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Obo'

Oboro Ashikaga Muromachi
_one_piece__chopper_icons_01_by_xlaura_chanx-d5oaoba.pngPseudonyme : Faut une réputation pour ça.
Age : 24 ans c’est bien je pense.
Sexe : Clairement une nénette celle-là.
Race : Les mauvaises langues diraient géante ou girafe et elles prendraient quelques coups (au moins de gueulante) si elle est à portée.

Métier : Assistante d’un académicien exigeant mais fort sympathique spécialisé sur des domaines de niche en musicologie et en mathématiques pour lesquels le public n’aura jamais aucune appétence. Et ce n’est en aucun cas une façade pour une seconde activité beaucoup moins licite qu’elle pourrait assumer, genre ninja-assassin.

Groupe : Civile. Et certainement pas révo’ de cœur ou par subordination.
But : Elle fait ce qu’on attend d’elle et elle sera à la hauteur, le reste n’a pas d’importance. Rêver, c’est pour les mioches et les gens pas sérieux.

Équipement : Des peluches de pingouins, de flamands roses et de canaris géants qui montent la garde dans sa chambre, des épingles à cheveux assez pointues pour vous trouer le cerveau quand on vous les plante en pleine tronche, une garde-robe méthodiquement alimentée au fil des ans, un flair infaillible pour dégoter couteaux et haches dans à peu près n’importe quelle zone civilisée, une petite trousse de maquillage et la base permettant de quoi recoudre ou faire quelques rajouts à n’importe quel vêtement…

Parrain : Sir Arno de Belgerak. Mais si, le gars d’avant en deux mille treize. Vous savez forcément.

Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? La créature cheloue à deux têtes là.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? Red au présent, Lilou en flashback

Codes du règlement : Nan mais flemme de relire j’expliquais le règlement aux petits nouveaux alors que  la majorité d’entre vous aviez même pas encore fait vos premières demandes de récomp’ pitié.  


Description Physique
Un mètre quatre-vingt-treize, elle tranche dans le paysage et en sera traumatisée toute sa vie. Rajoutez-y une figure athlétique qu’elle s’évertue par d’improbables moyens à maintenir sous contrôle (vous n’avez pas idée de ce que la médecine traditionnelle peut proposer comme trucs étranges à verser dans son bain quand on est une jeune femme complexée par son apparence, mais vous seriez encore plus surpris de constater que merde ça marche vraiment), et vous comprendrez pourquoi elle bénit les dieux et sa mère en particulier quand elle passe chaque matin devant le miroir pour se dire qu’au moins, putain, elle a hérité ailleurs de ce qu’il faut pour être attirante et indiscutablement féminine.

En fer de lance, une longue chevelure lissée qui lui arrive tout juste en dessous des hanches et qui fait quotidiennement l’objet de soins rituels quasi-chirurgicaux. Avec pour résultat un noir ébène dorénavant plus vrai que nature, et qui se permet même d’arborer un brillant déjà plus artificiel. On peut la surprendre à se passer les mains dedans à quelques occasions, mais c’est surtout sa maîtrise du mouvement de tête l’Oréal avec extension du rideau de chevelure qui attire l’attention, parce qu’elle le fait tellement bien qu’on est tenté de lui demander de le refaire. Ce que peu de gens osent faire, mais si elle lit l’envie dans votre regard, vous y aurez probablement droit dans la minute qui suit.

Pour le visage, on a affaire à quelque chose tirant vers le rond, avec un nez timide et des yeux noirs qui n’appellent pas de commentaires. Elle n’aime pas du tout ses oreilles, trop rondes, trop petites, c’est donc naturellement qu’elle ne les expose presque jamais.

Vestimentairement, c’est une demoiselle très coquette et probablement superficielle qui affectionne autant les tenues traditionnelles que les modernes, généralement colorées et souvent agrémentées d’accessoires bien choisis. Jamais chic mais toujours avec bon goût, le tout bien assorti, et sage en toutes circonstances. Oboro est de ceux et celles qui pensent que les apparences en disent beaucoup, que les premières impressions méritent d’être soignées, et a suivi les enseignements de l’école ancestrale du j’achète-que-des-pièces-que-j’peux-incorporer-à-cinq-tenues-différentes-sinon-c’est-mort-c’est-du-gâchis. En d’autres termes, pas une fashionista aux cent dix-huit bottines pour compléter des tenues excentriques, mais elle passe clairement trop de temps à faire les boutiques.


Description Psychologique
Oboro est une jeune femme complètement immature qui suréagit aux contrariétés, explose aux provocations, et facilite régulièrement ses sautes d’humeur en se comparant mentalement à tout le monde pour s’enorgueillir de satisfaction ou se miner inutilement le moral pour le reste de la journée. Elle juge très vite les gens et dispose d’un don incroyable pour cerner les défauts des autres et pester en conséquence. Un flair qui est beaucoup moins affuté pour relever les qualités d’autrui, même si elle sait les applaudir et les encourager quand elle finit par les voir. A condition qu’on ne la concurrence pas, auquel cas elle se contentera de les jalouser voire de les dénigrer avec une mauvaise foi remarquable. Elle ne peut évidemment pas être la meilleure dans tous les domaines, mais dans ses domaines à elle, à âge et à expérience égaux, elle vivra très mal la moindre compétition qui la surclassera.

Sauf s’il s’agit de membres du haut gratin légendaire dont les louanges sont chantées dans les taverne et les journaux au quotidien. Eux sont des créatures d’un autre monde et proprement admirables, qu’elle utilise religieusement comme source d’inspiration pour s’exhorter à devenir, ou au moins à donner le meilleur d’elle-même.

Pour faire simple, elle ne se prend pas pour de la merde, n’hésitera pas à prendre les autres pour des guignols à la première incartade, et déploiera beaucoup d’efforts pour se donner les moyens de soutenir son point de vue par les faits.

Mais tant qu’on ne l’offusque pas et qu’on a l’air d’être quelqu’un de bien sans être un gros boulet, Oboro sera bienveillante et on ne peut plus agréable. Piquez son intérêt et elle sera enjouée et un moteur pour le moral et la vie quotidienne de n’importe quel groupe. Faîtes-lui pitié et elle s’énervera pour vous. Et aussi contre vous, parce que merde, c’est peut-être dur mais faut se sortir les doigts du cul pour s’en sortir ou au moins garder la tête hors de l’eau, allez vas-y-règle tes problèmes coco tu vas y arriver.

Malgré tout ça, elle n’est guère serviable et encore moins généreuse, et encore moins généreuse de son temps et de son énergie, et encore moins généreuse face à quelqu’un qui ne lui renverra clairement jamais l’ascenseur. Paradoxalement, elle est la première à essayer de se faire bien voir quand elle est en présence d’une figure respectable ou d’autorité, ce qui part d’une réelle bonne volonté et apparait en contresens avec le fait qu’elle déteste vigoureusement les lèches-bottes. De ses propres mots, elle est ambitieuse mais fonctionne à la régulière, met un point d’honneur là-dessus et considère très mal tous ceux qui ne le font pas. Et aura la désagréable tendance à leur rentrer dedans à la moindre occasion.

Pour ce dernier point, Oboro en vient très facilement aux mains, aux poings et aux prises de bec verbales, avec un langage qui fleurit dès qu’on la brosse dans le mauvais sens. Quand bien même ça lui a déjà souvent posé des problèmes, quand bien même ça lui en causera encore plus, ben rien à foutre, c’est bien fait pour leur gueule à ces enfoirés de fils de merde de raclures à fond de bidet. Pour elle, on a beau vivre dans un monde civilisé, quand un connard ne respecte plus les règles, il n’y a précisément plus de règles à respecter. Le problème, c’est que dans ce cas de figure la loi du plus fort s’applique toujours, et qu’elle n’a pas forcément la priorité. Elle pourra ronger son frein, mais pas faire des courbettes à qui la domine.

Emotive, à fleur de peau, la Muromachi est toutefois diablement intelligente et dispose d’une très bonne intuition pour la guider dans ses navigations mentales. Pas créative, pas malicieuse, pas rusée, son talent est de comprendre, d’apprendre et d’appliquer rapidement des notions pas toujours évidentes dont elle n’a pas nécessairement entendu parler. Et pour ça, elle est tout aussi bien capable d’ingurgiter des ouvrages à la chaîne que de s’investir dans une pratique assidue jusqu’à imprimer les mouvements dans sa mémoire musculaire. Une aptitude à s’impliquer qui peut virer à l’excès mais qui lui profite à merveille, au point de façonner toute sa façon de voir les choses.

Manque de chance, elle rate souvent des détails importants, prend rarement assez de recul pour cerner les situations et commet énormément d’impairs en termes d’intelligence sociale. Même si elle hurlerait de rage si on le lui annonçait, son truc, c’est clairement de recevoir et pas de donner et encore moins de concevoir des ordres. Et elle le sait. Pour preuves, sa façon de respecter les règles à la lettre (quitte à bougonner que celles-ci sont franchement nazes quand c’est le cas), son tempérament grégaire qui lui fera esquiver coûte que coûte la solitude et certaines prises de position qui pourraient l’isoler, ou encore le fait qu’elle panique facilement et enchaîne les maladresses quand elle est prise au dépourvu. Ce qui l’énervera, forcément.

Mais le plus saillant, c’est probablement le fait que toute sa vie, elle a simplement fait ce qu’on attendait d’elle.


Biographie

Dans un royaume qui rentre en guerre civile grand minimum une fois chaque décennie, où le siège du pouvoir est transféré d’une famille noble à une autre tous les trois ans environ, et où la religion occupe une place prépondérante dans la population pour la distraire et maintenir le statuquo…

Bienvenue chez les Wangyi, l’une des premières dynasties à avoir obtenu le mandat céleste permettant d’être reconnu Empereur de Kanokuni, mais surtout l’une des celles renommées pour avoir survécu à sa destitution sans se faire intégralement décimer par une maison rivale. Une longévité qu’ils doivent en bonne partie à l’environnement montagnard qu’ils administrent, le Xan Bei, également connu sous l’appellation des Monts Dorés sur les cartes établies dans le reste du monde.

En dépit de leur ancienne hégémonie, les Wangyi ont toujours préféré soutenir la dynastie du moment plutôt que de s’inscrire au sein d’un bloc d’alliés dans le méandre des jeux de guerre de Kanokuni. Et c’est probablement ce qui a le plus permis d’entériner leur stabilité dans le paysage de l’empire. S’y ajoute également le fait qu’ils abandonnent systématiquement les régents en place lorsque leur chute ne fait plus aucun doute, arguant que, s’ils ne sont plus assez forts pour conserver le mandat céleste, alors il est dans l’intérêt du pays que la dynastie change de nom. Au-delà de ça, ils n’entretiennent absolument pas assez de force armée pour menacer qui que ce soit.

Parce que les problèmes, ils les règlent autrement. Discrètement, ou presque. Et définitivement. Non pas qu’ils soient les seuls ni même ceux qui y ont le plus recours. A Kanokuni, on a une conception de l’honneur particulièrement attentive au fait de ne pas laisser une insulte impunie, et beaucoup moins sensible aux méthodes employées pour arriver à ses fins. Et depuis quelques générations maintenant, les Wangyi se sont offerts les services permanents et exclusifs de tout un groupement de mercenaires spécialisés qui furent ravis de l’occasion qu’on leur présentait.

Entrent alors en piste les Muromachi, un clan de ninjas originaires de Wano dont les commanditaires historiques étaient excessivement intéressés par les secrets d’un certain groupe : les précurseurs de ce qui deviendrait par la suite la guilde des marionnettistes. La réponse de ces derniers fut impitoyable et immédiate : pour échapper à la purge, nombreux furent les acteurs qui préfèrent fuir l’archipel, Muromachi inclus. Et au terme de longues années passées à offrir leurs services ici et là tout en recherchant une nouvelle terre d’accueil, c’est eux qui se rapprochèrent suffisamment de la dynastie des Monts d’Or de Kanokuni. L’environnement était similaire à leur terre natale, bien que les locaux se montraient beaucoup plus belliqueux, et on leur proposait plus de missions qu’ils ne pouvaient en traiter.

Les machinations de la révolution et du Cipher Pol commençant tout juste dans le pays, l’occasion était trop bonne.

L’argument décisif fut toutefois que Kanokuni est l’un des rares pays où la qualité du riz consommé localement est d’une qualité comparable à celle de Wano, ce qui manquait cruellement aux exilés en proie à un mal du pays grandissant. La culture passe toujours par l’assiette, et on ne peut rien faire contre.

Au grand jour, les Muromachi occupent des tâches de subalternes pour les Wangyi, à des degrés divers. Pour certains, c’est d’ailleurs leur activité exclusive. Pour les autres, on essaie de voir parmi les jeunes qui présente les meilleures dispositions à quelles tâches et on trie en fonction.

C’est dans cet environnement que la petite Oboro apparut. Une bambine en excellente santé, qu’on envisagea un temps d’élever comme une jeune dame charmante et éduquée à marier auprès d’une bonne famille. L’enfant choyée au quotidien était mignonne comme un cœur, habile de ses mains, studieuse et attentive, enjouée et pleine d’amour, et elle apprenait vite. Capricieuse aussi, mais jamais bien longtemps. Et dieu merci, elle ne beuglait pas en public si on le lui interdisait au préalable. Car plus que tout, elle cherchait toujours à satisfaire ses proches et respectait à la lettre les consignes qu’on lui donnait. Passé ses deux premières années où elle était un peu trop aventureuse pour son propre bien, on n’avait jamais eu à la reprendre ou à lui répéter quoi que ce soit.

Il s’avéra toutefois qu’elle montrait d’excellentes dispositions dans d’autres domaines, et que beaucoup des qualités précédemment citées y étaient tout aussi utiles. Très tôt, Oboro fut introduite à des doses croissantes d’exercices physique, à une forme encadrée mais non moins crue et assumée de violence, et on s’échina à développer chez elle de l’adresse et une intelligence opportuniste et inventive qu’elle ne parvint jamais à s’approprier. Et si elle n’était pas des plus habiles quand il s’agissait de se défendre, elle participait à tout ça avec beaucoup d’intérêt et encore plus d’enthousiasme. Elle appréciait la complexité des exercices qui se présentaient à elle, la pression subie lors des mises à l’épreuve qui se succédaient pour la préparer, la sensation d’épuisement et la sérénité qui la gagnait une fois tout ça finit… en fait, elle aimait la violence. Pas la recevoir, cela dit. Sa prudence la conduisait à ne pas en faire un usage systématique, et elle savait très bien différentier le bien et le mal. Mieux que l’acceptable et l’inacceptable, d’ailleurs.

Compte tenu des besoins croissants des Wangyi en matière d’activités inavouables, l’idée d’en faire une demoiselle mariable fut complètement abandonnée et on l’amena rapidement à ses faire les dents (et parfois à se les casser) sur des tâches mineures, en qualité d’observatrice ou de petite main.

Puis de guetteuse et de petit oiseau.

Mais c’est surtout dans le rôle de gorille et de fantôme qu’elle se montra la plus à l’aise. Et la plus efficace, de très loin. Il ne fallait absolument pas compter sur elle pour louvoyer en société : les seules personnes qu’elle parvenait à manipuler étaient soit mortes soit inconsciences, et elle aimait beaucoup trop les endorphines pour être réceptive à la philosophie zenihiliste. L’un des rares rôles qu’elle parvenait à endosser en étant crédible était celui de servante, tâche qu’elle occupa pendant plusieurs années dans le domaine des Wangyi en parallèle de son éducation. Ou de scribe, étant lettrée et particulièrement versée dans un art aussi apprécié qu’inutile ici : la calligraphie.

Depuis quelques mois maintenant, elle est devenue l’une des assistantes de Chang-Liang Wangyi, benjamin du chef de famille, érudit sans grande renommée au-delà de la muraille de Ming, personnage sans histoire qui ne s’implique pas dans les affaires familiales. A peut-être un détail près : sans faire partir de leurs rangs, l’homme est un sympathisant de la cause révolutionnaire qui joue quelquefois de son nom pour leur faciliter la vie. Une sympathie qu’il n’a plus à cacher vu la situation actuelle du pays, et qui ne l’a heureusement jamais exposé à ce jour.

Malgré ce détail, l’homme préfère largement employer Oboro pour remettre ses notes et ses articles au propre plutôt que pour servir d’homme de main à qui que ce soit. Elle prépare le thé à la perfection et il peut même se servir d’elle comme miroir pour réfléchir à voix haute quand il bute sur un sujet. Et elle lui pointe déjà des erreurs de raisonnement avec une spontanéité croissante. Mais plus précieusement encore, elle est une alliée irremplaçable pour mettre la main sur les ouvrages secrets qui sont toujours cachés sur les étagères du haut impossibles à atteindre. C’est sur ce seul critère qu’il la juge pratiquement irremplaçable au quotidien.

Le problème, c’est qu’on la lui pique de plus en plus pour aller faire des horreurs à droite à gauche, et qu’il n’a pas son mot à dire. Maintenant que Kanokuni a explosé et que l’Empire est plus menacé que jamais…



 
Informations IRL

• Prénom : Nan mais sécurité des informations personnelles à ne pas laisser traîner sur internet d’abord on croit que révéler son prénom est anodin et ne pose aucun problème et ensuite on se retrouve avec des recommandations zarboïdes sur les sites à ne pas mettre entre toutes les mains qui vous balancent des vidéos de hot chopper on nami action que vous comprenez pas d’où ça sort et vous finissez par sniffer du détergeant pour nettoyer votre cerveau contaminé à vie. Jamais ! Sauf ptêtre si je confirme de visu que vous n’êtes pas des bugs informatiques ou des pervers amateurs de chair fraîche et candide à récolter sur le ‘ternet.
• Age : Je suis un dinosaure, j’ai vu plusieurs univers antiques s’élever pour prospérer puis s’écrouler les uns après les autres, j’ai survécu au déluge et à l’apocalypse suffisamment de fois pour pouvoir dire que j’ai bien vécu et retourner paisiblement à la poussière, le néant lui-même n’a pas voulu de moi et m’a expulsé des abysses en attendant mon heure, je suiiis… en environnement professionnel depuis maintenant sept ans après des études, donc vieux. Donc les pervers amateurs de chair fraîche et candide c’est pas ici que ça se passe.
• Aime : Dire des bêtises amusantes.
• N'aime pas : Faire des bêtises pas amusantes.
• Personnage préféré de One Piece : les miens, cherchez pas.
• Caractère : Wouf, c’est un grand sujet ça. On va pas prendre le risque hein.
• Fait du RP depuis : 14 ans qui se sont écoulées depuis que j’ai touché à cette came.
• Disponibilité approximative : je passe souvent, j’écris lentement.
• Comment avez-vous connu le forum ? : A l’origine des temps, il y a eu un cataclysme cosmique, un monde s’est effondré, et une poignée de survivants ont erré de sphère en sphère à la recherche d’une nouvelle Eden. En cours de route, ils rencontrèrent un autre vagabond qui leur a montré l’URL qui pouvait les accueillir, et le reste fait partie de l’histoire.


ONE PIECE REQUIEM ©



Dernière édition par Oboro Ashikaga le Dim 15 Aoû 2021 - 16:36, édité 7 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t23354-obourinne
  • https://www.onepiece-requiem.net/t23324-obo
Bonjour Oboro,

Une personne que tu as fait très comique, je crois que c'est un style que tu maitrises bien. Obo' 2983686574
Enfin c'est ton style d'écriture, tu as quelque chose qui fait sourire pour la grande majorité de la lecture de ta présentation.
Mais passons à une petite analyse Obo' 3538577670

Point forme : Obo' 2723460352

Je vais te le dire juste pour t'embêter, mais j'ai vu des fautes (oui moi aussi j'en fais, mais j'ai le droit il parrait Obo' 2983686574 )
Est-ce que c'est de l'inattention ou juste qu'elles sont passés au travers des mailles de ta relecture ? Nous ne le saurons peut-être jamais. Bref, attention aux fautes.

Point fond :

Qu'est ce que je peux dire.
Ton personnage est déjà très complet, tu traites de ses habits, de sa façon de s'habiller, de ses cheveux, même des imperfections qu'elle a.
Pour la psychologie, son côté hautain, son plaisir d'apprendre et son côté aimant se battre sont mis en avant, on notera la différence entre se battre où elle gagne et celui où elle subit. En tout cas ton personnage est clairement quelqu'un que je ne viendrais pas voir pour demander de l'aide Obo' 2983686574
Pour l'histoire je ne pensais pas que tu mettrais ton personnage dans un pays de révolutionnaire, franchement ils puent et ils n'ont aucune manière Obo' 4231687190
J'ai hate de voir ce que la grande asperge qu'est ton personnage deviendra dans l'avenir.

Oui je ne te donne pas de pistes pour améliorer ton personnage parce qu'on voit que tu maitrises ton style. Obo' 1433839424
Je te souhaite donc un bon jeu et te donne ta note.

J valide donc à 800 Dorikis et Civil, bien sur.
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