Nous y sommes. Les bourgeons des arbres fruitiers et les fleurs sauvages s'ouvrent pour marquer le début du printemps. Ils indiquent aussi que la première foire de l'année de Kage Berg est lancée. Il faut dire que c'est une date attendue par tous les habitants de l'île, car c'est l'occasion de participer au concours de la meilleure vache, mais aussi de faire de très bonnes affaires en vendant leurs bestiaux aux marchants venus de toutes les Blues. Le père des deux jumeaux ne fait pas exception à la règle et il compte bien remporter pour la troisième fois consécutive le prix tant convoité avec sa vache fétiche Babette.
« Taiyō, Tsuki, j’ai besoin de vous »
A quelques mètres de la maison, les deux jumeaux s'amusent à cueillir les quelques coquelicots et marguerites qui ont déjà terminés leur fleuraison en avance. A l'appel de leur mère les deux enfants se lèvent et courent vers la fenêtre, Taiyō laissant gagner sa petite sœur dans la petite compétition qui vient de se lancer du premier arrivé. Sur le rebord de l'ouverture est posé un torchon qui renferme le repas de leur père, déjà présent sur l'événement depuis l'aube. Il est bientôt midi et les deux enfants ont pour mission d'emmener sa gamelle au compétiteur. Bien évidemment, Taiyō se saisi de celle-ci, car la maladresse de Tsuki risque d'obliger leur père à faire un jeûne pour le déjeuner. Le chemin pour se rendre au village n'est pas long, une quinzaine de minutes environs, que les deux enfants aux yeux verrons parcourent main dans la main, une fratrie indivisible.
On commence à entendre l'agitation du village qui s'est transformé en quelques jours en une ville surpeuplée. Le jeune garçon adore cette ambiance, lui qui aime partir à l'aventure dans les plaines, explorer l'île et voir des personnes venues des quatre coins de l'océan, ce qui est moins le cas de Tsuki. En se rapprochant, on peut rapidement voir qu'il est difficile de se balader tellement la foule est dense, mais les deux jumeaux en ont l'habitude et savent quelles sont les ruelles les moins fréquentées pour se rendre où bon leur semble.
« On va d’abord voir les bateaux au port ? »
Tsuki adore voir les navires accoster au débarcadère situé aux portes de la ville. Se faufilant entre les citoyens, les marchands et les touristes, les deux enfants arrivent sur le quai où une dizaine de bateaux sont amarrés. Le village n'est pas des plus grand, mais le port a été aménagé pour accueillir le plus facilement possible les embarcations de marchandises et de voyageurs. Les yeux de la jeune sœur reflètent son émerveillement, comme sa bouche qui commence à s'entrouvrir, totalement happée par les différents édifices flottants. Il y en a de toutes les tailles, de toutes les formes, à deux voiles, à six voiles, des canons sortis, des pavillons de pirate, de la marine ou de transporteurs maritimes. On compte par centaine le nombre de passagers qui descendent des différentes passerelles pour rentrer dans le cœur vivant de l'événement.
« Oniisen, tu as vu comme il est gigantesque celui-ci ? »
En observant bien ce n'est visiblement pas le plus imposant, mais les couleurs sur les voiles attirent irrémédiable l'œil, lui permettant de se détacher des autres. D'ailleurs il se passe quelque chose d'étrange près de celui-ci. Encore une bagarre ? Taiyō ne veut pas lâcher la main de sa sœur et perdu dans ses pensées cette dernière n'est pas prête de bouger. Le garçon essaye de voir à travers la foule en mouvement, mais impossible de distinguer quoi que ce soit d'où il se trouve. En même temps c'est monnaie courante les échauffourées durant le festival entre les pirates et les garçons de vaches. A moins qu'il s'agisse d'autre chose ?
« Taiyō, Tsuki, j’ai besoin de vous »
A quelques mètres de la maison, les deux jumeaux s'amusent à cueillir les quelques coquelicots et marguerites qui ont déjà terminés leur fleuraison en avance. A l'appel de leur mère les deux enfants se lèvent et courent vers la fenêtre, Taiyō laissant gagner sa petite sœur dans la petite compétition qui vient de se lancer du premier arrivé. Sur le rebord de l'ouverture est posé un torchon qui renferme le repas de leur père, déjà présent sur l'événement depuis l'aube. Il est bientôt midi et les deux enfants ont pour mission d'emmener sa gamelle au compétiteur. Bien évidemment, Taiyō se saisi de celle-ci, car la maladresse de Tsuki risque d'obliger leur père à faire un jeûne pour le déjeuner. Le chemin pour se rendre au village n'est pas long, une quinzaine de minutes environs, que les deux enfants aux yeux verrons parcourent main dans la main, une fratrie indivisible.
On commence à entendre l'agitation du village qui s'est transformé en quelques jours en une ville surpeuplée. Le jeune garçon adore cette ambiance, lui qui aime partir à l'aventure dans les plaines, explorer l'île et voir des personnes venues des quatre coins de l'océan, ce qui est moins le cas de Tsuki. En se rapprochant, on peut rapidement voir qu'il est difficile de se balader tellement la foule est dense, mais les deux jumeaux en ont l'habitude et savent quelles sont les ruelles les moins fréquentées pour se rendre où bon leur semble.
« On va d’abord voir les bateaux au port ? »
Tsuki adore voir les navires accoster au débarcadère situé aux portes de la ville. Se faufilant entre les citoyens, les marchands et les touristes, les deux enfants arrivent sur le quai où une dizaine de bateaux sont amarrés. Le village n'est pas des plus grand, mais le port a été aménagé pour accueillir le plus facilement possible les embarcations de marchandises et de voyageurs. Les yeux de la jeune sœur reflètent son émerveillement, comme sa bouche qui commence à s'entrouvrir, totalement happée par les différents édifices flottants. Il y en a de toutes les tailles, de toutes les formes, à deux voiles, à six voiles, des canons sortis, des pavillons de pirate, de la marine ou de transporteurs maritimes. On compte par centaine le nombre de passagers qui descendent des différentes passerelles pour rentrer dans le cœur vivant de l'événement.
« Oniisen, tu as vu comme il est gigantesque celui-ci ? »
En observant bien ce n'est visiblement pas le plus imposant, mais les couleurs sur les voiles attirent irrémédiable l'œil, lui permettant de se détacher des autres. D'ailleurs il se passe quelque chose d'étrange près de celui-ci. Encore une bagarre ? Taiyō ne veut pas lâcher la main de sa sœur et perdu dans ses pensées cette dernière n'est pas prête de bouger. Le garçon essaye de voir à travers la foule en mouvement, mais impossible de distinguer quoi que ce soit d'où il se trouve. En même temps c'est monnaie courante les échauffourées durant le festival entre les pirates et les garçons de vaches. A moins qu'il s'agisse d'autre chose ?
Dernière édition par Taiyō & Tsuki le Lun 23 Aoû 2021 - 11:30, édité 1 fois