Sumikito Sakamoto
• Pseudonyme : Enfant singe ou encore petit singe. Mais il préfère largement "Roi Singe".
• Age : 20
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier :Ébéniste et notion d'agriculture
• Groupe : Bambin de pirate
• Age : 20
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier :Ébéniste et notion d'agriculture
• Groupe : Bambin de pirate
• But : Trouver un Zoan primate et devenir le véritable « Roi Singe » Sun Wukong et cela passe par :
Apprivoiser ma seconde personnalité, Kosaru.
Maîtriser le maniement du bâton (notamment celui conçue avec son père)
Accessoirement trouver mon père biologique.
• Équipement : Keikogi de combat (ensemble et gants de combat) paré d’anneaux en métal au niveau des avant bras et poignet et des tibias / Kusari giri (faucille avec chaîne et boulet à l’extrémité) / Bâton-nunchaku-fusil (à concevoir ar le rajout d'un fusil = futur power-up) / Masque de grenouille.
• Parrain : X
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Codes du règlement :
Apprivoiser ma seconde personnalité, Kosaru.
Maîtriser le maniement du bâton (notamment celui conçue avec son père)
Accessoirement trouver mon père biologique.
• Équipement : Keikogi de combat (ensemble et gants de combat) paré d’anneaux en métal au niveau des avant bras et poignet et des tibias / Kusari giri (faucille avec chaîne et boulet à l’extrémité) / Bâton-nunchaku-fusil (à concevoir ar le rajout d'un fusil = futur power-up) / Masque de grenouille.
• Parrain : X
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Codes du règlement :
Description Psychologique
On peut dire que Sumikito est quelqu’un ayant un entrain peu commun caché sous ses airs moqueurs. Ce qui est drôle avec ce dernier c’est que malgré la confiance apparente qu’il transpire, il n’en est rien puisque quand il est seul face à une situation de crise, il passe par tout ses états pour la régler. Il parvient à se maîtriser mais le niveau de stress qui est engendré avec fait qu’il vaut mieux pour lui et son cœur qu’il ne soit pas confronter trop souvent à ce genre de situation. Dans un conflit, il reste souvent neutre et se fiche pas mal des problèmes des autres… en apparence puisque notre guerrier est une véritable commère, s’impliquant dans des affaires même lorsque personne ne l’y a invité ou qu’on le repousse brutalement ; se battant tantôt pour une affaire de lunettes cassées, tantôt dans un bar et que les esprits s’échauffe, un vrai rustre qui sait faire montre d’une sagesse étonnante quand cela lui prend. Quelqu’un d’assez vivant en somme qui obéit à ses instinct agissant presque comme un animal et n'ayant aucune vergogne quant à l'utilisation de moyens peu recommandable pour arriver à ses fins, son style de combat lui imposant même jusqu’à son rire : « Saru ru ru ru ru » ainsi que ses goût alimentaires…les bananes c’est son truc.
Il possède cependant une deuxième personnalité, pas si sombre que cela, juste folle puisqu’elle se proclame roi des Singes et se bat mieux que la première ; celle-ci est né de l’objectif naissant durant la période d’entraînement intensif de Sumikito ; une sorte d’objectif ultime à atteindre qui s’est matérialisé dans son esprit et beaucoup plus proche en terme de style de combat animal que Sumikito lui-même ; les habitants de l’île du Karaté ont lors d’un tournoi décider de l’appeler « Kosaru » en référence au surnom qu’il avait déjà.
Il possède cependant une deuxième personnalité, pas si sombre que cela, juste folle puisqu’elle se proclame roi des Singes et se bat mieux que la première ; celle-ci est né de l’objectif naissant durant la période d’entraînement intensif de Sumikito ; une sorte d’objectif ultime à atteindre qui s’est matérialisé dans son esprit et beaucoup plus proche en terme de style de combat animal que Sumikito lui-même ; les habitants de l’île du Karaté ont lors d’un tournoi décider de l’appeler « Kosaru » en référence au surnom qu’il avait déjà.
Description Physique
Son physique de l’extérieur n’a rien de réellement particulier il mesure un bon mètre quatre-vingt. Ses cheveux eux sont blonds et coiffés assez étrangement la plupart du temps, une sorte de multitude de pique en direction du visage ; quant à ses yeux ils sont petits et ses iris eux ressemblent à deux petit pois pouvant faire penser à Tintin à certains égard… une mâchoire assez carré et un visage pas désagréable à regarder mais pas extraordinaire. Il pourrait paraître assez banale d’un point de vue extérieur s’il ne possédait pas une queue qu’il trimballe depuis presque toujours. En effet, il est en possession d’un cinquième membre « artificiel » conçu par lui-même pour compléter son style de combat mais à sa manière, en effet il aurait pu se contenter d’imiter les mouvement du singe mais son absence de queue le perturbait. D’où l’omniprésence de celle-ci dont les moqueries sur l’île n’ont jamais cessé pour la simple et bonne raison que sa queue ne ressemble en aucun cas à celle d’un singe. D’ailleurs elle n’est semblable à rien d’identifiable dans ce monde d’après les élèves de son dojo. Elle est épaisse et se raccourci jusqu’à l’extrémité qui est touffu et de la même couleur que la capillarité de notre protagoniste.
En dépit des moqueries, Sumikito possède un physique de combattant sculpté ayant une musculature assez développé et surtout une agilité, une poigne et un équilibre qui ferait pâlir plus d’un trapèze.
En dépit des moqueries, Sumikito possède un physique de combattant sculpté ayant une musculature assez développé et surtout une agilité, une poigne et un équilibre qui ferait pâlir plus d’un trapèze.
Biographie
C’est à Kanokuni, le 7 octobre 1607 que le combattant que je suis est né. Le fameux pays des fleurs dont je n’ai aucun souvenir. Je le dois à ma mère, Lin Beifong qui malgré son ancienne influence dans l’armée de l’empire avait été forcé de tout quitter pour une vie plus paisible avec ses parents mais sans mon paternel, enfin le biologique. Tout cela car elle préconisait une entente plus favorable avec la Marine qui s’essayait à l’époque la diplomatie. Je n’avais pas eu le droit à des détails de la vie de mon géniteur, je savais simplement que lui aussi était un guerrier, même plus fort que ma crétine de mère, mais à vrai dire je m’en fichais un peu, en tout cas je n’en faisais pas ma priorité. D’ailleurs, mon nom de naissance est Sun Beifong.
Ma mère peu après ma naissance déménagea pour aller sur l’île du Karaté où elle rencontra mon père, Gecko Sakamoto, un honnête homme, cultivateur et ébéniste qui m’avait transmis tout son savoir. Il avait déjà un enfant, ma grande sœur, Sumiko qui était âgé de 8 ans de plus que moi, sa mère était morte quand elle en avait 3 et c’est ainsi ça que nos deux familles décomposées n’en ont formé qu’une dans un petit hameau en bord de côte où nous élevions quelques animaux de ferme en plus de cultivé la terre. Je n’étais cependant pas étranger à la vie en ville vu le commerce que tenait mon père, le Fancy Wood.
Mes grands-parents sont assez drôle quand j’y pense, ils m’ont souvent répété que leur trains de vie à l’époque n’était clairement pas le même et que devoir battre la terre avait été déconcertant au début ; ils ont miraculeusement fini par apprécié cette vie faite de simplicité même si ma grand-mère s’en plaint encore ouvertement tout les quatre matins. Je n’avais connu que ça moi et rester sur cette île ne m’intéressait pas le moins du monde, il fallait que je découvre le monde d’une manière ou d’une autre et je l’ai su assez tôt car plus ma mère reniait son passé, plus mon intérêt grandissait pour cette vie faite d’aventure qu’elle avait eu.
L’île étant peuplé pour la plupart d’artistes martial de tout niveau, j’ai baigné dans ce monde et comme tout les enfants, à l’âge de 4 ans, j’ai dû m’initier à la pratique du combat sous de nombreuse forme. Mon père lui étant originaire de l’île avait connu cela et a pratiqué au dojo de l’Ordre animal, son niveau n’était pas extraordinaire mais il me ventait souvent les mérites des maîtres confirmés de la pratique enseigné. Un style assez particulier dans la mesure où personne n’a véritablement la même façon de combattre alors qu’il s’agit bien d’un unique dojo. En effet, les pratiquants adoptent un style qu’il leur est propre au fil des années, inspiré d’un animal qui selon la pensée de cet art martial est l’animal totem qui repose en chaque individu ; encore faut-il l’exploiter.
L’animal totem de mon père est la grenouille, d’ailleurs, il exhibe encore son masque (de grenouille) au salon comme un trophée…
C’est donc naturellement comme les enfants de l’île que j’ai suivi ses traces et me suis inscrit au même dojo, ma sœur également mais huit ans auparavant. Je ne combattais pas par plaisir mais parce que c’était la coutume ; en réalité, ce que j’aimais réellement c’était grimper partout, en hauteur, descendre et remonter les falaises longeant les côtes, aller dans les mines ainsi que courir de maison en maison sur les toits ce qui m’avait valu le surnom à mon entrée au dojo « d’enfant singe » ou encore « petit singe » ; un diminutif qui ne me dérangeait pas réellement jusqu’à ce que j’atteigne l’âge de 12 ans et que l’on me considère comme un potentiel moine-guerrier. En effet, j’avais grandi et avec le temps et la discipline de l’ordre j’ai fini par progresser me créant un style dont j’étais fier. Je voulais compléter ce style avec le Hasshoken de ma mère indigne qui n’a jamais voulu car apparemment l’essence de mon art s’en serait retrouvé bouleversé..
J’avais pourtant prouvé mes capacités à nombre de tournois bien que je ne les appréciais pas forcément mais lors de l’un d’entre eux, j’étais tombé sur un adversaire qui avait un peu trop titillé mon style, se moquant ouvertement de mon maître ayant presque le même, Rostan KillinShark. Il était fort, plus que moi et lui faire ravaler ses paroles n’était pas facile ; enfin c’est ce que je croyais, en réalité, je lui avais apparemment mis la misère mais je n’étais plus conscient, je rabâchais constamment sur le tatami que j’étais Sun Wukong, « le Roi Singe » et qu’il regretterait sa moquerie, une proclamation que j’avais déjà faite auparavant et qui était né d’une querelle enfantine. Mon style de combat lors de cette « phase schizophrénique » avait apparemment drastiquement évolué en quelque chose de plus noble et épuré… cette phase était encore arrivé trois fois au cours de ma vie, à 15, 16 et 18 ans et depuis plus rien, je faisais même montre d’une maîtrise du Bôjutsu (le maniement de bâton) que je n’avais presque jamais utilisé ; j’avais apparemment adopté une posture beaucoup plus rustique, comme un véritable singe, le dos courbé. Retrouver cet état de transe était pour moi devenue une véritable lubie qui me poussait à parfaire mon art par tout les moyens et pour cela, j’ai eu l’idée lors de mon dix-septième printemps d’acquérir un fruit du démon, celui du primate Singe et pour ceci, j’ai mémorisé un grand nombre d’apparence de fruits.
Là était mon objectif, la politique, les conflits ne m’intéressait guère. Une chose était sûre, une fois roi, j’allais devoir acquérir du pouvoir sinon ce titre serait purement symbolique, ce qui me paraissait bien fade. C’était donc par la voie de la Marine ou de la piraterie que je devais me démarquer, peu importe les moyens employé. Mon choix pour la piraterie était pousser par l’envie d’agacer ma mère mais m’adonner au pillage n’était pas digne du titre que je voulais obtenir et même si en y regardant de plus loin, j’avais l’air d’un fou, j’étais résigné. J’allais entreprendre une quête qui allait drastiquement changé ma petite vie monotone que je n’appréciais plus.
Mes amis, Amanda Walker et Franck Bacon originaire de la Nouvelle Ohara et de Koneashima rencontré lors d’un petit voyage d’affaire dans le royaume de la Veine m’avaient prit pour un fou au bar et la passion pour le jeu d’Amanda et l’ivresse de Franck les avaient poussé à parier leur vies dans une partie de carte qui a dégénéré. La tuerie de 1626 dans le royaume de la Veine par Joe Biutag dit « le Cafard » avait traumatisé Franck l’ex-marine et avec mon envie de fouler le pied dans la piraterie, je l’avais agacer et c’est ainsi que notre amitié farfelue est né après une bagarre alors qu’Amanda, elle est juste quelqu’un d’extravagante qui suit ses humeurs relativement changeante de barde voyageuse.
C’est ainsi que je me m’apprêtais à quitter mon île d’adoption, l’île du Karaté pour sillonner la jungle aquatique et y trouver mon bonheur ainsi que celui de mes futurs membres d’équipage.
Ma mère peu après ma naissance déménagea pour aller sur l’île du Karaté où elle rencontra mon père, Gecko Sakamoto, un honnête homme, cultivateur et ébéniste qui m’avait transmis tout son savoir. Il avait déjà un enfant, ma grande sœur, Sumiko qui était âgé de 8 ans de plus que moi, sa mère était morte quand elle en avait 3 et c’est ainsi ça que nos deux familles décomposées n’en ont formé qu’une dans un petit hameau en bord de côte où nous élevions quelques animaux de ferme en plus de cultivé la terre. Je n’étais cependant pas étranger à la vie en ville vu le commerce que tenait mon père, le Fancy Wood.
Mes grands-parents sont assez drôle quand j’y pense, ils m’ont souvent répété que leur trains de vie à l’époque n’était clairement pas le même et que devoir battre la terre avait été déconcertant au début ; ils ont miraculeusement fini par apprécié cette vie faite de simplicité même si ma grand-mère s’en plaint encore ouvertement tout les quatre matins. Je n’avais connu que ça moi et rester sur cette île ne m’intéressait pas le moins du monde, il fallait que je découvre le monde d’une manière ou d’une autre et je l’ai su assez tôt car plus ma mère reniait son passé, plus mon intérêt grandissait pour cette vie faite d’aventure qu’elle avait eu.
L’île étant peuplé pour la plupart d’artistes martial de tout niveau, j’ai baigné dans ce monde et comme tout les enfants, à l’âge de 4 ans, j’ai dû m’initier à la pratique du combat sous de nombreuse forme. Mon père lui étant originaire de l’île avait connu cela et a pratiqué au dojo de l’Ordre animal, son niveau n’était pas extraordinaire mais il me ventait souvent les mérites des maîtres confirmés de la pratique enseigné. Un style assez particulier dans la mesure où personne n’a véritablement la même façon de combattre alors qu’il s’agit bien d’un unique dojo. En effet, les pratiquants adoptent un style qu’il leur est propre au fil des années, inspiré d’un animal qui selon la pensée de cet art martial est l’animal totem qui repose en chaque individu ; encore faut-il l’exploiter.
L’animal totem de mon père est la grenouille, d’ailleurs, il exhibe encore son masque (de grenouille) au salon comme un trophée…
C’est donc naturellement comme les enfants de l’île que j’ai suivi ses traces et me suis inscrit au même dojo, ma sœur également mais huit ans auparavant. Je ne combattais pas par plaisir mais parce que c’était la coutume ; en réalité, ce que j’aimais réellement c’était grimper partout, en hauteur, descendre et remonter les falaises longeant les côtes, aller dans les mines ainsi que courir de maison en maison sur les toits ce qui m’avait valu le surnom à mon entrée au dojo « d’enfant singe » ou encore « petit singe » ; un diminutif qui ne me dérangeait pas réellement jusqu’à ce que j’atteigne l’âge de 12 ans et que l’on me considère comme un potentiel moine-guerrier. En effet, j’avais grandi et avec le temps et la discipline de l’ordre j’ai fini par progresser me créant un style dont j’étais fier. Je voulais compléter ce style avec le Hasshoken de ma mère indigne qui n’a jamais voulu car apparemment l’essence de mon art s’en serait retrouvé bouleversé..
J’avais pourtant prouvé mes capacités à nombre de tournois bien que je ne les appréciais pas forcément mais lors de l’un d’entre eux, j’étais tombé sur un adversaire qui avait un peu trop titillé mon style, se moquant ouvertement de mon maître ayant presque le même, Rostan KillinShark. Il était fort, plus que moi et lui faire ravaler ses paroles n’était pas facile ; enfin c’est ce que je croyais, en réalité, je lui avais apparemment mis la misère mais je n’étais plus conscient, je rabâchais constamment sur le tatami que j’étais Sun Wukong, « le Roi Singe » et qu’il regretterait sa moquerie, une proclamation que j’avais déjà faite auparavant et qui était né d’une querelle enfantine. Mon style de combat lors de cette « phase schizophrénique » avait apparemment drastiquement évolué en quelque chose de plus noble et épuré… cette phase était encore arrivé trois fois au cours de ma vie, à 15, 16 et 18 ans et depuis plus rien, je faisais même montre d’une maîtrise du Bôjutsu (le maniement de bâton) que je n’avais presque jamais utilisé ; j’avais apparemment adopté une posture beaucoup plus rustique, comme un véritable singe, le dos courbé. Retrouver cet état de transe était pour moi devenue une véritable lubie qui me poussait à parfaire mon art par tout les moyens et pour cela, j’ai eu l’idée lors de mon dix-septième printemps d’acquérir un fruit du démon, celui du primate Singe et pour ceci, j’ai mémorisé un grand nombre d’apparence de fruits.
Là était mon objectif, la politique, les conflits ne m’intéressait guère. Une chose était sûre, une fois roi, j’allais devoir acquérir du pouvoir sinon ce titre serait purement symbolique, ce qui me paraissait bien fade. C’était donc par la voie de la Marine ou de la piraterie que je devais me démarquer, peu importe les moyens employé. Mon choix pour la piraterie était pousser par l’envie d’agacer ma mère mais m’adonner au pillage n’était pas digne du titre que je voulais obtenir et même si en y regardant de plus loin, j’avais l’air d’un fou, j’étais résigné. J’allais entreprendre une quête qui allait drastiquement changé ma petite vie monotone que je n’appréciais plus.
Mes amis, Amanda Walker et Franck Bacon originaire de la Nouvelle Ohara et de Koneashima rencontré lors d’un petit voyage d’affaire dans le royaume de la Veine m’avaient prit pour un fou au bar et la passion pour le jeu d’Amanda et l’ivresse de Franck les avaient poussé à parier leur vies dans une partie de carte qui a dégénéré. La tuerie de 1626 dans le royaume de la Veine par Joe Biutag dit « le Cafard » avait traumatisé Franck l’ex-marine et avec mon envie de fouler le pied dans la piraterie, je l’avais agacer et c’est ainsi que notre amitié farfelue est né après une bagarre alors qu’Amanda, elle est juste quelqu’un d’extravagante qui suit ses humeurs relativement changeante de barde voyageuse.
C’est ainsi que je me m’apprêtais à quitter mon île d’adoption, l’île du Karaté pour sillonner la jungle aquatique et y trouver mon bonheur ainsi que celui de mes futurs membres d’équipage.
Informations IRL
• Prénom : X
• Age :20 ans
• Aime :Les séries, anime, manga, romans en tout genre, l’escalade en bloc, écrire.
• N'aime pas : La course d’endurance genre vraiment.
• Personnage préféré de One Piece :Comme ça je dirais : Ben Beckman, Koby et Charlotte Amande.
• Caractère : Sympathique ?
• Fait du RP depuis :Quatre années fluctuantes hehe
• Disponibilité approximative :Quand ça me prend hein quand je suis pas impliqué dans un RP
• Comment avez-vous connu le forum ? Google y'a déjà deux ans.
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Sumikito Sakamoto le Mar 23 Fév 2021 - 1:02, édité 3 fois