Rappel du premier message :
Le navire venait d'amarrer quelques jours avant. Annabella avait rencontré le capitaine, il lui avait laissé sa cabine durant la traversée, elle le saluait désormais tandis qu'il repartait. Elle alla jusqu'au rivage en barque, un homme attendait avec un grand sourire.
- Je suis Olaf, le maire du village. Lui c'est Rémi.
- Wouf.
Le soleil caressait ma peau, je me sentais bien d'être là, ma main caressa Rémi. Il recula par réflexe, j'avais oublié que je contrôlais le haki. Le soleil était haut dans le ciel et j'avançais. Le village était plus loin apparemment, des pirates l'occupaient et Olaf avait été chassé après qu'ils avaient tué son fils, Roberto. Il espérait trouver de l'aide, quelle chance pour lui que je sois arrivée !
Nous courrions dans la forêt, j'avais sorti mon sabre. Il allait bientôt pleuvoir. J'utilisai l'empathie : le village était presque là. Puis j'entendis un coup de feu et Rémi aboya. Je réussis à arrêter la balle à temps.
- Ils nous ont suivis ! s'exclama Olaf tout en se plaquant à terre.
La plaine d'herbes hautes laissait entrevoir le calme, c'était un mensonge évidemment. Je vis aussitôt un homme sur le toit d'une maison avec une carabine.
Bang, bang !
- À couvert ! Je dois trouver un moyen de les neutraliser sinon ils vont nous tuer.
Mince, il allait me falloir de l'aide. Si je n'agissais pas à temps, tout les villageois mourraient dans d'atroces douleurs.
Le navire venait d'amarrer quelques jours avant. Annabella avait rencontré le capitaine, il lui avait laissé sa cabine durant la traversée, elle le saluait désormais tandis qu'il repartait. Elle alla jusqu'au rivage en barque, un homme attendait avec un grand sourire.
- Je suis Olaf, le maire du village. Lui c'est Rémi.
- Wouf.
Le soleil caressait ma peau, je me sentais bien d'être là, ma main caressa Rémi. Il recula par réflexe, j'avais oublié que je contrôlais le haki. Le soleil était haut dans le ciel et j'avançais. Le village était plus loin apparemment, des pirates l'occupaient et Olaf avait été chassé après qu'ils avaient tué son fils, Roberto. Il espérait trouver de l'aide, quelle chance pour lui que je sois arrivée !
Nous courrions dans la forêt, j'avais sorti mon sabre. Il allait bientôt pleuvoir. J'utilisai l'empathie : le village était presque là. Puis j'entendis un coup de feu et Rémi aboya. Je réussis à arrêter la balle à temps.
- Ils nous ont suivis ! s'exclama Olaf tout en se plaquant à terre.
La plaine d'herbes hautes laissait entrevoir le calme, c'était un mensonge évidemment. Je vis aussitôt un homme sur le toit d'une maison avec une carabine.
Bang, bang !
- À couvert ! Je dois trouver un moyen de les neutraliser sinon ils vont nous tuer.
Mince, il allait me falloir de l'aide. Si je n'agissais pas à temps, tout les villageois mourraient dans d'atroces douleurs.