Une rencontre, un visage, une jeune femme puis une faux. Voilà les dernières choses que se rappelait le pirate avant de se réveiller dans une cellule.
Shoma ne savait pas depuis combien de temps il avait été placée ici, dans ce qui semblait être sa nouvelle chambre de malade. Contrairement à son autre chambre, celle-ci n'était guère plus luxueuse qu'une grotte d'ours.
C'était dans les moments pareils qu'il se disait à lui-même pourquoi il avait encore ouvert sa bouche pour rien. Avec beaucoup, voir même énormément de chance, il aurait très bien pu recevoir ses soins dans son ancien lit, qui, comparé à celui-ci était un lit cinq étoiles, tout en étant considéré comme prisonnier.
Les malades, quelques sois leur groupe, affectation où crime avaient quand même droit à des soins. Non ? Dans ce cas, dans qu'elle royaume s'était-il encore fourrer. Dans bien de royaume, un criminel, reste un homme et tout homme a le droit au soin et gratuit de surcroit.
Bien qu'enfermer dans un trou à rat, Shoma gardait espoir. Il n'était pas du genre à se laisser abattre. Il venait de perdre la première manche, mais qu'importe, il remporterait le match retour.
Maintenant il n'avait plus besoin de se cacher, un bon nombre de personnes avaient sans doute déjà vu son visage, à moins qu'il ne les embroches à leur tour afin de faire disparaître tous les témoins. Cette solution était la meilleure et correspondait très bien à ce qu'il savait faire de mieux.
Allongé sur un tas de paille, le pirate ferma les yeux afin de laisser son corps se reposer.
Alors qu'il dormait paisiblement sur un lit de fortune, deux hommes lui jetèrent de l'eau froide en pleine tête. Le pirate se leva d'un coup et malgré son envie de battre à mort les deux hommes, restait impuissant.
Les soldats se moquèrent du pirate qui ne pouvait rien faire mise à afficher un visage rouge de colère. D'un ton assez menaçant pour une personne invalide, Shoma menaça les deux hommes de mort, ce qui entraîna de leur part fou rire et ricanement.
Soldat -> On va voir ça!
En réaction à la menace du pirate, l'un des soldats pointa son fusil dans la direction du prisonnier et approcha son doigt de la détente. De l'autre côté, le pirate observait l'homme qui se sentait prêt à braver tous les interdits afin de lui montrer qu'il en avait une plus grosse dans le pantalon. Finalement, après quelques secondes à pointer le prisonnier avec son arme, le soldat le dévisagea du regard avant de lui lancer son repas.
Les deux hommes avaient reçus des ordres très précis quant à la surveillance du prisonnier et ne pouvaient en aucun cas agir de leur propre chef.
Tel était la vie d'un soldat de bas étages. Incapable de désobéir aux ordres sous peine de passer devant la cour martiale. Vraiment, la vie de soldat était pathétique.
Les deux hommes quittèrent le pirate en empruntant la seule porte de la pièce.
Seul à présent, Shoma regarda le repas que venait de lui apporter les deux enflures, avant de fermer les yeux afin de poursuivre sa nuit. Même derrière les barreaux, il gardait sa dignité. La nourriture de prisonnier qui ressemble plus à de la bouffe pour chien, très peu pour lui. Il préférait mourir de faim, plutôt que de céder à la tentation.
Une bonne nuit de sommeil, ce n'était pas grand-chose, mais pour un prisonnier, suspecter d'avoir causé la destruction d'un navire de la marine, c'était un luxe. Luxe que le pirate ne pouvait pas profiter, car à tous les quatre heures, les deux soldats trouvaient le moyen de venir perturber son sommeil. Les deux hommes prenaient un malin plaisir à empêcher le pirate de dormir, à un tel point qu'il pouvait les entendre rigoler de l'autre côté de la porte.
Prisonnier, il était, mais dindon de la farce, ça jamais. Rira bien qui rira le dernier.
Quand il sortira de là, il ne manquerait pas de leur rendre l'appareil. Avec la paille qui constituait son lit, le pirate essuyait l'eau qui glissait le long de son visage.
Sans même s'en rendre compte, il n'avait plus cette sensation de douleur qui le parcourait quand il bougeait les bras. Il le savait, il n'en avait jamais douté, il allait sans doute être sur pied et bien plutôt qu'il ne l'aurait imaginé.
"Plus de douleur. Hum hum"
Après le constat de ses bras, Shoma se palpa le bassin ainsi que le torse afin de se faire un nouveau diagnostic et visiblement il avait des raisons d'être optimiste. Son état n'était plus aussi critique que le jour où il s'était réveillé dans la maison du couple. Malgré la douleur au niveau de son torse et de ses jambes, le reste de son corps répondait plutôt bien. Il restait aussi une bosse inexpliquée qui était apparue au niveau de sa tête, mais sans doute qu'il devait être entré en contact avec un objet qui lui a provoqué cela lors de son transit ici.
Il ne l'avait pas encore remarqué, mais lors de son second jour de captivité, Shoma comprit qu'il ne se trouvait pas sur terre, mais bien sûr un navire.
Cette situation devait sans doute être provisoire, sans doute qu'il allait bientôt faire l'objet d'un transfert vers une prison de la marine. Il ne savait pas de combien de temps il avait devant lui, mais le temps jouait contre lui. Il devait retrouver l'usage de ses jambes avant que son transfert n'ait lieux, car après, il serait sans doute trop tard.
Shoma ne savait pas depuis combien de temps il avait été placée ici, dans ce qui semblait être sa nouvelle chambre de malade. Contrairement à son autre chambre, celle-ci n'était guère plus luxueuse qu'une grotte d'ours.
C'était dans les moments pareils qu'il se disait à lui-même pourquoi il avait encore ouvert sa bouche pour rien. Avec beaucoup, voir même énormément de chance, il aurait très bien pu recevoir ses soins dans son ancien lit, qui, comparé à celui-ci était un lit cinq étoiles, tout en étant considéré comme prisonnier.
Les malades, quelques sois leur groupe, affectation où crime avaient quand même droit à des soins. Non ? Dans ce cas, dans qu'elle royaume s'était-il encore fourrer. Dans bien de royaume, un criminel, reste un homme et tout homme a le droit au soin et gratuit de surcroit.
Bien qu'enfermer dans un trou à rat, Shoma gardait espoir. Il n'était pas du genre à se laisser abattre. Il venait de perdre la première manche, mais qu'importe, il remporterait le match retour.
Maintenant il n'avait plus besoin de se cacher, un bon nombre de personnes avaient sans doute déjà vu son visage, à moins qu'il ne les embroches à leur tour afin de faire disparaître tous les témoins. Cette solution était la meilleure et correspondait très bien à ce qu'il savait faire de mieux.
Allongé sur un tas de paille, le pirate ferma les yeux afin de laisser son corps se reposer.
Alors qu'il dormait paisiblement sur un lit de fortune, deux hommes lui jetèrent de l'eau froide en pleine tête. Le pirate se leva d'un coup et malgré son envie de battre à mort les deux hommes, restait impuissant.
Les soldats se moquèrent du pirate qui ne pouvait rien faire mise à afficher un visage rouge de colère. D'un ton assez menaçant pour une personne invalide, Shoma menaça les deux hommes de mort, ce qui entraîna de leur part fou rire et ricanement.
Soldat -> On va voir ça!
En réaction à la menace du pirate, l'un des soldats pointa son fusil dans la direction du prisonnier et approcha son doigt de la détente. De l'autre côté, le pirate observait l'homme qui se sentait prêt à braver tous les interdits afin de lui montrer qu'il en avait une plus grosse dans le pantalon. Finalement, après quelques secondes à pointer le prisonnier avec son arme, le soldat le dévisagea du regard avant de lui lancer son repas.
Les deux hommes avaient reçus des ordres très précis quant à la surveillance du prisonnier et ne pouvaient en aucun cas agir de leur propre chef.
Tel était la vie d'un soldat de bas étages. Incapable de désobéir aux ordres sous peine de passer devant la cour martiale. Vraiment, la vie de soldat était pathétique.
Les deux hommes quittèrent le pirate en empruntant la seule porte de la pièce.
Seul à présent, Shoma regarda le repas que venait de lui apporter les deux enflures, avant de fermer les yeux afin de poursuivre sa nuit. Même derrière les barreaux, il gardait sa dignité. La nourriture de prisonnier qui ressemble plus à de la bouffe pour chien, très peu pour lui. Il préférait mourir de faim, plutôt que de céder à la tentation.
Une bonne nuit de sommeil, ce n'était pas grand-chose, mais pour un prisonnier, suspecter d'avoir causé la destruction d'un navire de la marine, c'était un luxe. Luxe que le pirate ne pouvait pas profiter, car à tous les quatre heures, les deux soldats trouvaient le moyen de venir perturber son sommeil. Les deux hommes prenaient un malin plaisir à empêcher le pirate de dormir, à un tel point qu'il pouvait les entendre rigoler de l'autre côté de la porte.
Prisonnier, il était, mais dindon de la farce, ça jamais. Rira bien qui rira le dernier.
Quand il sortira de là, il ne manquerait pas de leur rendre l'appareil. Avec la paille qui constituait son lit, le pirate essuyait l'eau qui glissait le long de son visage.
Sans même s'en rendre compte, il n'avait plus cette sensation de douleur qui le parcourait quand il bougeait les bras. Il le savait, il n'en avait jamais douté, il allait sans doute être sur pied et bien plutôt qu'il ne l'aurait imaginé.
"Plus de douleur. Hum hum"
Après le constat de ses bras, Shoma se palpa le bassin ainsi que le torse afin de se faire un nouveau diagnostic et visiblement il avait des raisons d'être optimiste. Son état n'était plus aussi critique que le jour où il s'était réveillé dans la maison du couple. Malgré la douleur au niveau de son torse et de ses jambes, le reste de son corps répondait plutôt bien. Il restait aussi une bosse inexpliquée qui était apparue au niveau de sa tête, mais sans doute qu'il devait être entré en contact avec un objet qui lui a provoqué cela lors de son transit ici.
Il ne l'avait pas encore remarqué, mais lors de son second jour de captivité, Shoma comprit qu'il ne se trouvait pas sur terre, mais bien sûr un navire.
Cette situation devait sans doute être provisoire, sans doute qu'il allait bientôt faire l'objet d'un transfert vers une prison de la marine. Il ne savait pas de combien de temps il avait devant lui, mais le temps jouait contre lui. Il devait retrouver l'usage de ses jambes avant que son transfert n'ait lieux, car après, il serait sans doute trop tard.
Dernière édition par Mantle Shoma le Mer 18 Jan 2012 - 23:26, édité 1 fois