MAYURI
• Pseudonyme :
• Age : 27
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Bucheron
• Groupe : Civil » Révolution
• But :Être Libre
• Équipement : Une épée lambda style chevalier.
• Parrain : Mathigoful.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? non
• Codes du règlement :
Une réflexion dans le miroir de la réalité.
Ce matin-là, il s’était réveillé au côté d’une femme. Pas la plus belle, ni la plus moche, une femme simple, comme il les aimait. Une dernière douceur avant un long voyage.
Roulant sur le côté, il se permit de l’admirer encore une fois. De son mètre cinquante à elle, il la dépassait d’environ trois têtes. Elle n’avait cessé de lui dire comment elle aimait se pendre à son cou alors qu’il dansait d’une manière endiablée la veille. Elle avait aimé son regard sombre, ses cheveux en bataille, ses lèvres pulpeuses, ses mains. À cette pensée, il cessa d’effleurer sa peau et la recouvrit d’un drap pour se séparer d’elle.
Une fois debout, il rejoignit la salle d’eau où il ouvrir le robinet de la douche et se permit un dernier regard dans le miroir. Il avait de ses yeux aussi sombre que la nuit, qui n’allait pas trop mal avec ses cheveux d’ébène, mais ces cernes qui ne l’avaient jamais quitté lui donnaient l’air d’un mort. Son teint de lait cadavérique ne lui plaisait pas, mais faute de soleil, il resterait probablement ainsi pour toujours, enfin, tout dépendait du prochain stop à son aventure. Cette seule idée le fit sourire, peut-être aurait-il la chance de voir une île où la pluie ne règne jamais ! Continuant sa réflexion, sa main calleuse parcourue sa joue, toujours aucun signe de pilosité faciale malgré son âge, pas un poil au menton, sauf une petite cicatrice qu’il s’était fait plus jeune en essayant de grimper trop haut dans un sapin... Il finit son analyse en se regardant une dernière fois, dans toute sa nudité, il était tout ce qu’il y avait de plus humain.
L’eau lui fit le plus grand bien, contrairement à celle de l’extérieur, ici il se sentait confortable, en sécurité. Il frotta une dernière fois chaque centimètre de son corps, puis en se séchant, remarqua les quelques cicatrices sur ses mains, ou ses avant-bras. C’était le quotidien d’un bucheron que de parfois manquer son coup, ou d’être distrait par une mauvaise branche et ainsi se ramasser une vilaine marque. Encore heureux, il n’avait rien de très grave à signaler dans ce domaine, on pourrait pratiquement le confondre avec un grand gamin qui aurait simplement eu quelques écorchures et s’était parfait ainsi. Il repensait à tous les pauvres hommes avec qui il travaillait sur les chantiers, beaucoup trop nombreux étaient ceux dont le décompte de doigts n’était pas complet.
N'ayant pas de temps à perdre, il s’habilla, comme à l’habitude, un pantalon noir vint compléter une chemise blanche, puis son fidèle imperméable rapiécé et une hirondelle de soi pour se protéger de la pluie. Il ne restait plus qu’à aller chez le vieux Shimura, ramasser son trésor légué à sa mort et ainsi il serait prêt, prêt à entreprendre sa propre révolution.
En sortant, il ne put s’empêcher de se demander, comment était-il lui, Mayuri ? Avait-il un bon karma ?
Sa mère lui aurait dit qu’il était toujours gentil, généreux et même peut-être un peu trop tête en l’air, alors que son père lui aurait carrément dit de sortir sa tête des nuages. À défaut d’avoir des frères et sœurs, ses amis l’auraient décrit comme un mec déterminé, peut-être un peu lent ou même blasé que la normale, mais il avait toujours été là pour eux. Somme toute, c’est plus difficile de se faire détester quand le village dans lequel on vit ne comporte qu’une poignée d’homme et de femme. Il avait bien eu une petite phase plus difficile, mais un garçon de huit ans qui fait les cent coups, c’est assez courant et les gens du coin se connaissent tous, alors qu'on parle d'un pot cassé ou même une clôture brisée, les gens ne restent pas fâchés trop longtemps. Aimé des siens, il en venait à se poser ses questions, car son départ n’avait pas été reçu de la meilleure des façons. Ses parents avaient continué leur tâche ménagère sans se retourner et ses amis avaient dit des trucs moches comme : bon débarras. Peut-être était-il jaloux ? Ou ne se voyait-il pas capable de partir comme lui ?
Puis il y avait le vieux. Il lui avait appris à rester de glace, calme face à tout, même aux premières peines d’amour ou même aux l’horribles nouvelles que véhiculait les journaux. D’un coup de bâton derrière la tête et d’un grognement unique, il avait toujours su le ramener à l’ordre. Shimura avait été plus un père que le sien à ses yeux, c’était un vieux loup de mer avec une certaine réputation. Certain le croyait général d’une armée vaincue, d’autre un roi en exile. Mais personne ne savait qu’en réalité, il n’était autre qu’un historien révolutionnaire. Chez lui, il y avait plus de livres que de vivre. Un drôle de vieux. Se disait-il en regardant à l’horizon en direction du bois dans lequel le duo avait buché des centaines de troncs…
Une larme coula sur sa joue, Shimura avait été son mentor, confident et même s’il n’avait jamais entendu sa voix, il savait dans son cœur que celui-ci n’avait jamais voulu de mal à qui que ce soit. C’était d’ailleurs à sa mort qu’il s’était permis d’ouvrir son journal, ou ce qu’il croyait en être un. En réalité, c’était un vieux bouquin décrépi qu’il ne quittait jamais, quelque chose intitulé « Le capital…» de quelque chose, il ne savait pas quoi, une partie de la couverture était manquante et rafistolé d’un œillet de métal. En réalité, c’était un vieux livre rapiécé, dont plusieurs pages étaient manquantes, ou même simplement rayées au stylo et dans des langues plus énigmatiques les unes que les autres. Shimura avait écrit où essayer de transcrire bien des passages, mais lui-même ne s’était pas vraiment donné la peine de le lire. Il avait simplement lu la lettre à la fin, faisant somme de ses biens et possession, surprise de s’y voir léguer son livre et son épée avec une jolie inscription.
« Au fils que je n’avais jamais espéré avoir, Mayuri.
Reprend mon épée, elle est bien plus droite que le fut ma vie, mon journal et ma quête, règle ce quoi ne va pas dans se monde et fait toujours preuve de compassion, même envers tes ennemis. Sache que je serais toujours avec toi et que si tu t’en sens les épaules assez larges, une boite se trouve sous mon plancher, tu sais où, toi seul le sais. Dans celle-ci tu trouveras le fruit de mes durs labeurs, mange-le en savourant tous nos moments passés et son gout amer te rappellera toutes nos journées dans les bois, à grelotter, à se réchauffer de nos durs labeurs.
Ton humble serviteur et défunt,
S. D. Shimura. »
S. D. Shimura. »
Un saut rapide dans la réalité.
Grandir sur une petite île avait ses hauts et ses bas.
Debout sur le sommet d’une colline qui surplombait la mer, le grand brun regardait l’horizon avec un air à la fois pensif et grave. Ses pieds se balançaient chacun leur tour dans le vide, laissant quelques gouttes toucher la pointe de ses souliers de cuir, mais il n’y avait pas mort d’homme. Il ne pouvait s’empêcher de réfléchir : qu’aurait été sa vie s’il avait grandi ailleurs ? Il aurait pu être un noble, un esclave, ou même un pâtissier… il n’en avait pas la moindre idée, il aimait bien la tournure que prenait la sienne et même si le soleil n’était pas là pour le bénir de ses doux rayons, il n’y avait aucune hésitation dans son cœur.
Redressant son imperméable sur ses épaules tout en relevant son col pour se protéger du froid, il en vint même à remanier son hirondelle pour recentrer sa protection, comme si son incertitude passagère venait le faire frissonner une dernière fois. Il était né ici, sur cette île sans nom, un lopin de terre ou la pluie était éternelle… À la fois malédiction et bénédiction, tout dépendait du point de vue. C’était certes un peu plus morose et rendait le bronzage carrément impossible, mais il s’était plu ici. Du moins jusqu’à voir les soldats du Gouvernement mondial débarque par dizaine. Ceux si avait d’abord encerclé l’île de galion, puis les coups de canon avait fendu l’air d’un sifflement mortel… Il revoyait les flammes naitre malgré la pluie, les gens devenir fourmis, le désordre et tout ça pour quoi ? Pour un seul homme… L’œil unique du commandant d’élite qui l’avait exécuté était encore gravé dans la mémoire de tous ceux ayant survécu, de tous ceux ayant vu le vieil homme se sacrifier pour épargner la vie des innocents. Des femmes et des enfants et la sienne aussi.
Son poing s’était serré à s’en couper l’intérieur de la paume, mais son filet de sang disparut sous le martèlement léger des gouttes de pluie. Il soupira, puis revint à lui.
Pour certain, démarrer sur un endroit si petit sur une carte qu’il est presque inexistant, c’est l’opportunité de grandir dans un semblant de paix, se couper du reste du monde et de la guerre qui règne sur certaines îles et même de fonder une famille ou pratiquer le métier de leur rêve. Certains y restent jusqu’à leurs vieux jours et d’autre rêve de voyages et d’aventures. Ici c’était différent, car bien que coupé de pratiquement tout, la principale ressource qu’arrive à travailler ses habitants réside dans son bois. Bucherons arrivaient autrefois par dizaines avec entrain, mais depuis l’attaque, la moitié de la forêt avait été brulée, les soldats avaient eu la gâchette facile, du moins jusqu’à voir les femmes et les enfants se précipiter au port pour s’échapper, la seulement ils avaient avancé, troublé, pour mieux en finir.
D’immenses arbres pouces sur cette île jusqu’à percer les nuages et se gorge de soleil une fois les cieux atteints, facilitant leur croissance au détriment de ceux d’en bas. Leurs branches sont donc coupées quand elles sont basses et ensuite travailler pour faire du papier ou même de solide planche pour les navires. Ce même papier sert le plus souvent à alimenter les entreprises de journaux et ainsi le petit village se met très souvent à jour sur les horreurs créées par les pirates et leurs affrontements avec la marine.
C’était donc une cachette parfaite, un endroit incroyablement ingénieux. Shimura avait choisi de s’y réfugier, travaillant de jour comme un ouvrier, pour mieux envoyer ses messages par les journaux, mais tout finissait par se savoir et l’ordre reprit son cours, ou simplement la vie d’un militant.
Quant au reste, il n’y a qu’un chantier naval et celui-ci passe le plus clair de son temps à réparer de petits incidents sur des navires marchands, encore une fois, c’était assez, sans plus. Un sourire naquit sur les lèvres du solitaire alors qu’il se rappelait avoir ouvert une caisse sur le quai de la marina quand il était gamin, il s’était empiffré d’une poignée de poudre sans savoir qu’elle n’était autre que du paprika, il s’était précipité la tête dans l’eau pour s’en rincer la langue… C’était cette journée-là qu’il avait rencontré Shimura, alors qu’il sortait du plus beau bâtiment de la ville, situé à l’entrée de celle-ci. Le journal, la gazette de l’ile aux pluies.
Pour Mayuri, il n’en fut jamais ainsi, il n’avait jamais eu l’impression d’appartenir à cette vie-là. Il s’était toujours senti comme un oiseau en cage sur ce petit bout de terre qui pourtant le préserva de la cruauté du monde pendant bien des années. Il se revoyait tout jeune alors que ses parents, de simples pêcheurs, tentaient tant bien que mal de lui enseigner le métier, ou même quand il courait sous la pluie avec ses amis pour revenir se réchauffer à l’intérieur de leur modeste maisonnette le soir venu. Il avait été heureux, vraiment, mais sans plus et maintenant, cet endroit empli de souvenir devait se faire oublier, du moins pour un temps.
Engageant sa descente, il prit rapidement la direction de la forêt, y trouva l’écorce encore abimée d’un grand sapin. Après quelques minutes de marches depuis la colline, il avait trouvé son vieil ami. Une main parcourut la peau de ce conifère comme s’ils avaient été liés, dans une autre vie, peut-être. En réalité, leur relation remontait à quand il était bien plus jeune, lui et ses amis venaient frapper avec des bâtons contre ce même arbre jusqu’à ne plus s’en sentir les mains, c’était leur maladroite façon de démontrer leur volonté à devenir de fier travailleur. Beaucoup abandonnaient assez vite pour retourner à leurs occupations ou au jeu, mais pas lui.
Le vieux Shimura, un vieil homme au bouc touffu l’avait rapidement fasciné, celui-ci buchait des arbres deux fois plus gros que les autres bucherons et depuis aussi longtemps qu’il puisse s’en souvenir en plus. Un mec sympathique qui ne cherchait jamais la violence, également muet, il lui avait enseigné à garder son calme, mais aussi son métier principal, soit de savoir couper... D’un bâton à une hache, il avait bien grandi, mais cet arbre empli de mémoire n’avait jamais été tranché, comme si d’une promesse, il s’était tous deux donné rendez-vous.
-Il est temps mon vieil ami. Si j’y arrive, me laisseras-tu partir ?
Dit-il dans le vide en laissant son ombrelle tomber à ses côtés, il était tout mouillé de toute manière. En cavalier, Mayuri décrit un arc de cercle avec son pied droit, balayant la boue, puis fléchit l’autre jambe comme le lui avait enseigné une drôle de jeune femme en passage sur son île quelques années auparavant. Billie Jeen… Une jeune fille beaucoup plus jeune que lui. Elle lui avait autrefois donné une ou deux leçons à l’épée, il se remémorait la sienne, démesurée dans le pas possible… Bref, une autre personne exceptionnelle qui lui avait montré qu’il y avait bien plus à la vie et qu’avec un peu de volonté, tout était possible ! Il comprenait maintenant pourquoi elle n’était pas restée ici…
À sa taille, sa main trouva donc une vieille épée qu’il avait affutée la veille au soir dans la cabane du vieux. Elle venait épouser la paume de sa main droite dans un mouvement qu’il avait répété tous les jours depuis qu’on lui avait confié une hache, mais cette fois, il s’agissait bel et bien d’une épée. Frémissant de bonheur et de nostalgie, il se concentra un instant.
Un moment, l’air sembla s’éterniser, les gouttes d’eau infinie ne le dérangeaient plus depuis des années, mais c’était comme si son heure était venue, l’heure de s’éveiller d’un cauchemar. Depuis qu’il avait trouvé cette vieille lame dans la cabane du vieux Shimura, il avait vite compris que l’homme était un vieux sabreur et s’était mis à étudier ses mouvements jusqu’au jour où il rendit son dernier souffle et hérita de cette lame. Tout le monde le savait différent, mais aux yeux emplis de rêve d’un enfant, le vieux avait été plus qu’une inspiration, et ce même dans la mort…
-Pour toi, mon mentor.
Dit-il avant de fermer les yeux en se remémorant la présence de son défunt, ami. La lame glissa ensuite de son fourreau et d’un mouvement unique, oscilla entre sa position originelle et pointa en face du guerrier qui la brandissait de ses deux mains. Un coup rapide qui l’avait obligé à puiser au plus profond de son être. Un coup magnifique qui sembla n’avoir fait aucun dommage à l’arbre… Lui ? Il était désormais de l’autre côté, mais insatisfait, rangea l’arme et se mit à sourire bêtement.
Décourager, il soupira d’un coup en affaissant ses épaules. Dommage. S’était-il dit en remettant son arme d’où il la tirait, relevant celle-ci dans son fourreau à répétition comme pour calmer son stress. Sa décision était prise et il prendrait la mer aujourd’hui.
Quittant la forêt, il prit rapidement la direction du port avec un colis trouvé suivant les indications de son mentor, pour se rendre où l’attendait un navire à l’étendard absent, celui-ci s’était amarré la veille et lors d’une discussion alcoolisée au bar, il avait décidé de se joindre à eux. Comme un moussaillon pour commencer, mais il pourrait ainsi s’évader. Un navire empli d’une certaine aire de révolution et d’idée de grandeur ! Ce qui vint le toucher, car depuis les récents évènements mondiaux avec tous ses pirates qui s’énervent aux quatre coins du monde, il avait été mis aux premières loges.
Attentif, il avait lu et relu des dizaines de fois tous les articles qui parlaient des mesures draconiennes qu’avait prises le Gouvernement mondial, peut-être que son point de vue était altéré par une vie de séclusion, mais il n’adhérait pas avec leur mentalité. Il était donc tout naturel pour un jeune homme comme lui, avec un esprit critique et justicier de vouloir entrer doucement dans la lutte contre ce même gouvernement qui avait en son sein des soldats aux mains encore plus rouges que les criminelles chassées.
Ce qu’il ne savait pas au sujet de ce même navire qui deviendrait sa nouvelle famille, c’était qu’eux aussi étaient venus ici, pour remercier un vieil ami. Collègue du vieux Shimura, ils s’étaient précipités ici, voyant qu’il n’y avait plus aucun message dans les journaux et pourquoi ? Pour y trouver son héritier. Il le protègerait donc, puisque celui-ci, sans le savoir, avait accepté de marcher dans son ombre sans même le savoir. À leurs yeux, c’était assez pour lui montrer la voie.
Il n’avait pas plus de souvenirs à se remémorer, mais ceux qu’il avait étaient heureux et c’était un bagage suffisant pour le jeune homme empli d’une énergie nouvelle. Il commençait sa propre aventure ! Il ne s’était jamais su révolutionnaire, mais en entendant l’offre de liberté, son cœur s’était mis à vibrer et il sut que son destin était de rejoindre le combat…. Il avait donc grimpé sur l’échelle de bois qui le séparait d’un quai en ruine à ce navire de promesse, il avait regardé l’endroit où se tenait fièrement son mentor quelques semaines plus tôt.
L’endroit ou Shimura, informateur de la révolution s’était fait prendre et abattre par le dragon des ténèbres, commandants d’élites, de son nom aussi barbare que ses actions: Groar Roddower. Il le revoyait tuer des civils pour donner un exemple et ainsi taire les autres.
Derrière l’endroit exact où était mort Shimura, tous les habitants de l’île s’étaient amassés, soi-disant pour prier celui-ci.
-Tsh. Bande d’imbéciles!
Avait-il simplement laissé échapper en pleurant comme une Madeleine. C’était pour lui dire au revoir à lui qu’ils s’étaient tous rassemblés et même si la pluie cachait leur larme, leurs visages ne mentaient pas. Mayuri allait leur manquer. Il s’ennuierait d’eux.
Et quelque part dans la forêt, un arbre se mit à glisser. Coupé net, il n’était pas tombé tout de suite, peut-être trop fier, peut-être encore combatif, mais il avait fini par s’avouer vaincu sous le coup d’un prodigieux élève, ou du moins c’est ce qu’aurait dit Shimura s’il avait pu parler….
Informations IRL
• Surnom : Mayu le Clown• Age : 27 automnes et des poussières
• Personnage préféré de One Piece : Zoro/les Yonkos, ils ont tous d’incroyable Background!
• Fait du RP depuis : mes 12ans
• Disponibilité approximative : 1-2h semaine
• Comment avez-vous connu le forum ? Référence d'un coco à l'avatar démoniaque
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Mayuri le Dim 9 Mai 2021 - 17:33, édité 3 fois