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Il te disait toujours : "Cry Baby, Cry for me please."

CRY BABY, CRY FOR ME
bast.pngPseudonyme : Crybaby, mais surtout Baby.
Age : Approximativement 27 ans… Peut-être ?
Sexe : Demoiselle, sans les ailes.

Race : Aujourd’hui tu n’es plus qu’une femme égarée, hier tu étais une muse transcendée et au commencement un ange aux ailes déployées.


Métier : Avant son naufrage, tu étais sa traceuse de lignes pour immortaliser le chemin. Tu étais son porte-bonheur face à la tempête. Tu étais ses larmes sur demande, son jugement puritain ou le divertissement innocent offert à ceux qui voguaient à ses côtés. Danseuse ou chanteuse, avec la flûte à la bouche ou le violon sous le menton quand tes doigts ne se couvraient pas d’encre. Aujourd'hui tu n'es plus qu'une demoiselle sans repère, abandonnée dans ce monde effrayant tu as tant rêvé... La liberté si longtemps espérée sans savoir comment la savourer, c'est là toute ta réalité.

Groupe : Civile maladroite, complètement à côté de la plaque mais qui fait de son mieux, c’est promis.
But : « Baby, quel est le but de ta vie ? » Cette question, tu ne faisais qu’y répondre pour faire plaisir à la personne en face de toi. Ta réponse préférée c’était « rester à vos côtés» et il n’avait de cesse de te répéter « Ce n’est pas le but d’une vie ça, Baby » Aujourd’hui tu commences à comprendre, tu commences à chercher l’origine de cette lueur qui animaient tant d’âme sur les planches usées de votre rafiot pour savoir quel est le tien, de but dans la vie.

Équipement : Quelques affaires dans une valises aux auréoles de sel, le carnet de « lignes » à travers les étoiles de ton capitaine, ta jolie flûte d’argent entièrement gravée, les bijoux et autres riches ornements de ta boite à secrets, récoltés à chacune de vos escales.

Parrain : Le seul et l’unique, mon précieux soleil : Peeter G. Dicross

Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non, je suis une petite nouvelle.
Si oui, quel @ l'a autorisé ?

Codes du règlement :


Description Physique
« Je n’aime pas quand tu portes du blanc… » Tu es un peu trop grande Baby – presque un 1m80. La silhouette élancée, les membres sveltes et la taille gracile, ça ne t’aide pas, tu as l’air d’un fil d’argent. Précieuse mais facile à plier et pourtant bien plus compliquer à briser qu’il n’y parait. Avec ta peau laiteuse qui s’orne un peu trop facilement de rougeurs, ces trop nombreuses cicatrices vestiges d’un passé douloureux et ta longue chevelure lisse et opaline, le blanc ce n’est pas l’idéal, tu ressemblerais à ces fantômes des mythes et légendes qu’on se raconte le soir autour du feu. Et quand ce n’est pas pour devenir un fantôme qu’on te scrute, c’est pour murmurer que tu es la création rapiécée d’un savant fou qui rêver de créer la vie une nuit d’orage.

« Je trouve que le bleu sombre, c’est mieux. » Outre le fait que ce soit sa couleur préférée, cette dernière s’accorde avec l’un de tes yeux. Ton regard en amande, presque félin, aux longs cils argentés qui fixe sans détour celui qui t’observe, il dérange car il n’est pas identique. D’un côté, il y a le bleu du ciel d’une belle journée ensoleillée, de l’autre il y a l’ambre dorée d’un crépuscule qui attends la nuit pour briller. Mais toi, tu l’aimes le bleu, qu’il soit pâle ou royal, tu le trouves reposant.

« Le rouge, c’est trop agressif et le rose trop fade. » L’équilibre est toujours un peu maladroit avec ton reflet. Même si tu as les traits vraiment fins avec un nez légèrement relevé et des lèvres charnues à la couleur très prononcée, les nombreuses balafres qui traversent ton visage et ton cou dérangent, intriguent ou inquiètent. Toi qui peux avoir l’air si innocente, tu sais te redresser et transformer ta candeur en intransigeance pour te protéger. Ce sourire si chaleureux et bienveillant peut te jouer des tours quand la lumière n’est plus au rendez-vous. Oui Baby, ce reflet n’est pas parfait et réveille les chuchotements dans ton dos. C’est parfois lui qui te donne la force de faire couler tes larmes quand tu fais glisser tes doigts si fins sur chacune de tes lignes…

« Sinon, je n’ai qu’à rester nue ! » Impossible, impensable ! Il te rouspète et tu éclates de rire. Jamais il ne te laisserait faire une chose pareille ! Ce n’est pas le comportement que devrait avoir une demoiselle, une lady. Car être une demoiselle respectueuse et bien éduquée, bercée par les bonnes manières et la délicatesse d’un geste léger, c’est ainsi qu’il t’a façonnée année après année. Garder la tête haute, marcher avec élégance et fluidité, préserver ta nudité complète coûte que coûte, rester cachée aux yeux du monde pour s’il s’agissait du plus précieux des trésors à offrir un jour. Il faut dire que tu es bien faite, une belle femme aux formes généreuses sur ta minceur.

« Et si tu te contentais de mettre ce qui te plait. » C’est parfois aussi simple que ça, mais prendre une décision, ça s’apprends.  Baby tu as toujours été une jolie fille. A la naissance tu étais belle comme un ange, jusqu’au bout de tes ailes blanches. Quand tu les as perdus se fut tes premières balafres. Puis il y a eu celles de tes jambes, de tes bras. Ces bracelets d’appartenances, cette jalousie étrange. Tu ne devais jamais oublier que tu n’étais que le jouet d’une enfant qui bientôt n’aura plus besoin de toi. Baby t’as rien d’une combattante. Tu ne frappes pas fort mais t’as fini par devenir rapide et souple. Tu évites avec aisance et tu t’échappes. Tu te faufiles et tu te caches sans faire de bruit pendant de longues heures pour qu’on t’oublie.


Description Psychologique
« Baby, la loyauté est rare, si tu la trouves, gardes-la. » La loyauté fait la valeur d’une personne. C’est en connaissant ceux qui te sont loyaux que tu peux définir ceux qui resteront à tes côtés. C’est un honneur qui n’est pas à offrir à la légère. La loyauté se mérite et la confiance se façonne. Tu es une personne méfiante et distante derrière tes airs innocents et ta douceur. Mais c’est plus fort que toi, tu veux pouvoir laisser sa chance à chacun sans le moindre préjugé. Car même dans le pire, il peut y avoir du bon. Cependant, tu gardes graver en toi que tu ne dois pas pardonner à celui qui te trahira, et ceux dès la première fois. Oui, tu es intransigeante, mais tu sais que c’est ainsi que tu te protègeras.

« Examine toujours si ce que tu promets est juste et possible, car une promesse est une dette à vie. » Tu ne pourras jamais faire de promesses que tu ne peux pas tenir car pour toi cela reviendrait à mentir et tu ne sais pas faire, tu ne veux même pas apprendre à le faire. Car les menteurs sont des traîtres, s’ils mentent aujourd’hui, ils pourront mentir demain. Alors toi tu as appris à toujours dire la vérité. Tu dis ce que tu penses, comme tu le penses. Et parfois, c’est un peu étrange, maladroit ou blessant mais il n’y a pas de faux-semblants ou de non-dit inutiles. Dans tes mots il n’y a pas de messages cachés ou de second-degrés. Tu sais que tu ne sais pas tout, et tu n’as pas honte de poser des questions pour avoir des réponses, tu adores apprendre et découvrir. Tu es curieuse de nature.

« Cry Baby, Please. Les larmes sont les mots du cœur que les lèvres ne savent pas dire. » Hélas tu ne connaîtras jamais les mots qu’il voulait dire à travers tes larmes. Mais tu pleurais pour lui du plus profond de ton âme à t’en brûler les joues, tu pleurais et tu pleureras toujours pour ceux qui sont seuls, ceux qui ont mal. Tu es vraiment très sensible, émotive et surtout expressive. Tu partages la peine de ton prochain comme si c’était la tienne. Comme si tu cherchais à trouver la tienne. Quand c’est pour les autres, c’est plus facile que lorsqu’il faut que tu penses à toi, pour toi. Tu as toujours tout fait pour les autres en t’oubliant toi, Baby. Au point d’en oublier ta véritable identité, ton prénom. Désormais tu n’es que Baby, tu n’es même plus celle qui pleure pour le capitaine car tu n’as plus de capitaine. Tu ne peux plus te cacher derrière cette fatalité pour te protéger des dangers qu’on affronte quand on vit vraiment sa vie pour soi-même et ça t’effraie car même si cet homme était loin d’être parfait, tu ne connaissais que lui comme repère dans ce monde étrange.

Aujourd’hui tu commences à réaliser qu’il ne t’offrait qu’une vision étroite, déformée et maussade de ce monde alors tu n’en vois pas encore l’immensité. Tu n’as pas idée de de ce que tu vas devoir découvrir apprendre et réapprendre mais tu paniques à l’idée de devoir décider par toi-même, faire tes choix. C’est difficile d’élargir tes horizons, loin du simple hublot de cet homme épuisé sans émotion à partager... Car il t’a appris comment dessiner les chemins en te basant sur les étoiles, il t’a appris à compter, lire et écrire. Oui avec lui tu as énuméré le nom des mers, celui des terres, il t’a indiqué tout ce dont tu as besoin pour survivre et protéger ta vie… Mais pour le sentiment, tu étais son mentor. Il te questionnait sur ce qu’il n’avait jamais ressenti de lui-même alors tu n’as toujours fait que vivre « pour lui ».

Mais heureusement tu es débrouillarde et astucieuse, tu sais rapidement analyser ce qui t’entoure pour t’adapter et jouer le rôle qui te permettra de retourner te mettre à l’abri mais… Est-ce réellement une vie ? C’est compliqué de ne pas savoir ce qu’on doit faire demain… Quand on ne s’est même jamais demandé ce qu’on voudrait.

Crybaby, c’est un sacré brin de fille, un peu trop poli.
Qui ne demande qu’à briller sans finir à nouveau exposée
.


Biographie
Il est tombé des cieux, entouré de son manteau de plumes maculées de sang.
Elle s’est dit « Les anges ne savent-ils pas voler ? Et celui-ci ne sait même pas nager ». Noah est littéralement tombé des cieux sous les yeux d’Orphélia. Elle a observé dans sa chute majestueuse, les yeux ronds et le cœur inquiet. La surface de l’eau salée s'est apaisée en avalant l’ange dans ses profondeurs. Alors Orphélia n’a pas hésité, elle a sauté de sa barque pour aller le sauver délivrer. Ce jour-là, l’ange qui ne savait pas voler rencontra la demoiselle qui ne savait pas parler. Elle était bien plus jeune que lui mais dans ses yeux il était possible d'y voir la maturité d’une vie éprouvante. Ils se sont rapprochés, confiés l’un à l’autre et c’est ainsi que tu es née, Baby.

« Mais vous ne me dites jamais le nom de la mer dans laquelle il est tombé, ni le village de ma mère ! »
« Baby, il y a des détails qui ne servent à rien, je te l’ai déjà dit. »
« D’accord, racontez-moi encore comment vous m’avez rencontré. »

Baby, tu étais une bien trop jolie petite fille,
Orphélia et Noah ne purent rien faire contre les hommes de Monsieur moustache. Il avait décidé que sa fille adorée aurait droit à la bénédiction des anges, alors il fit en sorte de lui en offrir un que pour elle, c’était toi. A cette époque tu avais encore tes ailes, c’est ainsi que tu es devenue l’Ange gardien de Belinda. Vous avez grandi ensemble, tu ne manquais de rien dans la maison de Monsieur moustache, si ce n’est de tes parents. Toujours dévouée à ta tâche, prenant ton rôle d’ange gardien très à cœur, tu veillais sur Belinda qui avait la santé bien trop fragile, tu lui cédais tous ses caprices, à l’exception de celui-ci.

Ce jour-là, alors que j’étais venu rendre visite à Monsieur moustache.
Belinda avait décidé qu’elle te ferait un joli chignon pour aller avec ta nouvelle robe de poupée. Encore et encore, Elle s’est acharnée sur ton crâne pour réussir à faire ce qu’elle avait décidé. Mais tes cheveux étaient trop souples, trop lisses et trop brillants. Elle n’a pas réussi à les tresser et après plusieurs tentatives elle a fini par s’agacer. Vous vous êtes disputées farouchement. C’était la première fois que tu lui refusais quoique ce soit avec tant d’aplomb alors elle a attrapé les ciseaux pour tout couper mais tu as repoussé sa main et c’est sur ton visage que les lames se sont arrêtées…

« Oh non ! On avait dit que vous ne parleriez plus de cet acte horrible ! »
« Mais il fait parti de notre rencontre lui aussi, même si ce n’est pas toujours plaisant… »

Entre les hurlements, le sang éparpillés ici et là,
Monsieur moustache s’est mis en tête que tu étais désormais une menace pour Bélinda. Sa décision a été rapide, il ne voulait plus entendre parler de toi, il n’a jamais voulu entendre ta version car il ne voulait pas admettre qu’il n’y avait pas que du bon dans le cœur de sa fille, il s’est contenté de fermer les yeux et passer les nerfs sur toi avant d’envisager les différentes options pour se débarrasser de toi définitivement, tu n’avais vraiment pas été un bon « ange gardien » finalement. Je pense que je n'oublierai jamais notre rencontre Baby. Je suis rentré dans cette pièce à la lumière tamisée, l’odeur ferreuse du sang m’a pris rapidement à la gorge et j’ai relevé la tête vers toi.

Tu étais là dans ce coin de mur trop propre,
Petite et fragile, le corps tremblant et endolori, le visage couvert de sang et de sanglots brulants mais tu continuais de sourire comme pour espérer empêcher le monde de se soucier de ton état… Moi qui n’avais jamais rien ressenti, pour la première fois de ma vie, j’ai eu ce pincement au cœur que j’ai tant cherché alors je t’ai prise avec moi sans hésiter. Peu m’importait le prix, je voulais posséder tes larmes même si cela impliquait de t’enfermer à nouveau, je me pensais capable de faire mieux qu’eux.

« Et c’est comme ça que je suis devenue une pirate Capitaine ! »
« Oh non baby, tu n’es pas une pirate, tu es une lady. »
« Une Lady pirate alors ! La suite, racontez-moi la suite. »
« Il est tard Baby, je suis fatigué moi aussi. »
« Capitaine, voulez-vous que je pleure pour vous ? »
« Pas ce soir Baby, ce n’est pas nécessaire… »
« Mais Capitaine, je pleure déjà… »

Cet homme avait le don de rendre belles même les histoires les plus tristes.
Vous ne parliez jamais des sujets délicats, de ces actes qui ne se disent pas, il voulait continuer de se voiler la face et préserver ton innocence et ta candeur, alors il façonnait tes souvenirs pour les rendre plus beaux. C’était là, sa seule tendresse. Et toi, tu adorais pouvoir t’endormir à son chevet, sa grande main dans tes cheveux, la tête posée sur le matelas en attendant qu’il sombre, bercée par les vagues, l’odeur du tabac froid et du rhum bon marché. Un homme brisé, maladroit et associable, un capitaine redouté et redoutable. Une légende des mers qui n’avait plus besoin d’être présentée, chercheur de trésors et recueil pour les âmes égarés.  

Le « Capitaine » n’était pas un homme bon.
Ce n’était pas un saint, il a fait des horreurs, il a dévasté pillé. Il respectait ses propres principes. Pas de place pour la pitié avec lui.Il n’avait pas la main sur le cœur, mais il avait le sens de l’honneur. La parole d’un homme pour estimer la valeur de sa vie. Ce n’était pas un tendre, mais il était respecté par tous. Son équipage toujours derrière lui, à l’image de son capitaine sans merci. Au début tu n’avais pas le droit de sortir du tout, sauf en mer, alors tu es rapidement devenue une légende sur terre, un murmure à l’oreille. Le capitaine et son fantôme des mers. Mais les membres de l’équipage eux te connaissaient. Les nouveaux étaient toujours un peu nerveux devant toi, surtout quand tu venais pleurer pour supplier la mer de protéger l’âme de ceux qui vous ont quittés. Tu étais aussi le divertissement léger des journées trop rudes. Tu ne quittais jamais le capitaine, tu as fait de ses quartiers les vôtres.

Il t’a appris à lire et comprendre la mer.
Avec lui, tu as dessiné les lignes qui « retracent » votre chemin, une sorte de carte codée que vous étiez les seuls à comprendre. Il ne savait pas comment exprimer l’infime tendresse qu’il avait à ton égard alors il le faisait avec ce qu’il convoitait tant, la richesse. Il t’a offert les plus belles tenues à chacune de vos escales sur la terre, il remplissait ta « boite à secrets » de bijoux et pièces d’or après chacune de ses « chasses ». Il voulait s’assurer de te sauver d’un « demain » sans lui, sans avoir la force pour autant de te laisser partir définitivement. Vous avez traversé les mers, vous avez traversé la maladie et les blessures, vous avez affronté la trahison et les déceptions de nombreuses fois. Une vie de pirate, c’est tout. Tu as toujours été fidèle, loyale et silencieuse, il est toujours venu te chercher, il a toujours tout fait pour te protéger. Et c’est là que les doutes sur ses capacités à commander ont commencé à s’installer, guidés par les remarques perfides d’un bras droit frustré d’avoir essuyé de nombreux refus de ta part.  Comprenez bien, qu’un capitaine comme lui, qui semble s’adoucir à tes côtés… C’est trop risqué.

Alors il y a quelques mois de cela, ils ont décidé de t’évincer.
Ça devait être rapide et propre, faire ça dans son dos en engageant des « ennemis » étrangement chanceux pour tomber par hasard sur le « trésor le plus précieux du capitaine ». Mais le capitaine n’était pas dupe, il savait ce qui se tramait sur son bateau, dans son dos. Il ne voulait seulement pas s’y résoudre jusqu’à l’avoir sous les yeux mais il savait et il y était préparé... Tu as énormément pleuré cette perte à venir, c’était certainement l’une des plus grandes trahisons et déception de sa vie… Le bras droit était comme un frère voir un fils. Cette réalité fut d'autant plus douloureuse à affronter car le capitaine savait que pour prouver à son équipage qu’il n’était pas devenu le « faible » qu’ils pensaient, il devait « respecter » son code d’honneur. Pas de favoritisme, une trahison pour le prix d’une vie. Cette nuit-là, le bateau fut divisé en deux camps distincts, ceux qui croyaient encore en leur capitaine et ceux qui s’étaient alliés avec son bras-droit pour qu’il devienne le nouveau capitaine. L’équipage s’est affronté, les deux hommes se sont livrés au plus dévastateur des combats. Les flammes, le bruit des lames et tes larmes. Cette nuit-là, tu as offert l’ultime preuve de loyauté en venant le protéger de ton corps. Tu as reçu quelques balafres de plus sur ton corps avant de t’évanouir sous la douleur…

Quand tu as ouvert les yeux, il n’y avait plus de bateau.
Il n’y avait plus de capitaine, ni d’équipage. Il y avait seulement ce soleil trop brillant, cette fenêtre ouverte, cette brise qui fait danser les rideaux de mousseline et tes dernières larmes pour lui… Tu as pleuré de longues heures sans dire le moindre mot. Tu as pleuré car tu as bien vite compris ce qui venait de se passer après ta perte de connaissance. Tu es restée dans ce centre médical jusqu’à être capable de tenir debout sans mal, partant avec ta petite valise laissée à ton chevet par le plus fidèle allié de ton capitaine, le vieux Pedro cuisinier. A l'intérieur de ce dernier « souvenir » de ton capitaine, une lettre de Pedro, une de ton capitaine, son carnet de lignes secrètes, ta flûte démontable en argent gravé, tes tenues préférées et ta boîte à secrets aux précieux bijoux…

C'est le début de ta vie, ta liberté sur la terre. Loin de ton amie la mer… Mais vivre pour soi-même... comment fait-on au juste?  Il n'y a plus personne pour te l'expliquer…



 
Informations IRL
• Prénom : Moerphyn, c’est suffisant.
• Age : 30 ans
• Aime : Le chocolat, les animaux et insectes, les pierres, l’écriture, les mangas, les histoires d’horreurs et la tisane du soir.
• N'aime pas : Le café, les poivrons, quand ça pique, quand ça colle aux doigts…
• Personnage préféré de One Piece : Difficile d’en choisir qu’un seul, mais celui qui me fait vibrer c’est : Corazon
• Caractère :Au commencement, je suis toujours un peu timide et inquiète d’un rien et après je reste très souvent discrète. J'adore écrire, même pour une simple ligne. Je sais que j’ai une plume qui peut surprendre, j’utilise la deuxième personne depuis bien des années, j’aime les détails qui ont un but et laisser des choix multiples ici et là. J’aime m’adapter, découvrir et rebondir sur le recoin qu’on ne soupçonne pas toujours et sortir de la ligne prévisible pour vivre et offrir une aventure toujours plus fabuleuse à mon binôme, c’est ainsi que je vis et j’écris chacune de mes histoires. C’est la complicité, la confiance et le partage qui me comblent le plus dans le rp. Oui, en relisant, je me dis que c’est peut-être un peu niais, mais… C’est moi.
• Fait du RP depuis : Plus d’une dizaine d’année maintenant, je suis une petite grand-mère.
• Disponibilité approximative : C’est une bonne question, autant que faire se peut avec mes horaires de boulot et le reste. Et moi je suis une petite montréalaise désormais alors je suis en décalage horaire avec la France ♡
• Comment avez-vous connu le forum ? C’est Sunny (Peeter) qui m’en parle depuis aussi longtemps que je le connais.


ONE PIECE REQUIEM ©

    Bienvenue de nouveau Baby !

    Bien belle présentation que nous avons là.

    Au début, on commence avec une présentation détaillée nous dépeignant les contours d'une beauté abimée. Elle se termine sur la fluidité qu'elle dégage et son goût à la furtivité, avant de rentrer plus en détail dans l'aspect psychologique. Une douceur qui n'a pas su s'endurcir face à la dureté du monde. Baby a conservé sa pureté mais ne souffre pas de candeur. Elle a connaissance des noirceurs qui habitent le cœur et s'en préserve par la méfiance. Mais continue de donner une chance à chacun d'être à la hauteur de ses attentes. J'aime bien ce choix du surnom de Baby pour un personnage débutant une nouvelle vie. Bien que le changement apporte son lot de doute, son envie de déployer ses ailes est palpable.
    Les deux présentations se marient bien, elles offrent un bon aperçu du personnage et donnent envie de découvrir l'histoire qui l'a construite. Objectif atteint ! Il te disait toujours : "Cry Baby, Cry for me please."  4218474343

    Une nouvelle fois l'écriture est fluide. En quelques lignes tu nous présentes la triste histoire d'une enfant qui a quitté une cage dorée pour atterrir dans une nouvelle. La belle demeure d'un notable est devenue le navire d'un pirate. Mais dans les deux cas, il ressort cette absence de liberté et cette froideur des propriétaires. Baby a tout de même gagné une affection sincère chez le Capitaine. Je me suis demandé comment un Capitaine renommé en était venu à atterrir devant toi. Tu ne rentres pas toujours dans le détail, il n'y a pas beaucoup d'indices au niveau temporel et la perte des ailes est laissée à notre déduction. Il n'empêche que la lecture ne s'en trouve pas gênée. Je me suis demandé quelle était la part de vérité sur la naissance de Baby. Est ce simplement un récit du Capitaine à une enfant ? Je serais curieux d'avoir la réponse la prochaine qu'on se croise sur le discord. ^_^

    Résumons. Très belle présentation à l'écriture fine. Tu as ton propre style d'écriture et c'est très bien ainsi. Je n'ai pas l'impression d'avoir grands conseils à t'apporter. Découvrir cette nouvelle liberté va t'offrir un judicieux point de départ pour de nouvelles aventures. J'espère que tu vas bien t'amuser avec nous. Mais reste à distance de Peeter, il était dans la mafia il vaut mieux se méfier de ce genre là. pirat

    Civil - 800 Dorikis
    • https://www.onepiece-requiem.net/t14965-fiche-technique-du-dada#
    • https://www.onepiece-requiem.net/t14330-il-sortira-des-blues-un-jour-ou-l-autre