à la question depuis maintenant 10 ans, ils se demandaient si elle allait la poser un jour, Lotie fut la première à prendre parole.
« Mais non ma louloute, ce ne sont que des coïncidences! »
l’énorme requin s’agenouilla devant sa grande fille et l’invita gentiment à lever la tête.
« Fait moi confiance, un jour ta chance va tournée, voilà tout!. »
Mallory n’était pas convaincue, c’était donc au tour du paternel de rentré en scène en se tortillant nerveusement la moustache.
« E-et puis tu sais, même si tu ne peux pas le voir sur le vif, il y a peut-être du bon dissimulé dans toute cette poisse… Tu te souviens quand Aoi D. Nakajima est passée dans le coin? »
Sa fille leva les yeux avec une mine renfrognée, les mâchoires bien serrées elle laissait à peine à peine entendre :
« Je me suis réfugiée dans la boutique voisine et j’ai été ensevelie sous des débris pendant environs 3 jours…»
« Alors oui, mais c’étaient les ruines de notre compétiteur direct tu sauras! Hehehe... Ils furent forcé de mettre la clé sous la porte et de-»
Un regard sévère de sa terrifiante dulcinée suffit à lui faire comprendre qu’il n’était pas le temps de parler affaire.
« Ce que ton père essaye de dire, c'est que même si le destin continue ses mauvais tours pendant 10 ans encore, nous serons là pour toi! Tu resteras toujours notre petite princesse. Nous avons »
La douce géante se pencha pour embrasser le front de sa fille quand celle-ci ce leva d'un bon, retenant à peine ses larmes.
« C'est justement ça le problème! Je ne pourrai pas vivre une journée sans me soucier que le viel ne me tombe sur la tête? Sans me demander si ma simple existence est un fléau pour tout ceux qui m'entourent? Où je pourrais tout simplement faire la cuisine avec vous sans me sentir comme une bombe à retardemment? »
Sa gorge se serra sur cette dernière phrase, les larmes coulaient à flots. Elle se précipita vers la sortie, attrapa une patte de la chaise amputée et serra le bout de bois entre ses dents, s'heurtant inévitablement la tête au cadre de porte avant de sortir.
« O-où-est-ce que tu vas mon cœur? »
« Che vais me ra'raîchir 'es idée... »
« D’accord, mais reviens vite! Il ne faudrait pas que tu attrapes froid! »
Avec un pincement au cœur elle se dirigea vers le quai et d'un trait, sans même enlever ses vêtements de la journée, elle plongea dans les eaux glacées avec une forme impeccable. Elle pataugea un moment, laissant l’eau engourdir ses membres… C’était une belle nuit étoilée… Elle qui n’avait pas de bonne étoile elle se dit que ce soir était une bonne soirée pour se choisir un astre céleste. Elle plongea de plus en plus profondemment, qu'elle ne puissent plus sentir ses larmes sur ses joues. C'était si paisible... La patte de chaise partiellement déchiquetée fut libérée des puissantes mâchoires du requin et flotta jusqu'à la surface, Mallory la suivit mollement et se laissa bercée par les flots un moment. Il fallait bien que toute cette nervosité suite à l'acharnement incessant du destin sorte au grand jour. Elle venait de crever l'abcès, elle pris une grande bouffée d'air salin et soupira, ce n'était peut-être pas la joie, mais c'était tout ce qu'elle avait... Elle ne pouvait imaginer comment elle pourrait avoir moins de chance, simplement y penser lui fit décocher un sourire.
C’est toujours quand on pense avoir atteint le fond que la vie nous refourgue une pelle… Cette pelle pris l’apparence en cette douce soirée d’un roi des mers, malchanceux dans son territoire de chasse habituel la faim le poussa de plus en plus vers Reverse Mountain, où, miracle! Il trouva un petit poisson à se mettre sous la dent, emportant avec sa prise un morceau des docks.
Mallory ne comprit pas tout de suite ce qu’il venait de lui arriver. Un moment elle regardait les étoiles, et le suivant, POUF, les étoiles disparurent! Fort heureusement, porte-poisse qu’elle est, elle ne finit pas sa route dans l’estomac de la gigantesque murène, mais réussit à rester coincée dans sa gorge! Ce n’est pas commode d’avoir un petit bout de viande criant, gesticulant et griffant bloqué dans l’œsophage.
L’inconfort fut tel que le monstre, après des jours et des nuits à nager aléatoirement finit par rentrer en collision frontale avec un cuirassé de la marine et de s’échoua lamentablement sur une plage d’Inu Town, où les pécheurs locaux pouvaient se disputer sur lequel d’entre eux avaient réussi cette prise! C’est alors que Mallory s’extirpa faiblement de la gueule de la bête sous les yeux stupéfiaient de la troupe que le monstre avait attirée, recouverte de la tête aux pieds d’un mucus bien épais et dégueu… Génial… La voilà maintenant sur East Blue, sans un sous, empestant le poisson pourris et cerise sur le gâteau…
« Eh bien… » se lança un jeune mousse de la marine qui avait assisté à la scène en se grattant la tête, « Se faire avaler par un roi des mers et en ressortir vivant… Il faut dire que vous en avez de la chance! »
S’en était trop, la femme-poisson se mit à chialer sur le coup. Elle l'aurait regretté sans doute, mais si elle en avait eu les forces elle l’aurait étranglé avant même qu’il ne finisse sa phrase!
Informations IRL
• Prénom : Dominique
• Age : 20
• Aime : Les films d'horreurs et la comédie burlesque
• N'aime pas : Les animés à rallonge qui ont détruit toutes mes chances à un horaire de sommeil sain.
• Personnage préféré de One Piece : Jinbe
• Caractère : Plutôt réservé, mais je suis prêt à essayer de sortir de ma zone de confort.
• Fait du RP depuis : Depuis déjà 5 ans, mais je n'ai rien appris depuis.
• Disponibilité approximative : 1-2 jours semaines
• Comment avez-vous connu le forum ?: j'ai recherché "One piece RP" sur google... Voilà.
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Mallory Murphy le Lun 15 Fév 2021 - 17:29, édité 9 fois