Cette fois-là, je n'avais pas de mission et pourtant, j'étais au service du Cipher Pol numéro neuf, mais il faut croire que même dans cette division, l'accalmie était possible. J'étais toujours a la recherche de Dallas Clint et de sa clique, avec la ferme intention de le mettre moi-même sur l’échafaud. Pourtant, dans le fond, il ne serait pas l'adversaire le plus dur que j'aurais à combattre et ça, je le savais bien.
Je devrais aussi faire tomber mon propre frère, enfin celui qui a aujourd'hui son corps.... Lui, qui aspirait a la tranquillité, était devenu un véritable serpent avide de pouvoir. Il se pensait aujourd'hui dans une autre dimension, rendu fou par son ivresse de pouvoir, dans le fond malgré tout, je devais avouer que j’espérais encore que mon frère était encore quelque part dans ce corps visqueux et sucré.
Une véritable ironie, lorsque nous étions enfants, j'étais bien souvent celui que l'on voyait comme le bad boy, celui qui deviendrait un jour, un pirate ou un grand bandit. Aujourd'hui, j'étais devenu un agent du gouvernement, un chef d'équipe du Cipher Pol le plus vindicatif envers les criminels. Une carte blanche, une immunité afin de tout mettre en œuvre pour arrêter un criminel, je pourrais exécuter une île entière pour arrêté un voleur a la tir pour ainsi dire.
Cette fois, je m'étais rendu a jaya, une île jadis a moitié propulsée dans les cieux a ce qu'on dit. Certains y croient, certains pensent que cela est impossible, de mon point de vue, rien n'est impossible et j'en étais pratiquement le parfait exemple. Des rues plutôt encombré, des commerces ou encore de jolies femmes, cette île avait décidément tout pour plaire.
Je me baladais assez simplement en ville, pouvant observer une large fontaine, des bancs et un sol jonché de pierre. D'un amusé, je me saisit de l'une d'entre elles avant de commencer a jongler avec, après tout, je suis avant un magicien et je n'en oubliais pas les plaisirs simple, même si ma vie d'agent me donnais beaucoup moins de temps que par le passé.
Pourtant, d'un coup d'un seul, mon regard se décompose. Observant les gens, je suis sur de voir mon frère. De dos certes, mais je le reconnaîtrais entre mille, alors que je lâche la pierre contre le sol et ravale mon sourire habituel. Je le suis, jusqu'a ce qu'il finisse par s'asseoir sur un banc, alors que je reprends le sourire :
" Et bien... Qui aurait cru que je t'aurais croisé ici, comme quoi le hasard fait bien les choses, tu ne trouves pas mon frère? "
Je devrais aussi faire tomber mon propre frère, enfin celui qui a aujourd'hui son corps.... Lui, qui aspirait a la tranquillité, était devenu un véritable serpent avide de pouvoir. Il se pensait aujourd'hui dans une autre dimension, rendu fou par son ivresse de pouvoir, dans le fond malgré tout, je devais avouer que j’espérais encore que mon frère était encore quelque part dans ce corps visqueux et sucré.
Une véritable ironie, lorsque nous étions enfants, j'étais bien souvent celui que l'on voyait comme le bad boy, celui qui deviendrait un jour, un pirate ou un grand bandit. Aujourd'hui, j'étais devenu un agent du gouvernement, un chef d'équipe du Cipher Pol le plus vindicatif envers les criminels. Une carte blanche, une immunité afin de tout mettre en œuvre pour arrêter un criminel, je pourrais exécuter une île entière pour arrêté un voleur a la tir pour ainsi dire.
Cette fois, je m'étais rendu a jaya, une île jadis a moitié propulsée dans les cieux a ce qu'on dit. Certains y croient, certains pensent que cela est impossible, de mon point de vue, rien n'est impossible et j'en étais pratiquement le parfait exemple. Des rues plutôt encombré, des commerces ou encore de jolies femmes, cette île avait décidément tout pour plaire.
Je me baladais assez simplement en ville, pouvant observer une large fontaine, des bancs et un sol jonché de pierre. D'un amusé, je me saisit de l'une d'entre elles avant de commencer a jongler avec, après tout, je suis avant un magicien et je n'en oubliais pas les plaisirs simple, même si ma vie d'agent me donnais beaucoup moins de temps que par le passé.
Pourtant, d'un coup d'un seul, mon regard se décompose. Observant les gens, je suis sur de voir mon frère. De dos certes, mais je le reconnaîtrais entre mille, alors que je lâche la pierre contre le sol et ravale mon sourire habituel. Je le suis, jusqu'a ce qu'il finisse par s'asseoir sur un banc, alors que je reprends le sourire :
" Et bien... Qui aurait cru que je t'aurais croisé ici, comme quoi le hasard fait bien les choses, tu ne trouves pas mon frère? "