« Physique » Drogo physiquement parlant est assez svelte, sa masse musculaire n’est pas exceptionnellement affirmé, seul quelques muscles dessinent sa silhouette. Etonnamment il a beau manger autant que le ferait un régiment tout entier, aucune trace de graisse ne se retrouve sur son corps. Il est grand, mesurant probablement dans les un mètre quatre vingt, chose qu’il apprécie particulièrement, il savoure l’effet que procure de regarder les gens de haut. Fait très particulier chez lui, il à les cheveux d’un rouge sang, qu’il coiffe en très longue tresse qui selon les saisons pouvait être plus grande que lui. Son visage reste très enfantin, il a de grand yeux d’un bleu rappelant grandement les fonds marins et de fin trait dessinant sa bouche et son nez. Un sourire mesquin se dessine très régulièrement sur son visage, qui au lieu de paraitre réconfortant s’avère être un sourire dégageant un certain sentiment d’avidité appuyé par regard meurtrier.« Style Vestimentaire » Drogo porte un kimono noir s’arrêtant à ses genoux qu’il lasse avec un fin tissue bleue à la taille, il ne porte qu’une sorte de short en dessous laissant la partie inférieur à ses genous à l’air libre. Au pied il chausse des sortes de sandales marron recouvant une bonne parties des pieds ainsi que la cheville mais laissant apparaitre le talon ainsi que les orteils. Les manches du Kimono sont tout le temps retroussé pour laissé apparaitre des protections recouvrant le poignet ainsi que tout l’avant-bras d’un cuir épais de mouton marron mis au dessus de fins gants noir protégeant la peau du cuir des protections. C’est ici qu’est caché le mécanisme déclenchant le mouvement des lames. Bien évidemment ses doigts ne sont pas recouverts par les gants, ils étaient même, à chaque main orné d’une chevalière à l’effigie de son clan. Il porte constamment une cape à capuche beige au dessus de son Kimono, assez grande pour le protéger de tout types d’intempéries imaginables. La capuche une fois mise le recouvrait jusqu’à la limite de ses yeux voir plus bas si il ne faisait pas attention.Psychologies
« Une double personalité » A première vue on pourrait croire que Drogo souffre de troubles schizophrénique, et en y réfléchissant bien on était pas loin de la vérité, même si en aucun cas ce sentiment de doublement de la personnalité répondait d’une quelconque maladie mais bien au contraire d’une éducation. Drogo est un homme formaté, dès son plus jeunes âge on lui à apprit comment penser et comment vivre. Ce qui donna lieu à un être sans foi ni lois répondant à de nombreux péchés.
LA GOURMANDISE
Drogo n’a qu’un fantasme, une belle côte de porc finement grillé, et pour cause le jeune homme se laisse pour la plus part du temps laissé aller à ce fameux pécher. (Si il ne c’était pas surnommé Drogo, il aurait surement du choisir Glutonny). Il semblerait qu’il ne vive que pour s’empiffrer, chaque occasion qui lui est donné est bonne pour manger et vous seriez étonnez de voir ce qu’il est capable d’ingurgité. Accompagné d’un bon verre de rhum, manger pour lui était un excellent moyen de festoyer, parler, rire et prendre du bon temps. Les repas (étant au nombre de 6 par jours) était chez lui sacré et rien au monde ne l’empêcherai de manger.
L’AVIDITE
L’être qu’est Drogo, non content de ce qu’il possède déjà aimerait posséder toute les richesses qui regorgent dans ce vaste monde. Argent, pouvoir, puissance il veut tout de cela et ne léserai pas les moyens attribuer à l’accomplissement de ses fins, tout cela afin de redonner la gradeur et la notoriété de son clan qui aujourd’hui tanguait dans les profondeurs de l’oublie. Il est aussi parcourut d’un besoin avide de vengeance afin de laver l’affront que le Gouvernement Mondial a infligé pendant tant d’année aux siens. Il savait que la raison de son existence n’était autre que la réalisation de son rêve de vengeance qu’il tient des anciens de son clan. Et rien, ni même la mort n’était suffisant à ses yeux pour le détourner de son chemin. Ce sentiment de vengeance fait partie de sa deuxième facette, qu’il garde enfoui au plus profond de lui sans pour autant cesser de s’y laisser aller si besoin est. Il s’en amusait..(Ça sera plus compréhensible au prochain péché ^^)
LA FOLIE OU LA COLERE
En une fraction de seconde le pauvre jeune homme inoffensif qu’il semble être peut se changer en un bête assoiffé de sang, un rien peut déclencher ses excès de folie qui généralement finissaient dans un bain de sang. Le jeune homme trace sa route comme bon lui semble, il se déclare sensible à aucune forme d’autorité et à souvent tendance à le démontrer en passant à l’acte. Il avait beau être pendant un instant un être souriant et peux soucieux de ce qui l’entoure, le moindre élément déclencheur de sa colère pouvait être suffisant pour qu’il se laisse aller à cette facette où plus rien ne comptait à l’exception de sa victime qu’il imaginait agonissant à ses pieds. Ses mains son entaché de dizaines de meurtres, la vie, la mort ne représente plus rien à ses yeux. Tuer n’était plus qu’un geste parmi tant d’autre et il y prenait un malin plaisir, dans la mesure où l’être qu’il visait ne lui était d’aucune utilité. Malgré ses excès de folie il conservait la notion de compagnons et d’équipage et savait qui pouvait être victime de ses envies de meurtre et qui avait intérêt à rester en vie car il pouvait lui être utile à la réalisation de son but. Mais passer la seconde où l’individu ne lui était plus d’aucunes utilité il pouvait en un rien de temps se trouvait comme étant une victime potentiel à sa folie (Dans la mesure où le gars est plus faible que lui xD). Il est victime du même syndrome que nombreux de ses ancêtres avaient été victimes avant lui. (Pour plus d’indications, cf Biographie)
LA JALOUSIE
: Le jeune homme à pour habitude de maudire tout ceux qui par malheur était plus grand que lui. Il en avait horreur, cela lui causait d’horribles frissons et était capable de tout et n’importe quoi si par malheur quelqu’un osait soulever cette différence de taille. Il pouvait ignorer l’horrible frisson, mais pas l’humiliation, car selon lui il ne s’agissait rien d’autre que cela. Certains avaient péri pour avoir trop insisté sur le détail.
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En dehors de ses principaux traits caractéristique Drogo apprécie les quelques bonheurs que peuvent offrir la vie de pirate, il apprécit perdre son temps dans les tavernes du coin, à faire le bandit en ville, vivre comme un vrai pirate en sois. Il apprécie la compagnie des femmes et appréciait énormément rire, d’autant plus ceux qui le faisait rire. Le rire, c’était son seul moyen de rester légèrement éloigner et de vivre sans cette malédiction, car son caractère ne s’avérait pas évident tout les jours, se mettant quotidiennement dans des situations très cela l’obligeait continuellement à fuir les villes dans lesquelles il a séjourné dans son voyage jusqu’à Redline.
Biographie
« L’espoir de tout un clan » La vie de Drogo ne peut être dissocier de l’histoire de son clan, les Pän Dragon vivant Quelque part sur North Blue sur une île répondant au nom Kyiabulla, le repère des Dragons. L’histoire du peuple résidant dans cette île remonte à plusieurs siècles. Les Pän Dragon était connu comme un peuple regorgeant d’Assassin. Non pas de vulgaire criminelle, ils étaient belle et bien connu comme étant des Hommes excellant dans l’art de l’infiltration et de l’assassinat. Ces Hommes représentait la fierté du pays et était garant de la puissance des dignes descendants des Dragons. Ils étaient embaucher par les hommes les plus riches et influant de toutes les époques afin d’effectuer la besogne dont ils refusaient de s’entacher. Ils étaient né pour le meurtre et vivait de celui-ci. La réputation et la crainte que véhiculait ses hommes faisait des Pän Dragon le peuple le plus crains et respecter de tout les océans. Les légendes compté qu’il fut un temps où ces Assassins avaient pour monture des Dragons et que le nom de l’immense clan venait de là. Car il était vrai que jadis des Dragons vivaient sur les terres verdoyantes de Kyiabulla. Aujourd’hui, il en restait que des ossements. Une particularité permettait de distinguer tout les Pän Dragons des autres peuples, de tout âge ils avaient les cheveux d’un blanc éclatant, tous, du moins à l’exception de ces assassins. La couleur des cheveux à la naissance faisait office de sélection, un enfant sur cent environs naissait avec les cheveux rouges, rappelant la flamme des dragons. Ces êtres bénéficiait dès leurs naissances d’un pouvoir qu’il nommait Poundra, le souffle du dragon (Qui autrement dit se nomme le Haki). Ils étaient enlevés à la mère dès le berceau afin de leur faire subir une formation faisant d’eux après plusieurs années d’entrainement quotidiens des assassins. Cependant le Gouvernement Mondial, qui se faisait de plus en plus puissant et dominant mis un terme à l’âge d’or des assassins. Même si de nombreux nobles usaient des services qu’offraient les Pän Dragons le gouvernement jugea qu’ils représentaient une sérieuse menace à l’équilibre du monde. Car malgré le refus de ce peuple de recourir à la piraterie, il n’obéissait à aucunes lois et se déclarait indépendant du Gouvernement Mondial. Des rumeurs parcouraient les océans comme quoi les Pän Dragon envisager sérieusement d’établir des plans de conquête des océans. Ainsi tombèrent un par un les Assassins aux cheveux de flamme, résultat du courroux du Gouvernement Mondial, qui malgré sa toute puissance restait naïf à cette époque où il était encore si jeune. Ils pensèrent qu’en supprimant tout les cheveux de flamme plus aucun ne naitrait parmi leurs rang. Et puisqu’ils s’agissaient de leur seule arme, les Pän Dragon devinrent un peuple inoffensif. Ainsi d’immenses remparts à l’effigie de la marine vinrent entourer Kyiabulla de telle sorte que les Pän Dragon ne soit plus qu’un peuple oublié aux yeux du reste du monde. Aucun Pän Dragon, en punition pour les crimes de leurs peuple ne pouvaient quittez l’île. Mais les possesseurs du sang de dragon savaient que le souffle était un caractère qui pouvait s’exprimer plusieurs génération plus tard. Ainsi tout le peuple et les dirigeant vécurent pendant plus d’un siècle sur un désir de vengeance qui ne se concrétiserai que par l’arrivé d’un nouvel Assassin. Ils attendirent patiemment jusqu’à la naissance d’un garçon venant du petit peuple aux cheveux de flamme, que sa mère eut rapidement le temps de nommé Naotta , Garuno étant son nom. Mais il lui fut vite enlever, dans la plus grande discrétion par les anciens qui eux seul possédaient le savoir nécessaire à la formation d’Assassin. Le Gouvernement lui n’était jamais bien loin plusieurs bases se trouvaient aux pieds des remparts, ainsi le nouveau né fut transférer au palais royal où il vécu de nombreuses années sans pouvoir en sortir.
La formation d’Assassins était très rude et répondait à de nombreuses méthodes que très peu orthodoxe. Pour le jeune Naotta, elle commença très tôt, dès son arrivé jusqu’à l’âge de trois ans il fut élever sans aucun amour maternel, sans aucun contact humain, on l’avait placé dans une chambre qui à l’exception d’un lit était vide. Il recevait la visite d’une personne qui daignait seulement le nourrir au biberon, une fois la tache accomplit elle se retirait après lui avoir dit une phrase qui n’avait aucun sens au commencement, mais il s’avéra que chaque jour la phrase de la servante était différente, ainsi il pouvait s’acclimater avec le langage humain. Tout était soigneusement planifié. Il avait beau pleuré toute la journée, personne n’étaient là pour répondre à ses besoins. Très vite dès l’âge de deux ans il s’habitua à son rythme de vie. Il ne pleurait plus, ne parlait toujours pas, le pauvre enfant restait à longueur de journée assis dans le coin de la pièce à gribouiller des dessins sur le mur. Passé trois ans, une première personne prit contacte avec lui, la seule pendant plusieurs année. Il s’agissait d’une vielle femme qui siégeait au conseil des anciens du pays. Elle était chargée de son éducation, et celle-ci commença par un premier meurtre. Le jour où elle fit son apparition, elle était accompagnée de trois lapins. Elle ne l’appela par aucun prénom, elle lui demanda juste de tuer un des trois lapins, celui de son choix. Naotta en fut pétrifié de terreur, alors qu’il fut armé d’un long couteau le pauvre enfant ne put céder à la demande de sa tutrice. Celle-ci lui répondit froidement qu’il n’aurait rien à manger tant qu’il ne ferait pas ce qu’on lui demandait. Ainsi elle le laissa seul dans son désarroi sans l’once de la moindre nourriture mis à disposition. Elle revint cinq jours plus tard, Naotta lui souffrait au lit, son ventre criant famine. Et il était asséché, mais il s’approcha. Cette fois ci elle lui ordonna de tuer deux des trois lapins qui était avec elle. Naotta en fut encore plus effaré, et malgré tout ses efforts il ne put accomplir la tache. Ainsi la scène se répéta, elle le laissa de nouveau seul, privé de nourriture cette fois ci pendant plus d’une semaine. En revenant elle eu le loisir de découvrir un jeune enfant de trois ans sur le point de mourir prématurément de faim, ne pouvant à peine tenir sur ses jambes et ayant plus que la peau sur les os. Naotta avait une mine affreuse et avait du se donner à d’immonde chose afin d’étancher sa soif. L’odeur qu’il dégageait n’était pas réjouissante, et tout cela à l’âge de trois ans. Une autre chose avait changé, son regard qui était a présent vide de toute lueur d’espoir ou de vie. Elle lui ordonna de tuer les trois lapins. L’enfant saisit le couteau et mit fin aux jours des lapins sans aucuns remords ni hésitation. La flamme de l’assassin venait de naitre en lui. La vielle femme parut enchanter et lui annonça que sa formation allait grandement avancer. Ainsi dès le plus jeune âge on lui enseigna les arts du Kung-Fu, du Karaté, de l’Aïkido et bien d’autre, favorisant ainsi la maitrise totale de son corps. De nombreuses techniques d’assassinat lui furent transmise, ainsi rapidement il apprit l’art de ne faire qu’un avec le vent et les ombres. Et il s’avéra très doué, le jeune homme avait le meurtre dans le sang, il le sentait, jour après jour se développé dans son esprit le doublement de sa personnalité cédant de plus en plus à cette folie meurtrière. Elle était le fruit de cette éducation, tout les Assassins de l’histoire l’avaient eu en eux. Et c’était bien la volonté de ses tuteurs, de faire naitre et flamboyer cette flamme. Il reçut également une éducation, apprit à lire et à écrire. Régulièrement on l’envoyait tuer quelques individus dérangeant. Naotta remarqua rapidement que plus il se plié aux ordres et plus il obtenait de liberté. Ainsi il devint rapidement un parfait petit pantin aux bénéfices des causes de ce pays. Il lui avait très largement transmis cette haine envers le Gouvernement Mondial que tous ressentait. Il savait en grandissant la raison de sa naissance et se résolut à ne vivre que pour celle-ci. Il devait avoir quatorze ans lorsqu’il se résolut pour de bon à être la machine de guerre de son peuple. Cela arriva le jour où il eut pour ordre de mission d’assassiner ses propres parents. A la surprise générale il s’exécuta sans broncher. Il se trouva que lorsque les deux parents se trouvèrent jonché mort aux pieds du jeune garçon celui-ci ne ressentit aucun type de sentiment à leurs égards, jugeant que si ils avaient vraiment étaient ses parents, ils ne l’auraient pas laissé vivre l’enfer qu’il avait vécu dans le palais royale. Ce fut un jour important dans sa formation, la mort n’avait plus de signification à ses yeux. Il était à présent un Assassin, même si le souffle ne c’était pas manifesté il excellait dans l’art du combat et de l’assassinat et fut rebaptiser Drogo en l’honneur du dernier homme avant lui à être né avec les cheveux de flammes. Il devait a présent oublier son ancienne identité. Il reçut également en plus du titre l’arme de l’Assassin dont il portait dorénavant le nom, le Dragon-Wing. Bien des choses avaient changé depuis l’époque des derniers Assassins, Naotta en était un a présent, mais sa mission était tout autre de celle de ses prédécesseurs. Il devait prendre la tête d’un équipage et renverser le gouvernement mondial. Le conseil des sages eut du mal à se résoudre à baisser le clan des Pän Dragon à de la piraterie, mais certains dorénavant y voyait une certaines forme de noblesse. Et puis il s’agissait bien là d’un mal pour un bien. Les espoirs de renaissance des Pän Dragon reposaient sur les épaules de Drogo et il le savait. La perspective de devenir pirate le réjouissait, ainsi il arrêta sa formation dans l’art de la discrétion pour faire de lui une arme puissante de combat. Pendant six ans Drogo eu le loisir de perfectionner ses techniques à l’aide de son arme. Pendant vingt ans il avait vécu dans le mystère absolue, le Gouvernement Mondial n’avait pas connaissance de son existence. A l’âge de vingt ans il fut envoyer sur les mers, tâche qui se révéla très difficile en raison du blocus total imposé par le gouvernement, mais quelques pots de vin suffirent à faire fermez les yeux des intendants sur la disparition de l’une de leurs frégate. Il n’avait plus aucune atache avec le pays, juste ce but ultime qui allait lui demander énormément de temps et de patience. Mais il avait hâte de vivre comme un pirate. Malgré cette habilité à tuer si froidement il gardait une mentalité de gosse cherchant s’amuser un peu. Sa première destination fut Logue Town. Kyiabulla se trouvant tout à l’Est de North Blue il lui fallut un an pour arriver à destination. Un peu hâté par ses objectifs il se constitua un équipage de fortune, composé de quelques matelots qui prétendait savoir bien manier le sabre. Séduit par leur attitude de bandit il en fit son équipage et se lança bien rapidement sur Reverse Mountain. Une fois sur Red Line ils firent station au cap des deux jumeaux où ils firent la malheureuse rencontre d’un pirate qui s’avéra être plus fort que le jeune Assassin. Ils subirent une défaite cuisante, que Drogo eut beaucoup de mal à accepter. Après avoir fuit avec deux des membres de son équipage qui c’était réduit en raison de la mort précipité des deux autres Drogo rentra dans une colère noire qui s’acheva par la mort du reste de l’équipage. Cela faisait un an qu’il voyageait de ville en ville, toute aussi inintéressante les unes que les autres alors qu’une fois arrivé sur Red Line il repartait de nouveau au point de départ, il en était dégoûter, et se promis pour le succès de sa mission de ne plus céder à cette folie, ce qui était une tache un tantinet compliqué.
Exemple de RP
« Consignes » Tu te trouves sur une île de ton choix, c'est un jour de grand marché ! Il y a des stands pour tout et n'importe quoi. Nourriture, vêtements, armes, animaux, etc. Tout est très agité, coloré, odorant, bruyant, bref, c'est animé ! Si bien que tu n'as failli pas remarquer ce type banal qui essaye de te voler ta bourse. Comment réagis-tu à cette tentative de vol ?
N'hésite pas à prendre en compte ton environnement pour avoir matière à RP. Tu peux prendre des libértés avec le sujet, tant que tu restes dans le thème.« Escale à Taraluveneel » C’était une journée comme les autres qui s’annonçait au Royaume de Luveneel, le soleil c’était levé il y’a de cela trois heures, les oiseaux avaient entrepris leurs sérénades et les habitants de Taraluveneel s’était réveiller en douceur aux doux sons que produisait les oiseaux de l’île. Oui une journée tout à fait banale s’annonçait en ce royaume rayonnant de splendeur. Drogo, durant son voyage vers Grand Line ne manqua pas l’occasion de faire escale dans le royaume qu’on prétendait être le plus grand de North Blue. Il put constater par lui-même que la rumeur était tout à fait fondé, trois grande cité se situait sur l’immense île et elles avaient l’avantage d’être toute aussi splendide les unes que les autres. D’autant plus qu’une des cités étaient connus pour abriter bon nombre d’équipage pirate qui profitait des joies qu’offrait la ville de Taraluveneel, enfin c’est ce qu’il avait espérer. Une fois arriver il s’avéra que la Marine avait reprit le contrôle totale des lieux, ayant pour conséquence la fuite de tout les pirates des environs.
Peut importe, il était arrivé tôt, aux environs de huit heure sa frégate avait accosté au port de la ville. Maintenant qu’il y était il décida d’y séjourner quelques temps, il était fatiguer de fuir, voilà trois villes qu’il avait quitté précipitamment à cause de divers incidents qui lui valurent la colère d’un équipage pirate et celle de la marine. Tout cela pour une carte volé et une altercation sur la place de la ville avec un soldat, le pirate lui avait juré sa perte, pourtant Drogo jugeait qu’il l’avait débarrassé d’une belle épine dans le pied, le pirate devait être très peu doué en Navigation car il n’avait même pas remarqué que la carte était fausse et qu’elle était trop vielle pour espérer y obtenir une quelconque destination. Mais allez parlez avec un pirate caduc et grossier, il n’avait rien voulut entendre. Mais par chance il les avaient semé bien rapidement et avait pu trouver refuge dans cette ville.
Voila maintenant une heure qu’il parcourait les rues de l’immense ville, il fut ravit de constater que malgré l’absence de l’ambiance pirate qu’il affectionnait tant la ville avait bien d’autre surprise à lui réserver ! Il fut d’abord attiré par l’immense zoo qui se trouvait non loin du port, il paya l’entrée à un prix exorbitant mais ne fut pas déçut d’avoir tant allégé sa bourse pour une attraction réservé dans la majorité aux civils et aux mômes. Mais peut importe il en restait un dans l’âme finalement. Il fut émerveillé par la diversité des animaux présent dans ces lieux, des animaux difforme était enfermé dans les cages, comme des kangourous à queue de cochon, ou bien des moutons chauve-souris, il fut encore plus impressionné par l’éléphant-girafe qui avait une forme très très particulière. Il ne put s’empêcher de rire devant les idiots de singes farceurs qui s’en prenaient aux touristes les plus naïfs qui osaient s’approchait de trop près de la cage. Il avait rit à pleine gorgée. Cependant quelque chose avait attiré son attention.
Une odeur de viande grillée lui passa par les narines, il en fut comme hypnotisé et se laissa guider vulgairement par son odorat. Tant pis pour le zoo c’était-il dit JE MEURS DE FAIIIIIM. En l’espace de quelques instants il avait quitté le zoo, après avoir insulté la femme qui l’aborda en lui disant : « Revenez-nous voir bientôt, nous vous attendrons avec impatience. » Elle pouvait comptez la dessus la gourdasse. Il se trouva sur la grande place de la ville où il découvrit avec joie qu’il était arrivé le jour du grand marché, les touristes venaient des quatre coins des océans pour acquérir un des biens qui s’y trouvait exposé. Mais un marché était synonyme de nourriture, en abondance ! Drogo passa sa main sur sa bouche, comme pour essuyait de la bave qui ne coulait que dans son imagination, mais pour sur il en salivait déjà. Il franchit le pas et s’engouffra dans la dédale de stand que composait le marché.
C’était une éruption de couleurs, de bruits et d’odeurs qui s’offraient à lui. Un brouhaha gigantesque semblait émaner de la foule, des musiciens de rues partageait au grand public des airs festifs que souvent les pirates reprenait, des bruits de casserole s’entrechoquant avait tendance à irrité les oreilles, d’hirsutes commerçant criait à tout va, de telle sorte à attiré la clientèle. Les stands mettaient à disposition tout type de marchandise, cela allait de nombreux tissus colorés à des armes toutes aussi dangereuses les unes que les autres, certains proposait leurs service en tant que forgerons, d’autres des plats de leurs confections, il y’avait de tout, les odeurs étaient enivrantes. Pour un glouton comme lui il était arrivé à l’endroit où il devait être, et nulle part ailleurs. Il s’arrêta d’abord au stand de bonbons où il s’empiffra de toutes les sucreries inimaginable, du chocolat, des pates d’amande, des dragées, d’immense cake. Il ne s’arrêta que parce qu’il sentit une odeur de viande grillé, du coup le jeune homme s’empressa d’aller vers la source de l’odeur. Il y avait du monde énormément de monde, les gens se bousculait, parlez à haute voix tout ça dans une ambiance toujours aussi festive. Drogo se sentait parfaitement à son aise qu’il en relâcha son attention. Et puis il y avait tant de nourriture qu’il ne savait par où aller, si ça ne tenais qu’à lui il aurait déjà tout mangé.
Il arriva vite au cuistot qui faisait griller des entrecôtes, qui luisante sur le barbecue firent saliver le pirate. Sans même attendre il se servit sur le feu, sous l’œil surpris et consterné du cuistot et engloutit l’intégralité de la pièce de viande. Il en saisit une deuxième puis une troisième. Il se mit soudainement à rire et prit la parole, la bouche totalement pleine de viande.
« Chéé exchéllent votch truch , chan mancherai toutch la chourné d’chtruc la, koiche chavec un peuch de pomche de terrche cha chrai encore meilleur » cette fois ci il avait engloutit toute la viande et put dire correctement les deux derniers mots, il ne remarqua même pas que ce qu’il avait dit était totalement incompréhensible, ce qui était dommage car il était rare de voir Drogo faire un compliment à quelqu’un.
« J’vous dois combien ? »
« 600 Berrys »
Drogo grogna, c’était tout de même chère payé pour trois bouts de viande mais après une longue hésitation il se décida à payé. Il délassa sa bourse pour y saisir la somme demandé, il n’avait pas la monnaie il devait donc payer avec un gros billet. Le cuistot parut embêter car il n’avait pas exactement le compte et se retourna pour demander à un de ses collègue de lui rajouter quelques pièce. Mais plus important, alors que le cuistot c’était retourné, Drogo sentit un attaque qui se révéla imminente, son sens d’Assassins venait d’être alerté, le pirate réagissa au quart de tour, il était niait celui qui penser pouvoir mettre fin à ses jours par derrière, il en fallait plus. D’un geste rapide il appuya avec son pouce droit sur la chevalière qui se trouvait sur sa main droite et immédiatement la fine lame dissimulé sous ses protège poignet s’actionna, s’étendant de tout son long dans la gorge de son assaillant. Pendant qu’il avait actionné le mécanisme avec sa main gauche il saisit l’arrière de la tête de son assaillant pour la tirer en avant de telle sorte à l’approché de lui, il tourna le torse sur le côté et planta la lame d’un geste brusque pile sous le palet, la lame ayant traversé la tête de part en part. La lame était resté bloqué dans la boite crânienne et ne c’était pas retroussé dans la protection. Il se retrouva bien embêter.
Tout d’abord parce qu’il avait agit dans la précipitation et c’était laissé aller à un léger excès de folie, même si on pouvait considérer ça comme du self-défense. Mais cela le mettait dans une situation très délicate, car il était entouré de monde, heureusement pour lui tant que la lame était bloqué dans le crane de sa victime, aucune goute de sang n’avait été versé, du moins très peu, quelques gouttes avait éclaboussé son visage. Plus grave encore, Drogo comprit très rapidement que le pauvre bougre qu’il était n’en avait pas après sa vie mais seulement aux quelques milliers de berrys qui se trouvait dans sa bourse, ses doigts était entièrement rentré dans celle ci. Pourtant Drogo en le regardant ne vut rien en lui qui laissait croire qu’il pouvait être un voleur, il ressemblait à un bon père de famille, qui devait surement avoir une situation stable aux vues de ses vêtements et la propreté de ceux-ci. Alors pourquoi avait-il essayé de le voler, peu de chance pour lui il était tombé sur un Assassin, qui réagit au quart de tours qui plus est ! Une flamme n’acquit dans son regard. Un pauvre orphelin pouvait se résoudre au vol, mais un homme comme lui. C’était le comble de l’ironie. Il en fut dégouter et voulut lui craché au visage mais il fut interrompu par le cuistot.
« Voila t’a monnaie jeune homme..revii-e..revient quand tu veux » Dit-il en palissant a vue d’œil.
Il était vrai que la scène était pittoresque, il était là, face à un homme qui semblait à peine tenir debout, pris d’horrible convulsion et lui avait le bras disposé sous son mentons. Les gens qui passaient près d’eux en voyant ça pouvait s’imaginer tout type de scénario ce qui pouvait être embêtant pour lui. Mais encore une fois heureusement que le sang n’avait encore giclé. Il fut également soulagé de constater que personne encore ne criait au meurtre, mais le cuistot si il devenait encore plus pale n’allait pas tarder à s’époumonait à crié. Il essaya de faire tout d’abord demi-tour mais il vu que c’était impossible, il essaya de tendre son bras gauche en arrière l’obligeant à se tortiller de manière très inhabituel et constata que même comme ça il lui était impossible de récupérer la monnaie. Il se trouvait bête à faire le clown alors qu’il était dans une position si délicate, mais c’était bel et biens le clown qu’il faisait en essayant de nouvelles positions farfelue sans pour autant y parvenir. Il jura !
« Garde ta monnaie, idiot ! »
Maintenant il fallait s’éclipser et au plus vite. Il enfonça un peu plus profondément la lame de manière a soulever le corps maintenant inerte. De la force de ses bras il souleva de quelques centimètres le corps et commença à avancer. Il apprécia le doux son que produisait le son de son crane se brisant sous la lame aiguisé, mais ce n’était pas sur qu’il tienne, et si par malheur celui lui se rompait il ne donnait pas chère de l’état de la tête du cadavre. Mais l’important c’était de faire croire qu’il était vivant. Drogo se prit à lui parler à haute voix, comme si il lui racontait une blague qui l’avait fait tordre de rire et qu’il fallait absolument qu’il lui narre. Mais c’était trop grossier, et les gens au tour de lui commençaient à avoir de gros soupçons. Il avançait depuis plusieurs mètre et il ne trouvait toujours pas d’issus, ce marché qu’il trouvait resplendissant quelques minutes plutôt fut la victime de ses malédictions. La pression était horrible et limite palpable. Le sang coulait le long de son bras, dès qu’il arrivait quelques parts le silence régnait.
Miracle, il trouva une allée vide à l’exception d’une benne à ordure sur sa droite. Il s’y engouffra bien rapidement pour quitter le brouhaha incessant du marché. Il était soulagé, une fois au milieu de l’allé, face à la baine. Il retira d’un coup sec la lame qui une fois sortie de la tête du cadavre se retroussa dans les protections. Il rigola. Malgré toutes cette pression il avait réussit à éviter la panique général.
Le pirate se pencha et commencer à acheminer le corps en direction de la benne. Mais il fut interrompu
« Eh toi là, dépose ce corps par terre ! »
Deux marines c’étaient également engouffré dans la rue par le même chemin que lui, armé tout deux de longs fusils. Sa petite aventure avait fait peut être plus de bruit qu’il ne l’imaginait. Drogo esquissa un sourire et dit dans un léger murmure.
« Ahah avec plaisir, mais compte pas sur moi pour rester en ta compagnie. »
Il lâcha brusquement le corps, sauta rapidement sur la benne puis fit un second bond en hauteur en direction du mur d’en face à droite pour en faire un troisième vers le mur de gauche puis un quatrième sur celui de droite jusqu’à être arrivé en un claquement de doigt en haut du bâtiment laissant les marines à leurs ébahissement, il avait beau eu vider leurs chargur en entier, il ne l’avait pas touché. Une fois la haut, Drogo ne se fit pas prier, il détacha la sangle qui retenait à son dos Dragon-Wind, déploya ses ailes et décolla en direction du port, scindant le ciel ensoleillé par l’immense silhouette de son planeur. Il avait été rapide cette fois ci, il devait déjà quitter le pays.
Information IRL
« Me & Myself » Prénom : Pas besoin de savoir -_-
Age : 19 ans
Aime : La musique, la vie en général
N'aime pas : pas mal de chose :p
Personnage préféré de One Piece : C’est une bonne question :p Encore trop méconnu mais j’adore Shanks !!
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Agréable, sociable, ouvert, inspiré *_*
Fais du RP depuis : Perpette, j’ai commencé à treize ans, c’était pas glorieux xD
Disponibilité : 5/7
Google is my friend !