Bienvenue en prison
Il est dix heures du matin, sur la mer d'East Blue, plus précisément à Tequila Wolf, un nouveau convoi de prisonnier fait son arrivée. Des prisonniers destinés à travailler pour construire un pont, un pont interminable qui est en construction depuis des siècles... ils doivent payer pour leurs crimes. La marine fait descendre les taulards de leur navire, les condamnés prennent les escalier qui conduisent à la surface du pont, les bagnards marchent en file indienne tout en étant menotté aux bras et aux jambes, ils marchent jusqu'au sommet du pont. Les soldats de la de 5ème division prennent le relais, laissant leur collègue de Grand Line qui les ont amenés ici prendre congé, presque tout les prisonniers viennent de la mer de tous les périls.
Il y a de tout dans ce nouveau convoi : du voleur, du violeur, de l'assassin, des complotistes, des politiciens malveillant, ect… Il y en a un qui sort du lot, une saleté de révolutionnaire qui s'est fait attraper par une équipe du CP9, ce dernier est menotté par des menottes en granite marin. Son équipage fut massacré par le CP9, et lui, il a eu la malchance d'y survivre... c'est toute l'histoire de sa vie, toute son équipe se fait massacrer, et lui, il réussit à survivre. Il a atterri dans le pire endroit d'East Blue, un bagne qui n'a jamais fléchi devant la horde de bagnards qui vit en son sein, la marine ainsi que le gouvernement mondial veillent à ce que toute rébellion soit maté dans la seconde.
Les prisonniers arrivent devant un énorme bâtiment, devant ce dernier se trouvant une dizaine de soldats de la marine issue de la 5ᵉ division tout alignée horizontalement, ils gardent le bâtiment en question. La bâtisse n'est autre que les quartiers du colonel Rogue Paddington, un vieux soldat presque à la retraite, c'est un vieux de la vieille. Ce type sort de ses quartiers, comme il neige plutôt pas mal sur Tequila Wolf, le colonel est vêtu avec des vêtements de fourrure et d'une cape pour lui tenir chaud. Il s'approche des taulards qui sont mis en joue par les soldats de la marine qui les ont conduit ici, il ne faut pas faire de bêtise.
Paddington croise les bras, "Hum… Bon, écoutez-moi, raclures. Vous êtes ici en prison, ce n'est pas un lieu de vacances, vous aller devoir bosser pour gagner le droit de manger, de dormir, de vous laver... et même de penser. Si vous êtes correcte avec nous, vous n'aurez pas à subir la torture... en revanche, si vous faites les cons, je peux vous assurer que les gardes ne vous raterons pas. Vous allez être redirigé vers vos cellules, à partir d'aujourd'hui, votre cellule est votre nouvelle maison. Après vous êtes décrassé, vous allez pouvoir découvrir votre nouvelle "résidence" et ensuite, au travail, c'est-à-dire construire un pont… Bon séjour chez nous." Le colonel fait voler sa cape avec une tape de la main droite dessus.
Les soldats comprennent le signe donné par leur supérieur, les troufions poussent les bagnards avec le manche de leur fusil, les pauvres bougres marchent jusqu'à leur "résidence". Là-bas, les gardiens du bloc prennent le relais, les prisonniers subissent le supplice des douches, les gardiens mettent nu les bagnards et les jettent dans les douches, après ça, ils arrosent les pauvres types avec une lance à incendie. La plupart des prisonniers tombent dans les douches, mais cela n'empêche en rien les gardes de continuer de les arroser, alors qu'ils supplient d'arrêter. Le révolutionnaire cache sa nudité avec ses mains, il ferme les yeux, il essaye de ne pas imaginer l'eau envoyée à haute pression qui agresse sa peau.
Les gardiens s'amusent à leurs dépens, "Allez, les princesses, vous êtes toutes propre... il est temps d'aller s'habiller pour le bal." Les taulards sont poussés vers une autre pièce par les mêmes gardiens qui pointent un fusil dans leur direction, les pauvres bougres trouvent dans cette salle quelques vêtements de prisonnier, ils les enfilent sans discuter. Ils sont par la suite conduits jusqu'à leur cellule, mais avant de fermer la grille, l'un des gardes fait l'appel tandis que les malheureux restent figé devant le seuil de leur cellule. Ce garde semble être le chef de ce secteur, il s'aide des avis de recherches pour repérer les criminels.
Il s'approche du premier prisonnier, "Rodriguez, primé à 4.000.000 de Berry... il est là." Il passe au deuxième, "Johnson, primé à 2.000.000 de Berry… t'es là, connard." Au troisième, "Nasu, primé à 6.000.000 de Berry… ici, répondez quand je vous appelle, putain, ça ne vous écorchera pas la gueule." Il continue de vérifier l'identité de chacun, il arrive au dernier de ces tocards, par contre, il ne trouve pas son avis de recherche, il lui demande quel est son nom. Le type le regarde, "Dallas Clint... m'sieur." Le chef des gardes feuillette ses avis de recherche, il arrive à le trouver.
"Ooohhh… On a touché le gros lot, messieurs. Nous avons un invité de marque, ce ringard vaut pas moins de 26.000.000 de Berry, ça donne envie de le livrer, ce con." Dallas regarde le maton, ce dernier n'aime pas qu'on le dévisage, il met un coup de matraque dans le visage du cow-boy... histoire de lui apprendre le respect. "Ne me dévisage pas, enfoiré." Mais Clint recommence, il soutient le regard du geôlier, celui-ci grimace, il s'énerve, il serre les poings, a-t-elle point qu'il en fissure sa matraque. "Ok... je vois, comme toujours il y a un petit connard dans le groupe, c'est pas un problème." Il ordonne à ses hommes de le conduire dans la salle numéro #3, pour y faire une petite séance de torture.
Clint est emmené dans la salle d'interrogatoire numéro #3 par deux gardes, pendant que les autres bagnards rentrent en cellule, le pauvre Dallas va encore bouffer du bâton, il en a l'habitude après tout. Il arrive dans une salle pittoresque, les murs sont en fer, tout comme la chaise et le bureau au centre de la salle... ça pue la rouille et le sang séché. Le révolutionnaire est jeté par terre, il essaye de ramper pour se barrer loin d'ici, mais le chef des gardes pose son pied droit sur son crâne, il le piétine lentement. "Petit connard, tu vas voir ce qui arrive aux petits cons qui osent défier mon autorité." Dallas est soulevé par les deux sous-fifres, ils le mettent sur la chaise en métal, et l'attachent avec des sangles.
Dernière édition par Dallas Clint le Dim 6 Fév 2022 - 19:22, édité 1 fois