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Queelan - Comme une envie de changement

Queelan, La Calcinée

Age : 20 ans
Sexe : Femme
Race : Humain
Métier : Peintre
Groupe : Pirate
But : Sillonner les mers, découvrir un maximum de choses et en profiter pour régler ses comptes avec sa famille
Équipement : Un naginata, un sabre et un pistolet, si possible !
Parrain : -
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? -
Codes du règlement :

Description physique

Un corps à jamais marqué. Des brûlures très importantes partant du visage et descendant jusqu'au bas des jambes, de tel qu'on ne peut les ignorer. Un œil manquant, caché sous des bandages. On aimerait éviter, mais ce sont bien les premières choses qu'on remarque chez Queelan. Sa peau étant particulièrement pâle, les traces de brûlure ressortent, d'autant plus du côté gauche de son visage où il n'y a pas de bandage. Elle n'essaie de toute façon pas de cacher ses cicatrices, s'habillant même de temps en temps avec des vêtements pouvant lui laisser la peau découverte, du moment qu'elle peut avoir une certaine aisance dedans ; mais généralement, elle s'habille avec une tenue toute noire, lui recouvrant entièrement les bras et les jambes, maintenue par une ceinture bien serrée. Elle se permet de porter une petite cape qu'elle rattache avec des boutons dorées, aimant le rendu que cela donne à l'ensemble.

Si vous outrepassez les marques se faufilant partout sur sa peau, vous remarquerez vite également sa musculature, bien marquée et répartie, faisant d'elle une combattante physique à ne pas sous-estimer. Après tout, lorsque l'on développe son corps pour en faire une arme, cela passe aussi par des entraînements et combats soutenus qui finissent par impacter de plus en plus la silhouette. Cependant, à force d'efforts, on y prend également de mauvaises habitudes, et Queelan ne sait absolument pas doser sa force, que ce soit lorsqu'elle se bat ou dans la vie de tous les jours, brisant régulièrement des objets et même ses propres armes, et est d'une rare violence quand il s'agit de blesser quelqu'un. Question de formation donc.
Derrière les grandes lunettes rondes et les cheveux, courts, foncés et en bataille de la jeune femme se cachent donc des bandages du côté droit, avec une balafre qui en dépasse, et un œil gauche, épargné par les flammes, qui semble luire fortement d'une couleur jaune. Un regard perçant, vous évaluant de haut en bas afin de déterminer quel niveau de menace vous êtes ; encore une habitude qui est restée. Pour autant, vous verrez ce visage passer par tout un lot d'émotions et d'expressions, comme n'importe lequel. Même si ses traits sont durs, voire sévères, vous la verrez, par exemple, souvent sourire, son corps étant en décalage presque permanent avec son état d'esprit ; le seul moment où tout chez elle semble être en accord est quand elle se bat, ne volant pas son éducation de machine à tuer. Elle se détend alors, sa respiration est régulière, ses gestes, précis, son esprit complètement clair. Du haut de ses deux mètres, elle devient de plus en plus terrifiante, guettant sa proie, ne la lâchant pas de l’œil, prête à bondir à tout instant.

Description psychologique

L'insolence même. Queelan ne fait pas dans la demi-mesure lorsqu'il s'agit de dire ce qu'elle pense, quelque soit la personne en face, quelque soit le rapport de force, de position, d'ancienneté, rien n'y fait, si elle a envie de dire ce qu'il lui passe par la tête, elle le fera, et sur un ton pouvant aller du sec au provocateur, voire même condescendant si cela l'amuse. Une attitude pareille est notamment possible car elle a une confiance exacerbée en sa force, mais aussi parce qu'elle aime tout simplement faire ce qu'elle a envie de faire. Autrefois conditionnée à agir exactement comme ce que l'on attendait d'elle sans jamais montrer la moindre émotion, elle est désormais un électron libre, qui s'exprime avec provocation et rejette toute forme d'autorité certes, mais elle éprouve beaucoup d'autres choses, comme de la joie lorsqu'elle réussit ce qu'elle entreprend, de la frustration lorsqu'elle n'obtient pas le résultat escompté en dessinant, de l'agacement lorsque quelqu'un ou quelque chose vient la déranger... Elle essaie de s'exprimer pleinement, de se construire en tant que personne maintenant qu'elle est libre, et cela passe également par un long apprentissage des relations humaines ; il n'est pas rare de la voir lire des livres sur le sujet, et d'expérimenter à sa manière en parlant de tout et de rien, pour ainsi voir quelles paroles vont amener quelles émotions chez son interlocuteur. Elle-même ne comprend pas encore tout de ce qu'elle peut ressentir et pourra donc souvent se montrer inepte lors d'interactions sociales, ou simplement à côté de la plaque. Cela a tendance à l'embarrasser un peu, mais ne l'empêchera pas d'essayer encore et encore. Elle n'aime pas trop l'échec, et ça se ressent. Quand elle rate un mouvement, elle le répète jusqu'à ce qu'elle le maîtrise parfaitement, quand elle peint une toile elle continuera jusqu'à être satisfaite du résultat.

Sa passion pour la peinture, et le dessin en général, vient d'abord d'un besoin d'extérioriser ses émotions, mais aussi du fait qu'elle trouve fascinant la manière dont les couleurs, se mélangeant, finissent par produire une œuvre qui pourra procurer des sentiments à quiconque la regardera. Un portrait, un paysage, une œuvre abstraite, étrange, brillante, chaleureuse, triste... Il y a tellement de possibilités que cela la déboussole, mais lui donne beaucoup de plaisir. La seule chose qui dépasse ce que lui procure l'art et sa production, c'est le combat. Lorsqu'il s'agit de mettre sa vie en jeu, d'affronter la personne en face d'elle et de tout donner à chaque seconde, elle exulte. Rien ne lui procure une telle sensation, quand bien même elle aimerait que ce ne soit pas le cas. Elle se sent dans son élément, débarrassée de toute pensée superflue, dans un état de concentration parfait. Ses sens semblent décuplés, son instinct également. Que ce soit avec des armes ou à mains nues, elle a été formée dans le seul but de tuer à coup sûr, et même si elle essaie désormais d'épargner ses adversaires, les habitudes peuvent revenir vites. Le véritable problème dans tout ça, c'est que Queelan n'a que très peu connu la défaite, alors traverser les mers va sans doute lui apprendre un peu d'humilité bien venue. Ceci dit, aussi provocatrice et confiante soit-elle, la pirate reconnaît facilement la force chez les autres, qu'elle soit mentale ou physique, et c'est quelque chose qu'elle admire rapidement ; elle aime ainsi faire des rencontres auprès de ces personnes qui l'impressionnent et voudra, autant que le lui permet son niveau en interaction sociale, faire plus ample connaissance avec elles.

S'il était une dernière chose à préciser sur elle, ce serait l'impact qu'ont ses brûlures sur elle. Si elle aimerait dire qu'elle s'en fiche (et si on ne parle que d'un point de vue esthétique, c'est le cas), chaque fois qu'elle les voit, elle ne peut s'empêcher de sentir la colère bouillir en elle. Si elle n'apprécie pas vraiment ce moteur, c'est bien celui-ci qui la fera toujours se relever et se dépasser dans des moments de doute, car elle a une mission à accomplir, et elle y arrivera.

Biographie

Dès son plus jeune âge, Queelan n'a été élevée que dans un seul but : faire d'elle, comme de tous ses frères et sœurs, des machines à tuer au service du patriarche de la famille. Celui-ci était persuadé qu'en agissant ainsi, il obtiendrait une famille pouvant réaliser avec les plus grands équipages sur les mers, pouvant même dépasser celui d'un empereur des mers. Très confiant en sa force, il l'était moins en ses subordonnées qui n'avaient au final l'air d'être que des poids morts pour lui. C'est pourquoi quelqu'un qu'il aura modelé lui-même dès la naissance ne pourra être que bien meilleur qu'un combattant lambda. Qu'importe le nombre de femmes qu'il avait, du moment qu'elle lui engendrait progéniture sur progéniture ; le reste était entre ses mains. Queelan naquit donc dans ce contexte, pas la première et certainement pas la dernière de sa lignée. Les premières années étaient relativement douces comparées au reste, et consistaient à intégrer des mouvements et postures de combat, le maniement d'armes en tout genre, les premiers développements physiques, mais surtout une soumission totale envers le paternel. Si un des enfants avait dans la tête de se rebeller contre son géniteur, il serait d'abord sévèrement puni, puis complètement évincé de la propriété et de la famille en général s'il recommençait. Claude n'avait que faire de ceux qui n'agissaient pas comme il l'entendait, et ne ressentait aucun attachement vis-à-vis de ses rejetons.

Queelan devait donc faire comme chaque enfant de la famille, c'est à dire d'abord apprendre les bases du combat, ce en quoi elle excella rapidement, surpassant les petits de quelques années au-dessus d'elle à seulement cinq ans. Cela ne tarda pas à attirer l’œil de son père et des différents enseignants qui l'aidaient, et il décida d'accélérer sa formation, ne manquant pas de rendre jaloux ses aînés comme ses cadets, mais elle s'en fichait : à l'époque, c'était la plus grande marque de reconnaissance qu'elle pouvait obtenir. Cependant, se faire remarquer signifiait surtout rejoindre les plus grands dans leurs entraînements où les coups étaient bien réels. Au début, elle prenait raclée sur raclée, mais plus le temps passait, et plus il lui devenait facile de prévoir les mouvements de ses adversaires. Elle n'avait pas encore la force de gagner des affrontements, mais elle savait comment bien esquiver et comment encaisser. Contente de s'améliorer, elle le fut encore plus lorsque son père décida de l'emmener avec elle lors d'une de ses sorties en navire, alors qu'elle venait juste d'avoir neuf ans. Dans ces moments-là, il réunissait un équipage fait de plusieurs de ses enfants, les plus âgés, allant d'adolescents à jeunes adultes à cette époque. Complètement inexpérimentée, elle resta pour la majorité du temps avec lui, mais découvrit pour la première fois la vraie nature de son père ; il s'agissait d'un pirate sanguinaire. Ce fut la première fois qu'elle vit quelqu'un mourir, et il s'agissait juste d'un civil. Claude avait décidé d'attaquer un village non seulement pour le piller, mais surtout pour montrer à ses plus jeunes ce qu'il attendait d'eux : d'être sans pitié, quelque soit la personne en face. Il rassembla certains villageois et ordonna à ses enfants de les tuer, observant avec attention ceux qui oseraient lui désobéir. Queelan fut la seule parmi tous, dans un premier temps, mais à force de coups et de menaces de la part de son paternel, elle passa à l'acte. Rien de toute sa vie ne fut plus traumatisant que la première vie qu'elle prit. Elle ne savait même pas qui était cette personne, mais elle se souviendrait pour toujours de son visage et de sa voix, lui implorant de lui laisser la vie sauve.

Après ce baptême de feu, les choses s’accélérèrent pour Queelan, maintenant âgée d'une douzaine d'années. Elle s'imposait de plus en plus comme l'un des meilleurs éléments, même parmi les adolescents. Cependant, elle n'arrivait simplement plus à faire comme si prendre la vie des autres ne lui faisait rien. Elle avait recommencé, depuis la première fois, et même si apparemment, cela n'affectait plus les autres, elle, elle était déboussolée à chaque fois. La jeune fille se dégoûtait de penser ainsi, alors que c'est elle qui était du bon côté de la lame, et que ses victimes ne méritaient en rien ce qui leur arrivait. Elle ne savait pas comment continuer à se faire remarquer par son père sans pour autant lui obéir dans ces moments-là. Normalement elle devrait être comme ses frères et sœurs et ne rien ressentir d'autre que le nécessaire, ce qu'elle parvenait à faire en combat, mais lorsqu'il s'agissait d'accomplir quelque chose contre ses « valeurs », elle n'y arrivait pas. Une machine avec des sentiments était défectueuse, c'est tout. Alors, que devait-elle faire ? Continuer à souffrir et faire souffrir, ou désobéir ? Queelan se posait des questions, et elles durèrent encore quelques années. Des années où Claude continua son sombre manège, et où il commençait enfin à voir les résultats qu'il espérait. Ses premiers enfants accomplissaient fait d'arme sur fait d'arme, tout en lui obéissant au doigt et à l’œil, et les suivants feraient sans doute de même. Il n'y avait qu'elle qui clochait, au fond. Ne comprenant pas pourquoi, elle prit enfin une décision : elle allait partir, en toute discrétion. Ainsi elle ne s'opposerait pas publiquement à son père et elle pourrait faire ce qu'elle entend, à commencer par ne plus prendre la vie sans raison autre que celle qu'on lui dicte. Mais en effet, elle remarqua quelque chose à ce moment-là : elle voulait mener sa propre existence. Ne plus avoir à obéir à des ordres. Elle ne comprenait pas d'où lui venait cette sensation, mais elle était bien là : elle désirait la liberté. Peut-être était-ce enfoui là depuis longtemps. Si c'était le cas, cela devait remonter à la première fois où elle fut en désaccord avec ce que Claude lui disait. Une fissure dans son éducation.

Il ne fit pas longtemps à son paternel pour la retrouver. Elle passa juste quelques semaines sur une autre île qu'elle avait rejointe en montant clandestinement sur un bateau. Elle se nourrissait en proposant de l'aide sur des chantiers, et ce fut bien la première fois qu'il lui sembla que sa force servait à quelque chose. Mais c'était bien enfantin de croire que son père ne tenterait rien après son départ, et elle allait maintenant devoir répondre de ses actes. Elle tenta de se justifier, mais c'était bien évidemment comme parler à un mur, car Claude n'en avait que faire des états d'âme d'un de ses instruments. Il avait amené avec lui quelques-uns de ses fils aînés mais aussi les plus jeunes, afin de leur faire comprendre qu'aucune conduite de ce genre ne serait tolérée. Ensemble, ils se ruèrent sur elle. Elle tenta de se défendre, mais en vain, elle y laissa un œil puis fut finalement brûlée vive et laissée pour morte.

Coup du destin, cruel ou pas, elle survécut. Des habitants de l'île l'avaient trouvée et emmenée à l'hôpital, où elle fut en convalescence un long moment. D'abord physiquement, bien sûr, mais aussi psychologiquement. La douleur qu'elle avait ressenti lorsqu'elle brûla faillit lui faire perdre la raison, et un long travail fut nécessaire pour outrepasser cela. Il en fut de même pour accepter son corps dans cet état. À un peu plus de dix-huit ans, elle n'avait plus personne, et ne savait absolument pas quoi faire. Pour autant, au fil des mois qui passaient pendant sa guérison, une colère commença à bouillonner en elle. Contre elle-même d'abord, stupide d'avoir accepté un tel traitement toute sa jeunesse pour satisfaire la folie d'un seul homme, mais aussi donc, contre son paternel ; après tout ce temps, elle comprenait enfin à quel point il était horrible. Néanmoins, que pouvait-elle faire ? Oui, elle était bien plus forte qu'une personne normale de son âge, mais c'était loin d'être suffisant pour s'opposer à lui, et elle avait appris ça de la manière dure. C'est pendant sa convalescence qu'elle prit sa décision : il lui fallait parcourir le monde à la recherche d'autres personnes capables de la renforcer, pour ainsi démanteler ce que son père avait construit. Cependant, elle ne voulait pas vivre dans ce seul but, car elle tenait également à profiter de sa liberté. Elle voulait découvrir le monde, prendre un bateau et explorer toutes sortes d'îles. Il lui faudrait dans un premier temps faire profil bas, mais elle ne comptait pas rester silencieuse éternellement. Elle continuerait sa convalescence dans le calme, mais en réfléchissant à la manière dont elle allait s'y prendre pour réaliser son nouveau but. Seule la piraterie semblait toute indiquée pour ça et, de toute façon, avec son passé de criminel, elle ne méritait certainement pas autre chose. Le seul avantage qu'elle avait est que personne ne la connaissait, ainsi pourrait-elle prendre un nouveau départ. Pour le moment elle ne chercherait pas un équipage, elle verrait en premier lieu de quoi elle était capable par elle-même. C'est un peu après son vingtième anniversaire qu'elle décida de quitter l'hôpital, même si elle n'était pas entièrement guérie. L'aventure l'appelait, et elle en avait assez d'attendre. Patienter autant de temps pendant sa convalescence, à ne rien faire d'autre que de s'exercer légèrement et parler aux autres patients, ça lui avait certes permis d'en apprendre plus sur elle-même, sur sa façon d'être avec les autres, sa véritable manière de penser, ça lui a même fait découvrir la peinture, mais elle avait peur à force de ne plus être capable de se battre. C'est donc un peu en avance qu'elle décida d'écouter son séjour et de se lancer pour de bon.

Informations IRL

  • Votre prénom / pseudo : Abi
  • Êtes-vous majeur ? Oui
  • Vous aimez / n'aimez pas : J'aime dessiner, les mangas, les jeux, les pâtes aussi, par contre je précise que je suis une quiche en informatique et en rp
  • Votre personnage préféré (de One Piece) : Barbe Blanche
  • Vous vous définiriez comme : Fonctionnant à mon rythme
  • Vous faites du RP depuis : Longtemps, mais jamais sérieusement
  • Vos disponibilités (approximatives) : Plusieurs fois par semaine !
  • Comment avez-vous connu le forum ? Google
    Et bienvenue à toi,

    Des spartiates en puissance, une famille un peu trop fan du fight club et le père de l'année. Autrement dit y'avait du bon dans cette présentation.

    Pour la forme rien de très grave. Quelques fautes d'inattention et des erreurs de concordance des temps par moment. Un des paragraphe dans les descriptions est collé à celui du dessus également. Pour résumer, plutôt des détails.

    Pour le fond les descriptions fonctionnent bien. On se représente aisément l'étendue des brûlures de ton personnage et comme tu peux t'en douter à voir mon avatar c'est mon péché mignon. Le passif de Queelan se ressent dans sa psyché et même si ça la colère comme moteur c'est classique ça fonctionne souvent très bien. Pour l'histoire c'est une fois encore classique mais ça fonctionne bien et j'ai tout lu d'un bloc avec plaisir.

    Ta présentation ne révolutionnait pas la formule mais elle était plaisante à lire et bien écrite J'ai hâte de voir le développement de ton personnage.

    Je te valide donc à 670 dorikis.

    Pour la suite: direction la confection de ta FT et le recensement de ton avatar. Si ce n'est pas le cas je t'invite à nous rejoindre sur discord.

    Bon jeu et amuse toi bien parmi nous !



    Protéger, Servir, Traquer
    • https://www.onepiece-requiem.net/t23698-fiche-technique-ambrosia
    • https://www.onepiece-requiem.net/t23692-ambrosias-proteger-servir-et-traquer#250544