Quand faut y aller faut y aller, pas le choix. C'est ce que je me dis en cette journée de 1628, première semaine sur Kikai no Shima. Le patron m'a appelé, il a du taff pour un gladiateur, et comme je suis réputé le plus salace, le plus coriace et le plus antipathique de tous, c'est forcément moi qui m'y colle. Je traîne des pieds pour me rendre sur place, j'ai pas envie d'un tête à tête avec ce connard suffisant qui croit tout savoir sur tout le monde dans sa ville. Ce qu'il sait pas, c'est que j'suis assurément tout sauf un employé modèle, j'ourdis de sacré complot contre ce fils de chien qui s'est installé dans le paradis du joueur et du mafieux qui aiment le jeux d'argent. Y'en a un qui dépense son fric, l'autre le récupère, bon procédé, gagnant gagnant. Sauf que voilà, dans certains établissements stratégique de la ville, les dés sont pipés, et les croupiers s'ils ne comptent pas les cartes, les manipule avec une dextérité hors du commun. Bref, un vrai attrape nigaud, de la poudre au yeux pour le touriste. Moi, j'connais la vérité. Arrivé devant le grand bureau qui fait l'angle d'une rue principale de Kikai no Shima, démontrant que même dans l'adversité le Bradley à de la ressource -on vous rappelle ses mésaventures avec le CP8 et miss Bonny quelques jours plus tôt, et qu'il a pignon sur rue.
Je traîne mes groles, des Getas plombés de première qualité jusque devant la porte en bois rehaussé de montant en métal d'une solidité extrême. Je frappe trois fois. Le code qu'il a instauré pour être sûr que c'est bien un de ses gars, et pas un guet apens. Il me dit d'entrer, le code que nous on a instauré pour être sur de pas se faire plomber à l'entrée du bureau, comme des lapins de Goa.
- C'est Judas m'sieur, vous m'avez fait demandé ? Que je fais en poussant la porte sur ses gonds de trois doigts habiles et puissants. A dire vrais, ça fait rêver les ménagères, je fais ça pour le publique crois moi. La tête sombre et borgne du patron de la pègre à Kikai apparaît dans l'embrasure de la porte. Klaus à sa droite avec son hachoir à la main. Est-ce que je dois m'inquiété ? J'suis plutôt un type serein d'habitude, mais à fricoter avec le haut du panier, le pouvoir en place dans l'coin, je risque de me brûler les ailes, j'le sais bien. Après tout je joue mon rôle à la perfection, petit chien chien des grandes puissances de l'île, et j'vois pas pourquoi on m'aurait démasqué avec toutes le précautions que je prends. Je détaillerai pas ici tous les process que j'ai emprunté à ma mafia locale de North, dans l'art de la dissimulation, je me contenterais de dire que j'ai toujours été rapide à la compréhensive et à l'apprentissage.
- Ah oui, c'est toi bien... Tu connais ce type ? Qu'il me fait Bradley, me tendant une photo prise la vieille au soir, qui est flou et mal cadré, d'un type en costume et petit mocassins. J'aime pas les gens qui portent des mocassins, j'vous l'ai déjà dis ? Suffirait plus qu'il est un petit gland en bois accroché là, et j'vous dis pas le tableau bourgeois que ça donne. Et moi, les bourgeois, j'aime pas ça. Non, pas du tout, pourquoi je devrais ? Que je lui lance avec la même nonchalance que lui qui me dit qu'il y'a un problème sur son île.
- Bien ce que je pensais, c'est un Rookie celui là... Et qui se promène dans ma ville en pensant pouvoir en faire son terrain de jeu ... Et j'comprends alors que mon boulot, ce jour là, ce sera de l'intimidation, et de la baston. Ma foi, pourquoi pas c'est dans mes cordes. Il m'explique qu'un nouveau gars est arrivé en ville, qu'il a joué, qu'il gagné dans un établissement puis un autre et encore un autre. Le problème ? C'est qu'il était sensé perdre pardi ! J'reconnais certains Casinos comme ceux "spécialement conçu" pour les pigeons, que Bradley a installer pour se faire vraiment un pognon monstre... A vous dégoûter de travailler celui là. T'façon le milieu est bien connu pour être rentable pour les plus forts, ou les plus malins.
Donc, je dois retrouver ce type, et lui faire passer l'envie de continuer son petit manège. Aussi simple que ça, aussi radical, aussi brutal qu'un Judas des bons vieux temps. Pas de plan, pas de manipulation, que de la traque et de la castagne au programme. Ca va nous faire un bien fou, j'vous dis pas. J'sais que je suis un simple gladiateur, une unité sacrifiable, un simple pion dans le jeu de Bradley ; Et pourtant il sait pas de quoi je suis réellement capable, vu que je me bride en permanence.
Il est l'heure de montrer de quel bois j'me chauffe. J'enfourche mon bon vieux caractère bien trempé, et je file comme le vent à l'adresse qu'on m'a donné. C'est là que le type est sensé être descendu selon les indics du King. Maintenant, je dois déjà le retrouver avant de m'occuper de son cas. Première étape, donc, la bonne vieille ville de Kikai, et ses hôtels les moins cossue, mais aussi du meilleur rapport qualité prix.
Un nouveau joueur en ville [ft Edward].
Bonjour. Ca va vous ? C'est vrai que c'est rare de le demander aux lecteurs alors voilà. Et en plus, pour le coup, notre Edward, pas trop mais laisser-moi vous expliquer.
Edward était en plein dans ses projets personnels depuis quelques temps. Il avait son fameux plan de création de sa fabrique de bonbons, il avait passé un sacré temps à parfaire la maîtrise de son nouveau fruit du démon qu'il réussissait enfin à utiliser de manière décente, bref, du boulot. Vraiment beaucoup de boulot.
Ca faisait des plombes qu'il n'avait pas eu de petite aventure pas trop ambitieuse. Des petits vols, des petites arnaques, ça lui manquait un peu. Et il ne pouvait pas en faire sur Innocent Island, ça serait beaucoup trop cramé. Surtout qu'il avait prévu d'y rester un temps. Il décida donc de prendre une décision simple, prendre la mer, en quête d'un peu de tranquillité.
Il laissa donc Kitsuna, Klaus, et une bonne partie de ses hommes sur Innocent Island et c'était parti. Sans crier garde, sous le soleil de cette journée qui semblait bonne, avec ce qu'il fallait de vent, il allait se faire un petit road trip des îles pour faire des petites arnaques à la sauvette. Ce qui lui permettrait en plus d'en apprendre un peu plus sur grand line.
Sur les premières îles, tout ce passa très bien. Il y reste très peu au final, car il n'y voyait pas grand chose d'intéressant. Mais à la cinquième île, ça allait changer. Cet endroit s'appelait Kikai no Shima et semblait pour le coup être une île très riche. Il était facile d'au loin voir les grosses bâtisses qui semblait être de grand hôtels. Il fallait qu'il s'y arrête, ça vaudrait le coup. Puis ça permettrait de recharger le loge pose aussi. Car mine de rien, ce road trip, ça faisait déjà quelques semaines qu'il avait déjà débuté. Et oui, le temps de recharges du loge pose. C'était une vraie plaie mais c'était comme ça. Puis ça faisait comme des vacances. Bon, même si le retour devrait durer le même temps, et ça, c'était relou.
Bref, une fois sur l'île, je ne vais pas vous mentir, Edward était bien loin de ces préoccupations. Il savait que la recharge de son loge pose lui laissait 5 jours pour en profiter, et il comptait bien le faire. Dans les rues pavés et pour le coup assez luxueuses, il ne pouvait avoir d'yeux que pour les bijoux des femmes qu'il voyait autour de lui, les montre des hommes, et leurs habits criant leurs prix exorbitants. Il était tomber au paradis. Mais après avoir déambuler un quinzaine de minutes, il allait avoir une épiphanie. Un casino. Ses pigeons préférés. Simple à arnaquer en comptant les cartes ou en trichant de manière discrète. Très difficilement prouvable et un vol n'amputant que les puissants. Les personnes les plus méprisables du monde selon Edward. Et il se ferait un plaisir de réduire un peu la bourse du porc qui contrôlait ce lieu.
C'est donc l'âme tranquille qu'il allait poliment rentrer en saluant l'agent d'accueil après avoir laissé son arme dans un casier. Après tout, Apophis était un sabre-épée vivant. S'il en avait besoin, il pourrait juste l'appeler et il n'aurait aucun mal à sortir de là comme un grand. Et désormais, il avait le Ame Ame no Mi en plus. Sa sécurité était assurée. Personne ne pouvait plus l'atteindre désormais. Et rien que ce fait suffisait à le faire sourire alors qu'il était dans le couloir qui l'amenait à la salle de jeu. Murs blancs avec des dorures, tapis rouges, tableaux, ouaip, il avait tirer le jackpot. Il se ferait une sacré thune ici.
Il se posa donc simplement à une table de blackjack, la première qu'il croisa. Après avoir bien sûr fait un petit tour pour ne pas sembler suspect, même si c'était dur. Ce lieu puait la débauche. Des millions de berrys claqués en un tour de main. L'alcool qui coulait à flot dans leurs saletés de verrerie en cristal. Ils ne se faisait pas chier les mecs. Le tout évidemment avec des serveuses fringuées en robe de soirée super légère pour donner envie de jouer. pff, quel honte. Ces gens ne valaient rien. Enfin si, ils valaient juste l'heure qu'il allait passer à les plumer. Mais vraiment rien de plus.
Lorsqu'il s'assit, il pû constater que même les chaises étaient en or avec du putain de velours. Le même qui était sur la table qui était surement aussi en chêne massif. Ca donnait envie de gerber. Mais le jeune homme allait juste prendre sa respiration, sourire et prendre la parole.
"- Bonjour, je voudrais rejoindre la prochaine partie s'il vous plait. "
Lors du temps qu'il passa à la table, il se posa dans une certaine règle. Il se laissait perdre une partie de temps en temps, toujours de manière à avoir plus de gains que de pertes, et voilà. Il décida d'utiliser la stratégie la plus courante du monde, il comptait les cartes, et voilà. De cette manière, il accumula une petite fortune puis décida de partir, feintant la peur de toute perdre s'il continuait de jouait. Il ne fallait pas oublier qu'il restait un acteur de premier ordre. Et faire l'homme normal qui ne voulait pas tromper la chance plus que ça était facile.
Il renouvela la même expérience tout les jours. Il jouait une heure par jour à un casino différent, gagnait un pactole, le collait sur son bateau, passait une journée pépère en s'entrainant un peu pour ne pas être vu en ville et c'était reparti. La seule chose qui pouvait faire que cette routine ait ses limites, c'est si tout les casino appartenaient au même blaireau. Mais c'était hautement improbable. Non ? ...
Et bien en tout cas, ce qui était sûr, c'est que le dernier jour, il allait être suivi par un type louche et que ça pouvait avoir un lien. C'est ce qui allait mettre le jeune homme sur ses gardes. C'est pour ça que tranquillement, il allait rester le plus neutre possible, pour se diriger vers une ruelle assez déserte alors que la nuit allait presque tomber. Ca dénotait même pas mal avec l'ambiance très chic que le Serpent avait juste jusque-là, mais j'imagine que toutes les îles ont des petites ruelles un peu tranquille la nuit. Il allait cependant en profiter pour prendre la parole, dans cet endroit où il pouvait faire tomber un peu son masque de mec lambda.
"- Oui ? Je peux vous aider ? "
Le message était évidemment adresser au pisteur. Il fallait juste maintenant savoir comment il allait réagir.
Edward était en plein dans ses projets personnels depuis quelques temps. Il avait son fameux plan de création de sa fabrique de bonbons, il avait passé un sacré temps à parfaire la maîtrise de son nouveau fruit du démon qu'il réussissait enfin à utiliser de manière décente, bref, du boulot. Vraiment beaucoup de boulot.
Ca faisait des plombes qu'il n'avait pas eu de petite aventure pas trop ambitieuse. Des petits vols, des petites arnaques, ça lui manquait un peu. Et il ne pouvait pas en faire sur Innocent Island, ça serait beaucoup trop cramé. Surtout qu'il avait prévu d'y rester un temps. Il décida donc de prendre une décision simple, prendre la mer, en quête d'un peu de tranquillité.
Il laissa donc Kitsuna, Klaus, et une bonne partie de ses hommes sur Innocent Island et c'était parti. Sans crier garde, sous le soleil de cette journée qui semblait bonne, avec ce qu'il fallait de vent, il allait se faire un petit road trip des îles pour faire des petites arnaques à la sauvette. Ce qui lui permettrait en plus d'en apprendre un peu plus sur grand line.
Sur les premières îles, tout ce passa très bien. Il y reste très peu au final, car il n'y voyait pas grand chose d'intéressant. Mais à la cinquième île, ça allait changer. Cet endroit s'appelait Kikai no Shima et semblait pour le coup être une île très riche. Il était facile d'au loin voir les grosses bâtisses qui semblait être de grand hôtels. Il fallait qu'il s'y arrête, ça vaudrait le coup. Puis ça permettrait de recharger le loge pose aussi. Car mine de rien, ce road trip, ça faisait déjà quelques semaines qu'il avait déjà débuté. Et oui, le temps de recharges du loge pose. C'était une vraie plaie mais c'était comme ça. Puis ça faisait comme des vacances. Bon, même si le retour devrait durer le même temps, et ça, c'était relou.
Bref, une fois sur l'île, je ne vais pas vous mentir, Edward était bien loin de ces préoccupations. Il savait que la recharge de son loge pose lui laissait 5 jours pour en profiter, et il comptait bien le faire. Dans les rues pavés et pour le coup assez luxueuses, il ne pouvait avoir d'yeux que pour les bijoux des femmes qu'il voyait autour de lui, les montre des hommes, et leurs habits criant leurs prix exorbitants. Il était tomber au paradis. Mais après avoir déambuler un quinzaine de minutes, il allait avoir une épiphanie. Un casino. Ses pigeons préférés. Simple à arnaquer en comptant les cartes ou en trichant de manière discrète. Très difficilement prouvable et un vol n'amputant que les puissants. Les personnes les plus méprisables du monde selon Edward. Et il se ferait un plaisir de réduire un peu la bourse du porc qui contrôlait ce lieu.
C'est donc l'âme tranquille qu'il allait poliment rentrer en saluant l'agent d'accueil après avoir laissé son arme dans un casier. Après tout, Apophis était un sabre-épée vivant. S'il en avait besoin, il pourrait juste l'appeler et il n'aurait aucun mal à sortir de là comme un grand. Et désormais, il avait le Ame Ame no Mi en plus. Sa sécurité était assurée. Personne ne pouvait plus l'atteindre désormais. Et rien que ce fait suffisait à le faire sourire alors qu'il était dans le couloir qui l'amenait à la salle de jeu. Murs blancs avec des dorures, tapis rouges, tableaux, ouaip, il avait tirer le jackpot. Il se ferait une sacré thune ici.
Il se posa donc simplement à une table de blackjack, la première qu'il croisa. Après avoir bien sûr fait un petit tour pour ne pas sembler suspect, même si c'était dur. Ce lieu puait la débauche. Des millions de berrys claqués en un tour de main. L'alcool qui coulait à flot dans leurs saletés de verrerie en cristal. Ils ne se faisait pas chier les mecs. Le tout évidemment avec des serveuses fringuées en robe de soirée super légère pour donner envie de jouer. pff, quel honte. Ces gens ne valaient rien. Enfin si, ils valaient juste l'heure qu'il allait passer à les plumer. Mais vraiment rien de plus.
Lorsqu'il s'assit, il pû constater que même les chaises étaient en or avec du putain de velours. Le même qui était sur la table qui était surement aussi en chêne massif. Ca donnait envie de gerber. Mais le jeune homme allait juste prendre sa respiration, sourire et prendre la parole.
"- Bonjour, je voudrais rejoindre la prochaine partie s'il vous plait. "
Lors du temps qu'il passa à la table, il se posa dans une certaine règle. Il se laissait perdre une partie de temps en temps, toujours de manière à avoir plus de gains que de pertes, et voilà. Il décida d'utiliser la stratégie la plus courante du monde, il comptait les cartes, et voilà. De cette manière, il accumula une petite fortune puis décida de partir, feintant la peur de toute perdre s'il continuait de jouait. Il ne fallait pas oublier qu'il restait un acteur de premier ordre. Et faire l'homme normal qui ne voulait pas tromper la chance plus que ça était facile.
Il renouvela la même expérience tout les jours. Il jouait une heure par jour à un casino différent, gagnait un pactole, le collait sur son bateau, passait une journée pépère en s'entrainant un peu pour ne pas être vu en ville et c'était reparti. La seule chose qui pouvait faire que cette routine ait ses limites, c'est si tout les casino appartenaient au même blaireau. Mais c'était hautement improbable. Non ? ...
Et bien en tout cas, ce qui était sûr, c'est que le dernier jour, il allait être suivi par un type louche et que ça pouvait avoir un lien. C'est ce qui allait mettre le jeune homme sur ses gardes. C'est pour ça que tranquillement, il allait rester le plus neutre possible, pour se diriger vers une ruelle assez déserte alors que la nuit allait presque tomber. Ca dénotait même pas mal avec l'ambiance très chic que le Serpent avait juste jusque-là, mais j'imagine que toutes les îles ont des petites ruelles un peu tranquille la nuit. Il allait cependant en profiter pour prendre la parole, dans cet endroit où il pouvait faire tomber un peu son masque de mec lambda.
"- Oui ? Je peux vous aider ? "
Le message était évidemment adresser au pisteur. Il fallait juste maintenant savoir comment il allait réagir.
J'me prépare au combat sur la route. Toujours affuter ses arguments, et ramener la quincaillerie était devenue une habitude. Une savant processus me permet de m'entourer de chaînes afin de créer une sorte de Côte de Mailles solides et protégeant les parties les plus sensibles de mon anatomie. Toujours préparer son jeu, envisager des scénarios, faire des plans sur la comète. C'est nécessaire, et cet exercice permet une meilleur visualisation de la suite des évènements, comme des coups à votre disposition. J'suis pas un foudre de guerre, mais plutôt un feu follet crépitant dans l'âtre de mes vices les plus sombres. J'suis un combattant, un guerrier des temps modernes, j'ai été élevé à l'ancienne, avec des notions d'honneurs et de paroles. On m'a pas apprit à tricher, à mentir ou bien tout autres trucs et astuces d'arnaqueurs. Je sais dévié la loi et ses plus obscures textes avec la minutie d'un horloger, enjamber les morales à la noix pour ne voir que mon propre intérêt. J'suis humain. J'supporte juste pas les types qui aiment biaiser et prendre des chemins de traverse pour arriver à leur objectifs. J'suis un mec franc, honnête, un pure un dure. Mon argent j'le gagne à la force du poignet dans l'arène, ou bien en effectuant ce genre de petit contrat. On pourrait m'qualifier de roquet à la soldes de la mafia ; J'vois plus ça comme un partenariat à double bénéfices. Chaque camp y voit son intérêt.
Eux sont comblés par mon domaine d'expertise, et moi, on me questionne pas sur mes méthodes et mes envies les plus violentes. M'battre, c'est depuis l'adolescence que j'le fais. J'ai pas été longtemps très tendre pour un jeune freluquet. Les coups, et les expériences m'ont forgé, pour faire de l'enfant un adulte sacrément vindicatif. J'suis une brute, un être massif dont les mains sont considérées comme des armes contondantes. Même que si j'passais devant un tribunal à chaque fois que j'corrigeais quelqu'un, y'aurait un sacré bordel qui me serait tombé sur le coin du nez. Mais j'choisis mes cibles, et l'ont enfermait personne pour avoir défenestrer un pirate. Pas dans notre gouvernement actuel. A la bonne heure.
Quand j'arrive à l'hôtel, y'a personne dans la chambre de l'escroc. Edward Minaro qu'il s'appelle, primé à 26 M de Berrys, on m'a tout juste donné une vague description et un nom pour me dépatouiller. Heureusement j'suis un fin limier, et j'finis par retrouver sa trace dans une des nombreuses rues adjacentes à l'établissement. J'le suis discrètement, mais pas assez cela dit parce qu'il arrête pas de se retourner pour me mater. A dires vrais, ai-je vraiment quelque chose à faire de l'effet de surprise?
Il s'engage dans une ruelle, et je suis le mouvement, les mains dans les poches du grand manteau noir qui m'emmitoufle. En dessous, une tunique en cuir et mes chaînes terminent de faire de moi un véritable tank, une machine de guerre prête à agir, cent cinquante kilos de viande musclée et nerveuse sur le qui vive.
- Minaro, Edward Minaro ? Que j'fais avec un air amusé sur le visage, goguenard même. Tu ne m'échapperas pas. Pas cette fois, ni une autre fois. Cela allait se régler maintenant. Va falloir quitter l'île et ne jamais y remettre les pieds, et aussi me remettre toute la caillasse que tu as gagné sur nos tables, sur le champs ... Si tu veux vivres, était sous entendu. J'suis pas patient, ni magnanime. J'adore me frotter à des gens compétents, et que dire d'un pirate ayant étrenné les blues à tel point qu'il avait sa tête sur les avis de recherches du Gouvernement ? Sûrement qu'il avait une certaine accointance avec la baston, le chaos et le sang.
On allait faire parler nos phalanges ou nos langues, à lui de décider comment la jouer.
- Légende:
Techniques de la FT Dialogue de Judas Lexique particulier
Et bah ... C'était surprenant. Beaucoup de gens auraient essayer de cacher leurs présences ou de feindre de ne pas comprendre. Mais ça n'allait pas être le cas du mec pour le coup. Enfin, du colosse plutôt. Lorsqu'Edward pût voir celui qui se présenta directement comme un adversaire, il pût directement se rendre copte que c'était un sacré bout de viande. Il était d'une stature au moins deux fois plus imposante que lui.
Enfin bon, ce n'est pas pour autant qu'il allait être impressionné ceci-dit. Il avait un atout dans sa manche avec son fruit du démon. Même si le gonzinard avait pû lui sortir son nom et sa prime, il n'y avait aucune chance qu'il connaisse une information comme ça. L'acquisition de ce fruit était récent et il n'avait jamais été encore utilisé en public, donc ça allait. Le Serpent allait juste prendre un petit sourire et répondre sobrement.
"- Alors c'est dommage. Tu m'aurais juste dit de quitter l'île, je l'aurais fait. Je ne comptait pas m'attarder ici. Mais mes gains, c'est hors de question que je les rende. Après tout ... Reprendre c'est voler non ? "
Le jeune homme allait rigoler avant de dégainer son arme puis de reprendre.
"- Ne m'en veux pas. En d'autres conditions, je t'aurais dit que si tu les voulais, t'avais qu'à venir les chercher mais là, j'ai la flemme. "
Très rapidement, le jeune homme allait prendre son impulsion pour charger avec son épée à l'aide de sa vitesse, mais d'une manière assez étrange. Il n'allait pas de diriger directement sur son adversaire, mais il allait lui passer derrière et se retourner pour transpercer l'air avec son arme et créer une sorte d'estoc d'air. La punition royale. L'une de ses bottes secrète. En l'enchainant à plusieurs reprisent, il avait tué James Silver. Il serait intéressant de voir comment cet homme encaisserait. Surtout que l'homme aux yeux rouges n'allait pas s'en contenter d'un seul, il allait doubler la mise, avant de faire une pirouette arrière pour reprendre une posture défensive.
Quelque part, il savait que cet homme serait très probablement bien plus dur à tuer. Il allait donc garder la tête froide. Tout donner d'un seul coup ne serait pas très intelligent et il le savait. Il allait donc juste voir comment son opposant allait contre-attaquer pour trouver une ouverture afin de l'empoisonner et le laisser se fatiguer tout seul avant de lui porter un coup fatal. Après tout, il n'était pas le Serpent pour rien.
Enfin bon, ce n'est pas pour autant qu'il allait être impressionné ceci-dit. Il avait un atout dans sa manche avec son fruit du démon. Même si le gonzinard avait pû lui sortir son nom et sa prime, il n'y avait aucune chance qu'il connaisse une information comme ça. L'acquisition de ce fruit était récent et il n'avait jamais été encore utilisé en public, donc ça allait. Le Serpent allait juste prendre un petit sourire et répondre sobrement.
"- Alors c'est dommage. Tu m'aurais juste dit de quitter l'île, je l'aurais fait. Je ne comptait pas m'attarder ici. Mais mes gains, c'est hors de question que je les rende. Après tout ... Reprendre c'est voler non ? "
Le jeune homme allait rigoler avant de dégainer son arme puis de reprendre.
"- Ne m'en veux pas. En d'autres conditions, je t'aurais dit que si tu les voulais, t'avais qu'à venir les chercher mais là, j'ai la flemme. "
Très rapidement, le jeune homme allait prendre son impulsion pour charger avec son épée à l'aide de sa vitesse, mais d'une manière assez étrange. Il n'allait pas de diriger directement sur son adversaire, mais il allait lui passer derrière et se retourner pour transpercer l'air avec son arme et créer une sorte d'estoc d'air. La punition royale. L'une de ses bottes secrète. En l'enchainant à plusieurs reprisent, il avait tué James Silver. Il serait intéressant de voir comment cet homme encaisserait. Surtout que l'homme aux yeux rouges n'allait pas s'en contenter d'un seul, il allait doubler la mise, avant de faire une pirouette arrière pour reprendre une posture défensive.
Quelque part, il savait que cet homme serait très probablement bien plus dur à tuer. Il allait donc garder la tête froide. Tout donner d'un seul coup ne serait pas très intelligent et il le savait. Il allait donc juste voir comment son opposant allait contre-attaquer pour trouver une ouverture afin de l'empoisonner et le laisser se fatiguer tout seul avant de lui porter un coup fatal. Après tout, il n'était pas le Serpent pour rien.
- Récapitulatif:
État physique : En parfaite condition
État mental : La tête froide, RAS
Techniques utilisées : # Punition royale
Coup d'estoc sec qui provoque une sorte de jet à haute pression pour transpercer un ennemi. Peut-être être enchainé très rapidement, en fonction des dorikis de l'utilisateur.
Note : TOut les tours, je ferais un petit récap comme ça pour te faciliter la compréhension de l'état de mon personnage, ne me remercie pas
Tu me diras publique, j'me sens magnanime aujourd'hui. Le laisser faire la parlotte, c'est généralement tout ce que je fais pas. Généralement j'frappe avant de causer, mais depuis quelques années j'aspire à une certaine bonté d'âme, une genre de pitié pour ceux qui me font face. Il est évident que j'vais gagner, dans mon esprit. Il est évident qu'il ne fait pas le poids, le Rookie des Blues, cœur léger et main tendre sur son arme dégainée. Rapide, très rapide, cependant. J'dois l'admettre, son mouvement m'surprends et donnera sûrement du grain à moudre à mes détracteurs. Depuis que j'ai arrêter d'être au cœur de la mêlée, m'suis un peu refroidie, je suis plus brûlant tel l'acier en fusion s'enfonçant dans les chaires comme un couteau dans une motte de beurre. Je suis tiède. Après tout, pourquoi m'brusquer face à ce genre d'adversaire ?
La lame de vent passe à quelques millimètres de ma nuque. A dire vrais, elle aurait pu tout aussi bien passer à des kilomètres. Ce genre d'attaque, Rafaelo m'avait apprit quelques astuces pour les lire et les éviter de la manière la plus efficace qu'il soit. Vivez l'enfer d'un entraînement intensif avec l'Assassino et vous verrez, vous aussi, qu'il sera beaucoup plus dur de vous surprendre avec du basique.
En revanche, j'avais pas prévu qu'une deuxième lame siffle dans l'espace nous séparant aussi rapidement, et qu'elle touche en plein dans mon estomac. Enfin, dans le métal qui la couvrait et qui n'attendait qu'une seule bonne raison de m'obéir au doigt et à l'œil. Déchirant ma tunique en cuir de vachette d'East Blue, ma préféré bordel ! J'accuse le coup en mettant un pied derrière moi, mais ce signe de faiblesse n'en est pas un. Une chaîne jaillit à la commande de ma volonté, et part direction mon adversaire pour l'enserrer dans une gangue, un étaux sans pitié pour Edward. C'est sans compter sur sa réactivité, car il est déjà entrain de reculer d'une pirouette que ma chaine claque dans l'air, et n'attrape que du vent ! Si cela avait été si facile que ça, le plaisir en aurait été amoindri.
Un sourire mauvais sur le visage, j'entonne un petit chant, rien qu'un murmure au départ, incompréhensible. Ca y'est je la sens, la rage au fond de moi. Je sens que le monde bascule et que ma raison me quitte. Je sens l'excitation du combat et la clameur de ma violence latente. J'suis pas un monstre, rien qu'un homme avec des penchants bien à lui.
Et tandis qu'il touche le sol après sa pirouette, j'suis déjà prêt.
- J'arrive, pauvre fou. que je souffle dans ma barbe, la langue pendante j'effectue un Juda's Calling. Il fait partie des incontournable de mes combats, sans cette façon de faire, j'aurais l'air bien bête à menacer dans le vent des pirates inconscients. Le contre pied est quasi parfait, l'angle me permettant de me rapprocher à toute vitesse de lui, frappant du pied contre le sol, y laissant une marque. Je suis sur lui, il est presque trop tard pour regretter. Ma côte de maille resté active est comme vivante, elle s'adapte à mes besoins et entoure ma main d'une couche de maillons solides et dévastateurs. Brise-Lune.
J'enclenche la machine à baffe. Un premier coup, puis un deuxième, et un troisième. Au final je frappe sans savoir si j'touche ou s'il esquive, ça, ce sera la surprise pour tout le monde. Mon Burst ayant l'avantage de ne pas faire de cadeaux, en contrepartie de quoi je n'ai aucune visibilité sur les attaques et la défense de mon adversaire.
Un rire gras me secoue au même moment où j'sens craquer quelque chose sous mon poing. La question, est-ce de la chaire, de la terre ou bien de la pierre ?
Et bah c'était déjà ça. Le premier coup n'avait peut-être pas porter, mais ça allait être le cas du second qui allait faire reculer un peu le colosse. Bon, même si le fait qu'il n'avait pas transpercé n'était pas très bon signe. Cependant, ce n'était pas bien grave. Lorsque Judas -dont il ne connaissait pas encore le nom-, allait se mettre à attaquer, Edward allait se concentrer très fort pour jouer le jeu mais il fût assez dur de se retenir de rire. Il jubilait de ne rien sentir du tout grâce au pouvoir de son fruit, mais il ne devait rien laisser transparaître. Il aurait été stupide de vendre son meilleur atout aussi rapidement.
Il allait donc simuler de parer les coups et en esquiver quelques uns, jusqu'au coup de poing final. Il allait même créer une fine épaisseur de bonbon qui allait craquer pour faire simuler un impact, pour ensuite disparaître aussi vite que ce qu'elle était arrivée pour que le berserker n'ait pas le temps de se rendre compte de ce petit tour. Edward allait juste sourire, attraper la main encore coller à son torse avec sa main gauche, et ordonner à son sabre.
"- Apophis ! "
A son appel, son sabre se transforma immédiatement en serpent et remonta sur son bras pour ensuite aller choper le géant au niveau de la nuque et lui coller une énorme morsure suffisante pour injecter suffisamment de venin pour tuer n'importe quel homme, même de son gabarit. Surtout que pour sceller encore plus le destin, le mamba noir allait ensuite rapidement se placer tout autour du cou de Judas pour l'étrangler alors que le capitaine des Ouroboros allait en profiter pour coller un crochet du droit dévastateur en plein dans le plexus de son adversaire. Il ne fallait pas oublier que même s'il était plutôt fit, il pouvait se targuer d'avoir une assez bonne musculature et même un mec du gabarit de Judas le sentirait passer celui-là. Du moins, c'était ce dont était sûr l'homme aux yeux rouges. Tout comme il était déjà sûr à ce moment-là d'avoir gagner. La morsure du mamba noir était l'une des plus venimeuse du monde et ce n'est pas un simple larbin à la solde d'un propriétaire de casino qui allait échapper à ses effets dévastateurs.
Le jeune homme n'allait cependant pas en rester là. Il allait se jeter en arrière pour ensuite lancer ses jambes afin de repousser son ennemi pour se reprendre avec un pirouette et se relever, l'air fier.
"- Alors, tu rigoles toujours autant mon gros ? "
Dans son esprit, Edward avait prit un avantage décisif et il pouvait se permettre un petit tacle. Même sa posture de combat était d'ores et déjà moins verrouillé. Il attendrait juste patiemment que son adversaire se couche par les effets du poison et le tour était joué. Ce combat avait vraiment été trop facile.
Il allait donc simuler de parer les coups et en esquiver quelques uns, jusqu'au coup de poing final. Il allait même créer une fine épaisseur de bonbon qui allait craquer pour faire simuler un impact, pour ensuite disparaître aussi vite que ce qu'elle était arrivée pour que le berserker n'ait pas le temps de se rendre compte de ce petit tour. Edward allait juste sourire, attraper la main encore coller à son torse avec sa main gauche, et ordonner à son sabre.
"- Apophis ! "
A son appel, son sabre se transforma immédiatement en serpent et remonta sur son bras pour ensuite aller choper le géant au niveau de la nuque et lui coller une énorme morsure suffisante pour injecter suffisamment de venin pour tuer n'importe quel homme, même de son gabarit. Surtout que pour sceller encore plus le destin, le mamba noir allait ensuite rapidement se placer tout autour du cou de Judas pour l'étrangler alors que le capitaine des Ouroboros allait en profiter pour coller un crochet du droit dévastateur en plein dans le plexus de son adversaire. Il ne fallait pas oublier que même s'il était plutôt fit, il pouvait se targuer d'avoir une assez bonne musculature et même un mec du gabarit de Judas le sentirait passer celui-là. Du moins, c'était ce dont était sûr l'homme aux yeux rouges. Tout comme il était déjà sûr à ce moment-là d'avoir gagner. La morsure du mamba noir était l'une des plus venimeuse du monde et ce n'est pas un simple larbin à la solde d'un propriétaire de casino qui allait échapper à ses effets dévastateurs.
Le jeune homme n'allait cependant pas en rester là. Il allait se jeter en arrière pour ensuite lancer ses jambes afin de repousser son ennemi pour se reprendre avec un pirouette et se relever, l'air fier.
"- Alors, tu rigoles toujours autant mon gros ? "
Dans son esprit, Edward avait prit un avantage décisif et il pouvait se permettre un petit tacle. Même sa posture de combat était d'ores et déjà moins verrouillé. Il attendrait juste patiemment que son adversaire se couche par les effets du poison et le tour était joué. Ce combat avait vraiment été trop facile.
- Récapitulatif:
État physique : En parfaite condition
État mental : Sûr de sa victoire
Techniques utilisées :
# Morsure
Envenime la cible, ce qui altère la vue, entraine des difficultés à respirer et des vertiges
# Enroulement
Edward fait s'enrouler son sabre en forme de serpent pour emprisonner son adversaire et l'étreint à la manière d'un fouet très solide ( Au niveau du cou de Judas )
Et j'frappe j'frappe, j'frappe. C'est ma façon d'aimer à moi. Même si l'type d'en face, un brin goguenard, m'sort par les yeux. Comment ?! Je l'ai frappé et il fanfaronne encore ? J'ai sous estimé le type, même que je vois un liquide rosâtre couler le long de mes phalanges jusqu'au sol, prouvant que je l'ai bien touché. Il devrait être au sol, en sang, à pleurer dans les jupons de sa maternel. Et lu il gambade comme un jeune premier, et il me sort même une attaque spéciale ! Son sabre s'transforme en un serpent gigantesque, qui vient m'enserrer le coup et mordre à plusieurs reprises ma peau. Déjà, il passe pas le cuir tanné que j'ai travaillé des années dans l'arène. Enfin, si, mais à peine. Et en plus, j'ai un vitalité supérieure, une espèce de démon qui me cheville au corps et m'pousse vers l'avant.
Mon rire ne s'éteint pas, pas plus que ma vie ni mes viles intentions. Je lui lance un regard mauvais, tandis que la chaine qui enserre mon poing droit ne jaillit une nouvelle fois, et l'attrape à la cheville comme si elle était en vie. Elle l'est presque, tant qu'un bout reste encore attaché à moi. Catch them all. Nous voilà relié, qu'il le veuille ou non, pour une danse dont les codes sont primordiaux, presque archaïque. J'te tiens ! que j'lui lance tout fièrement, un sourire de cinglé sur le visage. J'tire très fort sur la chaine, le monde s'renverse pour lui et il vient directement au contact, les pieds devant.
C'est les pieds devant qu'il est arrivé, et les pieds devant qu'il repartira. J'arme une frappe, et le cueille au mieux de sa course effréné contre la gravité. J'frappe. Puissant, véloce, et tutti quanti. Ca fait schlopk schplok mais c'est pas terminé ! Tandis qu'il s'élève à plusieurs mètres du sol, j'bondis, plus rapide qu'on ne pourrait l'penser. Ma puissance brute fait l'affaire dans la plupart des situation, comme force égale vitesse quelque part. C'est de la physique après tout.
Je suis à sa hauteur, j'le dépasse même de plusieurs têtes, et mon poing gauche l'envoi valser vers le sol, avec une puissance telle qu'un cratère se forme, et que de la terre se soulève par paquet, m'obstruant la vue et le résultat de mon attaque. Marteau et faucille. Pas de doute, il doit avoir son compte. Après tout j'ai pas à me retenir avec un gars de cette engeance. Ce soir, j'ai carte blanche.
J'en aurais presque oublié le serpent qui m'enserre toujours, et qui me lacère la peau à coup de crocs. Pour moi, des piqures de moustiques. Pour d'autre, la mort assurée. Moi j'en rigole et me pose sur le sol après mon bond, m'débarrassant du pot de colle grâce à ma puissance brute.
Faut pas oublier, Judas restera toujours Judas. On change pas une équipe qui gagne.
Décidément, c'était aberrant. Non seulement le géant ne s'était pas rendu compte qu'il venait de se prendre plusieurs salves d'un des venins les plus violents du monde, mais il faisait le bonhomme à faire de grands mouvement pour essayer de frapper Edward, ce qui bien sûr activerait son sang et donc le poison. C'était vraiment un tas de muscles sans cervelle. Et en plus, il aggravait son cas. Il lançait un sorte de filet en cordages pour essayer de l'attraper et l'enchainer au sol. Bien sûr que le Serpent le laisserait faire pour qu'il gonfle son égo et dépense ses forces. Dans tout les cas, tout les coups lui passaient au travers. Il s'en fichait royalement. Le plus dur était clairement de ne pas rire. Surtout en face de ce coup final duquel Judas devait être fier.
Il l'avait enfoncé dans le sol. Du moins, il lui avait passé au travers et pété le sol en dessous quoi. Tout ça pour ça. C'était en plus une occasion parfaite pour se défaire des cordages en les faisaient passer à travers son sirop de glucose pour ensuite faire un bond pour sortir du trou et se remettre en position de défense, après avoir repris Apophis en mode et l'avoir remit en forme de sabre. Il avait fait son travail et l'homme aux yeux rouges n'avait plus qu'à détourner sous attention sur autre chose et attendre que le venin fasse effet.
"- Tout ça pour ça ? T'en as pas marre de frapper comme une fillette ? J'ai rien senti. Tu me déçois mec. "
Avec une provocation aussi radicale, il était clair que le gladiateur foncerait comme gros taré jusqu'à épuisement. Tel un taureau enragé dans ce décor luxueux. La cassure serait même sans doute un délice à voir. Du marbre sur tout les murs, des dorures en veux-tu en voilà ... Et un malade mental du fracasse tout en espérant blesser un ennemi impossible à toucher. C'était à se tordre de rire sérieux !
Mais bon, pour donner le change, il fallait bien repartir à l'attaque pour que la stratégie ne soit pas trop cramé. C'est ainsi qu'il allait provoquer une tornade d'air tranchant en direction de son adversaire pour ensuite sauter sur un toit et attendre le bon moment.
Le vent tranchant tourbillonnait, dévastant les bâtiments qui avaient le déplaisir de se retrouver sur sa trajectoire. Laissant une sorte de terrain quasiment vague plein de débris à l'arrivée. Ca avait été assez rapide, mais pour se pauvre bougre qui était dans l'œil de cette mini-tempête, ça avait dû sembler des heures. Et encore, ce n'était pas fini. Profitant du temps de réaction que Judas aurait avant de pouvoir bien réaliser ce qu'il se passait, il allait utiliser son propre coup fatal, la percée argenté. Une estoc rapide et précise qu'il visa directement au niveau du cœur de son adversaire. Que ça touche ou pas, c'était le mouvement parfait. Soit il mourrait sur l'heure, soit l'esquive qu'il devrait produire activerait encore plus son système nerveux et sanguin, et activerait encore plus vite le poison qui devrait déjà bientôt agir sur les sens de l'homme des bois.
C'était déloyal ? Et alors ? Chacun son arme. L'important était la victoire, peut importe la méthode. Et c'est dans son propre sang et la mort que le sous-fifre de la pègre le comprendrait à son tour.
Il l'avait enfoncé dans le sol. Du moins, il lui avait passé au travers et pété le sol en dessous quoi. Tout ça pour ça. C'était en plus une occasion parfaite pour se défaire des cordages en les faisaient passer à travers son sirop de glucose pour ensuite faire un bond pour sortir du trou et se remettre en position de défense, après avoir repris Apophis en mode et l'avoir remit en forme de sabre. Il avait fait son travail et l'homme aux yeux rouges n'avait plus qu'à détourner sous attention sur autre chose et attendre que le venin fasse effet.
"- Tout ça pour ça ? T'en as pas marre de frapper comme une fillette ? J'ai rien senti. Tu me déçois mec. "
Avec une provocation aussi radicale, il était clair que le gladiateur foncerait comme gros taré jusqu'à épuisement. Tel un taureau enragé dans ce décor luxueux. La cassure serait même sans doute un délice à voir. Du marbre sur tout les murs, des dorures en veux-tu en voilà ... Et un malade mental du fracasse tout en espérant blesser un ennemi impossible à toucher. C'était à se tordre de rire sérieux !
Mais bon, pour donner le change, il fallait bien repartir à l'attaque pour que la stratégie ne soit pas trop cramé. C'est ainsi qu'il allait provoquer une tornade d'air tranchant en direction de son adversaire pour ensuite sauter sur un toit et attendre le bon moment.
Le vent tranchant tourbillonnait, dévastant les bâtiments qui avaient le déplaisir de se retrouver sur sa trajectoire. Laissant une sorte de terrain quasiment vague plein de débris à l'arrivée. Ca avait été assez rapide, mais pour se pauvre bougre qui était dans l'œil de cette mini-tempête, ça avait dû sembler des heures. Et encore, ce n'était pas fini. Profitant du temps de réaction que Judas aurait avant de pouvoir bien réaliser ce qu'il se passait, il allait utiliser son propre coup fatal, la percée argenté. Une estoc rapide et précise qu'il visa directement au niveau du cœur de son adversaire. Que ça touche ou pas, c'était le mouvement parfait. Soit il mourrait sur l'heure, soit l'esquive qu'il devrait produire activerait encore plus son système nerveux et sanguin, et activerait encore plus vite le poison qui devrait déjà bientôt agir sur les sens de l'homme des bois.
C'était déloyal ? Et alors ? Chacun son arme. L'important était la victoire, peut importe la méthode. Et c'est dans son propre sang et la mort que le sous-fifre de la pègre le comprendrait à son tour.
J'ai beau être endurant, il y'a quelques signes qui ne trompent pas que je faiblis. Le poison contenu dans le venin du Cobra Royal était abondant, puissant même. J'suis pas vraiment impacté par ce genre de choses, mais j'sens quelques petites différences. J'ai l'impression d'être soûl, enivré par la bataille et mes sens à fleur de peau. J'vois flou, je suis pas sûr que j'titube pas aussi. La terre semble être plus tendre, et plus instable aussi. J'regarde mon opposant qui n'a toujours pas subis une seule blessure. Il est invulnérable ou quoi ? Quelque chose m'dit qu'un pouvoir démoniaque se cache derrière cette satané endurance qu'est la sienne. Normalement mes coups font mal. Ils sont puissants, lourd, ils impactent. C'est pas nouveau que j'en ai plus dans les biceps que dans la tête. Et puis ce satané démon dans l'creux de mon estomac, qui me le tord et me le broie. Il a grand faim de violence.
J'entends à peine ce que dit mon opposant, mais j'suppose qu'il veut prendre l'ascendant, et me déstabilisé. J'écoute pas, j'écoute jamais dans cet état. Même un allié parviendrait difficilement à me faire entendre raison sur quelques sujets que ce soit. J'vois plus qu'une chose. Dans l'ivresse de la bataille, et la douleur du poison. Berserker Gates.
Une chose blanches, qui s'agite et qui brasse du vent.
Plus j'me sens au bords de la rupture, plus j'me sens bien. Les limites, sont faites pour être testée, puis être dépassée. J'souris et ouvre grand les bras quand une tornade s'échine à venir me découper en morceaux. J'vois bien que l'attaque est puissante, mais j'ai pas décidé d'me laisser faire. Ma côte de maille recouvre mon corps, et je traverse la tempête sans dommage, ou presque. Déjà les maigres blessures semblent cicatrisées sur mes bras et mon torse. J'ricane, une rumeur monte de ma poitrine, ma gorge grogne. Je suis dans un état de sauvagerie assez difficile à contrôler. Les chaines se desserre, se réorganisent, comme vivante.
Si bien que quand il m'attaque directement, l'une d'elle crochète un toit, et je me hisse en tirant violemment sur la chaine comme si j'faisais du rappel. J'bouge d'un petit mètre, qui suffit amplement esquiver une attaque aussi précise. Rock'n'Roll. J'ai appris ce tour par Rafaelo, le mec qui escalade plus vite que son ombre, et esquive mieux que personne de ma connaissance. Son agilité, boah, cela faisait passer les cabrioles d'Edward à un niveau enfantin. Il était tout bonnement insaisissable et m'avait apprit comment faire avec les logias.
Plus aucun doute dans mon esprit embrumé, il s'agit là forcement d'un de ses démon qui peut prendre une composition particulière, passant entre les mailles du filets. Presque toujours. Car il existe que peu de matière, ou de personnes capable de les atteindre. Malheureusement pour Edward Minaro, j'en avais le pouvoir depuis peu. Je me rapproche de ma cible, ma constitution faisant que j'suis de moins en moins sensible aux effets du cobra-meitou. Surprenant, mais finalement cela ne fonctionne que très peu sur des adversaires de ma trempe. Sa mine joviale, ses attaques ouvertes, m'indiquent qu'il croit irrémédiablement à sa victoire prochaine.
Mais plus je marche, plus je deviens coriace. Plus l'on me blesse, plus je deviens terrible.
Maintenant que j'sui proche de lui, une chaine entoura ma main, et je recouvre de Haki l'ensemble de mon poing, chaînes incluses. J'envois une serie de coup vers lui, une volée de jab simples, mais efficaces. Rapides malgré mes gros biceps. Surprenants, même. Je fais claquer des frappes sèche, héritées des meilleurs boxeurs et combattants de ma connaissance, qui les avaient éprouvés durant de nombreux combats autrefois. MoonLight.
J'attends plus qu'une chose, entendre le craquement des os, et les cris de douleurs qui l'accompagnent. Ma satisfaction, ma joie, c'est de faire crier les ménagères, et les blanc bec dans son genre. Je ris.
Et bien ça y était enfin. Visiblement, Judas était enfin hors de lui. La stratégie d'Edward avait payé. Cependant, un truc n'allait pas. Au lieu des effets attendus, une sorte de fumée blanche se dégageait du corps de cet adversaire qui justement, au lieu de commencer à perdre sa vision et ses sens à cause des nerfs, avait tendance à régénérer ses blessures. Ce n'était pas bon ça. Et grâce à ça, il esquiva apparemment sans difficulté l'estoc pourtant foudroyante d'Edward avant de tenter de l'enchainer à coups de poings. Edward sourit. De toute façon, il n'allait pas être ....
QUOI ?! Le premier coup le percuta de plein fouet, lui faisant cracher de la salive ! C'était impossible ! Sans réfléchir, il allait donc parer les coups de son adversaire avec son sabre. Ils étaient très lourds et vraiment compliqués à dévier mais en plus, ils touchaient vraiment le corps du Serpent qui pouvait sentir les impacts jusque dans ses os, alors qu'il réussissait pourtant à les stopper avec son sabre. Il allait profiter d'un temps de battement pour asséner un coup de pied frontal à son opposant pour l'éloigner pour ensuite faire une pirouette arrière pour gagner encore quelques mètres. Le temps de comprendre ce qu'il s'était passé.
Edward était devenu intangible alors son pouvoir pouvoir, alors qu'est-ce qui avait bien pu se passer ? A sa connaissance, il n'existait pas de pouvoir permettant de toucher un utilisateur de logia. Ces fruits du démon étaient carrément au dessus du lot à cause de ça même. Alors pourquoi ? C'était probablement à cause de la pellicule noire autour de son bras. C'était obligatoirement ça même. Avant sa formation, Judas ne pouvait pas le toucher, et maintenant oui ! Coïncidence ? Ca m'étonnerait !
Sauf qu'il y avait un autre soucis maintenant. Avoir trouvé la raison du problème était une chose, mais en trouver la solution en était une autre. En quelques secondes, il avait perdu son atout majeur et il s'en rendait compte petit à petit. Il n'avait plus qu'une chose à faire dans ce genre de cas ... Bluffer. Il ne fallait surtout pas que Judas se rende compte de l'avantage qu'il venait de prendre.
"- Tu as enfin percé mon petit secret. Il t'en as fallu du temps. "
Feintant un sourire, il allait reprendre la parole, tel un paon qui essayait de cacher son infériorité.
"- Je possède le Ame Ame no Mi. Le logia du bonbon. Entre son pouvoir et Apophis, mon meitou qui a mangé le fruit du cobra royal, je suis imbattable. On a bien rigolé, mais maintenant, c'est fini. Abandonne et tu pourras t'endormir calmement ce soit, parmi les vivants. Je ne crois pas que ce que tes employeurs t'ont payé valle plus que ta vie. Tu ne crois pas ? "
Pendant qu'il parlait, il en profitait pour feindre une posture neutre, les mains dans le dos, alors qu'il en profitait pour faire reprendre sa forme de cobra à sa lame afin qu'elle se fonde dans l'ombre des bâtiment pendant cette diversion orale, sous le regard médusé des gens qui commençaient à se regrouper autour de la zone de combat suite à la destruction de leurs maisons. La tension était à son comble et bientôt, selon la réponse de son interlocuteur, Apophis se jetterait sur lui pour le mordre une fois de plus à la carotide pendant qu'Edward attaquerait avec toute la puissance de son fruit, maintenant que de toute façon, il ne pouvait plus compter sur la surprise et le flou qu'apportait son intangibilité. Seulement une chose était sûre maintenant dans tout les cas, si l'affrontement devait se poursuivre, il ne pourrait plus se permettre de prendre cet ennemi à la légère.
QUOI ?! Le premier coup le percuta de plein fouet, lui faisant cracher de la salive ! C'était impossible ! Sans réfléchir, il allait donc parer les coups de son adversaire avec son sabre. Ils étaient très lourds et vraiment compliqués à dévier mais en plus, ils touchaient vraiment le corps du Serpent qui pouvait sentir les impacts jusque dans ses os, alors qu'il réussissait pourtant à les stopper avec son sabre. Il allait profiter d'un temps de battement pour asséner un coup de pied frontal à son opposant pour l'éloigner pour ensuite faire une pirouette arrière pour gagner encore quelques mètres. Le temps de comprendre ce qu'il s'était passé.
Edward était devenu intangible alors son pouvoir pouvoir, alors qu'est-ce qui avait bien pu se passer ? A sa connaissance, il n'existait pas de pouvoir permettant de toucher un utilisateur de logia. Ces fruits du démon étaient carrément au dessus du lot à cause de ça même. Alors pourquoi ? C'était probablement à cause de la pellicule noire autour de son bras. C'était obligatoirement ça même. Avant sa formation, Judas ne pouvait pas le toucher, et maintenant oui ! Coïncidence ? Ca m'étonnerait !
Sauf qu'il y avait un autre soucis maintenant. Avoir trouvé la raison du problème était une chose, mais en trouver la solution en était une autre. En quelques secondes, il avait perdu son atout majeur et il s'en rendait compte petit à petit. Il n'avait plus qu'une chose à faire dans ce genre de cas ... Bluffer. Il ne fallait surtout pas que Judas se rende compte de l'avantage qu'il venait de prendre.
"- Tu as enfin percé mon petit secret. Il t'en as fallu du temps. "
Feintant un sourire, il allait reprendre la parole, tel un paon qui essayait de cacher son infériorité.
"- Je possède le Ame Ame no Mi. Le logia du bonbon. Entre son pouvoir et Apophis, mon meitou qui a mangé le fruit du cobra royal, je suis imbattable. On a bien rigolé, mais maintenant, c'est fini. Abandonne et tu pourras t'endormir calmement ce soit, parmi les vivants. Je ne crois pas que ce que tes employeurs t'ont payé valle plus que ta vie. Tu ne crois pas ? "
Pendant qu'il parlait, il en profitait pour feindre une posture neutre, les mains dans le dos, alors qu'il en profitait pour faire reprendre sa forme de cobra à sa lame afin qu'elle se fonde dans l'ombre des bâtiment pendant cette diversion orale, sous le regard médusé des gens qui commençaient à se regrouper autour de la zone de combat suite à la destruction de leurs maisons. La tension était à son comble et bientôt, selon la réponse de son interlocuteur, Apophis se jetterait sur lui pour le mordre une fois de plus à la carotide pendant qu'Edward attaquerait avec toute la puissance de son fruit, maintenant que de toute façon, il ne pouvait plus compter sur la surprise et le flou qu'apportait son intangibilité. Seulement une chose était sûre maintenant dans tout les cas, si l'affrontement devait se poursuivre, il ne pourrait plus se permettre de prendre cet ennemi à la légère.
Les coups portent, puissants et véloces, ça cogne dur. Qu'il arrive encore à parler après mon passage à tabac en règle, me signale que j'ai pas affaire au premier venu. Certains se seraient écroulés dès les premiers coups, mais loin de se décourager et d'abandonner, Edward tenta de parer. Impossible de le faire pour tout les coups, mais l'ensemble il prévu assez bien mes assauts pour éviter de finir en charpie. J'arrête de frapper quelques secondes, et il en profite pour s'écarter de moi, conscient du danger, s'il fanfaronne encore, ce n'est plus pour très longtemps. Une rumeur plus forte monte de ma poitrine, un nouveau coup dans la ganache, ça me met dans une rage plus forte encore. Plus j'prends des coups, plus le poison fait effet malgré ma constitution, plus il s'agite et gigote, plus la colère gronde et la violence frappe contre ma poitrine.
une adrénaline hyper concentrée, coule dans mes veines. Du fait de mon métabolisme supérieur, je suis amené à subir des sensations plus fortes lors d'un combat. Je sens la force de mon adversaire, la puissance de sa peur aussi. Il sent la trouille à plein nez, et je lui fonce dessus d'une charge énervé, les yeux vagues et la gorge atteinte de crispation. Juda's Calling.
- Tu vas souffrir, l'avorton ... Que j'articule dans mon maelstrom d'émotions tempétueuses. Articuler devient difficile, être cohérent aussi. Je souffre à chaque pas, les sons sont difformes, déformés, agressifs. Les images sont flous, je vois comme si j'étais dans un tunnel, et ma cible restait une sorte de lumière blanche plus loin.
je recouvre ma chaîne de Haki, et elle claque comme un reptile, serpentant jusqu'à lui rapidement, sèchement. Elle l'attrape par le milieu du corps, et l'enserre tel une contention, je tire sur la chaîne, et l'amène vers moi sans possibilité pour lui de s'échapper vraiment. Bill Boi. Mon poing noir et l'esprit blanc. Les phalanges rougies du sang de mon ennemis. J'utilise ma puissance, et ma supériorité technique dans l'art du combat, ma rage foudroyante et mes pulsions meurtrières. Tout ça pour l'écraser une bonne fois pour toute. Burst.
Ca c'est pour tout ce que t'as dis, et tout ce que tu penses de moi.
Bon bah pour le coup, le moins que l'on pouvait dire, c'était que c'était la merde. Loin d'avoir des doutes, son adversaire était juste de plus en plus incontrôlable. Son aura meurtrière était palpable à des lieux à la ronde. Dans l'assistance, les femmes étaient dans les bras de leurs maris et se cachaient. Réaction pour le moins compréhensible vu la véhémence de Judas.
Pour le coup, le serpent lui-même ne pouvait pas s'empêcher de laisser quelques gouttes de transpiration perler sur son front alors qu'il allait bientôt être pris de nouveau dans les filets de son opposant. S'il se prenait le prochain coup, il y resterait et il le savait. Il fallait qu'il fasse quelque chose.
Lorsque le poing de Judas se relever pour tenter de l'écraser, c'en fût au stade qu'il allait voir sa vie défiler devant ses yeux. Son enfance auprès de ses parents, son frère, comment il était devenu pirate, ses rêves qui étaient sur le point de s'envoler .... NON. CA NE POUVAIT PAS FINIR COMME CA ! PAS MAINTENANT ! PAS CONTRE CE CLOPORTE !
Dans un réflexe de survie, il allait ressentir quelque chose. Un onde, un appel auquel il allait répondre instinctivement. En moins d'une seconde, sans réfléchir, son corps allait se décaler tout seul sur la droite pour esquiver les dégâts sur ses points vitaux. Ce poing qui allait lui perforer le cœur allait arriver sur son flanc qui allait être complétement broyer. Il allait s'en suivre un énorme cri de douleur mais le fait était là, il était encore en vie. Il n'avait pas le temps de se plaindre de cette souffrance, il fallait qu'il réagisse et très vite.
Par instinct, il allait planter sa main dans le sol en formant une pointe grâce à son fruit du démon puis étirer son bras, pour créer en quelques instant une distance d'une dizaine de mètres pour reprendre sa respiration.
La rage au ventre, il allait se mettre à hurler, alors qu'il était encore au sol, haletant.
"- Espèce de raclure ! Vas crever ! "
Jamais Edward n'avait ressenti ce qu'il vivait ce moment-là. La haine parcourait chaque fibre de son corps mais en même temps, il était face à un adversaire qui n'avait eu besoin que de quelques coups pour le mettre à terre. Il ne pouvait pas gagner et c'était ça le pire. Se mettant difficilement accroupi, il allait ensuite frapper du poing sur le sol, fracassant les restes déjà peu glorieux de la route qui traversait cette rue seulement quelques minutes avant. Il n'était même pas en état de se questionner sur cette force mystérieuse qui l'avait poussé à éviter les dégâts mortels. Son esprit était bien trop obnubilé par cette défaite imminente. Il n'avait plus qu'une solution logique, la fuite. Mais il ne l'avait pas encore accepté et il comptait bien faire payer son adversaire.
Par orgueil, il allait transformer de nouveau ses bras en pointes et viser son adversaire avec des dizaines de coups qu'il allait asséner en étirant ses bras, en profitant de dernier avantage encore valable, sa portée. Chacun de ses poings allait tellement vite qu'on aurait dit qu'il en avait plusieurs. Chaque impact allait également un peu plus détruire les maisons autour mais est-ce que ça toucherait Judas ? Rien n'était moins sûr. Mais dans tout les cas, Edward ne tarderait pas à le découvrir.
Pour le coup, le serpent lui-même ne pouvait pas s'empêcher de laisser quelques gouttes de transpiration perler sur son front alors qu'il allait bientôt être pris de nouveau dans les filets de son opposant. S'il se prenait le prochain coup, il y resterait et il le savait. Il fallait qu'il fasse quelque chose.
Lorsque le poing de Judas se relever pour tenter de l'écraser, c'en fût au stade qu'il allait voir sa vie défiler devant ses yeux. Son enfance auprès de ses parents, son frère, comment il était devenu pirate, ses rêves qui étaient sur le point de s'envoler .... NON. CA NE POUVAIT PAS FINIR COMME CA ! PAS MAINTENANT ! PAS CONTRE CE CLOPORTE !
Dans un réflexe de survie, il allait ressentir quelque chose. Un onde, un appel auquel il allait répondre instinctivement. En moins d'une seconde, sans réfléchir, son corps allait se décaler tout seul sur la droite pour esquiver les dégâts sur ses points vitaux. Ce poing qui allait lui perforer le cœur allait arriver sur son flanc qui allait être complétement broyer. Il allait s'en suivre un énorme cri de douleur mais le fait était là, il était encore en vie. Il n'avait pas le temps de se plaindre de cette souffrance, il fallait qu'il réagisse et très vite.
Par instinct, il allait planter sa main dans le sol en formant une pointe grâce à son fruit du démon puis étirer son bras, pour créer en quelques instant une distance d'une dizaine de mètres pour reprendre sa respiration.
La rage au ventre, il allait se mettre à hurler, alors qu'il était encore au sol, haletant.
"- Espèce de raclure ! Vas crever ! "
Jamais Edward n'avait ressenti ce qu'il vivait ce moment-là. La haine parcourait chaque fibre de son corps mais en même temps, il était face à un adversaire qui n'avait eu besoin que de quelques coups pour le mettre à terre. Il ne pouvait pas gagner et c'était ça le pire. Se mettant difficilement accroupi, il allait ensuite frapper du poing sur le sol, fracassant les restes déjà peu glorieux de la route qui traversait cette rue seulement quelques minutes avant. Il n'était même pas en état de se questionner sur cette force mystérieuse qui l'avait poussé à éviter les dégâts mortels. Son esprit était bien trop obnubilé par cette défaite imminente. Il n'avait plus qu'une solution logique, la fuite. Mais il ne l'avait pas encore accepté et il comptait bien faire payer son adversaire.
Par orgueil, il allait transformer de nouveau ses bras en pointes et viser son adversaire avec des dizaines de coups qu'il allait asséner en étirant ses bras, en profitant de dernier avantage encore valable, sa portée. Chacun de ses poings allait tellement vite qu'on aurait dit qu'il en avait plusieurs. Chaque impact allait également un peu plus détruire les maisons autour mais est-ce que ça toucherait Judas ? Rien n'était moins sûr. Mais dans tout les cas, Edward ne tarderait pas à le découvrir.
J'sens avec satisfaction que mon coup porte. Porte pour de bon, cris à l'appuis. Je rigole encore plus fort, tandis qu'il recule avec la sagacité et la rapidité d'un singe de combat. Il est rien d'autre qu'un singe, comme vous et moi, avec des pouvoirs en plus. J'me méfie malgré le voile obscure du combat qui occulte tout ce qui se passe autours de nous. Tout ce qui n'est pas ni lui, ni moi, est passé aux oubliettes. Plus rien ne compte, si ce n'est la victoire. Plus rien n'a d'importance, que la destruction de mon adversaire, os par os, dents par dents. Je vais lui faire ravaler ses fanfaronnades, ses ronds de chapeaux, j'vais lui faire bouffer. J'sens que ma colère augmente d'un cran quand j'le vois utiliser son maudit fruit pour s'échapper un peu plus loin, et armer une nouvelle attaques.
N'a-t-il pas comprit que tout ceci est inutile ? Que face à moi toute résistance est futile ? J'suis le Pater Pugilat, pas le père de tout les castagneur pour rien. Le combat c'est ma passion première, ce qui m'anime le matin en sortant du lit, c'est ma famille et la violence de ce monde de brute, dans lequel j'ai ma place de choix.
- Huhuhuhu, que je fais ... Eliminer la cible, la mettre en charpie... Et revenir à la maison... Que je fais d'une voix vide de sentiment, comme si mes émotions première, toute la bonté dont j'étais capable, a disparu de mon corps. Je suis un berserker, mes sensations, c'est la violence et la rage. Plus tu l'as nourris, fils, et plus tu auras le droit à mon poing dans ta gueule. Et ça, Edward, ne semble pas l'avoir compris.
Il arme une nouvelle attaque, un premier poing en forme de pique se fraye un chemin jusqu'à moi, visant ma tête. Je met une main devant moi, attrape le pique, tournoie et l'envois à la main dans la direction du deuxième. Je me revêt intégralement de Haki. Les attaques s'écrasent contre mon corps sans me faire le moindre mal. Tout juste les secousses de ses coups me parviennent comme pour me rappeler pourquoi je dois lui faire du tords.
Déjà, parce que j'veux m'intégrer à Kikai avant de faire mon show et devenir un chasseur de primer de la BNA. Ensuite parce qu'il l'a bien cherché en me combattant. Et enfin, parce que ça me fait toujours plaisir d'éduquer les Rookies des mers, qui se prennent pour des cadors sans avoir jamais connu l'amertume de la défaite.
Je fonce une nouvelle fois sur lui, les piques de bonbon s'écrasant sur moi sans me ralentir. j'arme un coup de Moon Light et frappe en direction de son crâne, pour le sonner et le ramener à mon patron.
Mais connaissant Edward comme j'le connais maintenant, il va surement me sortir un coup tordu pour se sortir de ce mauvais pas, non ?
Bon, c'était impossible. Avec une certaine impuissance, Edward pouvait seulement voir ses coups se fracasser sur le corps de son adversaire sans provoquer la moindre entaille, le moindre bleu, rien. L'écart de puissance était vraiment trop grand. C'était assez humiliant à vrai dire mais bon, il fallait se rendre à l'évidence, le Serpent ne pourrait pas gagner. Et bientôt sa colère allait se transformer en dégoût alors qu'il voyait son adversaire continuer à avancer vers lui malgré ses coups.
Bien qu'il avait un énorme pincement dans le cœur à cette idée, lorsqu'il vit le poing de son adversaire se diriger vers son crâne, il savait que ça serait la fin. Cette situation était vraiment similaire à celle d'il y a même pas deux minutes. C'était vraiment le point de non-retour de se sentir en danger de mort à chacun des assauts d'un opposant. De nouveau par instinct, il allait réenclencher cette force inconnue afin d'esquiver, ce coup-ci en faisant un assez large pas de côté.
Ceci-fait, il allait regarder vers l'horizon. Son bateau était amarré au port, et il ne risquerait pas sa vie plus longtemps pour rien. Sans rien dire, assez honteux, il allait directement agrandir ses jambes grâce à son fruit du démon, se propulsant lui-même à une dizaine de mètres de haut, pour ensuite lancer son bras pour l'enfoncer dans le toit d'un bâtiment à peu près debout qu'il remarqua , pour répéter cette opération autant de fois que nécessaire pour rejoindre l'As de Pique, sous l'incrédulité des gens qui le voyait se déplacer de toit en toit de cette manière plus qu'originale.
Dès qu'il arriva à son bateau, il ordonna de mettre les voiles pour partir de cette île maudite. D'un certain sens, il avait au moins prit la fuite avant que la marine ne débarque et il ne serait probablement pas suivi comme ça. Surtout qu'il y avait peu de chance que le fou furieux ait en plus connaissance de quel bateau était celui d'Edward, au milieu des centaines de frégates de luxe qui étaient amarrées. Surtout que pour être sûr, il allait quand même directement se diriger vers sa cabine pour s'y cacher au cas où.
Quelques instants plus tard, la corvette était déjà a bonne distance du rivage, mais la rancœur du capitaine pirate resterait quant à elle un bon moment sur cette île, dans les décombres des bâtiments qui couteraient sans doute une petite fortune à remettre en état. Il n'avait jamais connu une telle humiliation et ça lui resterait en tête un long moment. Il avait dû se résoudre à prendre la fuite face à un simple larbin. Décidément, il avait encore un long chemin à faire pour s'en sortir sur cette île, malgré son logia et son sabre. Cette rencontre lui aura au moins permis de se rendre compte de ça. Et de se faire tout de même un petit pécule pour compenser avec ses arnaques au casino, même si pour le coup, ça semblait être un moindre dédommagement.
Enfin bref, c'est donc la tête basse qu'il entamerait son retour jusqu'à Innocent Island. Il aurait au moins un bon mois pour avaler tout ça avant de revenir près des siens. Et au passage, pour trouver des réponses sur cette fameuse force qu'il avait réussit à utiliser par deux fois pour échapper à des coups mortels. Il découvrit d'ailleurs ce que c'était dans une bibliothèque ambulante qu'il croisa fort heureusement sur son trajet retour. Cette force s'appelait apparemment le Haki et servait à anticiper les mouvements de gens en fonction de leur aura. En bref, un pouvoir assez cool, il ne restait plus qu'à réussir à y faire appel sur demande maintenant. Mais ça, ça serait une autre paire de manches.
Bien qu'il avait un énorme pincement dans le cœur à cette idée, lorsqu'il vit le poing de son adversaire se diriger vers son crâne, il savait que ça serait la fin. Cette situation était vraiment similaire à celle d'il y a même pas deux minutes. C'était vraiment le point de non-retour de se sentir en danger de mort à chacun des assauts d'un opposant. De nouveau par instinct, il allait réenclencher cette force inconnue afin d'esquiver, ce coup-ci en faisant un assez large pas de côté.
Ceci-fait, il allait regarder vers l'horizon. Son bateau était amarré au port, et il ne risquerait pas sa vie plus longtemps pour rien. Sans rien dire, assez honteux, il allait directement agrandir ses jambes grâce à son fruit du démon, se propulsant lui-même à une dizaine de mètres de haut, pour ensuite lancer son bras pour l'enfoncer dans le toit d'un bâtiment à peu près debout qu'il remarqua , pour répéter cette opération autant de fois que nécessaire pour rejoindre l'As de Pique, sous l'incrédulité des gens qui le voyait se déplacer de toit en toit de cette manière plus qu'originale.
Dès qu'il arriva à son bateau, il ordonna de mettre les voiles pour partir de cette île maudite. D'un certain sens, il avait au moins prit la fuite avant que la marine ne débarque et il ne serait probablement pas suivi comme ça. Surtout qu'il y avait peu de chance que le fou furieux ait en plus connaissance de quel bateau était celui d'Edward, au milieu des centaines de frégates de luxe qui étaient amarrées. Surtout que pour être sûr, il allait quand même directement se diriger vers sa cabine pour s'y cacher au cas où.
Quelques instants plus tard, la corvette était déjà a bonne distance du rivage, mais la rancœur du capitaine pirate resterait quant à elle un bon moment sur cette île, dans les décombres des bâtiments qui couteraient sans doute une petite fortune à remettre en état. Il n'avait jamais connu une telle humiliation et ça lui resterait en tête un long moment. Il avait dû se résoudre à prendre la fuite face à un simple larbin. Décidément, il avait encore un long chemin à faire pour s'en sortir sur cette île, malgré son logia et son sabre. Cette rencontre lui aura au moins permis de se rendre compte de ça. Et de se faire tout de même un petit pécule pour compenser avec ses arnaques au casino, même si pour le coup, ça semblait être un moindre dédommagement.
Enfin bref, c'est donc la tête basse qu'il entamerait son retour jusqu'à Innocent Island. Il aurait au moins un bon mois pour avaler tout ça avant de revenir près des siens. Et au passage, pour trouver des réponses sur cette fameuse force qu'il avait réussit à utiliser par deux fois pour échapper à des coups mortels. Il découvrit d'ailleurs ce que c'était dans une bibliothèque ambulante qu'il croisa fort heureusement sur son trajet retour. Cette force s'appelait apparemment le Haki et servait à anticiper les mouvements de gens en fonction de leur aura. En bref, un pouvoir assez cool, il ne restait plus qu'à réussir à y faire appel sur demande maintenant. Mais ça, ça serait une autre paire de manches.