TAKOYAKI Mitsuke
• Pseudonyme : Le Piaf
• Age : 21 ans
• Sexe : Homme
• Race : Mink du Corbeau
• Métier : Justicier
• Groupe : Marine d'Elite
• Age : 21 ans
• Sexe : Homme
• Race : Mink du Corbeau
• Métier : Justicier
• Groupe : Marine d'Elite
• But : Monter en grade et devenir une figure renommée du Gouvernement Mondial.
• Équipement : Assez minimaliste : Une tenue de sport, une de service plus habillée et un katana.
• Parrain : Allez hop, je m'auto parraine ^^
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui, reroll de Naïri Shkoffee
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Azeglio !
Codes du règlement :
• Équipement : Assez minimaliste : Une tenue de sport, une de service plus habillée et un katana.
• Parrain : Allez hop, je m'auto parraine ^^
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui, reroll de Naïri Shkoffee
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Azeglio !
Codes du règlement :
Description Physique
Au bout de vingt-cinq ans d'existence je n'ai pas encore vu un autre personne me ressemblant, faut dire que j'ai une gueule plutôt unique dont une tête facile a décrire. Je suis issu de la race des Minks et mes parents étaient tout deux des corbeaux, est-ce pour cette ressemblance qu'il se sont aimés, je l'ignore. Mais quoi qu'il en soit j'ai une tête de piaf d'un noir de jais qui devient presque imperceptible la nuit, avec un plumage long qui part vers l'arrière en faisait des grosses mèches pointues aux extrémités. Au milieu de ce crâne animal se trouvent mon oeil rouge sang. Mon oeil, car lorsqu'on me voit de profil on ne voit que ma pupille rouge à gauche puisqu'à droite j'ai une cicatrice car oui, à cause d'une connerie je me suis retrouvé borgne. Au début cela a été difficile de m'y habituer mais avec le temps j'y suis arrivé. De plus j'ai un bec jaune pâle assez gros mais tout de même bien proportionné avec le reste. En vrai j'ai un style original en tant que soldat mais à force de me côtoyer on s'habitue à moi. Même aujourd'hui on continue de me chambrer en me tirant la langue ou en me faisant des signes de mon côté aveugle mai cela m'amuse et ne me vexe pas, je m'accepte tel que je suis. Pour le reste il n'y a qu'un seul autre détail qui me différencie d'un humain : mon cou. Il est un peu plus grand que la normale et afin d'éviter d'attraper froid, moi qui suis un grand frileux, je le cache à l'aide d'une écharpe rouge soigneusement enroulée qui me protège de tout rhumatismes hivernal. Avant de décrire mes deux tenues vestimentaires favorites, pour le reste j'ai tout d'un jeune homme humain de mon âge. Une taille qui a vingt centimètres près atteint les deux mètres, avec une carrure svelte et légèrement musclée par les entraînements subits de soldat. Plutôt léger je ne pèse qu'une soixantaine de kilos et mon régime alimentaire composé à cent pourcent de viande ne me fait pas prendre un gramme malgré les grosses quantités que j'ingère. Je mange pour deux, voire pour trois, et je suppose que j'ai des carences étant donné que je ne mange pas de légumes, de fruits et de poissons mais jusqu'ici mon corps se porte bien, une chance. Vestimentairement parlant j'ai deux tenues fétiches, dont la première est liée aux activités sportives. Une veste bleue qui tire vers le violet avec des rayures blanches et rouges, et un jogging de la même marque qui est en harmonie avec le haut. Quand il fait froid je porte une seconde écharpe, plus longue et de la même couleur. Je n'aime pas m'habiller de noir car la nuit on me verrait presque pas, et je trouve le noir trop lié à la négativité. C'est pourquoi ma deuxième tenue, celle de travail, est composée majoritairement de gris avec un costard avec une cravate rouge nouée sur une chemise au col blanc. Pour terminer j'ai un pantalon bleu des plus classiques avec des chaussures dans lesquelles je me sens à l'aise en toutes circonstances. Malheureusement à ma naissance je n'étais pas doté d'ailes, bien que je partage également le rêve de tout humain qui est de voler. Connaissant l'existence des fruits du démon je mise là-dessus si un jour la chance et l'opportunité de voler frappe à ma porte, mais ce n'est pas ma priorité. Nager est quelque chose que j'apprécie grandement alors il ne me tarde pas de couler comme une pierre. Comme tout humain qui se respecte mon hygiène est toujours au rendez-vous car c'est pas en puant l'animal sauvage que je monterait en grade et serai respecté parmi mes semblables. Il y a deux autres choses qui font que je suis unique en mon genre : mon rire. Une petite blague et on peut entendre un "Piahpiahpiah" sortir de ma gorge comme si je devait toujours me rappeler que je suis un piaf. La seconde est mon aura, bien que j'inspire confiance il ne faut pas m'énerver car lorsque cela arrive une aura noire m'entoure. Elle fait deux têtes de plus que moi; atteignant facilement les deux mètres et est matérialisée par une tête de piaf noire avec deux yeux rouge qui intimide les moins habitués telle une aura de diable que j'ai acquis à la naissance. C'est un pouvoir que j'use lorsqu'on m'énerve est qui est plutôt efficace pour dissuader les pirates les plus chétifs, je considère cette aura plus comme un outil de travail qu'autre chose, certains parlent d'yeux du diable. Cela me permet d'éviter de hausser la voix car je gueule rarement, préférant communiquer de manière courtoise avec de multiples gestes car la communication non verbale c'est mon truc. Pour terminer quand je me déplace j'ai une allure normale, pas hautaine, avec soit les mains dans les poches, soit les mains à l'affut sur la garde de mon arme : un simple katana d'acier que j'ai fait forger et qui m'accompagne solidement au travail depuis plusieurs années. C'est la seule arme que je maîtrise au combat et si je suis à l'affût avec la main dessus, prête à dégainer, c'est que la situation l'exige. Je n'ai aucun mal à courir et sauter pour parfaire mes techniques de combat car je suis un sportif dans l'âme.
Description Psychologique
Psychologiquement la première chose qui saute aux yeux c'est que je suis quelqu'un de très effacé et timide car je suis de nature introvertie. Cela ne gène en rien le fait que je puisse me faire respecter car le respect est une base que j'apprécie et je trouve toujours le moyen de parvenir à mon but. Il y a certaines choses, comme tout humain, que je n'apprécie pas. La première c'est qu'on me coupe la parole, la seconde c'est qu'on me pique ma nourriture et la troisième c'est qu'on me provoque en duel. Je n'aime pas me battre mais le combat est un moyen comme un autre de s'exprimer alors lorsqu'on m'y oblige je sais me montrer présent. J'ai un style de combat qui privilégie les duels loyaux sans fourberies, un style propre, maîtrisé en évitant de prendre l'adversaire par surprise car je n'aime tout simplement pas quand cela m'arrive. Je respecte mon adversaire quelle que soit la situation. Aussi, j'ai pour règle de ne pas attaquer un adversaire blessé car faire couler le sang c'est pas mon délire. Je suis introverti certes mais lorsqu'on me sort de ma zone de confort je ne me montre pas sanguinaire. Lorsqu'on insiste à vouloir me faire sortir de mes gonds, je me donne au maximum car j'ai une satanée fierté assumée qui fait que je ne fais pas les choses à moitié. Ma fierté se résume en une phrase, je n'aime pas perdre et cela vaut aussi pour d'autres situations. Une partie de cartes, d'échecs, ou un stupide duel culinaire, je me donne au maximum. Mais comme je l'ai dit, si mon adversaire n'est pas en état de combattre ou d'avoir ses propres chances de victoire cela ne m'intéresse pas. Pour moi c'est une sorte de respect qui doit être mutuel et obligatoire, bien que certains ne partagent pas ma façon de faire : je l'accepte. Je suis un piaf avec une grande ouverture d'esprit, je comprend les choses quand on me les explique car j'aime autant la théorie que la pratique. Ce qui est essentiel dans mon métier. J'obéis aux ordres, je me fais petit lorsqu'on me réprimande et j'assimile ce qui me permet d'être meilleur car ce qui me rend plus fort renforce ma propre fierté. Je ne suis non plus quelqu'un qui s'impose, qui est turbulent, car je suis de nature très calme et lorsque je m'énerve c'est que je n'ai pas trouvé de manière courtoise de négocier par la parole et les gestes. J'aime comprendre les gens, le pourquoi du comment, car dans une autre vie j'aurai pu leur ressembler. Oui, petit aparté, je crois en la réincarnation, cette chose spirituelle que j'ai hérité de ma mère. Cela m'ouvre d'autant plus l'esprit. Concernant mes défauts je suis plutôt égoïste dans mon genre, financièrement parlant. J'aime tendre la main, sauver la veuve et l'orphelin, mais je reste proche de mon argent. La raison est simple, c'est toujours à moi le grand viandard qui assume et règle les factures de restaurant les plus élevées alors donner ne serait-ce que dix berrys, c'est sans moi. Je ne classe pas ma stupide fierté dans mes défauts car pour moi cela est une force que je m'entête à améliorer. Ma timidité est un défaut pour moi car je parle peu, je n'ose pas m'imposer quand la situation ne l'exige pas et j'ai tendance à m'effacer dans mon coin. Cela ne m'empêche pas de voir ce qui se passe autour de moi car je ne veux que rien n'échappe à mon idéal de justice. Tout crime doit être payé et je combat le mal par le bien. C'est pour cela que je me suis orienté vers le métier de soldat, bien que j'aime me dire justicier du bien, malgré que cela ne laisse que peu de temps pour les loisirs. C'est pour cela que j'en ai peu, que je me suffit également de peu, de toute manière je ne suis pas un grand matérialiste. Pour conclure, j'aime le travail que je fais et sait faire la part des choses. Quand il faut être sérieux je le suis et quand il faut être plus souple je le suis également.
Biographie
L'année 1603 fut celle de ma naissance. Je suis né dans l'urgence sur un navire en mer car ma mère était en train de déménager de Goa à Sirup, car peu avant ma naissance mes parents ont divorcé pour une raison qui m'échappe encore aujourd'hui. Mon hypothèse est que c'est à cause d'une dispute sur ma future existence mais je n'en sais pas plus, suis-je né par accident ? Je l'ignore. J'ai donc grandi à Sirup dans une famille recomposée avec un nouveau père qui était humain et qui avait un enfant, un fils, du nom de Lionel. Et c'est en grande partie grâce à lui, ce premier ami, qui m'a apprit à ne pas avoir honte de mon existence. Il m'a dit que je n'avais pas à me sentir coupable du divorce de mes parents et que je devais m'accepter comme je suis, bien que différent car étant un Mink. C'est donc dès mon plus jeune âge, à force de le côtoyer, que se forgea en moi le désir de comprendre ma différence. Une différence raciale exposée au quotidien dès que j'intégra l'école de l'île, une différence que j'accepta et c'est ainsi, me sentant original, que naquit ma satanée fierté. A l'école je n'ai pas eu de problème lié au racisme, au contraire, j'étais assez populaire car ma tête d'oiseau faisait rire et j'étais plutôt bon élève : le sport était ma matière préférée. De l'école j'en retiens deux souvenirs qui m'ont marqué. Le premier eut lieu lorsque j'avais dix ans, c'était un voyage scolaire qui se déroula à Shimotsuki pendant une semaine, c'est là que je découvrit mon amour pour les katana et j'en acquis un en bois. Dès lors commença mes entrainements à l'école pendant les récréations car avec mes autres amis on jouait au pirate et au justicier et j'aimais faire parti de ces derniers, en défendant corps, âme et lame, la justice. Le second souvenir important eut lieu quand j'avais quatorze ans, il fallait faire un stage d'un mois dans le métier de notre choix. Je sauta sur l'occasion pour lier loisir et plaisir en retournant à Shimotsuki, pour intégrer la Division Katana qui est la neuvième de la Marine. Le stage se passa bien, même si j'ai effectué une multitudes de taches de larbin et après cette expérience professionnelle je n'avais plus la même vision des choses en retournant à l'école, c'était ennuyant, presque enfantin. Lassé et désireux d'apprendre ce métier, je décida de quitter l'école à quinze ans bien que ma mère et mon beau-père voulaient m'en dissuader. Seul Lionel mon grand frère me soutenait pleinement et son conseil me disait de faire simplement ce qui me plaisait, et ce que je désirais c'était de ne plus jouer au justicier dans la cour de l'école mais d'en devenir véritablement un.
C'est ainsi que lui et moi nous partîmes à Shimotsuki pour aller vivre dans la ville de Kawai, car c'est à cette seule condition, ensemble, que nos parents acceptèrent notre départ. Lionel était en quelques sortes mon tuteur et étant facteur et il retrouva facilement un emploi, ce qui nous permit d'avoir un petit appartement. A l'intérieur nous nous retrouvâmes rapidement à trois car ayant du succès auprès des femmes il charma la fille de la fleuriste du village, qui s'appelle Rosa. Je me sentais alors de trop dans notre logement, les privant d'intimité, et les semaines suivantes je passais mes journées à faire du visiter l'île. Puis, un soir, j'eus la surprise d'apprendre qu'on était invités à manger chez Rosa dont le but était de présenter mon grand frère à sa famille, et le destin me tendit la main. Son père était un bretteur professionnel enseignant dans un dojo, et son arme de prédilection était le katana, et il vit le potentiel inexploité en moi et accepta de m'enseigner cet art ancestral du maniement. L'apprentissage du katana n'était pas aussi facile que je le croyais, et je ne m'attendais pas à ce que cela dure cinq ans pour avoir un bon niveau. Un niveau tel, bien que loin d'être expert, qu'un beau jour mon professeur me dit qu'il n'avait plus rien à m'apprendre. Je compris alors que mon katana était devenu mon plus grand atout pour ma future carrière de soldat car j'étais prêt à mettre en pratique en combat réel tout ce que j'avais appris.
C'est ainsi que lui et moi nous partîmes à Shimotsuki pour aller vivre dans la ville de Kawai, car c'est à cette seule condition, ensemble, que nos parents acceptèrent notre départ. Lionel était en quelques sortes mon tuteur et étant facteur et il retrouva facilement un emploi, ce qui nous permit d'avoir un petit appartement. A l'intérieur nous nous retrouvâmes rapidement à trois car ayant du succès auprès des femmes il charma la fille de la fleuriste du village, qui s'appelle Rosa. Je me sentais alors de trop dans notre logement, les privant d'intimité, et les semaines suivantes je passais mes journées à faire du visiter l'île. Puis, un soir, j'eus la surprise d'apprendre qu'on était invités à manger chez Rosa dont le but était de présenter mon grand frère à sa famille, et le destin me tendit la main. Son père était un bretteur professionnel enseignant dans un dojo, et son arme de prédilection était le katana, et il vit le potentiel inexploité en moi et accepta de m'enseigner cet art ancestral du maniement. L'apprentissage du katana n'était pas aussi facile que je le croyais, et je ne m'attendais pas à ce que cela dure cinq ans pour avoir un bon niveau. Un niveau tel, bien que loin d'être expert, qu'un beau jour mon professeur me dit qu'il n'avait plus rien à m'apprendre. Je compris alors que mon katana était devenu mon plus grand atout pour ma future carrière de soldat car j'étais prêt à mettre en pratique en combat réel tout ce que j'avais appris.
Informations IRL
• Prénom : Gaël G.
• Age : 27 ans
• Aime : Le rap russe, l'Electro, la Trance, le Hardstyle... Bref, la musique !
• N'aime pas : ///
• Personnage préféré de One Piece : Pell.
• Caractère : Je suis archi calme, heureux, et tranquille d'esprit.
• Fait du RP depuis : 2010.
• Disponibilité approximative : Actuellement actif
• Comment avez-vous connu le forum ? Au début avec les topsites
ONE PIECE REQUIEM