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Edgard et le départ à l'aventure

le départ à l'aventure !
L'aventure n'est qu'un autre nom plus romantique pour "problèmes".

Le vaste horizon s'étendant vers l'océan.. Voila une chose qui intrigue tout les hommes en cette ère de piraterie ! Et évidemment notre cher Edgar Boomer, 19 ans, vil gredin, ne faisait aucunement exception à ces rêves d'aventures.
Un jour sur la petite ile sédimentaire de Frog, Frog Island pour les touristes d'East Blue, se trouvait ce jeune homme qui n'avait aucune idée de ce que l'avenir allait lui réserver.

Pourquoi l'histoire se centre autour de lui ? Pas parce qu'il est l'un des protagonistes, ni parce qu'il est l'un des héros qui sauvera ce monde mais parce qu'il existe tout simplement...

Marchant de son style disgracieux et de sa nonchalance habituelle, il lui vint une envie de voir l'océan et de rêver comme le ferait tout autre jeune homme normalement constitué. C'est ainsi qu'en se tournant à peine en direction du bruit résonnant des vagues s'écrasant contre une falaise qu'il prit une pose pensive, comme tout autre jeune homme normalement constitué, pour mieux contempler ce vaste océan qui se dévoilait alors de son bleu turquoise sous son regard.


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Il tenta de rester ainsi, pensant dégager une très bonne image de lui même en cette position. "Tenta" car malgré le fait que notre camarade soit loin d'être un idiot, il y avait un facteur auquel il n'avait pas même songé une seule seconde.
Le reflet du soleil sur la surface de l'eau augmenté par le verre de ses lunettes lui brula légèrement la rétine, laissant une très légère fumée blanche s'envoler de l'arrière de ses lunettes.



Hé bien ! Est-ce la un signe que si je m'aventure dans ce nouveau monde je me brulerais les ailes ?
Fufufufufufufufufufufufufu
(Rire d'Edgard)


Une ombre se faufilait à l'horizon. Pensant qu'il s'agissait de la brulure du soleil, Edgar détourna le regard avant d'ôter ses maudites lunettes  d'un geste dessinant harmonieusement un arc de cercle parfait de sa main dextre. Il cligna alors une bonne centaine de fois des yeux.
Oui centaine sans blague, cela dura à peu près 4 minute et 42 secondes. Le temps à l'ombre de se rapprocher un peu plus. C'est en s'intéressant de plus près qu'il s'en rendit compte, quatre navires gigantesques très endommagés, il se concentra un peu plus pour observer le morceau de tissu qui semblait attaché au sommet de leurs mâts



P...Pi...Pi...PIRATES !!


Ni une, ni deux, ni même peut être trois ! Nous pouvions observer dans son élégance si éblouissante que cela en devint gênant notre jeune homme faire volte face a la manière d'un danseur de ballet. Il se penchait alors de sorte à prendre appuis sur le sol tel un athlète olympique.  


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C'est ainsi que nous pûmes saisir la grâce et la puissance de sa course lui permettant de courir 100m en 11 seconde,  merci à Darwin, ce qui fût suffisant pour apercevoir le village le plus proche. Il devait rester environ 2 km jusqu'à celui-ci, et comme l'on pouvait s'y attendre Edgar commençait déjà à fatiguer, rares sont ceux pouvant sprinter sur de longues distances après tout. Au bout de 500m, il courba son dos vers l'avant de sorte a poser ses deux mains sur ses genoux, avant de lâcher un très gros soupir. Sa destination n'était définitivement pas ce village mais le temple servant de repaire à la famille Mafiosi.

Une longue route le séparait de celle-ci, il devrait surement traverser toute l'ile pour y arriver. Un court moment de réflexion le parcourra alors. "Ce sont des mafieux, ils sont costaud et au pire je ne leurs dois rien, ils m'ont juste appris a me débrouiller." triste excuse sachant que ces personnes l'avaient sorti de la rue et s'étaient occupés de lui depuis pas mal de temps maintenant. Mais cela ne l'empêcha pas de prendre tout son temps en trottinant à une allure légère pendant un long moment en direction du temple. Son parcours se passa sans encombre, même lorsqu'il entendit diverses explosions et détonations en arrivant à mi-chemin. C'est ainsi que ce charmant gentilhomme arriva sans encombre devant un temple légèrement détruit, plusieurs voix se firent entendre en même temps



Ma Qué ! Enfuis toi vite Fratellino !

Libéro ! Tu fais parti de la famille ! Ne les laisses pas te prendre !


Mamamia ! Aidons le les gars c'est notre petit frère à tous !


Edgar avait à peine le temps de voir ses compagnons liés par des cordes, nombre de pirates amassés autour avaient l'air à moitié mort. "Oh et puis c'est pas mon problème" Se disait-il, il aperçu au moment de se retourner ses "camarades" tenter de faire du grabuge pour lui permettre de s'enfuir. Affichant un énorme sourire une fois dos à eux il se mit à courir à la manière Darwin tel que vu plus tôt. Un peu plus loin il se retourna une seule fois, pour s'assurer qu'il n'état point suivi par quelconque malandrin.


POC



Il tombait sur ses fesses suite à cet impact. Prenant son habituelle tête de délinquant ou duckface pour nos amis occidentaux il toisa l'homme tout en se relevant d'un mouvement paraissant inhumain tellement celui-ci semblait parfait.



Hep boloss, tu te prend pour qui à me ....


BAAAM !!


C'est ainsi qu'il pu constater qu'il se situait face à une armoire à glace, un homme portant un chapeau qui était brodé du même symbole que sur le drapeau. Le capitaine. Il arriva à cette conclusion parce que l'homme avait réagi très rapidement, celui-ci se contentant de ne coller qu'une droite. Une seule. D'une violence telle que le choc se répandit en faisant fuir les animaux et divers oiseaux autour d'eux,c'est comme ça qu'Edgar avait perdu connaissance.

Il se réveillera un peu plus tard, tandis qu'une volumineuse proéminence était apparue sur le sommet de son crane. Tentant instinctivement à la reprise de ses esprits de reprendre sa fuite il constata avec une certaine amertume que de vulgaires cordes l'entravait. Il semblait aux yeux de tous qu'il ne puisse rien faire mis à part s'agiter de manière forte étrange. Tellement étrange que l'un des hommes qui étaient debout s'avança en direction d'Edgard, il ressemblait trait pour trait à l'homme qui l'avait mis dans cette position humiliante. Alors c'était donc lui le capitaine ?

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Je suis le grand capitaine , maitre de tout East Blue !
Malgré que mes hommes et moi même se sommes pris une éclatante dérouillée
Je réquisitionne tout les biens des Mafiosi et vous ordonne de nous mener à votre salle des coffres ! Sinon nous vous exécuterons un par un ! Et toi Gamin cesse de geindre si tu ne veux pas servir d'exemple !
COMPRIS ?


Sa voix était des plus puissantes, l'on pouvait comprendre au travers de celle-ci que ce capitaine était doté d'une grande force. Edgard senti instantanément le danger que représentait cette menace ainsi il cessa de se tortiller. A quoi bon après tout, il avait réussi a détendre la corde durant ses nombreux mouvements, un mafieux digne de ce nom avait l'habitude de se faire attacher, d'autant que ces marins d'eau douce semblaient être de parfaits imbéciles. Il cherchait des yeux le Don de la famille, ne le trouvant pas il savait qu'il ne saurait tarder à faire une entrée fracassante dont il a le secret, toutefois il ne savait point du moment exact ou cela allait se produire, ainsi il devait se montrer patient en évitant de faire monter les soupçons sur lui, se faire oublier c'était ce qu'il lui restait à faire. Le temps passa très lentement, les deux minutes qui passèrent donnaient l'impression de durer une éternité, puis des détonations se firent entendre, ce fût le signal, tout le monde sauf Edgard détourna les yeux en direction de l'entrée du temple servant de repère aux Mafiosi, .

Il n'en fallu pas plus pour voir voltiger une dizaine d'hommes depuis cette entrée suivi de peu d'une très fine pluie de sang qui dura seulement quelques instants. Dans la pénombre de celle faisaient alors apparition une petite troupe d'individus préférant rester dans l'ombre un maximum , de chacun d'eux se dégageait une puissance valant celle des pirates, nul ne sait comment se finirait l'affrontement à venir..


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Edgard lui, toujours enclin à garder son sang froid même en étant terrifié, parvint à profiter de cette fameuse entrée fracassante pour s'extirper de manière très adroite loin du rassemblement auquel il participait. Il n'avait plus qu'une pensée en tête : "Il est temps de me venger de ces enfoirés, j'ai pas oublié toutes les raclées qu'ils m'ont filés pour se défouler, je n'oublierai jamais cette humiliation." C'est sous ces pensées de revanche, qu'il se précipita à l'entrée d'une des différentes sorties de secours du temple. Celui ci était composé de diverses salles en sous sol formant un grand réseau de tunnel, pouvant facilement permettre a un non initié de se perdre durant plusieurs jours avant de trouver une sortie.

Une fois entré dans ce réseau, Edgard n'avait plus qu'un plan en tête, un plan qu'il avait mis au point après avoir passé des années et des années au service des Mafiosi. La salle ou était stocké l'armement de la famille se situait proche de l'entrée du temple, sous le sol, sous l'emplacement ou se déroulait les affrontements. Le lecteur aguerri pourrait ainsi comprendre le plan de notre merveilleux calculateur. Ce fût en chemin pour rejoindre cette fameuse armurerie qu'il pouvait sentir le toit au dessus de sa tête trembler violemment à de multiples reprises, l'affrontement au dessus devait être terrible, les membres de la familles étaient plutôt faibles globalement à part pour les lieutenants et les pirates étaient nombreux et disposaient de plusieurs fortes têtes notamment un individu dont le physique intimidant était resté dans ses souvenirs inconsciemment. "A quoi pouvait il bien ressembler déjà ?" se disait Edgard en tentant de coller une image à ce souvenir inconscient, des cheveux blancs, des gros muscles, plein de tatouage et un regard de tueur, a peu près comme ça .... .


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C'est en détournant le regard sur sa droite qu'il vit l'homme, assis sur un des canapés à l'intérieur du complexe, Edgard se mit à marcher de plus en plus lentement, tentant de ne pas éveiller les soupçons en marchant trop vite, il tenta de profiter de l'absurdité de ce moment pour forcer sa chance au culot, et passer au nez et à la barbe de l'homme

Hé Avorton ! Tu crois vraiment que tu vas juste m'ignorer comme ça et te barrer ?



Edgard s'arrêta net, il pouvait également constater que deux larbins se trouvaient aux côtés de l'homme, bien moins charismatiques que lui.

Ah... Euh... Je...

Ferme la ! Tu vas te contenter de me guider vers votre salle de trésors, on doit se refaire après cette défaite.

Edgard se contenta d'acquiescer dans un silence des plus total, ses dernières années passées à se faire marcher dessus par plus fort que lui ont au moins eut la délicatesse de lui apprendre qu'il ne servait à rien de raisonner avec une brute. Il continua alors sa route en gardant un œil en direction de l'homme qui marchait à l'arrière et de ses sous fifres qui eux prenaient leurs distances vis à vis de leurs supérieur. Ce qui illustra la crainte qu'ils éprouvaient vis à vis de lui. Notre petite troupe après quelques minutes de marches arrivèrent à l'armurerie tant convoité par Edgard, ce qui marquait la fin de leurs route ensemble, du moins il fallait tenter le tout pour le tout. C'est ainsi qu'Edgard s'arrêta net, avant de se retourner d'un geste très mécanique mais ne perdant rien de son élégance habituelle en direction des trois autres individus qui s'arrêtèrent également.

Camarades... Cette courte aventure passée ensemble était des plus agréable, mais c'est ici que s'arrêtera notre route.



TU TE FOUS DE MA GUEULE ?! TU VEUX CREVER ?!

Il n'en fallu pas plus pour que l'homme à la chevelure argentée se saisissent d'une dague qu'il gardait à la ceinture à proximité de son pistolet à silex. Pourquoi sa dague et non son pistolet demanderiez vous ? Eh bien... Nous sommes dans une salle remplie de poudre, la moindre étincelle pourrait s'avérer fatale à tout ces joyeux lurons.
Le pirate se rua sur notre jeune Mafiosi, dague en avant, complètement aveuglé par sa rage et son comportement des plus puérils, il porta un coup, Edgard tomba a ses pieds. Les deux larbins qui ont assisté à la scène en étaient sur, le combat était terminé en un éclair, le jeune homme aux lunettes n'avait pas esquivé l'attaque et ils connaissaient leurs supérieur, il tuait facilement quiconque n'allait pas dans son sens.


Misérable avorton ! Tu croyais quoi en faisant ça ?


Quand l'homme aux cheveux gris fit volte face vers ses camarades, une ombre inquiétante fit son apparition derrière lui, il ne le comprit que trop tard puisque ces deux hommes de mains étaient tétanisés et ne pouvaient pas le prévenir, Edgard eu le temps d'ôter ces lunettes d'un geste toujours plus élégant, celui-ci avait laissé l'attaque à la dague entailler seulement légèrement son thorax pour mieux tromper l'adversaire sur sa mort..

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Il disposa également du temps de coller une droite à l'homme, sur l'arrière du crane qui était assez haut même pour Edgard qui n'était pas vraiment petit. Toutefois ce coup n'eut aucun effet, mis à part celui de faire apparaitre de grande veines sur le front de l'homme qui se retourne d'un coup, bondissant sur notre jeune ami...

Celui-ci se décala simplement d'un pas, laissant l'homme se ramasser violemment sur le sol, tellement violemment qu'il en laissa tomber son arme au sol qui ne glissa pas très loin des deux combattants. Le pirate tentant de comprendre comment il avait pu trébucher de la sorte constata avec effroi que ses lacets étaient noués entre eux, quand est-ce que c'était arrivé ? Durant le court moment ou il fit volte face pour faire faire face à ses hommes, même eux n'en revenant pas, ils n'avaient jamais vu leurs supérieurs se faire humilier de la sorte par un petit rigolo.

Edgard se précipita sur le couteau pensant qu'il s'agissait de sa seule chance de gagner, toutefois l'homme avait eut le temps d'ôter ses chaussures trouvant cela plus simple que de défaire un nœud, celui-ci allait se relever péniblement, surement dû au choc de sa chute, quand Edgard se précipita sur lui pour enfoncer le couteau dans son thorax.
La brute épaisse encaissa le coup sans sourciller puis sous le coup de sa colère, qui allait atteindre son paroxysme, il éjecta le jeune garçon d'un violent geste de ses bras. Il resta toutefois un petit moment debout, essayant de se calmer pour se préparer à la prochaine ruse de son adversaire, il avait de l'expérience en tant que pirate et savait qu'il existait des adversaires de ce genre. Edgard quant à lui venait se faire propulser contre des caisses d'armes et se relevait tant bien que mal, sa vision devenait flou, il voyait sa vie défiler. A partir de ce moment il ne se rappellera pas de la suite de cet affrontement .


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Edgard dans un état semi-conscient surement dicté par son instinct de survie se saisit d'un des revolvers qui se trouvaient, comme par miracle, dans la caisse sur laquelle il avait atterri, appuyant sur la gâchette en direction du pirate, une effusion de sang jaillissait du dos de l'homme. Celui-ci perdit son calme une dernière fois, se ruant à nouveau sur Edgard voulant l'abattre avant qu'il ne puisse recharger. Toutefois un être humain normalement constitué dispose de deux membres supérieurs et Edgard ne faisait pas exception à la règle, il s'était déjà saisi d'un deuxième revolver, le pointant en direction du crane du pirate lui faisant face, en temps normal celui-ci n'aurait eut aucun mal à s'approcher à temps, mais peut être à cause du coup de couteau ou de la balle qui avait été tirée précédemment notre grande brute eut un décalage entre son estimation et la réalité du combat. La détonation se fit entendre, le pirate qui se ruait ralentissait alors subitement à chaque pas qui le rapprochait d'Edgard jusqu'a s'arrêter net, debout face au jeune Mafiosi. Il s'écroula alors au sol, sur le dos tandis que ses larbins hurlants se précipitaient vers lui  

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Lorsque notre jeune garçon reprit complètement conscience, il ne pu qu'observer le regard empli de peur des deux subalternes. Ceux-ci décampèrent alors doucement sous le regard lourd d'Edgard, épuisé par ce combat, pris tout de même le temps de ranger l'un des pistolets lui ayant permis de remporter la victoire ainsi que de quelques munitions, il s'agissait d'un pistolet à silex très commun, il se mit à récupérer un briquet ainsi qu'une longue cordelette servant de mèche tandis que les secousses à la surface ralentissaient, signe que le combat au dessus était proche de la fin.

Edgard tira la mèche en partant de l'armurerie en direction d'une des sorties de secours de la planque, puis se contenta de l'allumer en titubant toujours des dommages produits lors de son affrontement. Il ne restait que la dernière étape de son plan, allumer la mèche et s'enfuir au bord du navire personnel du boss, un petit navire de tourisme permettant de se rendre sur les iles alentours rapidement et de manière plus ou moins sûre. Ainsi avec cette intention il alluma sa longue mèche qui devait lui permettre d'avoir amplement le temps de s'enfuir, il n'y avait pas plus de temps à perdre sur cette maudite ile qui n'était que de mauvais souvenirs pour lui.

Il se dirigeait, marchant difficilement vers cette crique, jusqu'à arriver sur une caverne ouverte menant directement à la mer, un petit bateau comportant un confort plutôt luxueux pour une si petite ile attendait calmement au bord du quai accessible seulement depuis les tunnels de la planque. Edgard affichait enfin un sourire, il n'avait point souri aussi gaiement depuis sa plus tendre enfance, lorsqu'il tirait des pierres dans la tête de tout les gens qu'il considérait comme ses esclaves. En montant dans le bateau il prit un léger temps de repos, erreur maladroite car dans son état une perte de conscience était inévitable. Il était allongé sur le petit pont de ce navire lorsque l'explosion détonna, un énorme souffle propulsa le bateaux seulement quelques instants après. Même cette explosion ne parvint toutefois à réveiller le jeune homme qui devait se reposer le temps de guérir un minimum ses blessures. Il savait toutefois au fond de lui qu'il en faudrait plus pour éliminer le chef de la famille ainsi que la plupart de ses lieutenants, seul une voix immense se fit entendre peu de temps après l'explosion.  


EDGARD J'AURAIS TA PEAU PETIT AVORTON !! CONSIDERE QU'UN CONTRAT EST DEJA SUR TA TÊTE !!



Toutefois ces paroles ne furent pas entendues, le bateau disparaissant peu à peu vers l'horizon

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