Zoldic D. Stefano
• Pseudonyme : Benny.
• Age : 35ans
• Sexe : Homme
• Race :Humain
• Métier : Collecteur de dettes et navigateur
• Groupe : Chasseur de prime, Baroque Works
• Age : 35ans
• Sexe : Homme
• Race :Humain
• Métier : Collecteur de dettes et navigateur
• Groupe : Chasseur de prime, Baroque Works
• But : S'enrichir
• Équipement : Un katana simple, un pistolet, log pose
• Parrain : Peeter
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ?Oui, non
Codes du règlement :
• Équipement : Un katana simple, un pistolet, log pose
• Parrain : Peeter
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ?
Codes du règlement :
Description Physique
L'habit ne fait pas le moine mais y contribue fortement. Drôle de maxime direz-vous n’est-ce pas ? Issu de la noblesse, le Zoldic attache une grande importance à l’apparence physique, puisque selon lui cela définit le milieu social d’appartenance. C’est donc naturellement que ce dernier s’applique à soigner son image, en revêtant des tenues élégantes. Et plus précisément des costumes faits sur mesure. Noirs, blancs, beiges, bleu marine, voilà les couleurs qu’il a pour habitude de porter. Cet accoutrement tiré à quatre épingles n’est pas concluant sans la touche finale que représente la cravate.
Au premier coup d'œil, il est fort probable de penser que c’est une personne aisée qui ne sait pas se battre, et l’on ne pourrait pas vous donner tort. Cependant, malgré son style vestimentaire atypique, Stefano affectionne le fait de faire tomber la veste, se retrousser les manches pour en découdre. Se salir les mains n’est pas une chose qui le dérange, au contraire, il s’y donne à coeur joie. C’est pourquoi il n’est pas rare de le voir arborer autour de la ceinture une fine lame, pour laisser exprimer ses capacités de bretteur. De nature gaucher, l’homme à la chevelure dorée s’infliger volontairement un handicap, en utilisant sa dextre la plus faible pour faire durer le suspens. Et sans obliger son fidèle Holster qu'il ne quitte que rarement.
Il est également possible de noter son addiction à la nicotine. En effet, une cigarette est régulièrement placée à la commissure de ses lèvres, les bouffées toxiques l’aident à évacuer son stress et paradoxalement cela l’aide aussi à avoir l’esprit clair. Mis à part cette mauvaise habitude, le gaillard d’un mètre quatre-vingt-cinq, a la fâcheuse manie de replacer correctement sa cravate ou bien l’une de ses manches, comme s’il était atteint de toc. Ce détail, à première vue anodin, ne peut guère échapper aux regards des plus attentifs.
Description Psychologique
Façonné dans un environnement composé essentiellement d’aristocrates, le flavescent ne porte pas en haute estime les individus qui ne sont pas au même niveau social que le sien. Contrairement à ses pairs qui ne s’en cachent pas, celui-ci garde ses jugements pour lui, qu’ils soient positifs ou négatifs. Pour lui, il n’y a pas d’intérêt à rappeler le statut inférieur de son interlocuteur, puisque ce dernier le sait déjà. Une réflexion qui dénote de ses comparses de la haute société.
Son goût pour le combat cité précédemment est une caractéristique fortement ancrée en lui. Il tente tant bien que mal à ne pas céder à ses pulsions, c’est à ce moment là que la cigarette joue le rôle de “calmant”, et sans cette aide extérieure il peut se montrer très cruel et méthodique pour faire souffrir quiconque se mettant sur son chemin. A vrai dire, dans ce domaine le Zoldic ne s’autorise aucune limite.
Du point de vue intellectuel, il ne se considère ni comme un génie, ni comme un faible d’esprit. En revanche, à ses heures perdues il peut dévorer divers ouvrages, notamment ceux qui sont liés à la navigation. En effet, pris de passion par la mer, sa curiosité le pousse à être le plus autonome possible, pour le jour où il se retrouverait en mer en solitaire. Pourquoi donc vouloir arpenter ce milieu aquatique ? Simplement pour le profit. Attiré par l’appât du gain, il est prêt à sélectionner les métiers les plus lucratifs, voire même dangereux, uniquement pour alourdir sa bourse. Vous pouvez avoir les meilleurs arguments du monde, mais si vous n'avez pas la compensation financière pour attirer son attention, sachez qu’il ne prendra pas la peine de continuer cette vaine négociation.
Son goût pour le combat cité précédemment est une caractéristique fortement ancrée en lui. Il tente tant bien que mal à ne pas céder à ses pulsions, c’est à ce moment là que la cigarette joue le rôle de “calmant”, et sans cette aide extérieure il peut se montrer très cruel et méthodique pour faire souffrir quiconque se mettant sur son chemin. A vrai dire, dans ce domaine le Zoldic ne s’autorise aucune limite.
Du point de vue intellectuel, il ne se considère ni comme un génie, ni comme un faible d’esprit. En revanche, à ses heures perdues il peut dévorer divers ouvrages, notamment ceux qui sont liés à la navigation. En effet, pris de passion par la mer, sa curiosité le pousse à être le plus autonome possible, pour le jour où il se retrouverait en mer en solitaire. Pourquoi donc vouloir arpenter ce milieu aquatique ? Simplement pour le profit. Attiré par l’appât du gain, il est prêt à sélectionner les métiers les plus lucratifs, voire même dangereux, uniquement pour alourdir sa bourse. Vous pouvez avoir les meilleurs arguments du monde, mais si vous n'avez pas la compensation financière pour attirer son attention, sachez qu’il ne prendra pas la peine de continuer cette vaine négociation.
Biographie
Portgentil, année 1609
Prémices de l’avidité
Prémices de l’avidité
Cette année-là, je m’en souviens encore, comme si c’était hier. Je venais tout juste de fêter mon seizième anniversaire, en guise de cadeau, mes parents m’offrirent une machine à calculer. L’adolescent que j’étais, éprouvait une certaine déception en recevant ce présent, réaction tout à fait normale pour un jeune de cet âge. Mes parents ne se souciaient guère de mes envies, tout ce qui leur importait, c’était de trouver un successeur digne de ce nom pour leur affaire. Ayant fait fortune dans la construction navale, ils misaient leurs espoirs dans leurs enfants. Manque de chance pour eux, mes deux sœurs aînées ne souhaitaient pas s’embarquer là-dedans, et il ne restait plus que moi, le cadet de la famille.
Au départ, cette nouvelle responsabilité je la voyais comme un véritable fardeau sur mes épaules, je devais apprendre les ficelles du métier avec rapidité pour ne pas que mes parents subissent une autre déception. Profitant de ma bosse pour les chiffres, mon père me prit sous son aile afin de l’aider dans l’aspect financier, chose qu’il déléguait autrefois à un professionnel dans la matière. Je devais faire aussi bien que ce dernier, voire être plus performant que lui, en l’espace seulement d’une année. Et bien oui, mon cher père voyait en moi un féru dans les affaires, il comptait sur moi pour accroître davantage les bénéfices colossaux que l’entreprise faisait déjà. Un objectif difficile à remplir avec une telle restriction de temps.
C’est donc avec cette contrainte que je me suis tué à la tâche, pour leur montrer que je pouvais prétendre à cette carrière, en multipliant les nuits blanches ainsi que les journées harassantes. Je n’avais plus qu’une seule obsession : réussir. Pour cela, je mis de côté toutes les activités qui pouvaient potentiellement me détourner de cette finalité, afin de me concentrer sur le travail, uniquement sur le travail. Étudiant sans relâche les cours du marché afin d’adapter nos offres vis-à-vis de la concurrence, et pour étoffer ma palette, je m’intéressais de plus près au métier de navigateur, dans le seul but d’avoir une argumentation de vente bien préparée. De cette manière je pouvais me mettre à la place du client, en anticipant sa demande pour mieux y répondre. Peu à peu, je sentais que ce métier me correspondait. Comment je l’ai su ? Le carnet de commandes grossissait au fur et à mesure.
Portgentil, 1615
Opportunité
A vingt-deux ans, je devenais un féroce requin dans ce milieu, en faisant appel à des personnes tiers pour faire couler la concurrence. Faire tourner n’était plus suffisant, j’avais pour ambition d’absorber toutes compagnies qui voulaient partager le gâteau, il en était hors de question. Dans un premier temps, les méthodes employées pour leur mettre des bâtons dans les roues étaient tout ce qu’il y avait de plus légal, comme de l’espionnage industriel pour ne citer que cela. En parallèle de ces actions, des opérations de destructions de matériels étaient lancées pour ralentir la production des rivaux, puis lorsqu’ils étaient incapables de répondre à leur carnet de commandes, notre société se chargeait de les racheter. Officiellement c’était pour préserver les emplois mais en sous texte ce n’était que pour s’accaparer leur clientèle ainsi que leurs technologies.
Nous avions pour habitude de travailler avec n’importe quel type de clients, tant qu’ils y mettaient les moyens, nous n’étions pas regardant sur leur profil. Cependant, la venue d’un groupuscule affilié à un Dragon Céleste était comme qui dirait, assez rare.
« Construire ces œuvres d’art flottantes ne t’a jamais donné l’envie de parcourir les mers ? »
« Pour y faire quoi exactement ? Je n’ai pas l’intention de quitter une compagnie aussi florissante. »
« Nous avons besoin d’une personne comme toi, pour faire signer des contrats juteux à d’excellents partenaires. »
Ces quelques mots avaient réussi à attirer ma curiosité. Un terrible dilemme, entre perpétuer l’héritage familial ou se remplir encore plus les poches en découvrant d’autres horizons. Il n’avait certes pas précisé le rôle que j’allais jouer mais l'appât du gain était plus fort, c’est donc presque sans aucune hésitation que je répondais favorablement à cette proposition difficile à refuser. Au moment d’embarquer, je m’apprêtais à quitter cette routine lucrative, pour des aventures bien plus riches. Dans tous les sens du terme. C’est donc comme cela que je découvris la profession de Collecteur de dettes, avec ces avantages comme ces inconvénients. A cet instant, Zoldic D. Stefano appartenait au passé, je me fais appeler Benny. Un nom d'emprunt pour éviter des représailles à mes proches.
Whiskey Peak, 1626
Noam
En douze à écumer les mers, en compagnie de cette bande de mafieux, je me suis aguerri dans des domaines que je ne soupçonnais même pas. En tant que Collecteur de dettes, j’avais pour principale mission de repérer des personnes fragiles, en leur proposant de leur prêter de l’argent en échange d’un certain taux d’intérêt. Bien entendu, cette magouille était si bien montée qu’il était difficile pour ces individus de rembourser leurs dettes. A cet instant, j’avais carte blanche pour récupérer l’équivalent de ce qui avait été prêté, quitte à retirer la liberté de ces gens. Ils avaient le choix, voir leurs proches se faire torturer ou bien devenir esclaves. Bien souvent la seconde option était préférée. Une fois ma tâche effectuée, je ne m'occupais guère de la traite d’êtres vivants, qui relevait cette fois-ci de la responsabilité de d’autres membres de l’organisation criminelle.
D’îles en îles nos aventures nous amenèrent à Whiskey Peak, lieu qui n’était pas prévu sur l’itinéraire mais il nous fallait bien faire un arrêt, pour se réapprovisionner. Malheureusement, de complications en complications, notre arrêt était bien plus long que prévu. Alors pour passer le temps, nous avions monté notre escroquerie. Notre statut trouble nous permettait d’être à l’abri des chasseurs de primes qui rodaient dans les environs. Heureusement que nous n’étions pas des pirates, sinon on était fait comme des rats. Je me disais alors que si des pirates accostaient ici de leur plein gré, ils finiraient par se faire capturer ou du moins être inquiétés.
Toujours sur cette île atypique, en essayant de développer notre réseaux criminels, je fis la rencontre d’un dénommé Noam. Celui-ci remplissait les critères du parfait pigeon, avide comme je suis, il m’était impossible de louper une opportunité de l’escroquer lui aussi. Malheureusement je n’y arrivais pas, pour la simple bonne raison que j’avais tissé des liens avec lui, et dans un élan de générosité je lui proposais de travailler pour nous. Pour m’assurer qu’il accepte la proposition, je lui ai montré le train de vie que sa fratrie et lui pouvaient avoir en collaborant avec nous. Jouer sur cette corde sensible, ce n’était pas très admirable d’autant plus qu’il semblait être droit dans ses bottes. Comme quoi l’argent pouvait pervertir les honnêtes gens….
L’année suivante, mes acolytes mafieux reprirent la mer en nous laissant le soin de développer ce business frauduleux. Mais comment faire avec une personne ayant une santé déclinante ? Je ne savais pas combien de temps il lui restait mais il se devait de tenir le coup pour ses frères et sœurs. Cette même année-là, un chasseur de primes qui était également dans les environs, allait bouleverser notre destin à tous les deux. Le natif de Whiskey Peak ne pouvait se résoudre à quitter cette île, en tout cas pas sans sa famille, c’est donc une réponse négative qu’il donna à cet individu. Quant à moi, on n’avait plus le soutien de l’organisation et les temps commençaient à devenir durs, je devais rebondir afin de retrouver une situation financière stable. Je promis à mon camarade Cactusien de revenir rapidement. Ce n’était pas des adieux mais des aurevoirs, du moins c’est ce que je pensais….
Whiskey Peak, 1628
Nouvelle vie
Ce fameux chasseur de primes s'appelait Dallas Clint, j’embarquais à ses côtés pour apprendre tous les rudiments de ce nouveau métier, et par la même occasion réclamer la carte d’accréditation auprès de la Marine. Un sentiment très étrange pour quelqu’un qui a vécu tant d’années hors la loi. J’espérais que ce changement de vie allait être plus fructueux que la précédente. Et oui, malgré tout ce temps je restais obnubilé par le profit, et Clint l’avait bien compris. En sa compagnie, je pris note de quelques astuces qu’il avait pu me prodiguer afin de faire face à cette aventure qui s’avérait remplie de dangers.
Nos chemins se séparèrent lorsqu’il me déposa de nouveau sur l’île au cactus. Fini Benny le Collecteur de dettes peu scrupuleux, maintenant j’étais Benny le Chasseur de Primes. A mon arrivée, je n’avais qu’une seule volonté : retrouver ce cher Noam. Je me doutais qu’il était malade mais je ne m’attendais pas à ce qu’il quitte prématurément ce monde, en tout cas pas avant mon retour. Comme une mauvaise nouvelle n'arrivant jamais seule, des échos circulaient sur l’emprisonnement d’une dénommée Reed, qui était l’une de ses sœurs. Pour faire honneur à sa mémoire, il fallait la libérer de sa geôle afin qu’elle puisse faire son deuil. C’était la moindre des choses…
Informations IRL
• Prénom : Syoto
• Age : 18-30ans
• Aime : Les RP chill
• N'aime pas : Le meta
• Personnage préféré de One Piece : Eustass Kidd
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? A vous de le découvrir
• Fait du RP depuis : Dépuis trop longtemps
• Disponibilité approximative : Rythme pouvant varié
• Comment avez-vous connu le forum ? Grâce au parrain
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Benny le Mar 14 Déc 2021, 02:45, édité 2 fois