[NB: Ceci n'est pas un DC, mais un reboot. Je change de perso. J'ai mit fin au Chapelier sur ce topic => http://onepiece-requiem.forums-actifs.net/t1970-le-debut-d-une-grande-aventure#25255 . Il ne m'inspirait pas tellement...]
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Informations IRL
>> Nom & Prénom
une image 200*300 | Pseudonyme : L’Homme d’Acier Age: 46 ans Sexe : Homme Race : Cyborg Rang : / Métier : Mousse, commis de cuisine, a des connaissances en charpente et navigation… Peut aider un peu partout en fait, sans être un spécialiste en quoi que ce soit. Glandeur en général, quand même. Groupe : Pirates Déjà un équipage : Futur Saigneur des mers But : Prendre du bon temps, s’enrichir, coller des avoines, entre autres, mais surtout prendre du bon temps. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Pour la suite, rien de prévu pour le moment. Équipements : Un bras gauche en acier. Un bracelet de métal sur le bras droit, servant à détourner les sabres et autres armes blanches en général. Bon, Noah, c'est pas un génie, et il est persuadé de pouvoir tout encaissé, mais il n'est pas suffisamment stupide pour se croire invulnérable aux lames. Un poing américain également, qu'il met à la main droite lors des combats difficile. Codes du règlement (2) : It's all right mama Parrain : / |
>> Physique Décrivez votre personnage, sa taille, sa masse, musclé ou pas... La bête fait près de 2m10, pour un poids de 135 kilos, s’il vous plait. Et tout ça sans un pet de graisse. Que du muscle mesdames et messieurs. Vous me demanderez, « mais à quoi vous le nourrissez, ce bestiau ? », n’est-ce pas ? Et bien son régime alimentaire se constitue essentiellement de viande bien cuite et de rhum. Avec des pâtes parfois, parce qu’il ne faut pas négliger les féculents pour une alimentation saine. Enfin bon, nous allons éviter de nous attarder sur de menus détails, pour en revenir à l’essentiel. Noah est donc un homme imposant, au physique d’athlète dopé, les muscles saillants, les bras épais, des mains qui n’ont rien à envier aux pattes d’un ours. C’est le genre d’homme qui peut vous attraper par le crâne d’une seule de ses énormes paluches, et vous soulever de terre, ‘voyez ? Bref, il est bien baraqué, quoi. Son visage n’est pas beaucoup plus avenant que le reste. Des traits grossiers, une ou deux fines cicatrices par ci par là, des yeux noirs, des cheveux noirs – bien que quelques uns grisonnants commencent à poindre – une barbe mal entretenue noire également, une mâchoire carrée, un nez épais… Non, il n’a rien de très « fashion », le garçon. Heureusement qu’il est souvent en train de se marrer comme un bossu, ce qui dédramatise le tout. En effet, il rigole beaucoup, souvent pour pas grand-chose, et on peut donc souvent apprécier la vue de ses dents parfaitement blanches et bien soignées –parce que celui qui lui fera bouffer de la soupe, il est pas né !-. Toutefois, selon l’humeur, son sourire jovial peut rapidement devenir carnassier. Et lorsqu’il disparait totalement pour laisser place à un froncement de sourcils, gare à vous ! Complétons sa description physique par ses vêtements. Du moins, ce qu’il porte en général. C'est-à-dire un simple pantalon de toile large, typique des pirates, noir en général, tenu par une ceinture, en toile et large elle aussi, rouge, ainsi qu’un simple t-shirt sans manche bleu et plus serré, affectueusement nommé « Marcel » par ceux qui l’ont porté lorsqu’il était à la pointe de la mode. C’est assez simple, et pour cause, Noah n’est pas du genre à prendre soin de ses vêtements, ou à se préoccuper d’avoir l’air chic. Pour tout dire, il assez rare qu’il se change… Sous ces frusques, sa peau est du mat de ceux qui ont passé un bon bout de temps au soleil. Il ne compte plus les cicatrices, légères ou profondes, qui parcourent son corps, et les arbore avec fierté. Enfin bon, quoi dire de plus, si ce n’est que le pirate en impose. Lorsqu’il se déplace, c’est toujours avec l’air décidé des hommes qui savent où ils vont, même lorsqu’il ne le sait pas. Il impressionne autant par sa taille et sa corpulence que par l’énergie et la détermination qu’il affiche constamment. Il n’a jamais l’air de douter de quoi que ce soit, et pour cause, il ne doute de rien. >> Psychologie Que pense votre personnage face à un adversaire, qu'aime-t-il manger, quelques traits de caractères... D’un point de vue général, si vous êtes monsieur tout le monde, tranquillement installé chez vous en train de lire votre journal avant d’aller bosser pour un patron que vous haïssez pour nourrir des gosses et une femme qui vous prennent la tête à longueur de journée parce que il n’y a plus de BonSchokos à la maison, alors Noah n’est pas un individu très fréquentable. En effet, cela fait quelques années qu’il est pirate à présent, et il en a fréquenté tout un tas, et pas les meilleurs. Non pas qu’avant c’était un type recommandable non plus, attention, mais bon, ça a tout de même pas mal empiré depuis qu’il passe son temps à picoler et à piller les honnêtes – ou non – commerçants naviguant sur les flots. Allons droit au but, l’homme est un forban dans toute sa splendeur, avec toutes les options qui vont avec et que vos parents vous récitaient lorsque vous étiez petits pour vous effrayer si vous ne mangiez pas vos petits pois. Voleur, tueur et violeur, l’homme d’acier est tout ça et plus encore. C’est le genre d’homme à ne pas s’embarrasser des détails. Si quelque chose l’ennuie, il s’en débarrasse, c’est aussi simple que ça. Si vous n’y croyez pas, allez le demander au jeune Jimmy Apple, sympathique vendeur de pomme qui, un jour, voulu empêcher notre homme de lui prendre un de ses fruits sans payer. Vous le trouverez au cimetière de Filemoiuncône-Valley. Oui, l’homme n’a aucun problème à assassiner, même si ce n’est pas spécialement un plaisir pour lui. Il n’a aucun problème pour voler également, puisque de toutes façons, il n’a quasiment jamais d’argent, et qu’ils sont rares les vendeurs de pommes capables de rivaliser avec sa musculature. Violer ne le dérange pas outre mesure. Il a généralement la flemme d’en passer par « toutes ces conneries de dragage qui font chier », comme il le dit lui-même. Il est tellement plus simple d’attraper une femme au passage pendant un pillage, de la ramener sur le navire, de faire ce qu’il y a à faire, et de la balancer par-dessus bord ensuite. On peut ajouter à ses vices son langage fleuri. Parmi les exclamations les plus récurrentes, on notera « Putain », « Fait chier », « Connerie » et bien sûr la célèbre allocution des situations désespérées : « Merde ! ». Les insultes ne manquent pas également, et s’il s’agit souvent de termes simples et à la fois classiques tels que « Enfoiré ! », cela peut rapidement, selon l’humeur et la forme, évoluer vers des phrasés plus imaginatifs, comme « Va te brosser les c***** avec des dents de requin ! », ce qui au final, n’a jamais grand-chose à voir le contexte, mais quand même, ça défoule bien . Cependant, son préféré, depuis des années, reste et restera : « Gueule d’endive ! ». S’il vous arrivait de vous retrouver ainsi interpellé, n’y cherchez pas une éventuelle ressemblance entre vous et le légume en question. A vrai dire, c’est rarement le cas, mais cela permet au boucanier de clairement faire comprendre à son vis-à-vis qu’il ne l’aime pas. Donc, si ça vous arrive, bah… Tant pis pour vos mouilles, quoi. Remarquez, ce vocabulaire châtié peut être considéré comme une qualité. Noah est quelqu’un de profondément honnête. Enfin, non, commencez pas à vous marrer, je voulais dire franc, quoi. Il dit toujours ce qu’il pense, quoi que ce soit, et qu’importe la personne qui lui fait face. Cela lui a valu pas mal d’ennuis d’ailleurs. C’est un homme extrêmement loyal également. Certaines mauvaises langues diront que c’est parce qu’ « il est trop con pour penser à trahir quelqu’un ». Peut-être… Car oui, ce pirate n’est pas une lumière. Sans doute est-ce dû à sa mauvaise éducation, mais il est incapable d’écrire un mot sans fautes. Sauf endive, peut-être. C’est également un impulsif, qui frappe d’abord, et réfléchit ensuite. Complètement dirigé par son instinct et ses émotions, il en serait presque revenu au stade animal, pour certains. Les seuls moments où il se sert de son cerveau, c’est lorsqu’il se bat, pour savoir comment « encore mieux lui maraver sa tronche », à son adversaire. Les combats, parlons-en. L’homme ne vit presque que pour ça. C’est un grand moment à chaque fois, il aime donner des coups, et même en recevoir, parce qu’un homme qui encaisse plus de coups que son adversaire, « il a plus la classe ». C’est un vrai plaisir pour lui d’affronter de puissants ennemis qu’il peut « défoncer et leur montrer qui c’est qu’a la classe ». Vous aurez comprit qu’il devient facilement violent, qu’il s’emporte facilement, et qu’il ne faut pas grand-chose pour qu’il vous saute à la gorge. Mais en dehors de ces moments, c’est un type plutôt sympa, souriant, qui aime boire et faire la fête, comme tous les marins. Il a apprit de ces derniers l’esprit de camaraderie, et vous ne le verrez jamais s’en prendre à l’un de ses camarades. A part peut-être s’il le cherche vraiment et finit par se retrouver surnommé « Gueule d’endive ». Noah est tout à fait prêt à entrer seul dans Marie-Joa pour aller récupérer un ami, par exemple. Peut-être est-ce parce qu’il n’arrive pas à en mesurer les dangers et les conséquences… Bref, si vous n’êtes ni une femme qui n’est pas de son équipage, ni une gueule d’endive, c’est un type chouette. Un peu bourru, mais chouette. >> Biographie Votre biographie doit raconter votre vie, pas seulement un évenement précis. Essayez d'être large et de "zoomer" sur les événements importants. Attention, elle est l'un des éléments déterminants pour votre futur niveau. Essayez d'être agréable à lire. -Putain, c’est quoi ce bestiau ?! » Ce furent les premiers mots de la sage femme qui le mit au monde –enfin, elle ne le mit pas elle-même au monde, mais c’est elle qui s’est occupé de sa mère quoi… Enfin vous me comprenez. - . Bref, c’était un bébé énorme, le petit Siegfurson. 62 cm et demi, 6kg500… Vous comprendrez immédiatement pourquoi sa mère mourut en couche. Même son père n’en revenait pas. Pourtant, les Siegfurson étaient tous grands dès la naissance, et avoisinaient tous les 1m90 à l’âge adulte. Mais aucun n’avait encore atteint ce genre de dimensions. Ce père s’appelait également Noah. Marin peu cultivé, manquant cruellement d’imagination, il n’y avait rien d’étonnant à ce qu’il nomme son fils Noah Junior. Au moins avait-il évité le « II » plutôt que le junior. Noah premier éleva donc son fils seul, l’emmenant avec lui lors de ses voyages. Il était charpentier sur un navire marchant, voyez-vous. Certes, il aurait pu laisser l’enfant dans un pensionnat pendant ses absences, mais il s’y refusait. Non pas que ça le gênait de l’abandonner pendant des mois, mais le seul établissement de son île était un temple religieux, et Noah le père avait pour habitude de dire qu’il n’avait « pas confiance en ces putains de gueules d’endives de prêtres ». Et l’histoire lui donna raison avec le scandale de Sainte-Huguette. Mais ce n’est pas notre histoire. Le jeune Siegfurson grandit donc sur un navire marchant avec toute l’équipe de charpentiers en guise de parents adoptifs… -Putain, gamin, casse toi de là ! » C’est ce que lui disaient souvent les membres de l’équipe en question quand il traînait dans leurs pattes, enfant. Noah le fils avait grandit élevé à coups de taloches derrière le crâne, par un père qui préférait lui dire « J’t’ai dit de pas bouffer de mouches, p’tit con ! » plutôt que de lui expliquer pourquoi il ne fallait pas. Ca demandait trop de temps. Ce n’était pas un si mauvais père pour autant, et s’il inculquait à son fils des valeurs douteuses, telles que la place d’une femme dans un ménage - « Ta femme, elle est là pour le devoir conjugal, faire la bouffe, et s’occuper des gosses. Putain, c’est ta mère qu’aurait dû t’apprendre ça ! » - il lui apprit aussi son métier, achetait tout un tas de jouets pour l’amuser, lui paya sa première bière lorsqu’il eut 12 ans, sa première prostituée basse-de-gamme quand il en eut 13, l’emmena à la pêche avec lui… Enfin, toutes ces petites choses que fait un père avec son gamin quoi. Ainsi, le garçon eut une enfance plutôt heureuse sur son navire, et bien qu’il ne reçut qu’une éducation rudimentaire, il apprit au moins que les copains, c’est ce qu’il y a de plus important, juste avant le fait qu’il faut profiter de la vie sans se prendre la tête « avec ces putains de règles de la société à la mord-moi-le-nœud ! ». -Putain, gamin, reviens là ! » C’est ce que lui hurla son père en le voyant prendre la mer sur une petite barque, en lui gueulant qu’il allait devenir célèbre et faire fortune, puis reviendrait pour le sortir de sa « vie de merde ». Il avait 16 ans alors, et avait finit par comprendre que Noah senior, malgré qu’il souriait tout le temps et n’avait jamais l’air inquiet, gagnait très peu d’argent, et que quand même, bouffer des patates tout le temps, c’est pas la joie. Aussi avait-il décidé de faire fortune lui-même, puis de revenir voir son géniteur afin de lui offrir tout ce dont il manquait. Il lui devait bien ça quoi. Le problème était qu’il avait prit cette décision pendant une soirée particulièrement arrosée, et que lorsque le lendemain, il se réveilla dans une auberge en compagnie d’une péripatéticienne à qui il venait de donner le peu d‘argent qu’il avait, en se remémorant les évènements de la veille, et bien… disons simplement qu’il se retrouva bien embêté… Mais il se refusa à retourner sur son navire. Après tout ce qu’il avait affirmé le soir précédent depuis sa barque, « ça l’aurait pas fait ». Il réfléchit donc à un moyen rapide de gagner de l’argent, l’idée qui lui vint fut plutôt simple. Il suffisait d’en voler. Après tout, c’était le moyen le plus rapide d’accumuler de grosses sommes. Et puis il était déjà très grand pour son âge, proche de sa taille adulte. Les travaux sur le navire l’avaient musclé, tout comme les bagarres de marins. Ils seraient peu nombreux à venir lui chercher des crosses pensait-il. Mais tout de même, il fallait qu’il se trouve des potes. Parce que voler, c’est bien sympa, mais le faire tout seul, c’est quand même vachement moins marrant. Et qui pillait en groupe? Je vous le donne en mille, les pirates ! C’était décidé, Noah J. Siegfurson serait pirate ! -Putain, mais pourquoi j’suis toujours pas riche, moi ?! » C’était ce que se demandait le jeune homme après quelques années en mer. Il avait 24 ans alors. Cela faisait huit ans qu’il écumait les mers avec les « Fucking Disaster », des petites frappes qu’il avait rencontrées au début de ses voyages. Des pirates sans envergure, ne pratiquant que les petits pillages sans risques, qui leur rapportait tout juste de quoi manger et boire tout leur content pendant une semaine, voir moins que ça. Le jeune homme les accompagnait depuis tout ce temps, malgré leur manque d’ambition flagrant, simplement parce qu’on n’abandonne pas les copains. Mais voilà, il y avait peu de chances qu’il finisse un jour par réaliser ses objectifs. S’il voulait s’enrichir, il fallait qu’il réussisse de gros coups. Et où y avait-il les plus gros coups de toutes les blues pour un pirate ? Sur Grand Line ! Le jeune homme passa un bon moment à essayer de convaincre ses camarades qu’ils étaient capables de mieux, qu’ils pouvaient se forger un nom dans le monde de la piraterie. Et après bien des négociations, ils finirent par accepter. Les Fucking Disaster deviendraient les plus grands pirates de Grand Line ! -Putain les gars, j’vous aime bien, mais vous êtes quand même vraiment des glands. » C’est ce que disait Noah à ses compagnons, accroché à sa planche de bois flottant à l’entrer de Reverse Mountain. Finalement, l’entrée des Fucking Disaster sur la route de tous les périls avait été… un désastre. Ils n’en avaient pas l’envergure, en fin de compte. Le navigateur n’était pas assez bon. Le restant de l’équipage étant du même acabit, il y avait peu de chances qu’ils s’imposent un jour en tant que pirates redoutés, et surtout fortunés. Alors qu’un navire marchand passait par là par hasard et les sauvait de la noyade, Noah prit sa décision. C’était des potes sympas, mais il y avait un temps fait pour s’amuser, et un temps pour les choses sérieuses. Alors qu’ils regagnaient la terre ferme, il annonça sa décision de quitter l’équipage afin d’en créer un lui-même. Il serait capitaine, ne recruterait que les meilleurs, et après quelques années d’entraînement, retournerait sur Grand Line afin de se faire un nom. -Putain, ça fait mal… » C’est ainsi que se plaignait l’Homme d’Acier en échouant sur l’île de Drum, torse nu, du sang ruisselant de ses plaies béantes. Il avait 38 ans à présent. Il avait formé un équipage qu’il avait mit à l’épreuve sur à peu près toutes les blues. Il s’était fait une petite réputation, et on l’avait surnommé l’Homme d’Acier, car en grandissant, il était devenu encore plus grand et baraqué. Il avait rencontré toutes sortes de gens lors de ses voyages, et avait apprit beaucoup. Enfin, beaucoup sur la façon de « poutrer la tronche à ceux qui font chier ». Il avait côtoyé divers experts dans divers arts-martiaux, et ainsi apprit des techniques de boxe, muay-thai, lutte… On pourrait supposer que cela lui aurait inculqué une certaine discipline, mais au contraire, le tout mélangé donna un style de combat totalement anarchique et vulgaire, le faisant encore plus passer pour un bagarreur de taverne. Son corps gigantesque et entraîné lui procurait une endurance à toute épreuve, et il était réputé pour pouvoir tout encaisser sans broncher. D’où son surnom. Du moins, ça, c’était sur les blues. Depuis qu’il se trouvait sur Grand Line, le pirate enchaînait les rencontres avec des adversaires puissants capables de percer sa « carapace » de leurs coups, et s’il s’en était plus ou moins sorti jusque là, il venait de tomber sur plus fort que lui. Bien plus fort. Le capitaine des « Disaster for your face » - Oui, Noah second avait hérité de l’imagination de Noah premier – avait amassé un joli petit butin en se servant dans les villages rencontrés jusque là, tout en évitant les endroits trop fréquentés par la marine. Cependant, il avait tout de même finit par se faire repérer par un colonel et son bâtiment croisant dans les environs de l’île des médecins, alors qu’ils étaient tout proches de la côte. Pensant être devenu suffisamment puissant, l’homme défia ses poursuivants et… fut littéralement écrasé. Tous ses compagnons périrent, lui-même resta le dernier debout, mais la lame du colonel l’avait blessé mortellement. Ne voyant plus d’espoir, et refusant de leur faire l’honneur de le capturer vivant, l’Homme d’Acier se jeta à la mer. Il faut noter qu’il avait alors sur lui un sac de berrys, qu’il avait gagné durement, à la sueur de ses vols, et qu’il était hors de question d’abandonner à ces abrutis de la marine. Difficilement, il parvint à rejoindre l’île hivernale à la nage, se vidant un peu plus de son sang à chaque brassée. Refusant tout net de mourir bêtement ici, il se traîna jusqu’au village le plus proche. Il mentit aux villageois, en prétendant avoir été attaqué par des pirates. Il lui fallait un médecin, et rapidement. Il avait de l’argent. On appela donc les guérisseurs les plus doués du coin, qui se mirent rapidement au travail. -Putain, c’est une boucherie, ce type ! » C’est ce que dit l’un des médecins penché à son chevet. En effet, Noah avait été blessé trop gravement, et avait perdu trop de sang pour pouvoir espérer s’en tirer. Ils s’excusèrent platement auprès de leur patient, lui dirent qu’il n’y avait rien à faire, et lui souhaitèrent une bonne journée. -Putain, faites chier, bande de gueules d’endives ! Ramenez vos fions ici et réparez moi ça, ou j’vous promets de revenir d’entre les morts et de hanter vos matrones jusqu’à les convaincre d’astiquer vos membres avec de la paille de fer, merde ! -Je suis désolé, monsieur, mais il n’y a rien à faire. » dit l’un d’eux. -Enfin si, » ajouta un second, « mais ça coûte très cher, et je doute que vous ayez assez sur vous. -Putain, et tu crois que c’est quoi ce putain de sac que je trimballe depuis tout à l’heure, gueule d’endive ? C’est du pognon, alors servez vous, et remettez moi sur pied, que je puisse aller maraver la tronche de ces putains de tantouses en bleu et blanc ! -Il faut que vous sachiez monsieur, que la seule façon de vous sauver est de vous implanter diverses parties mécaniques. Autrement dit, de faire de vous un cyborg. Vous êtes sûr de vouloir cela ? -Putain, mais tu crois peut-être que j’préfère crever, gueule d’endive ? -Très bien ! » Répondit l’autre avec un grand sourire. Apparemment, il était très heureux de pouvoir enfin associer ses deux passions, à savoir la mécanique et la médecine. « Alors pour quel modèle opterez-vous ? Nous avons le X-22, et ses roquettes dans les épaules, la lame dans le poignet et les yeux lasers. C’est assez commun, mais ça fait toujours son effet. Si vous rajoutez 10% au prix initial, on peut rajouter le « toutes options ». C'est-à-dire qu’on rajoute la mitrailleuse dans l’autre poignet, des couteaux de lancer dans divers endroits du corps, un blindage à toute épreuve, les panneaux solaires pour l’autonomie et l’écologie, c’est un point important qu’il ne faut pas oublier, l’abs, le coffre pectoral, les vitres électriques, fauteuils en cuir et… -Hé, Gégé, » le coupa un de ses confrères en fouillant le sac de berrys, « te fatigues pas, il y a tout juste de quoi payer la version basique, là-dedans. -Ho ! Zut… » maugréa Gégé, l’air profondément déçu. -Et c’est quoi ta version basique ? » interrogea le forban, le regard de plus en plus dans le vague. L’absence d’insanités dans sa phrase en disait long sur son état déclinant. -Bah simplement remplacement des organes endommagés par des parties mécaniques. Puis votre bras gauche, là, ou ce qu'il en reste, va falloir le changer jusqu'au coude. On vous mettra un membre en acier, avec une peau artificielle par dessus pour le dissimuler. Évidemment, on vous laissera quelques emplacements libres à l'intérieur. Ainsi, si vous comptez repasser par Drum pour ajouter de nouvelles options, vous serez le bienv… -‘Tain, gueule d’endive, j’m’en fous, bordel ! Fais-moi ça rapidement… avant que… P’tain fait chier… Fait tout noir d’un coup… » -Putain, mais c’est quoi ce bordel ? » C’est ce que se demanda le pirate en se réveillant. Apparemment, plusieurs jours avaient passé. La marine avait finit par le retrouver chez les médecins alors que ceux-ci terminaient de le modifier. Ils l’avaient capturé, balancé à fond de cale, et plusieurs jours étaient passés depuis, durant lesquels ils avaient navigué en direction de la base marine de North Blue, d’où il était originaire. Mais il était hors de question pour l’Homme d’acier de se laisser capturer. Aussi tenta-t-il de briser ses liens… et il y parvint. Pas vraiment facilement, mais ses muscles étant alimentés par une machine plus puissante qu’un simple cœur, il parvint à arracher les chaînes qui le retenaient de la paroi à laquelle elles étaient fixées. Courant à travers tout le navire, traînant derrière lui une chaîne à chaque poignet, il n’était pas vraiment discret. Cependant, il eut le temps, avant d’être repéré, de percer un trou dans la coque, puis de remonter jusqu’au pont. Il profita de l’état de choc des marines qui le regardèrent surgir comme un diable de sa boite pour se jeter dans un canot de sauvetage, dont il arracha les liens pour le précipiter sur les flots. Agrippant les pagaies, il rama comme un galérien afin de mettre le plus de distance possible entre lui et ses poursuivants. Car ils tentèrent de le poursuivre. Mais petit à petit, leur vaisseau s’enfonçait dans l’océan, et ils finirent par se rendre compte que quelque chose n’allait pas. Privilégiant leur survie à la capture d’un pirate minable, ils abandonnèrent la poursuite, et l’Homme d’Acier fut à nouveau libre. Pour un temps. >> Test RP Il était jeune, il était beau – ou non – et il sentait bon le sable chaud. Forcément, il était midi, et il se réveillait à peine après une nuit de beuverie sur la plage. Noah s’étirait péniblement, en regardant les reflets du soleil sur l’eau. Le garçon avait une pâteuse de tous les diables et un mal de crâne à vous persuader que les sept nains creusent l’intérieur de votre cervelle à coups de pioche, tout en chantant « Hey-Ho ! » à tue-tête. Cela faisait une semaine que le gamin avait décidé de devenir pirate. Depuis, il errait en ville, et augmentait soir après soir son ardoise dans l’auberge du Ragondin Mal Embouché. Il paierait en s’en allant, avait-il dit au patron de l’établissement. L’autre avait bien tenté de protester, mais l’énorme poing serré de l’adolescent, déjà de taille impressionnante, l’avait fait changer d’avis. Une semaine donc, que malgré ses bonnes résolutions, le forban en herbe passait la plupart de son temps à s’imbiber d’alcool et à minauder auprès des jeunes femmes qu’il croisait. Il passait son temps à glander quoi. Mais tout ça, c’était fini. Sa tête sur le point de se fendre en deux le lui promettait. Plus jamais il ne boirait plus que de raison. Il allait se prendre en main. Devenir un homme, un pirate célèbre, respecté, et surtout riche ! Oui. C’est dans cet état d’esprit qu’il quitta son bout de plage pour se mettre en quête d’un navire prêt à l’enrôler. Et c’est deux heures plus tard, devant sa neuvième pinte de mousseuse, qu’il se dit que ça pouvait bien attendre le lendemain après tout. Noah Junior était attablé en compagnie de quelques autres poivrots n’ayant rien d’autre à faire de leur journée. Des gens fort sympathiques qui l’avaient tout de suite adopté. Forcément, il payait les consommations pour eux. Enfin, payait… Il les ajoutait sur son ardoise, qu’il rembourserait, un jour. Enfin, s’il ne l’avait pas oubliée le lendemain, quoi. Après encore une choppe vidée d’un seul trait, le jeune homme se leva et domina l’assistance de son imposante taille. -P’tain, les gars, z’êtes vraiment coouhouls… Pas comme ces p’tain d’gueules d’endives, quoi… C’pour ça, j’vais vous dire un s’cret. » Il faut noter ici qu’il parlait suffisamment fort pour qu’à peu près toute l’auberge, ainsi que les maisons voisines l’entendent. -Ouais, vazy p’tit » l’encouragea un vieux dont les yeux avaient du mal à s’entendre sur un point à observer, « dis-nouhous.. tout ! On est potes ! On dira r’in ! Tintin ! Pr’mis, craché ! » Et là, il tendit un index devant ses lèvres en signe de silence. Il tenta de cracher en même temps, et se retrouva avec une cascade de bave lui dégoulinant le long du menton. -‘coutez bien ! Moi, m’sieur, j’vais dev’nir pari… prati… Pirate ! Ouais m’sieur ! Et un graaaand comme ça ! » Le garçon écarta autant qu’il put les bras, ce qui donnait une distance non négligeable. « Super connu, vénéré, et tout ça ! -Ouah, gamin, » lui répondit le vieux en s’essuyant avec la barbe de son voisin, « tu vas faire comme ce sacré Jack Le Fourbe, alors ! -Hein ? Queuwa ? Qui c’est, c’lui-là ? -Bordel, gamin ! Jacky Le Fourbe, c’t’une p’tain d’légende ! Un pirate comme y’en a pas quatre… Enfin deux… Enfin on va dire trois, dans l’doute. C’est lui qui a émit les dix commanda…Conande… Les dix machins qu’faut faire pour dev’nir pirate ! -Ah ouais ? Bah si c’te gueule d’endive de Jack Le Fourm… Foudr… Si Jack il peut faire tes trucs, moi aussi ! Vas-y, dis moi, faut faire quoi ? » Le vieux prit l’air important de ceux qui savent des choses que d’autres ignorent. Il se la pétait grave. -C’est simple ! Jacques a dit, que si tu veux dev’nir un vrai pirate, gamin, faut faire dix choses. Primo, faut que tu t’trouves un rêve, tu vois ? Un objectif noble, parce que c’est noble un pirate. Genre voler aux riches pour donner aux pauvres. Ou voler que les riches, déjà. Ou voler, mais essayer de le faire avec l’air sympa. Ou te taper toutes les donzelles de chaque port que tu traverseras. Ce genre de trucs quoi. Deuxio, faut que tu t’entraînes tous les jours, pour avoir la classe, t’sais ! Pour qu’tu puisses bien défoncer l’fion d’ces saletés d’marines. Troiââââ… heu… Ô, faut qu’tu piques un bateau, t’sais. Bah ouais, parce que bon, un pirate qu’a pas d’navire fier et solide qui vole dans l’vent, ça pue un peu du cul quoi. Et quatrièmô, faut qu’t’engages un équipage. Ou qu’t’en rejoignes un, c’comme tu l’sens. -Et après ? » questionna le jeune homme en se rasseyant, passionné. -Après quoi ? » demanda le vieux. -Bah t’as dit que y’en avait dix, de tes machins. C’est quoi la suite ? -Parc’que y’en a pas dix là ? Ah bah non, moi j’crois qu’c’est tout hein… Objectif, entrainement, bateau, équipage… Non c’est tout bon. Ou alors j’connais pas la suite. -Bon bah j’vais faire tout ça ! » s’exclama le colosse en se relevant d’un coup, frappant des mains sur la table. « Comme ça, j’deviendrai un pirate qu’a trop la classe ! » Au même moment, la porte de l’auberge s’ouvrit, et trois marines entrèrent, accompagnés du propriétaire de l’établissement. Ce dernier pointa Noah du doigt et lança : -C’est lui, messieurs ! Ca fait une semaine qu’il est là, qu’il boit et qu’il offre des consommations à l’œil, m’obligeant à lui obéir par la force. Et voilà qu’en plus il clame dans tout mon honnête établissement qu’c’est un pirate. J’fais mon devoir et j’viens vous préven’ir moi du coup, ’voyez. Alors débarrassez-moi en, bordel ! » Les trois soldats fixèrent l’adolescent qui avait des allures du colosse qu’il allait devenir. Aucun ne lui arrivait au menton. Aucun ne semblait très rassuré. -Très… très bien monsieur. Veuillez nous suivre s’il vous plait. Si vous décidez de nous résister, nous serons obligés d’employer la force, et… bah… attention quoi. -P’tain, gamin, t’es dans la marmelade jusqu’aux tifs, là. » Le néo-pirate se contenta de sourire tranquillement. Il approcha lentement des forces de l’ordre, semblant leur obéir. D’un pas mal assuré d’abord, puis de plus en plus décidé. L’adrénaline refoulait les effets de l’alcool. -Voilà, c’est ça, donc bon maintenant, si vous voulez bien vous retourner qu’on puisse vous passer les meno-et-quoi-non-arrêt-argh ! » Arrivé à leur hauteur, le géant avait attrapé les deux marines les plus proches de lui sous le menton, les avait soulevés de terre, avant d’utiliser leurs crânes comme des cymbales. Il y eut un bruit plutôt répugnant d’os qui craquent, et ils s’effondrèrent inertes au sol. Le troisième larron, choqué, ne réagit même pas alors que Noah armait déjà son coup. Il eut tout juste le temps de porter une main à son arme avant de recevoir un formidable poing dans la tempe. Il s’écroula. Enfin, le garçon se tourna vers l’aubergiste. -Toi, gueule d’endive, tu m’as balancé. -Mais-quoi-mais-non-mais-pas-du-tout-c’est-une-erreur-je… » Le flot rapide d’excuses du commerçant s’interrompit alors que son bourreau le soulevait d’une main par le col. La seconde vint se placer derrière son crâne. Il s’approcha du linteau de porte, puis d’une pression brusque, lui écrasa la mâchoire contre celui-ci. Des dents volèrent et du sang gicla. Avec toujours un sourire carnassier, le garçon laissa retomber sa victime. -Comme ça, tu parleras moins ! Gahahaha ! » Il était parfaitement réveillé maintenant, et l’adrénaline commençait à retomber. Calmé, il finit par se rendre compte qu’il était dans la panade. Il n’avait pas spécialement de regrets, ça non. Un pirate, ça tuait, c’était bien connu. Mais bon, quand même, un bon pirate, ça se fait pas chopper. Il fallait donc filer. Avant d’ouvrir la porte du commerce, le garçon jeta un œil à ses compagnons de beuverie. -Bon bah t’cho les gars ! » leur lança-t-il radieux et couvert d’éclaboussures écarlates. Quelques heures plus tard, il était sur une barque de pêcheurs, dont il avait jeté les occupants à l’eau et faisait voile vers… et bien nulle part en fait. Il ne savait pas du tout naviguer et s’en rendait compte seulement à cet instant. Mais bon, il ne s’en inquiétait pas outre mesure pour l’instant. Non il préférait réfléchir à cette histoire de commandements. Pour son objectif, il était clair. Se faire une réputation, et plein de berrys. Pour l’entraînement tous les jours, et bien il venait de faire des pompes. Ca comptait. Même si c’était le premier jour, il fallait bien commencer. Pour le navire, et bien il venait d’en dérober un. Bon, d’accord, c’était plus une vieille coquille de noix proche de couler et sentant le thon qu’un véritable bateau pirate, fier et menaçant, mais c’était toujours ça. Ca faisait trois sur quatre… sur dix. Enfin bon, s’il pouvait remplir les commandements qu’il connaissait, ce serait déjà ça. Ne restait plus qu’à intégrer un équipage… C’est fou comme le destin peut être joueur, parfois n’est-ce pas ? C’est vrai quoi, on songe à intégrer un navire pirate, et hop ! Il y en a justement un qui vous fond dessus à la vitesse d’un oiseau de proie affamé. Enfin, en l’occurrence, c’était plutôt un navire miteux qui avait pas mal souffert. Pour le coup, il avançait plutôt à la vitesse d’une vieille mouette blessée et malade. Mais tout de même. C’était un navire pirate. Quand il fut à sa hauteur, un homme en descendit. Le genre de type sans âge, qui pourrait présenter bien avec sa belle coiffure et son beau sourire, si ses beaux vêtements n’étaient pas élimés et embaumés d’une belle odeur de transpiration, si cette belle coiffure n’avait pas souffert d’un manque d’entretien flagrant, et si ce joli sourire n’était pas gâché par une dent manquante. -Je suis Allan McCormick, » se présenta-t-il, « surnommé « Le Désastre des Flots » ! Tu comprends bien sûr pour quoi. » Non, ce n’est pas pour ça, mais plutôt pour l’inverse. Désastre est à prendre au sens propre, ici. Mais le désastre en question se gardait bien de l’avouer à qui que ce soit. - Je suis le capitaine des « Fucking Disaster ». Donne-nous tous tes biens, ou on t’embroche, mon grand ! -Vous êtes des pirates ? » demanda le garçon, les yeux brillants. -En effet, » répondit l’autre. « Alors fais pas l’malin, ok ? -C’est génial ! P’tain ça a été vachement plus facile que j’croyais ! Vous voulez pas m’embaucher ? -Ne résiste pas, marraud, te dis-je car nous… Heu… Quoi ? Qu’est-ce t’as dit ? -P’tain, t’es sourd, vieux, j’te d’mande si tu veux pas m’embaucher. J’veux être pirate moi ! Pis t’façons, j’ai quedal, donc bon, si vous insistez pour m’voler, j’vous balance tous à la flotte. -Hum… Et bien… » Le forban semblait un peu désarçonné. Il considéra la masse de l’adolescent et se dit que, à bien y regarder, maintenant qu’il le voyait de près et non pas de la vigie à quelques miles de là, bien qu’il ait l’air jeune, il avait sans doute la force nécessaire pour exécuter ses menaces. -Et bien pourquoi pas, mon jeune ami. Tu as l’air de manquer d’expérience, mais tu es bien bâti. Sans doute nous seras-tu utile, dans nos prochaines aventures et… -Ouais ouais, ok, pas la peine de blablater dix piges, j’signe où alors, cap’tain ? -Heu… Et bien… nulle part, mais… -Niquel ! Alors on y va ? Parce que mon rafiot commence à prendre l’eau là. J’suis pas sûr qu’il soit fait pour la haute mer, en fait… -Et bien… Heu… Oui, on y va… » Et c’est ainsi que Noah s’engagea dans l’équipage des Fucking Disaster, remplissant ainsi le quatrième commandement de Jack Le Fourbe. Tout ça parce que Jack a dit que… Bref… On va pas s’éterniser, hein, la suite de l’histoire est plus haut, et la suite de la suite, bah vous verrez bien quoi. |
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- Prénom : D.
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Dernière édition par Noah J. Siegfurson le Ven 5 Aoû 2011 - 9:50, édité 4 fois