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Ah, ces forains...

1,2,3 c'est le Roi qui boit ♪
4,5,6 son petit Pastis ♪
7,8,9 jaune comme un œuf ♪


Sympa ce petit air. Sympa l'ambiance dans le coin. Une fête de village on dirait, ou peu s'en faut. J'suis en congé pour le moment moi. La semaine dernière, le ratissage en règles de mecs trop riches, trop orgueilleux et trop pressés de me refiler le contenu de leur bourse à été prolifique. Alors maintenant j'en profite. Je vadrouille d'un bled à l'autre sans me prendre la tête, à dilapider en clopes, alcool et parfois agréable compagnie tout mon solde.

L'escale du jour se fait dans une charmante bourgade où les festivités battent leur plein. Les artistes, saltimbanques et autres magiciens s'y côtoient pour le plus grand plaisir du public. Et pour le mien. L'effervescence présente ici me rappelle cet épisode de ma vie où moi aussi je faisais vibrer les foules dans la troupe du vieux Palon. Alors, esprit guilleret et mine joviale, j'arpente les stands. Ici, un numéro d'équilibriste, là, un tour de passe-passe. Je volette d'une attraction à l'autre, à la recherche de celle qui m'incitera à me poser.


Approchez Mesdames Messieurs ! Approchez ! Venez assister au ...

...ouais, ouais, du vu et revu tout ça.

... le plus grand lanceur de couteaux du continent qui ...

AAAAH Ma maaain !!

Ha ben, maintenant tu sais pourquoi t'en as deux.

... la maîtresse incontestée des cartes, elle manie ce talon de 54 cartes comme personne avant elle !

Ah ? Allons voir.

Curiosité et égo titillés par l'annonce, je m'incruste parmi les badauds. Un trentenaire bourru maugrée que je l'ai bousculé. Une gamine ne peut retenir un cri strident quand je marche sur son pied. De sobres excuses plus tard, j'arrive enfin au premier rang. Le vieux borgne qui braille comme un cochon qu'on égorge nous présente sa fille, Läetitia, fraîche et jolie fleur, talentueuse avec cela. Sa mère est décédée quand elle n'était qu'une petite fille et la pauvre a du apprendre à gagner sa croûte pour elle mais aussi son pauvre père infirme et presque aveugle...

Bah, voyons. J'sais pas si ça marche avec le commun des mortels, mais ce genre de procédé ne suffit pas à flouer un pur produit du jargon comme je suis. Mais soit, jouons le jeu.

L'affaire est fort simple. Les quatre As sont disposés sur une petite table. On les retourne face cachée, les mains expertes de la miss brouillent le tout, et il s'agit de retrouver l'As de cœur. Un coup gratuit pour observer, les autres payants, 50 Berrys la manche. Du grand classique. Je laisse quelques volontaires courir à leur perte face à la jeune artiste qui n'a aucun mal à bluffer les six paires d'yeux rivées plus sur le contenu de sa robe que sur les cartes. Elle ne triche pas, semble t-il. Tout à son honneur même si ça met du beurre dans les épinards la magouille, côté finances. Enfin quand c'est bien exécuté. Comprendre quand on ne se fait pas pincer. Mais ici, l'ambiance est détendue, le climat trop léger ne se prête pas à ce genre de procédés. Et pourtant.


Elle a triché, j'vous dis ! J'en suis certain.

John, arrête tes conneries. Viens, on dégage.

J'partirai pas sans mon fric !

Johnny est pas content. À force de lorgner la poitrine généreuse de la miss, il a enfilé les échecs comme des perles. En une minute à partir en quitte ou double, il a claqué 2 000 Berrys. Madame John va tirer la gueule quand il va rentrer sans le repas du soir et la bourse soulagée. Alors Johnny rale avant pour rattraper l'affaire. Mais ce qui doit arriver dans ce genre de situations arrive.

Vous savez, au départ, ça commence gentiment, à coup de :


Hey, dégage laisse jouer les autres !

...ou encore...

Ouais, bouge de là, looser !

Et là, l'intéressé réplique toujours un truc du genre...

Qui est le fils de putois qui a dit ça ?

De quoi ? Répète un peu si t'es un homme !

[...]

Et puis, quand on zappe les politesses de coutume pour en venir au plus croustillant, la fin du débat, ça donne dans du encore plus constructif et philosophique. Quelque chose comme ...

Grr !

Grr !!!

Bastooon !!!

L'effet boule de neige aidant, ce qui part pour n'être qu'une petite explication bon enfant se propage à la foule entière. Les haltérophiles du club voisin entrent dans le bal, les magiciens et leur poudre explosive à paillette ne sont pas en reste, pas plus que les dresseurs de fauves qui relâchent leurs bêtes pour faire place nette. Rapidement, l'esplanade est nettoyée de la plupart des gens sans histoire pas assez ivre ou assez con pour vouloir tenter l'aventure. Ne reste plus alors que les vrais; ceux qui cherchent les coups, ceux qui veulent faucher la caisse, et ceux qui prennent le forfait double. Tous motivés pour une empoignade mémorable partie d'on ne sait trop où et qui ne finira pas tant qu'il y aura un homme encore assez motivé pour se battre avec vous.

Moi dans tout ça ? J'vous ai dis, je suis en congé. Et j'ai rien contre un petit décrassage. Alors, au moment où se dessine un semblant de temps mort que l'on pourrait qualifier de calme avant la tempête, j'empoigne la première bouteille qui me passe sous la main – bouteille vide je vous rassure – et la fracasse avec énergie et bonne humeur sur mon voisin de droite.


Boom.

WAAAH !!


Yeah, z'avez tout compris, c'est parti pour la générale les enfants !!

    Du rhum des femmes de la bieeerre noooooonn deee … SBLAAMMM

    Timcampy ! On doit être arriver chez taré land mon ptit' gars ! Tu crois qu'on doit le réveiller ? Non il pu l'alcool on va oublier, hun ! Je vis, en levant la tête, un énorme branlebas de monde réunit dans une énorme cour remplit d'homme et de femmes gagnant leur vie en faisant des tours de magies, ou bien d'escroqueries ça variera selon les points de vue, ou autres trucs du métier. Voilà donc ce qu'on appelle les forains ! Bah merde je voyais pas ça comme ça !

    Ha oui au faite ! Vous devez vous demander ce qu'un putain de commandant de la marine comme moi fait ici ? Non je viens pas travailler, du moins j'étais soit-disant venu pour mais je pense pas que j'arrive à grand chose dans un patelin comme celui-là. Enfaite je passe ''des vacances'', je sais quand je dis ça, ça fait rire, mais je vous assure que c'est vrai ! Pour que vous compreniez je vais vous expliquez l'exactitude !

    - Taiten c'est con ce que tu viens de dire !
    - Timcaammmpyyy !!!!
    [Flashback]

    - COMMMMMMAAANNDDDAAANNNT MMMASSSHIIIDDAAA !!!

    Quoi ! Hun qu'est ce que c'est que ça ! Ouhaaaa ! BOUUM ! Aiiee ma tête c'est quoi ce bordel dès le matin ? C'est malin je suis tomber du lit, aieeee ! Mais cette voix ? C'est celle du capitaine, miséricorde faut que je me bouge ! Un pantalon vite … Houoooooo Ho non ho non ! SBLAMM ! Nan pas l'armoire ça fait mal heuuuuu ! Bon allez direction le bureau du chef. Allez tient cours un peu Taiten ça te réveillera ! J'ouvre la porte du couloir et je me m'est au garde à vous fasse au … L'infirmière Hana !! Et le lieutenant Sakiru !! Pourquoi elle est sur lui ? Ho merde faut pas que je regarde ça ! SblaM ! Bon euh on va faire comme si j'avais rien vu hun ! Celle là, cette fois c'est la bonne porte !

    -Je suis là mon Capitaine !!!!

    C'est une blague là ! Le Capitaine est habillé d'une jolie chemise à fleurs roses avec un style vachement détendu. Il part donc en vacances, mais pourquoi il m'appelle alors il n'a pas besoin de moi ! A cause de lui j'ai une bosse sur le tête et un superbe bleu sur le bras ! J'espère qu'il à une bonne raison, sinon je pète mon câble !

    -Mon cher Taiten Mashida ! Je vous annonce que vous avez le droit à des vacances !

    Ho putain c'est trop bon !!! Je part en vacances ! Je part en vacances, YOUUUUHHH ! Alors je part où ? Euh … mince j'ai pas d'idée.

    -Bon je dois juste vous dire que vous serez obligé d'aller dans une des Blues ! South Blue exactement, car nous emmenons une petite flotte là-bas vous partirez avec eux.

    [Fin Du Flashback]

    Voilà de quelle façon conne je me suis retrouver là ! C'est fou ce que la vie peut être à chier des fois hun !? Bref, bon allons voir quand même ce que vaut cette fête foraine. Le mec de tout à l'heure à apparemment des amis, des mecs avec de l'alcool dans le sang ici y'en n'a plein et ça c'est les gars qui viennent pourrir la fête quoi ! Vraiment inutile de faire ça.

    -Dit Taiten ! Tu devrais te laisser aller et t'amuser ! T'est un peu trop stresser en ce moment !

    Euh moi stresser, mais non ! Fin je pense … pas !? C'est vrai que j'ai jamais le temps de m'amuser bon allez j'y cours ! Je cherche une attraction sympa dans les environs … tient celle-là m'a l'aire bien !

    ... Quelques temps après avoir payer ma place sur l'attraction ...

    -Euh Taiten, quand je te disais de t'amuser, je t'ai pas dit de jouer au lancer de fléchettes dans les ballons de baudruches, ça c'est plus pour les enfants !
    -Mais merde ! J'y connais rien moi t'aurais plus me le dire avant !

    Bon comme vous vous en doutez j'ai fini mes cinq lancés. Je les ais payer je ne vais quand même pas ne pas faire mes tours. Merde j'aurais pus au moins gagner, bref oublions ce passage médiocre. He mais ça bouge là-bas ! Houuooo, Timpcampy attention la bouteille ! FIIIUUU !! Wouha mais c'est nouveau ça les bouteilles supersonique. Merde qu'est ce que je vais je les regarde ce battre ? Je me bats ? Euh non mauvaise idée ! SBIIM !

    Venez là je vais vous exploser votre tronche, j'ai eu ma dose de coup hier ! Banzaiii !!!



    Dernière édition par Taiten Mashida le Ven 2 Sep 2011 - 20:55, édité 2 fois
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    Aujourd'hui c'est un jour de fête. Les festivités, un bon moyen de subtiliser un peu d'argent pour ceux qui en ont bien besoin, et qui ont de quoi impressionner la galerie évidemment. Entre une animation de fléchette et un stand de carte, il y avait une animation particulière. Une activité artistique qui n'avait rien à faire là, mais bon, après tout, il avait besoin d'un petit peu de monnaie. Le rhum et les femmes sont loin d'être gratuits ! On pouvait donc voir un jeune homme, équipé d'un archet, jouer du violon comme un véritable virtuose.

    A force de se faire plumé, les gens étaient sur les nerfs et voulaient se relaxer, ils venaient se détendre en écoutant sa douce mélodie. A son plus grand bonheur, de plus en plus de personnes s'arrêtaient tout près, en particulier des jeunes femmes, ahh, elles étaient tellement belle. Elle semblaientt si riche, qu'il se devait de les motivé pour ne serait ce qu'une petite pièce.. Il arrêta son art quelques instants et se tourna vers une lady particulièrement belle et qui semblait être blindé de thune..

    Ma demoiselle, depuis que j'ai posé le regard sur vous, mon cœur à fait un bond et ne semble vouloir battre que pour vous.. Je suis sûr qu'une petite pièce, m'aiderait à exprimé ce que je ressens en contemplant vos yeux, qui me transperce la poitrine..

    Incitant les passantes à récompensé sa musique, il leur faisait croire qu'il s'inspirait de leur beauté pour pouvoir exprimé son art. Il avait réussi à rameuté un bon petit groupe de gazelle ayant de l'argent à gaspiller dans des dépenses inutile et profitable à certains. Fermant les yeux pour reprendre son activité, il entendait le bruits des pièces qui tombaient à ces pieds. Plus il y en avait, et plus la passion que l'on pouvait ressentir en écoutant sa mélodie semblait se renforçait.

    D'apparence, on pourrait dire qu'il était juste content de voir ses capacités artistiques reconnue et apprécié, mais non. Ce qui lui donnait la force de mieux jouer, c'était de visualisé ce qu'il allait faire de l'argent récolté. Il se voyait déjà dans un bateau de croisière à boire les vins les plus délicieux qui soit. En toute logique, il n'aurait jamais pu rassemblé une telle somme avec ce qu'il faisait. Sa deuxième option était de pouvoir s'endormir le soir même, ivre mort, puant le rhum. Après tout, il n'était là que pour ça.

    L'impensable arriva, son esprit tellement concentré sur le vice que représentait l'alcool, troubla ses sens et en résultait une fausse note. Celle ci fut assez remarquable. Comme on pouvait s'y attendre, dans ce genre de situation, des fous rires se déclenchèrent au plus grand malheur d'Eishi. Ne se laissant pas désemparé par cette situation embarrassante, il se remit à jouer, lorsque soudain.. Une bouteille fusant à toute vitesse, vint percuté sa tête par derrière. L'impact fut violent, le verre se brisa en dizaine de morceaux et provoqua un saignement désagréable.

    La encore, les fous rires mitraillaient Eikichi. Sortant de ses gonds, il se retourna pour essayer de repéré le coupable. Apparemment, il ne devait apprécié la douce musique. C'est là qu'il remarqua une petite baston pas loin, enfin c'était pas si petite que ça, du moins ça n'allait pas tardé à changer. Ne trouvant pas le coupable pour pouvoir passé ses nerfs sur lui, tenant son violon à une main, il s'approcha de la dite bataille entre personnes civilisé. Il se mit à réfléchir un instant et finit par conclure que celui qui avait fait le coup devait sûrement se faire tout petit. Il cibla une personne tout près de la baston et qui semblait observé. Il abatis l'instrument de musique sur une personne au hasard. Le coup fut tellement violent et inattendu que le violon se brisa en deux sur la tête malheureux.

    Oï Temeee !! C'est toi qui à un problème avec ma musique !??


      Attila tout pirate qu'il était venait de débarquer sur une île quelconque de South blue après son altercation plus que musclé avec Jimmy son vieille ennemi et ses soldats de la marine. Mais l'ennuie reprit vite son cours après cette épisode plus que jouissif pour le forban. Bien qu'il avait manqué de ce faire capturer par les représentant de la justice.
      Mais pour l'heure une fête se tenait non loin d'ici. Voyant une foule grandissante, une foule de cloporte quoi, qui s’émerveillait devant des spectacles mielleux et enfantins, il se dit que c'était une bonne occasion de foutre une panique général au sein de la populace désopilante de cette ville estival. Et la nuit était belle pour faire de magnifique flamme de terreur. Le passe temps favoris du hors la loi pour ne pas dire sa vocation.
      Attila chercha donc des trucs susceptibles de s'embraser rapidement, un exercice qui se révéla plus simple que prévu puisqu'on ne voyait que des stands en bois et des scènes orné de grands rideaux en tissu, et d'une beauté assez médiocre pour les faire disparaître.

      Captivé par la préparation de ce qu'il appelait communément son "œuvre" il n'entendit pas la foule qui semblait s'animer peu à peu devant un spectacle de saltimbanque ou je ne sais quoi d'autre. Le pirate se glissa discrète derrière la scène en prenant soin d'exploser la tête au différent forains qui semblait se mettre sur son chemin. Il n'eut aucun mal à s'en débarrasser aussi rapidement qu'il était apparut devant eux. Il saisit le premier par le visage pour lui enfoncer dans une caisse d'acier qui trainait par là. Le second il le choppa à main nue tel un titan et le jeta sur le côté. Le troisième, il l'étala d'un coup de poing en pleine poire et d'un furieux coup de genoux dans l'estomac, se qui l'éjecta violemment sur un autre bédouin derrière surement en train de reluquer une jeune demoiselle à en juger l'expression perverse qui siégeait sur son visage. Une fois arrivée derrière le rideau il en laissant derrière lui une ribambelle de blessée il reçut la visite prématuré d'un individu qui le scotcha sur place. En d'autre mot un pécore venait de se faire éjecter à travers le rideau qu'il déchira à son passage. La baston général venait d'exploser alors qu'Attila n'en avait toujours pas conscience. Par miracle il tenait une bouteille d'alcool entre le main qui n'avait subit aucun dommage. Attila regarda le type et esquissa un sourire dont il a le secret.

      "Ah merci l'ami"

      Malgré le fait qu'il était dans les vapes il lui ôta la bouteille des mains en le remerciant, question de politesse, bien que ce fut prononcé plutôt de manière ironique. Attila arrosa donc le rideau avec le reste de liqueur qui restait dans la bouteille puis y mit le feu avec son briquet customisé qui le suivait partout dans ses aventures, ou plutôt mésaventure en ce qui le concerne. Voyant le feu se propager lentement mais surement sur le reste du tissu, il s'esclaffa de tout son être bras ouvert vers le ciel. Il riait, riait, riait jusqu'à ce qu'il en perd la raison. Finalement il se rendit compte du grabuge qu'il y avait déjà. Il regarda à travers le rideau en flamme qui tombait en lambeau et vit une foule grouillante de pecnos qui se mettaient sur la gueule. S'en était jouissif bien que le pirate ignorait pourquoi il était témoin d'un tel spectacle. Il sauta sur la scène d'un pas décidé puis regarda de plus près en réfléchissant à ce qu'il allait faire. Il saisit au passage un projectile qui lui fonçait dessus, et hop une bouteille de rhum. Décidément le destin était plutôt acharné ce soir là. Il désirait à tout prix faire boire le pirate qu'il s'enivre et participe activement à la fête.

      "Bon...puisque tu insiste mon vieux!"


      Il engloutit la potion des pirates en quelques secondes en laissant dégouliner un filet sur le coin de son menton, c'est dégueulasse... bah quoi c'est un pirate après tout. Pendant ce temps le rideau derrière lui se consumait entièrement et commençait à rependre ses flammes sur la scène en bois. Attila après plusieurs goulot balança la bouteille derrière lui et fonça dans le tas à la manière des rock star, maintenant qu'il était bien chaud il pouvait se permettre de faire n'importe quoi.
      Lors de atterrissage il écrasa de son poids plusieurs pauvres malchanceux sur son chemin. Puis quand il se releva la fête pouvait commencer. Tout en riant le plus fort possible il saisit deux types au hasard et explosa leurs crânes l'un contre l'autre. Le pirate balança quelque coup de poing ici et là, à droite et à gauche pour finir par chopper une type sur ses épaules. Puis ale balança sur un type déjà à moitié "KO" ou se tenait un petit homme avec un bandeau sur l’œil gauche (Eikishi). Il avait l'air furax le bougre.
      La fête débutait sur les chapeaux de roue.
        Compte rendu d'expérience numéro 3 : Etude du comportement acéphalique dans le cadre d'un combat de rue en pleine foire.

        Madame, monsieur, bonsoir ! Bienvenu pour notre nouvelle exposé sur le comportement du géant acéphalique en milieu naturel. Nous seront qui plus est accompagné de Wilson Plainefaible, qui nous sera très utile pour l'analyse de certains aspect de l'action, vous comprendrez lorsque que nous y seront. Ainsi, sans transition, ben passons à l'étude.


        Le spécimen d'étude se promène donc, comme vous pouvez le voir, au milieu d'une île quelconque de South Blue, tout fier, tout beau avec son armure magnifique. Vous noterez d'ailleurs qu'aujourd'hui il semble d'excellente humeur vu que cela fait au moins une heure qu'il ne s'est pas plaind d'avoir faim. En réalité, ne le dites pas, mais il y a une raison à cela : il a croisé un village qui a essayer de le repousser, et dans le doute il les a tous mangés. Ca à l'air bête, mais 500 villageois qui n'ont rien demandé, ça calle, même quand on est un géant boullimique.

        Ah, je vois une main qui se lève dans le fond... Oui madame, bien sur, les toilettes sont juste à droite, c'est la porte où il y a écrit "bureau du directeur".

        Donc rejoignant Braff. Comme vous pouvez le voir, il ère sans but, attendant comme à son habitude que le destin lui refile une occupation. Admirez d'ailleurs son regard vide ses bras ballant et le mince filet de bave qui coule le long de son menton. Vous voyez, ça, c'est la manifestation de la nature Braffienne, ce qui rend un tel être aussi interressant, et qui en fait une vraie curiosité pour le monde de la science : comment peut on vivre aussi longtemps avec uner telle capacité à ne pas réfléchir?

        Oui monsieur, très bien vu, c'est en effet une chèvre écrasée qu'il y a entre ses orteils ! Par contre vous remarquerez aussi que méler à cette chèvre il y a un paysan qui a sans doute été surpris par le pied de specimen d'étude. Pour savoir ce qu'il ont put faire je vous conseil l'excellent livre de mon ami José Bovin "Viens ici ma chérie : 155 façons de violer sa chèvre quand on est un paysan qui s'ennuie". Oui monsieur, c'est dégueulasse, mais c'est du dégueulasse médicale!

        Oh, regardez tous mesdames et messieurs, voici qu'une action décisive pour notre étude à lieu. En effet, figurez vous que notre géant attardé approche d'un village. Je plains d'ailleurs énormément les malheureux qui sont encore dehors, parce que comme à son habitude, Braff est précédé par son incroyable mauvaise odeur.

        A fait très étonnant le voilà qui s'arrète en bordure du village pour regarder ce qu'il se passe. Vous y croyez vous? Franchement ça fait des années que j'étudie le comportement de ce monstrueux bonhomme et ben c'est la première fois que je le vois constater l'existence d'un village humain avant de l'avoir piétinné. C'est pas tout simplement incroyable? Vous imaginez la chance qu'on ces villageois? Ou peut être est-ce un début d'intelligence?

        ....


        NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN

        Donc toujours est-il que notre géant malodorant contemple maintenant l'ambiance qu'il y a sur la place centrale du village. Oui Mademoiselle? A mais c'est simple, il peut faire ça tout simplement parce qu'il est au moins trois fois plus grand que la très grande majorité des maisons du truc, donc évidement, il dispose d'une vue dégagée.

        Donc, au final, le voila qui contemple le village niaiesement, tandis que nous nous pouvons constater qu'il s'y déroule une bataille de rue en bonne et due forme. Regarder ce joueur invétéré qui explose sa bouteille dans le visage d'un quidam dans la joie et la bonne humeur! Oh et puis ce violoniste qui vient de trouver un nouvel emploi à son violon. C'est d'ailleurs un très beau geste qu'il à en fracassant son instrument sur le visage d'un étranger, je sais pas vous mais moi, c'est m'émeu. Oh, il y même une scène en feu avec à proximité un pirate distribueur de beignes. Et regardez le plus ironique : vous avez remarquer le jeune soldat de la marine qui au lieu d'essayer de calmer le jeu participe à la bagarre?

        Y a pas à dire, sa capacité à se battre pour rien et sans considération pour la catégorie sociale, est sans doute la plus belle caractéristique de l'homme...

        Mais c'est mignon comme tout ça! Regardez ce qui se dessine sur le visage de Braff tandis qu'il comprend ce qu'il se passe. Oui, c'est un sourire, vous savez un peu comme celui qu'on les enfants quand on leur à offert le cadeau dont ils ont toujours rêvés pour leur anniversaire. Honnêtement, c'est pas magnifique cette joie innocente? Ce regard pétillant de joie tandis qu'il voit ce qu'il croit être un jeu viril entre humains.

        Geouéééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé

        Il veut même participer! C'est sympa comme tout, et le pire c'est qu'il se rend même pas compte que sa participation dans une bagarre de rue risque de poser quelques problème à la longévité de l'aimable population du village. Alors qu'est-ce qu'il va faire? Se jeter dans le tas, distribuer les baffes, piétinner joyeusement tout le monde.

        Oh mais non, regardez, il attrape une maison et l'arrache du sol! Ben oui, pour lui nos maisons, c'est un peu l'équivalent d'une la maison de poupée légo que vous aviez chez vous. Il la jette, c'est magnifique. Laissons donc Wilson s'occuper de vous retranscrire toute la beauté du geste!

        Et oui, parfaitement mon cher nous avons affaire un expert dans ce domaine ! He is a mother fucking killer! Ne serait-ce que ce lancé grandiose inspiré de la méthode dite du dunk à la la barbare. Regardez bien sa main gauche qui maintient les murs de la maison tandis que sa main droite effectue le lancé. There is even a nude bitch falling from the window! Une demoiselle peu frileuse en profite pour s'essayer au saut à l'élastique sans élastique.

        Et magnifique lancé de maison comme il est très rare d'en voir et je suis sur cher publique qu'en fin connaisseur vous saurez apprécier la splendide courbe que dessine le bâtiment, qui déjà projette son ombre sur la place. D'ailleurs voilà que la population turbulente constate également cette magnifique entrée en jeu du géant. Ecoutez donc, certains se demande si c'est un oiseau, d'autre si c'est avion. It's not this fucking superman!

        Et tout le monde fuit au moment où le bâtiment s'écrase sur le sol, pour un bilan à priori nul en nombre de mort. Quelle beauté vraiment j'en suis tout ému, I'm gonna chiale like a Marie Madeleine!

        Merci Wilson, donc comme vous l'avez compris, Braff vient de jeter la maison, mais ce n'est pas tout. Figurez vous que notre cher joueur, inconscient du fait que se prendre une maison sur le crâne n'est pas forcément du gout de la plupart des êtres vivants de taille moyenne, s'élance vers la place.

        Regardez sa manière d'agiter ses bras dans les airs, son sourir toujours aussi niais, et son regard pétillant, on jurerait un pittbull a qui on vient d'indiquer la direction du jardin d'enfant, enfin, si on part du principe que les pittbull sont stupide et massacre les enfants tout simplement parce qu'il ne se rend pas compte que les humains ne supporte pas d'être séparés de leurs membres.

        Vheeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee Geouééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé!
          Les réjouissances battent leur plein. Rien de trop méchant, juste de la pure bagarre entre adeptes de l'exercice. Que toutes les mères, femmes et filles qui ont fui la tornade et attendent maintenant angoissées de voir dans quel état leur reviendront fils, mari et père se rassurent. Ça sort pas d'arme blanche, balance juste des tessons de bouteille, des chaises ou parfois pour les plus audacieux des gens. Ça tape fort, certes, mais avec l'enthousiasme requis. Ça se fait mal, il est vrai, mais sans animosité particulière. C'est une simple et néanmoins furieuse envie de plonger dans la mêlée qui prédomine. Parait qu'il faut faire du sport pour évacuer le stress, ça tombe bien. Ici, tout le monde applique la consigne avec un zèle non dissimulé. Et j'en connais un paquet qui vont bien dormir ce soir après ça. L'essentiel reste de ... oups, excusez, on requiert ma présence.

          -Hé bien, hé bien, qu'avons nous là ?

          Devant moi, le menu standard dans ce genre de contexte. Quarante ans, taille et corpulence moyenne. Individu alcoolique sans plus, marié mais plus heureux en ménage, reste avec bobonne pour le bonheur des gosses. En amuse-gueule, il me servira le poing droit; un pied de chaise en plat de résistance, et, cerise sur le gâteau, un bon coup de boule prêt à assurer le service dessert. Vla qu'il s'élance.

          Yaaaah !

          Hop, avant bras gauche pare poing droit. Uuf, on se fléchit sur les guiboles pour esquiver le bout de bois, et on fait jouer les appuis pour envoyer valdinguer le charmant animal avant le bouquet final d'un uppercut bien appliqué.

          Boom.

          -Dodo, pti père.

          Au suivant.

          Yaaaaaaaahhh !!!

          Toi, faudra t'apprendre à tenir une garde gamin.

          Boom.

          Suivant. Ah non ? Toi pas dodo ?

          Hé oui, y'en a des coriaces dans le lot. Des qu'un poing bien ajusté dans la figure ne suffit pas à anesthésier. Des qui veulent vous réserver ce traitement préférentiel à vous, justement. Comme ce grand dadet là. C'est sûrement sa première vraie baston, ou peu s'en faut. Jlui donne 16 ans, à ce môme, en dépit de ses deux mètres de haut. Un visage encore trop naïf pour mériter plus. Mais ce qui lui fait défaut en vice, il le pallie par sa force brute et sa ténacité.

          Moi à côté, je tiens presque la comparaison en taille, mais je fais un peu grand échassier, jdois admettre. Je lui rends bien vingt-cinq kilos, au minot. Parfait, s'il est à la hauteur de mes espérances, on va se payer un petit face à face fort sympathique. Le môme fait mine de se ruer sur moi, je l'arrête, une main levée en signe de stop.

          -Hep, hep, chaque chose en son temps mon gars , tu veux ?

          Toute cette excitation, toute cette agitation, ça réveille irrépressiblement en moi mes envies les plus primaires. Poche gauche. Briquet. Clopes. J'en prends une, et en tend une autre au bougre.

          -Prends.

          Il hésite.

          -Prends. J'ai pas une gueule à aller voir tes parents pour leur rapporter ce que tu fous, tu crois pas ?

          Une main fébrile empoigne la cigarette à moitié sortie du paquet que je lui tends. Toujours avec méfiance, il l'allume, suspectant encore l'entourloupe. Mais mon air débonnaire dissipe sa méfiance. Je tire quelques bouffées, paisiblement en dépit du vacarme ambiant. Lui essaye d'en faire autant. Il tousse, je ris. On rit.

          -C'est pas mauvais hein ? Allez, maintenant, viens gamin.

          Il ne se fait pas prier et me percute, les deux bras ouverts, puis me plaque au sol. Fort comme un taureau. La première galette qu'il me passe en travers de la gueule me le confirme. Vivement, je lui envoie un coup de genou en plein estomac et me redresse tandis qu'il cherche son souffle. Je lui laisse le temps de le retrouver, me malaxant la mâchoire avec satisfaction.

          On va pour entrer dans le vif du sujet, mais un imprévu survient. Ou plutôt, deux. Dans le dos du môme, la scène s'embrase. Pas cool ça, y'en a des un peu trop à cran pour l'ambiance locale. Comme si c'était pas suffisant, des cris m'alertent qu'un truc tombe du ciel. Je zieute.

          -Nom de ... !!

          Une maison nous arrive en colis express depuis les nuages. Mieux vaudra ne pas se trouver dessous quand elle va s'écraser. Peu envieux de finir à l'état de crêpe, je prends mes jambes à mon cou, attrapant par la même le gamin hébété par le col de sa chemise. Quand la bâtisse s'écrase, le pire a été évité. Mais l'ambiance monte d'un cran. La raison me vient du doigt pointé par mon voisin en direction d'une entrée du village.

          -Oh, ben merde alors.

          Je comprends mieux le vol de maison improvisé. Je comprends aussi que ça risque de devenir un brin malsain dans le coin si le géant décide de nous faire découvrir les joies de l'oiseau à nous.

          -Tu f'rais mieux de rentrer chez ta mère, va.

          L'ado est trop choqué pour bouger. Foutre le boxon dans la joie et la bonne humeur est une chose, croiser un géant pour la première fois de sa vie dans un ciel qui se pare de braises en est une autre. Jle lui concède volontiers mais on a pas le temps pour ouvrir une cellule psy. Une bonne claque sur le museau l'aide à retrouver ses esprits.

          -Allez, file pti gars, tu t'es bien démerdé.

          Sa carcasse massive part dans une course empotée, manquant de trébucher. J'observe ce tableau quelques secondes, sourire aux lèvres, puis me retourne. Plus qu'une trentaine de guerriers en lice. On a perdu un paquet de volontaires en route.

          Et moi, je reste ? Je file ? Bwarf, on vient à peine de commencer là. Profitons tant qu'il est encore temps. Alors, qui sera le prochain ? Tiens, ça ressemble à un uniforme là-bas. Cogner du gradé sans en payer les conséquences, ça ne se refuse pas. Cte bleusaille là, perdue au milieu de la place, c'est ptetre même l'occasion idéale qui se présente, si personne ne vient se proposer de m'en coller une avant...

            Je vais te défoncer ta grande gueule … !!!

            Intéressant ! Ça changeait beaucoup de la douce et jolie chanson que l'homme ivre chantait à mon arrivé. Bien décidé à réaliser ces propos violent l'homme, au bras trois plus gros que les miens et au torse bombé jusqu'au ciel, m'attrapa par le bras et me fit valsé à trois kilomètres dans un stand ou l'on pouvait échanger des point gagné contre des petit bibelots inutile.

            Le propriétaire de ce stand me regardait, explosé dans ces peluches, avec un air dépité et surtout désespéré de savoir son étalage entièrement détruit. Le colosse revint me chercher, il avait décider d'en finir avec moi au plus vite. Je touche plus le sol !!! Merde j'ai plus aucun contact et plus aucun appuis sur le par terre. Faut que je réfléchisse ! Hum …... Ok j'ai trouver !

            - Désoler mon pote mais tu reste un mec malgré ta taille et je peux te dire que tu va vite te rappeler ce que t'a entre les jambes !!!


            YEAHHH ! Aie aie aie ! J'ai trop mal pour lui, le colosse c'était réduit à un pauvre verre de terre gesticulant, sauf que là c'était de douleurs, sur le terre plein. Bon allez ça fait un en moins, cette quoi cette ombre qui ne cesse de grandir sous mes pieds ?

            - Taiten au dessus de toi !!!!!

            Hun !! Une maison ? C'est quoi ce merdier, je comprend plus rien ! Déjà faut que je bouge avant qu'elle … SBLAMM SBLIMM ! Punaise j'ai eu chaud là, hé mais il tremble ou je rêve ? Un grand gaillard restait figée fasse à cette chute assez inattendu quand même. C'est vrai qu'après réflexion y'a quand même une maison qui venait de tomber du ciel non ?! Oui donc revenons au géant peureux, un autre homme est à coter de lui.

            L'homme à la cigarette semblait indiqué au grand petit homme de s'en aller, mais je comprend pas tu dit pas ça à un mec qui te combat enfin là celui-ci ne semble plus être en état de combattre justement. Dieu Jésus Marie j'avais pas vue, pourtant suffisamment visible, cette espèce de montagne, de graisses ou de muscles je préfère ne pas le savoir enfaite, au loin ! Une punaise de gros géant mesurant une bonne trentaine de mètres.

            Je veuuuuxx pas mourrriiirrr ! Je toujours eu honte de le dire, mais les géant me foute toujours la frousse. Surement dû à un traumatisme de mon enfance, mais je m'en souviens pas. Bref je suis perdu dans mes pensés et reste perplexe pour la suite des évènements, qui sait ce qu'il peut arriver encore ! Pour des vacances j'ai déjà vu mieux, l'homme brun à la cigarette n'était maintenant plus avec le gentil gros homme. Il avait apparemment décidé de focaliser son regard sur moi, qu'est-ce qu'il me veut ? Au pire il est seul je peux peut être essayer de lui parler ?

            - Bonjour ! Vous êtes seul, êtes vous un pirate comme eux ? Savez vous quand tout ce raffut va se terminer ?

            Un déballage de question qui ne cessait jamais, je pouvais continuer longtemps encore comme ça, mais aucune utilité. Le jeune homme me regardait au travers de ces lunettes sombres pendant que moi j'attendais une probable réponse.

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            Alors que la fête battait son plein, enfin façon de parler, Attila fixait le jeune homme qui se tenait devant lui, mais aussitôt un malotru venu foutre son poing dans la joue du pirate qui ne bougea pas d'un pouce malgré le choc. En revanche sa tête tourna légèrement, et un filet de sang coulait déjà de sa lèvre inférieur. Attila saisit le bonhomme à la taille en mode pas très content et l'explosa littéralement sur le béton. On entendit un "crac" brutal au niveau de son crâne ou de sa nuque, enfaite c'était difficile d'en juger vu la ganache qu'il se payait après son écrabouillage faciale, autant vous dire que ce n'était pas beau à voir. Bref, vous avez saisit hein, il est mouru le pauvre. Sa tête était complètement encastré dans le sol qui était en morceau. Quand Attila lâcha prise les jambes du bon monsieur retombèrent chacune d'un côté, il avait un drôle de pose mais en même temps on s'en fou il était mort.
            Avant même qu'il n'est fini de se redresser, paff le pirate s'en était prit une autre.

            Un enfoiré de première avait chopper une chaise on ne sait où et l'avait exploser en traitre sur le dos du mécréant qui était de passage. La chaise en bois éclata en mille morceau sur Attila qui ne broncha pas une seconde, enfin juste un peu mais on le dira pas. Puis une chaise sur la gueule ça fait jamais du bien quoi. Alors que son sourire était revenu silencieusement sur son visage, voilà qu'un autre bâtard essaye de l’assommé par derrière en plus. C'était pas les raclures qui manquait ici.
            Il se retourna lentement et regard ce connard du haut de ses 2mètres l'air de dire "mais qu'est-ce que tu fou toi, hein?!". La pyroman lui décolle un furieux revers de main en pleine gueule, l'individu vacille un peu et Attila enchaîne avec un coup de genou dans les côtes, là il l'avait sentit passé. Et en désert, pour qu'il déguste sévère, un bon gros uppercut en plein menton, le mec décolla comme un fusée en reversant plein de type au passage. Attila garda la pose quelque seconde en regardant les conséquences de ses attaques.

            "Strike!"

            Hop là la fête continue, sauf qu'avec tout ce remue-ménage le bonhomme au cache-oeil avait disparut, sans doute à cause des types qu'Attila avait boxé, il fini par se mêler à la foule comme tout les autres. Mais après tout il n'en avait rien à carrer. Continuant son massacres à main nue de tous ses péons, il vit un énorme machin qui assombrissait le ciel. La silhouette s'agrandissait de seconde en seconde et forma peu à peu une sorte de bâtiment. Quand le flibustier se retourna pour de bon pendant qu'il castagnait un type qu'il tenait par le col, il vit une maison qui tombait du ciel. Et attention, elle tombait pas à trois kilomètres d'ici, non non c'était belle et bien sur leur gueule qu'elle chutait. Nan mais what's the fuck quoi! Le pirate lâcha prise sans regarder son interlocuteur, enfin si on peu appeler ça un interlocuteur. Il resta quelque instants sans rien dire avant de finir par se décider à se barrer de là vite fait. Il sauta juste avant l'impact, mais le choc au moment de la collision avec le sol l'éjecta violemment à quelques mètres de là.

            Le colosse se releva après que l'écran de poussière se soit plus ou moins dissipé. Il se tenait la tête à cause d'une migraine atroce. Faut dire que ça l'avait pas mal secoué comme on pourrait le penser. Pendant qu'il se demandait se qui s'était passé son regard fut attirer par une étrange silhouette à plusieurs mètres d'ici. Celle-ci se dessinait dans la fumé qui restait, puis il vit ensuite ce qu'il y avait. En voyant ça de ses propres yeux autant vous dire qu'il reçut un sacré choc. Un cap que dis-je, un roc que dis-je une péninsule que dis-je, eux là je m'embrouille un petit peu... un véritable géant MAIS DOUBLE WHAT'S THE FUCK! Attila n'avait jamais vu une chose pareille de sa vie, un titan se tenait à quelques mètres de lui, jamais il n'aurait cru cela possible. A la vu de ce monstre la plus part des hommes ici présent c'était barrer en faisant dans leurs froc, on ne pouvait pas leur en vouloir, même le plus dur à cuire du coin nous démoulerait un cake en voyant un mastodon pareille dans une ville qui s'amusait à balancer des maisons comme des ballons de basket. Au moins ça expliquait la chute d'un maison.

            "Qu'est-ce que c'est que ça?!"

            Attila n'en revenait toujours pas, il restait bouge bée devant un spectacle pareille. S'en était ahurissant. Pourtant, alors qu'il aurait du fuir, son sang ne fit qu'un tour et son sourire démoniaque n'avait jamais été aussi effrayant qu'aujourd'hui. Seul les plus vaillants étaient encore dans la course, les derniers gladiateurs dans l'arène, réuni pour le show final. Et comme il semblait vouloir la bagarre une occasion pareille d'affronter ce titan n'allait pas passer sous le nez du pirate ça vous pouvez en être sûr. Il rigola un grand coup et lâcha d'un air jubilatoire.

            "Que la fête commence ahahaaha!"

            Spoiler:
              Bonjour ! Vous êtes seul, êtes vous un pirate comme eux ? Savez vous quand tout ce raffut va se terminer ?

              Ah ben ça pour une surprise... On est dans une baston, de la vraie pas d'la copie, ambiance et dégâts montent crescendo, tout ce beau monde s'étripe gentiment et moi j'arrive à tirer le seul bonze pacifiste du lot. Sans blague. Ça valait bien la peine de se frayer un chemin jusqu'à lui à grand renforts de battements d'ailes tiens. Fichu Mouette.

              C'est tellement cocasse que j'en reste coi. D'ordinaire, les seules politesses qu'on s'échange dans ce genre de situations, c'est tartes, galettes et autre marrons. D'ordinaire. Faut croire que cet oiseau là, il a fait l'école buissonnière le jour où on expliquait les leçons de savoir vivre à respecter pendant une générale. On se tape, merde, c'est la moindre des choses ! Et on s'insulte, on gueule, on s'en prend aux innocents... Le bordel quoi. Le gugusse, là, il me rend du Bonjour, du vouvoiement poli mignon... Pour peu il viendrait me cirer les pompes. J'vous jure.

              Alors, un brin désarçonné par cette réaction inhabituelle, je garde le silence. Puis, toujours sans lâcher mot, je laisse un long et fin sourire se dessiner sur ma figure, rapidement suivi d'un petit rire déconcerté.


              -Yare, yare, un oiseau tombé du nid. Laisse moi t'expliquer comment ça marche, mon gars...

              J'écrase ma clope contre le talon de ma chaussure, me racle la gorge et ... et tandis que je vais pour me lancer dans mon semblant de cours de la vie improvisé, un affreux jojo fait irruption depuis ma gauche; chaise tenue des deux mains, braillant bien fort, course brouillonne mais intentions clairement manifestées. Qu'à cela ne tienne, la leçon n'en sera que plus imagée.

              Ici, ou tu cognes...

              Bim. Droite dans la pommette du brave figurant.

              ...ou tu te fais cogner...

              Aye. Pied de chaise dans le bide.

              ... ou tu dégages !

              Hop, uppercut suivi d'un bon chassé dans le thorax, de quoi envoyer le gaillard retomber lourdement quelques mètres plus loin.

              Capisce ?

              Laisser reposer la pâte trente secondes pour que l'information soit bien assimilée... puis faire revenir le tout d'une charge frontale en bonne et due forme.

              Boom.

              Plaquage. Et mange un peu le pavé au passage, il parait que ça a bon goût. On finit le mouvement d'une roulade pour se relever l'air de rien et regarder presque narquois l'autre se redresser.

              Ah ben l'est tout sale ton costume. Bah, ça te passera peut-être le goût de la plaisanterie, qui sait ?


              Spoiler:


                - Yare, yare, un oiseau tombé du nid. Laisse moi t'expliquer comment ça marche, mon gars...

                Mon gars ? Je sens bien le mec sur de lui qui va jamais sortir vivant de cette bataille ! Il écrase sa clope sous sa semelle et ingurgite le peu de salive qu'il lui reste, surement dans l'idée de finir sa phrase. Tient voilà encore un de ces tarées qui l'attaque avec sa chaise en l'air et apparemment bien décidée. Alors que l'autre reprend sa phrase :

                - Ici, ou tu cognes ...

                SBIM ! La vache l'autre vient de prendre son poing directement en pleine figure ! Plus exactement dans la pommettes ce qui doit faire assez mal j'imagine déjà la tronche du mec, je me marre dans ma tête !

                ...ou tu te fais cogner...

                Ouhh ! Bien jouer, le mec vient de lui mettre le pied de sa chaise directe dans le bide. Mais ... j'ai bien peur pour lui que l'autre gars soit légèrement plus fort !

                ... ou tu dégages !

                Ouai voilà c'est bien ce que je disais ! PIM , j'ai jamais vu un uppercut aussi violent ma parole ! Allez hop et que je t'envoie un violent coup de pied dans le thorax, ce qui fait voltiger le pauvre gars à quelques mètres. Bon ok il est fort ce mec mais ça pas pour autant qu'il doit m'expliquer comment me sortir de ce merdier. Faut pas que je reste ici plus longtemps ça devient ingérables !

                - Capisce ?

                Haaannn ! Mais il à pas encore fini son baratin lui, il commence à me les briser secs là ! Qu'est-ce qui fou ? Pourquoi il se m'es comme...

                OUFFFF

                De l'air, de l'air, vite ! Le salaud il vient de me faire un placage et l’atterrissage m'a couper le souffle. Lui à continuer sur un roulade l'air de rien ! Cet espèce de salaud que j'ai sous le nez va morfler ! Je me relève, enlève la poussière sur mon costume et enlève mon chapeau qui tenait presque plus sur ma tête ! Je m'apprête à lui annoncer la couleur ...

                - D'accord donc c'est ...

                - MOUHAHAHAH ! VOUS AVEZ TOUS DÉTRUITS NOTRE FOIRE ! VOUS ALLEZ TOUS MOURIR !

                Hun qué ? Je me retourne pour vois ce qu'il se passe et voit une grosse vingtaine de clown au sourire diabolique et armés comme y'a pas ! Certains ont des fusils à pompes, d'autres des bazookas et j'en passe. Un peu dépassé par l’événement je regarde l'homme au lunettes noirs et me place à coté de lui tout en faisant un signe de la tête pour bien dire que je lui veut pas de mal et qu'on va de voir se serrer les coudes. Par contre j'ai un truc à faire avant !

                - Ça c'est pour tout à l'heure ! Mais maintenant on est quitte !

                Je lui envoie un putain de poing dans sa joue droite pour égaliser le score .

                - Maintenant je te propose un défi ! Celui qui en tue le plus à gagner, on ferra les comptes après ? Alors t'en dit quoi ?

                L'homme au lunettes ce tenait la joue, j'attendais juste un réponse claire de sa part ! Je veux juste voir de quoi, moi-même je suis capable j'ai aucun intérêt à le battre je m’en fous un peu.
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                Quelle est la plus grosse bétise à faire lorsqu'un enfant fait un caprice?

                S'il y a des parents parmis vous, ils seront sans doutes capables de répondre à cette questionpour les autres, je vous laisse essayer. Non, ce n'est pas la fessée. Non ce n'est pas céder à son caprice. Encore le laissé faire son caprice tranquillement. La plus grosse erreur à faire mesdames messieurs, quand un gamin fait un caprice, c'est de faire comme s'il existait pas. Ca le rend violent, systématiquement...

                Quel est le liens avec la situation me direz-vous? Je vais vous expliquer. Prenez un enfant de 3 ans. Faites-le grandir jusqu'à ce qu'il atteigne 26 mètres de hauteur et donner lui la carrure d'un catcheur poids super-lourds, le genre qui fait trembler le ring quand il marche dessus. Maintenant confiez à cet enfant une armure en obsidienne faite pour encaisser les coups les plus violents, et équipée d'une massue faisant la taille de son avant-bras. Vous y êtes? Vous avez Braff.

                Maintenant, regardons un peu la situation. Alors qu'il projette son ombre sur la place, et que son odeur particulièrement musclée se fait sentir dans tout le village, notre cher Braff voit une bande de fourmis le regarder puis se battre entre elles comme si de rien n'était. Remarquez d'ailleurs que les dites fourmis le font alors qu'il est en plein caprice, vu qu'en effet il veut jouer.

                Comment, madame? Oui ce juron décrit assez bien la situation dans laquelle ce sont mis notre bande de joyeux lurons. A priori, il ne voudra surement pas faire mal, mais après vous savez, quoi qu'on en dise, il n'y a pas que l'intention qui compte.

                Oh, attendez, je m'interromps, voilà que de nouvelles pièces entrent sur l'échiquier. Alors, voyons voir... C'est multicolore, ça a un nez rouge, c'est armé jusqu'aux dents. Non ce n'est pas un perroquet de combat bourré! Un punk version manga? Non plus... Mais c'est bien sur, c'est des clowns menaçants et terribles, prêt à anéantir les courageux résistants de la place qui ont décidés de tenir tête à notre brave géant.

                Il sont sans doute d'une vaillance incroyable, des durs à cuire hors paires, des êtres que rien ni personne ne peux battre!

                BRAAAAAAAAAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOOOOOOOMMMM

                Ou bien un groupe d'humain pouvant se faire piétiner sans difficultés par un géant en colère.

                Donc du coup, nous nous retrouvons avec un géant furieux surplombant la place regardant le petit groupe de survivant, et avec une belle compagnie de clown sous le pieds. Je pense qu'il est bien placé pour établir un beau score dans le concours que voulais lancer le petit bonhomme au manteau blanc.

                Pour les clown? Vous inquiétez pas, c'est du manga, à l'instant où Braff relèvera son pieds, il ressurgiront indemnes pour poutrer du glandu comme si de rien n'était! D'ailleurs si vous regardez bien, ya une jambe qui bouge encore. Comme si le fait d'être réduit à l'épaisseur d'une feuille de papier pouvait réduire un clown au silence... Vous regardez jamais de cartoons vous?

                A par contre je vais m'interrompre un peu, je crois que notre géant cherche à s'exprimer...

                WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGH

                Attendez, je vais vous traduire ça , il fort envisageable que vous ne parliez pas le Braff depuis aussi longtemps que moi. Donc, en gros, monsieur viens de dire "pardonnez moi mes chers, mais ils semblent que vous n'ayez pas bien compris le but initiale de mon arrivée en ce lieu, je me vois donc dans l'obligation de me manifester un peu plus vivement, et de vous infliger la correction que vous méritez. Bien sûr, cela sera fait en toute amitié, et j'espère que ce léger différent ne créera aucune rancune durable, afin que nous puissions entretenir l'avenir le plus lumineux possible. Ah, et Rik, mémé a dit que tu as oublié tes bouteilles vide chez elle hier soir!"

                Bon maintenant étudions les effets du hurlement sur l'environnement immédiat. La plupart des vitres des maisons environnantes brisées... Un grand classique ! Le sol qui tremble, ça aussi c'est du déjà vu... Oh, par contre, on a un détail marrant, un groupe de Death Metal qui passait par là a décidé de s'inspiré du cri de Braff pour faire une chanson. Quand je vous dit qu'il a de l'avenir comme chanteuse québecquoise! Personne veut jamais croire!

                A par contre notre pépère il est vraiment en rogne, vu qu'il est déjà en train de remonter son bras droits vers sa joue, vous savez, un peu comme le jour où vous avez annoncé à votre mère que vous avez séchez le cours de philo pour aller fiche enceinte votre récente petite amie?

                Pour ceux qui n'ont pas de maman, ce qui peut parfaitement arrivé... On a tous une fois ou une autre écraser une pauvre dame sans prendre le soin de faire marche arrière pour exploser la poussette (terrible négligence). Donc, pour ceux qui n'ont pas de maman, en gros, Braff se prépare manifestement à effectuer un geste très technique, que les professionnels appellent la grosse mandale dans ta gueule. Le problème c'est que là, la mandale fait plusieurs centaines de kilos, et qu'elle peut couvrir une bonne trentaine de fois la surface de votre joue.

                Ou bien il s'apprète à effectuer une magistrale descente du coude, mais dans ce cas, comme dirait un petit vieux auquel je vais faire référence dans un rp futur "Fuyez, vous que vous êtes!"

                  Dans son élan le pirate chopa une planche de bois qui faisait office de petit pilier pour un stand. L'arrachant littéralement par sa force brutal il réussi à faire de son bout de bois une arme presque meurtrière avec une extrémité plutôt piquante.
                  Il fonça donc et vit un peu plus loin le géant entrain de piétiner se qui semblait être des clowns, apparemment Attila n'était pas le seul à en avoir après le géant.
                  Mais qu'est-ce que des bouseux déguisés en clown pouvaient bien faire à un colosse comme celui-ci. Une telle merveille méritait d'être brûler par les flammes d'Attila. Bien loin de ce douter qu'il n'était qu'un géant parmi tant d'autre, bien évidemment cette idée ne lui avait pas traversé l'esprit une seule seconde.
                  Dans sa course il bouscula quelque type au passage. Puis fini par atteindre l'énorme écran de poussière occasionné par les battements de jambes du géant.

                  Pendant son branle-bas de combat on pouvait sentir le sol tremblé, mais les autres restaient à l'écart du titan, finalement Attila semblait être le seul en mesure de lui tenir tête.
                  Bien que ce ne soit en aucun cas une question de force mais d'avantage de... comment dire-je, oui enfaite c'était plus un problème d'avoir des burnes... ou pas.
                  Stoppant sa course à cause des secousse, il se dit que le meilleur moyen de l'atteindre était de passer sur les toits des maisons. Et puis il était tellement grand que même un bestiau comme Attila passerait inaperçu.
                  C'est ainsi qu'il grimpa sur une maison, puis sauta de toiture en toiture tel un chevalier masquer comme notre bien aimer Zorro (je parle pas de celui du manga).
                  Mais avant cela il prit soin de déchirer un morceau de tissu sur son chemin et de l'enroulé autour du bout de bois et l'enflamma avec son briquet.

                  Ce qui revenait à fabriquer une allumette géant pour le titan. Quand il fut tout près de sa cible le pirate sauta de toute ses forces jusqu'à la auteur de ses genoux. Enfin disons un peu plus haut de manière à ce qu'il atteigne la peau du Géant.
                  En effet la manière la plus rapide de le vaincre était de le forcer à poser le genoux à terre de sorte à ce qu'il atteigne la tête. L'inconvénient restait encore sa fabuleuse armure dont la composition était inconnu faisant office d'un rempart inébranlable.
                  Mais pour l'heure sa stratégie n'était encore qu'au prologue. Il essaya donc d’enfoncer furieusement sa planche de bois dans la chair du géant. La question était de savoir si cela suffirait à le faire tomber.

                  "Héhéhéhéhéhé!"

                  Le pirate arborait un visage diabolique à vous en faire chier un bronze dans le froc ouaip ça je vous le dis!
                    Pas moyen d'avoir son petit tête à tête tranquille, ici. Souvenez-vous, tout à l'heure, le gamin a pris la clef des champs à cause du bombardement à coup de baraque. Et là, quand j'arrive enfin à chauffer un peu la pauvre mouette perdue loin de son nid, nouveau contre-temps. La faute à qui, ce coup-ci ? À des clowns. Manquait plus que ça, tiens.

                    L'émouvant plaidoyer de leur porte parole consiste à dire : c'est pas cool, notre cirque est en vrac, alors vous allez payer. Impec. Enfin des gars raisonnables. Même si j'espère que leurs bazookas, c'est du faux quand même.

                    Manifestement, le bleu se cherche des renforts, puisque directement pris à parti par les nez-rouges. Et quel meilleur moyen pour se découvrir de nouveaux alliés que de leur balancer une poire en pleine tronche. Ouch. Je me malaxe la gueule, manière de vérifier que tout est à sa place. Rien de cassé. Mais il a une bonne droite. Et la méthode me plait. Le mec prouve qu'en plus d'en avoir une paire, il a aussi sa fierté. Soit. On a mis les choses à plat, on peut lancer notre association sur de saines bases. Mais il s'agirait de mettre les choses au clair.


                    Okay, on se les farcit à deux. Mais tuer ? Non. C'est pas ce qu'on vous apprend à l'armée, j'espère. T'avises pas d'en dessouder un seul du lot, mon passé de saltimbanque le prendrait plutôt mal je crois.

                    Aussi mal que le numéro du pyromane en puissance que je lorgne en coin depuis un moment. Non content de transformer la place en brasier, il en a étalé un paquet depuis tout à l'heure, peut-être même tué un ou deux. S'agira d'aller lui toucher deux mots à celui-là aussi. Mais, en attendant, c'est l'heure des distractions.

                    Il sont plein, on est deux. Ils veulent se battre. Nous aussi. Ils s'élancent en braillant, jles imite. C'est parti. J'empoigne mes deux flingues par le canon et commence à distribuer des coups de crosse autour de moi, en fendant la meute qui nous assaille. Boom. Boom. Dodo les gars. Un coup de latte dans les guiboles me suspend dans ma course; je pose genou à terre, me relève dans le mouvement et continue de leur servir le même menu. Yeah, ça me plait. On passe un bon moment.


                    Baoum.

                    Ah ben merde, ils sont un peu trop sérieux ces gars. Faire du tir au pigeon avec un bazooka, franchement... Il a failli me friser les moustaches cet oiseau là. Va falloir se charger de le dérider. Je connais un bon remède pour ça je crois.

                    Captain Paf' mon gars ! Volez, petits dés !

                    Un petit cercle de curieux se forme. Au milieu, moi et mon tireur déjanté. Il comprend pas cqui se passe, normal. Je lui montre deux dés main droite, les miens. Deux dés main gauche, les siens. Il pige toujours pas mais c'est parti. Roulez, mes braves. Cinq et Quatre. Paire de Un. Ouuups. L'a toujours rien capté mais moi je sais qui va morfler...

                    Aouch. Ça calme plus qu'une bonne droite ça. La décharge de picole monte dans mon organisme d'un seul coup. J'en titube même un brin. Mais qu'à cela ne tienne.

                    Héé en avant les zenfants !

                    Le bal reprend. Dix têtes peinturlurées et grimaçantes m'encerclent, prudemment. On a toujours pas compris ce que j'ai fait. Et en plus maintenant je me marre comme un con alors ça doit être vachement dangereux, qu'on en déduit. Enfin, avis perso, les dangers publics, c'est eux. Ils ont des bouilles sacrément flippantes ces types. Sans déc, comment ils arrivent à faire rire des gamins en se contorsionnant le visage comme ça ? Moi, j'suis parent, je ltiens éloigné d'eux mon gosse, parole. Hum, jm'égare.

                    Vociférator se charge de me tirer de mes pensées. Braillant comme jamais, il se rue sur moi, batte en main. Vise ma tête. Ahé, pas de strike. Zwiiff... il chasse les mouches.

                    Hopee làà kiki !

                    Car oui, la marche inopinée de l'homme ivre est la meilleure des feintes. Jte dois une fière chandelle, bibine. N'empêche...

                    Faut arrêter la caféine mon pote ! C'est vachement dangereux tout ça ! Jm'en va calmer l'ambiance moi, z'allez moins faire les malins ! Hold Your Color !

                    Nouveau temps-mort. De ma poche gauche, j'extirpe mon jeu de cartes fétiche. Je dis extirpe parce que ce fut laborieux, mine de rien. Tellement que deux cartes tombent au sol par inadvertance. Carreau, huit. Carreau Roi. Héhéhé...

                    Héhéhééé... Nihihihi, on va s'marrer !

                    J'ai des clowns en face ? Ok, j'vais leur apprendre la profession moi, tiens. D'abord, rameuter le peuple. Les mains en porte-voix, jrivaliserais presque avec Vociferator.

                    Allez, approchez m'sieurs dames, le grand Rik va se produire devant vous...pour vos plus grands éclats de rire !

                    Et les gens approchent. Surtout des clowns. Et plutôt que d'approcher gentiment, ils se ruent sur moi. Quoi les gars, pas de concurrence déloyale entre collègues du métier ? Allons, allons... Vraiment ? Noon, ils oseraient pas. Ce canif là, c'est un faux, c'est obli...

                    Tchaak.

                    ...gg'. Mais...merde je saigne !

                    Aaah...à ... moi. Il m'a ... eu...ouarg.

                    Les larmes me montent aux yeux.

                    J'veux pas mourir putin....je veux pas...

                    D'un bras crispé, je tends la main vers celui qui vient de me planter. Le pauvre homme, en réalisant l'acte dont il vient de se rendre coupable, a perdu de sa hargne. Il est éteint. La clique entière même tire la soupe à la grimace. Un ou deux d'entre eux ôtent leur couvre-chef. Je fais signe à mon bourreau d'approcher, ma voix diminue d'intensité. Je dois lui souffler un mot à l'oreille. Hagard, trébuchant presque, il s'approche. Je suis désolé, qu'il dit la voix brisée. Désolé ? Rhoo, ça va aller mon grand. Tonton Rik va effacer ce gros chagrin d'un cou pde baguette magique, regarde. Il suffit de glisser la formule magique à l'oreille de l'autre...

                    Humouuuuuuwr !!!! Wahaha.

                    Mon éclat de rire lui brise à moitié le tympan.

                    T'as eu peur mon gros lapin ?

                    Je prends le gugusse encore sous le choc dans mes bras et le gratifie d'un gros câlin, puis me redresse, prend appui sur son épaule et l'enjambe avant qu'il ne réalise ce qui se passe. J'atterris devant le reste de la bande, trop surprise pour réagir.


                    L'attrapeur attrapé, que j'dis à Vociferator en pinçant son nez-rouge. Coin-Coin !

                    Évidemment, là, ça réagit. Ça braille qu'il faut m'attraper, me faire la peau. Le plus pressé de mettre le grappin sur moi s'approche, je dégaine. Bang, bang. Un tir de toute beauté. Les attaches de sa salopette bariolée sautent, ses fringues se retrouvent au niveau de ses chaussettes pour dévoiler un caleçon blanc de toute beauté.

                    Sssssplendide ! Allez, la séance est terminée, à plus tard mes loulous !

                    Ben oui, j'ai d'autres gens à distraire moi. Alors jprends la poudre d'escampette, zigue zaguant dans la foule répandant mon rire narquois et mon haleine alcoolisé partout où je passe, prêt à aller rendre visite à mon prochain public. Qui pourrait bien être le grand dadais de quelques pâtés de maison de haut qui surplombe la scène, a allègrement écrasé le reste du contingent de clows qui était en faction de l'autre côté de la place et ne compte manifestement pas s'arrêter en si bon chemin... Nihihihi !

                      - Okay, on se les farcit à deux. Mais tuer ? Non. C'est pas ce qu'on vous apprend à l'armée, j'espère. T'avises pas d'en dessouder un seul du lot, mon passé de saltimbanque le prendrait plutôt mal je crois.

                      Ouai c'est vrai, il a raison ! Un vrai marine ne tue pas dans un but inconnue ! Enfaîte je le pensais plus diaboliques que ça, mais au fond semblait se trouver quelqu'un de bien. En tout cas il m'a prévenue et j'irais pas le chercher car j'ai compris tout à l'heure que je fait pas le poids, ce mec est comme Einstein si ce n'est pire ! Enfin bon voilà qu'un premier clown me débarque sous le nez. Et hop esquive à droite, reprise de volée dans la tête et en voilà un qui vient de s'évanouir sur le sol. Aucunement question de l'avoir tuer non et tant mieux pour moi.

                      J'ai vraiment l'impression d'être dans un asile pour clown ici ! C'est incroyable le nombre de clowns tarés qu'on peut rencontrer dans un endroit comme celui-là ! Je dois vite trouver quelque chose pour partir d'ici, je vais devoir laisser l'homme au lunettes noires mais bon tant pis quoi ! Merdouille celui-là a un énorme bazooka. BAMMM ! Ouza l'explosion m'a propulser à perpètre les oies, heureusement pas trop de dégâts sur moi si ce n'est cet énorme trou dans le sol !

                      Bon ok mon coco tu veux jouer à ça c'est partit ! Jouons au sabres avec toi ! SCHLLIIINNNG ! J'aime beaucoup le son de la lame qui frotte son fourreau. Ça me donne envie envie de découper avec inutilement, tout ce que je vois sur ma route "couique" je le découpe en rondelles. J'avais promis à l'homme à la cigarette que je tuerais personne alors je ne le tuerais pas ! Si il y avait que moi il serait déjà tous découper, parce qu’il m’horripile c'est monstres au nez rouges !

                      Coup de lame, yahh ! Hé mais il le part avec son bazooka ! La vache, habile ce clown, aller coup de pied dans le bide et notre ami cherche son souffle. Héhé alors on fait moi le malin ! Terminatiooonnnnn ! Ça veut strictement rien dire mais ça fait méga mal ! Je viens de coucher l'homme au nez rouge et au bottes hyper longues. Ça consiste à infliger un coup de talon sur le haut du crane de mon adversaire. On dirait que j'ai de la force dans mes jambes, j'ai jamais fait gaffe !

                      Bref personne en vue ! J'ai plus cas me casser de là désoler mon copain, mais ... IL EST DJA PARTIT ! Merde quel con je l'ai même pas vu. Je vais devoir me démerder pour rentrer ! C'est des vacances comme je les aimes !

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                      *Crissement de frein incroyable*

                      Mon dieu, vous assistez tous à un des phénomènes les plus interressants de l'étude du réactionnisme Braffiens : le black-out total! Alors qu'il s'apprête à effectuer sa plus puissante et dévastatrice attaque le voilà qui s'arrête au milieu de son geste, victime de sa propre stupidité. Voyez son regard vide, la bave qui lui coule sur les lèvres, et son immobilité totale. C'est la preuve que son cerveau s'est complètement éteint, suite aux efforts trop violent qu'il a du effectuer depuis le début de ce combat.

                      Et pourtant, il y aurait de quoi. Regardez là-bas, ce petit bonhomme à lunette qui explose du clown à foison! Vous voyez à quel point il a la classe? Vous imaginez ce que pourrait donner un duel entre lui, et notre specimen d'étude?Ah, la demoiselle qui c'est évanouie dans le fond a manifestement imaginé.

                      Même les clown s'éloignent sur son chemin pour laisser l'occasion d'un duel entre les messieurs. C'est pas comme ce petit marine qui a décidé d'effectuer "une opération stratégique de retrait pour préparation d'embuscade". Comment monsieur? Oh mais, ne vous en faites pas, la traduction est très simple. Ca veut juste dire qu'il est en train de fuir comme une fillette.

                      Ah non pardon, il n'a pas fuit, il regarde juste la scène de loin... Que cela vous servent de leçon! Il faut toujours faire très attention aux gens qui nous entourent avant de raconter des bétises.

                      En parlant de ça, voilà que le visage de notre monstrueux bonhomme se baisse pour contempler un autre de ses adversaires, un petit monsieur qui sourit bizarrement, avec une planche dans la main. Euh... D'ailleurs, il me semble que la planche est figée dans le genou du pépère gigantesque, juste au-dessus de la protection de son armure.

                      Monsieur, monsieur, on a un problème, Braff ne répond plus, il faut lancer une mesur d'urgence pour lancer son système nerveux et lui transmettre les informations!

                      Mon dieu mais c'est vrai! Mesdames et messieurs, ne bougez pas, je reviens dans quelques minutes.

                      *Lancement de la procédure de perception et d'analyse de la douleur lancée.

                      Virus repéré, au niveau genou 010110, exécution des fichiers système.

                      Erreur 404 cervelle not found.

                      Accès au fichier réflexion.exe interdite, vous ne disposez pas des droits suffisants.

                      Pour des raisons inconnues, l'application "agir normalement" a due être fermée inopinément, voulez-vous effectuer une recherche internet pour trouver une solution au problème.

                      Invite de commande, lancée.

                      Accès au dossier Braff/action/temaraverlatronche/ autorisé.

                      Lecture du fichier pulvériser.ini...*

                      Bon voilà, c'est bon. Donc, comme vous le voyez, suite à nos manipulations, nous avons réussit à permettre à Braff de réagir presque normalement.

                      Face à cette sensation très désagréable, voir douloureuse, il va donc réagir comme nous l'attendons tous : naturellement. Bien sur, vu la taille du morceau de bois par rapport à la sienne, il ne doit pas souffrir un martyr intolérable, mais essayez de vous faire piquer par un moustique surpuissant se trimbalant à 500 degrés et vous aurez une idée de ce qu'il peut ressentir.

                      Dans son cerveau simple, il n'y a donc qu'une seule procédure correct à suivre afin de mettre fin à cette sensation intolérable : se débarasser du monsieur qui tient la planche. Oui professeur? En effet, Braff est un abruti, mais je suis persuadé que vous appréciriez 15 fois moins mon étude si elle portait sur un ninja orphelin géniallissime qui a juré de tuer son frère pour venger ses parents! Comme vous dites, un telle histoire serait d'un ridicule...

                      Donc, voilà notre gros géant qui décide que son bras aurait une très bonne idée de finir son mouvement. Vous allez donc assistez avec moi un ce que j'appelle affectivement : "La grosse tarte qui fait regretter de pas être au régime".

                      Et c'est un magnifique geste, honnêtement, c'est rarement que je le vois faire un si beau mouvement. Ce mouvement n'est d'ailleurs pas sans rappeler un peu celui d'une balançoire. Bon, une grosse balançoire qui veut vous exploser le crâne, mais on va pas pinailler hein.

                      Toujours est-il que la main du gros monsieur s'en va maintenant, comme vous pouvez le constater fracasser une des maisons juste à côté. Et maintenant c'est le bras gauche du géant qui s'élève, pour regarder droit dans la direction du petit bonhomme à lunette que par un étrange hasard, nous allons appeler... Rik, tient! ça sonne bien, vous trouvez pas?

                      Anticipé la charge de Rik? Hahahahaha monsieur, vous avez un sens de l'humour particulièrement exacerbé. Cela voudrait dire que Braff réfléchit voyons. N'insistez pas je vous en prit, j'essaie de mener une étude sérieuse, comment je peux y arriver si vous raconter des bétises pareilles à longeure de temps!

                      Aller, résumons un peu la situation, le géant vient de balancer un superbe coup là où le combattant pyroman était au dernières nouvelles, sans savoir bien sur, s'il l'a touché ou pas, et maintenant, il a placer son regard sur le sujet Rik, et lève son poing gauche en l'air. Le dernier protagoniste de cette scène quelque peu violente, à savoir le brave soldat de la marine est pour l'instant en retrait, ce qui est bien sur très relatif quand on considère l'allonge du bestiaux...

                      Oh attendez, je crois que le specimen d'étude ouvre la bouche... Ecoutons donc ce qu'il a à dire, cela pourrait être indicateur d'un début de pensée profonde!

                      BOBOOOOOOOOOOOOOOOO

                      Ou pas...
                        Niahaha, chez le gros balourd les fils doivent pas se toucher souvent. Une tronche d'andouille à vous faire gagner des concours les amis ! Ça me donne encore plus envie d'aller lui friser les moustaches. D'autant plus qu'il ne reste plus grand monde dans la place, et c'est peu de le dire. Le dernier chassé du bras en date du géant a pas fait dans la demi-mesure, comme pour rappeler qu'il est ptetre même plus fort qu'il n'est con. Et rien ne garantit que sa cible a pu esquiver le colis expédié dans sa direction. Mon pauvre petit cœur s'en trouve tout chamboulé.

                        Mais...mais pourquoi est-il si méchaaant ?

                        Ah, j'mériterais un oscar tiens. Mais à y regarder de plus près, j'suis le seul à rester relativement maître de mes émotions devant la démonstration de force du gros coco. Une baraque qui vole en éclat, ça suffit à en boucher un coin, chez la plupart des gens. Les machoires des derniers braves viennent frotter le sol, leurs quinze proprio les ramassent bien vite et prennent leurs jambes à leur cou dans un cri de panique communicatif. WAAAH qu'ils font. Ça laisse comme un vide, ça fait prendre conscience du sérieux de la situation...

                        ...que nenni les amis ! Moi, ça m'fait marrer. Les peones tiraient quand même de sacrées gueules avant de prendre la tangente. Des pans de murs entiers s'écroulent dans un grondement, les tuiles retombent, éparpillées sur la place... un sacré carnage dont je m'en tamponne le coquillard. La scène a seulement le don de me tirer une remarque faussement moralisatrice.

                        Mon dieu, c'est terrible. Mais que fait donc la pol...

                        Une ombre passe.

                        Hmm ? Wataaaaah' ! Bordel What the Fuck et toute la clique ?!


                        Y'a un poing grossissement optique x1000 qui me fond sur la gueule. Et pas de méprise possible sur la cible de celui-là. C'est bibi. Tu es seul face aux hordes maléfiques, Rik. Hordes au nombre de un. Mais il compte au moins pour des tas, il est très très gros. Chaque doigt vaut un jambonneau taille XXL. Allez, moove your booty mec !

                        Je cours. Pour éviter le full contact. J'ramasse quand même le bout d'une phalange du petit doigt du mec je crois. Ça me bouscule sérieusement et m'envoie rouler plus loin. Et merde, c'était carrément pas cool ça.

                        Okay, misérable phénix ! Tu l'auras cherché. Prépare toi à subir les affres de l'Enfer, démon ! Car tu as face à toi .... Captain Ame-Rik-aaa !!

                        J'prends une pose de malade, genre sourire Colgate du héros, le V de la victoire d'une main, l'autre réajustant mes lunettes pourtant fixés sur ma bobine. Truc qui en fait s'évanouir les ménagères quoi.

                        Mais là, bug. Le silence. Avec le fichu courant d'air sonore en même temps pour bien te rappeler qu'il est le seul à faire du bruit. Un blanc intergalactique. Vrai, Puissant, Unique. J'vois même le gros bonhomme cligner des yeux.


                        Ohééé, j'ai dit : Captain Ame-Rik-aaa !!!!

                        Hiiiii !!! Vas-y Rik ! Go Captain, Go !

                        Ah, tout de même, j'ai failli attendre. Merci, groupies.

                        We believe in you ! Would you marry me ? Please fu..


                        Ça va, ça va, on va ptetre pas s'enflammer non plus, c'est un show tout public les filles. Bon reprenons...

                        C'coup-ci tout est fin prêt. Dé ? Paré. Pair, je tombe, impair c'est lui. Roule mon grand. Trois. Héhé, ça finit toujours par tourner.

                        Par les pouvoirs qui me sont conférés en ce jour en ce lieu, mon gros... Go to Bed !

                        En même temps que le nouvel effet s'empare du géant, je me sens retrouver ma lucidité. Fini de jouer au pitre. Lui lutte l'espace de quelques secondes, cligne des yeux et essaye de maintenir son équilibre. S'agirait pas qu'il lui prenne l'envie de s'affaler sur place non plus, j'suis pas pressé de me reconvertir en matelas de luxe pour multi tonnes. Bah, on va vite être fixé, il vient juste de s'endormir.


                        Spoiler:
                          Et c'est un magnifique crochet du gauche qui manque de mettre le candidat humain au sol. Heureusement, le formidable jeu de jambe de Rik Achila lui permet d'éviter le gros des dégâts, mais combien de temps pourra-t-il tenir face à la sauvagerie du combattant du Nouveau Monde? C'est vraiment un match sensationnel! It is a mother fucking exciting match!

                          Euh... t'es encore là toi?

                          Bah ouais, pourquoi?

                          *BLAM BLAM*

                          Aaaaaaarg...

                          Voilà, désolé mesdames messieurs pour ce malheureux contretemps. Nous pouvons maintenant reprendre la dernière partie de cette étude oh combien interressante sur l'incroyable violence de notre cher tas de muscle. En effet, comme vous avez put le voir sur les écrans, son immense poing a effleuré le courageux monsieur, mais le style du spécimen d'étude ne consiste pas forcément à s'arrêter dans son élan. La preuve est déjà en l'air, sous la forme d'un bras monstrueux orné d'une massue non moins monstreuse, et qui semble décidé à transformé ce cher Monsieur Achila en crèpe. Pourquoi lui? Tout simplement parce que les autres ont lâchement décidé d'abandonner le champ de bataille.

                          Bon j'avoue dans le cadre du pyroman à la planche, c'est pas forcément sa faute mais bon...

                          Oh, mais mon dieu, Rik prend une pose de héro de mauvaise série japonaise, avec les doigts en V et tout. Cela veut-il dire qu'il est prêt à accepter son sort et de périr dans les flammes de l'enfer ou bien a-t-il un plan redoutable visant à vaincre son adversaire en lui faisant fondre la cervelle par un flot monstrueux de phrases trop complexes pour notre géant adoré?

                          Beeeeeeeeeeeeuh?

                          Ah, ben la réponse correct était la réponse B, la gagnant est Janine Mageant domiciliée au 48 rue des mimosa, à Toulouse. Elle gagne un téléviseur écran plat, une bouteille de Ricard, et +3 niveaux d'alcoolique, ce qui lui permet d'atteindre la classe équipe de Chevalier divin du Berger Blanc avec un bonus de +8 pour invoquer des verres de mosquito.

                          Nous pouvons donc constater l'immobilité total de notre monstre, qui est bloqué, à contempler un Rik passablement ridicule. Sa seule action se résume à cligner des yeux. Etrange réflexe qu'ont la plupart des gens de cligner des yeux quand ils ne comprennent pas quelque chose d'ailleurs non? Bon vous me direz ça a un avantage certain : Braff a des yeux parfaitement humidifié, vu son incroyable tendance à ne rien comprendre.

                          Aaaah voilà qui est mieux, voici un fan club de pom-pom girl venut encourager notre héros qui se retrouve de plus en plus Rik-dicule!

                          hahahahaha elle est bien bonne! Je suis tellement bon, je m'impressione parfois moi-même. Vous ne trouvez pas?

                          *Blanc intergalactique version deux, avec en plus la toux génée du petit vieux dans le fond*

                          Ahem...

                          Bon ben comme vous le voyez, l'adversaire du géant vient de lancer un dé, qui dispose sans doutes de pouvoirs spéciaux pour se battre. D'ailleurs manifestement, si je comprends l'anglais, il vient de lui demander d'aller se faire un petit somme. Très bonne idée, étant donné que Braff n'a pas fait la sieste. Ca se trouve c'est même pour ça qu'il était si colérique!

                          Aller, on va tous refiler un coup de main aux pouvoirs du dé. Tous ensemble :

                          ♪Une chanson douce que me chantait ma mamaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaant!♪


                          ♪En suçant mon pouce j'étais en m'endormaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaant!♪

                          Voilà, c'est bon, regardez le gros bonhomme fermer ses immense yeux et laisser choir son bras n'importe comment. Emporté par son propre poids, il s'affaisse, posant son magnifique postérieur au sol. Sa tête est penchée en avant et son pouce c'est réfugié dans sa pitite bouche. Oui madame, vous avez bien compris, Braff dors assit.

                          En fait en pays Avergne on pourrait même dire que Braff c'est Achi-là!

                          Ahahahahaha...

                          *Bon à ce stade ça s'appelle même plus un blanc tellement c'est puissant. Que pensez-vous du terme super-giga-bide interdimensionnel que seul un type sans amour propre serait capable de faire?*

                          Bon euh...

                          Bah...

                          Retournons à Braff!

                          Comme vous le voyez, le sort à déjà cessé d'avoir de l'effet sur lui. Manifestement notre casinoman overclasse à juste utilisé ses pouvoirs pour neutraliser le pépère assez longtemps pour effectuer un replit stratégique. Mine de rien ça a plutôt bien marché, sauf que du coup, notre géant adoré à un petit creux, comme à chaque fois qu'il se réveille. Et qu'il se couche. Et qu'il marche. Et qu'il fait à peu prêt n'importe quoi d'ailleurs.

                          Mais que regarde-t-il au loin? N'est-ce pas un navire de croisère monstrueux plein de gens, dont un couple d'amoureux se tenant sur le pont avec les bras ouverts?

                          MENJJJEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE


                          Oh attendez je vais juste regarder le nom du navire avant de mettre fin à cette conférence.

                          Ti... Ta... Nic...

                          *générique de fin*