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Le chaos avec un grand K

>>Walters Scott


Le chaos avec un grand K DeadmanWonderland-1

Pseudonyme : Le Fantôme de Terrett ou Fossoyeur
Age: 21 ans
Sexe : Homme
Race : Humain
Rang : Âme errante

Métier : Actuellement au chômage, mais notre très cher Walters a reçu une formation d'agriculteur et, par la force des choses, de fossoyeur.
Groupe : Civil
Déjà un équipage : Pas vraiment non... Mais les Saigneurs des Mers sont en haut de la liste en ce qui concerne mon futur employeur.
But : Trouver une femme qu'il aime et fonder une famille ainsi qu'un foyer.

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Euh... Ah ouais: Fruit du Démon légendaire, Inu Inu no Mie, modèle Fenrir. Petit topo sur Fenrir: il s'agit d'un loup géant issu de la mythologie scandinave, je développerai plus en détail une fois validé.
Équipements : Il se promène partout avec une grande pelle, ainsi qu'une immense masse en acier.

Parrain : Y'a pas.

Codes du règlement (2) :

>> Physique

Walters Scott, mmh, voyons voir... Un grand type noiraud, qui fout un peu les jetons c'est ça ? Alors, qu'est ce qu'on peut dire de lui... Sa taille, ben, assez grande je l'ai déjà dit. Comme ça je dirais qu'il fait un bon mètre nonante le garçon. Et il a vraiment une musculature impressionnante, il doit être capable de soulever de sacrés rochers j'imagine. Au moins autant lourds que la masse qu'il porte dans son dos en gros. D'ailleurs, en parlant de sa musculature, il donne vraiment l'impression de faire tout son possible pour l'afficher. Il porte toujours un de ces long manteaux qui vont jusqu'aux chevilles et sans rien dessous si ce n'est un pantalon. Sinon, bah son visage est vraiment effrayant, avec ses cheveux noirs en bataille, son cache oeil et le tatouage qu'il a sur l'arcade droite. Comme ça il donne vraiment l'impression d'haïr tout le monde, et le fait qu'il lui manque un oeil n'arrange pas les choses. Mais dès qu'on lui cause, il sourit et rigole comme si l'univers chiait des licornes roses à tous les coins de rue. Personnellement j'aime vraiment pas me trouver dans les mêmes parages que lui, même si c'est pas forcément le cas de toutes les minettes... Il a toujours l'air sûr de lui et semble se moquer de tout, c'est le genre de caractère qui attire les ennuis si vous voulez mon avis. Bien qu'avec sa carrure, la plupart des gens doivent avoir vite fait de s'écraser. Cela dit, je ne le blâme pas, il a du en voir des vertes et des pas mures ce garçon, et j'espère que ça ne continuera pas comme ça le reste de sa vie.
Du moment qu'il reste loin de moi.
J'ai eu l'occasion de le voir se battre dans la rue avec quelqu'un qui lui avait retourné une beigne. Autant dire que l'autre gus n'a pas fait long feu... 'Voyez sa masse ? Eh bien ni une ni deux et Walters l'a fait passer au travers du corps de son adversaire. Je le jure, il ne l'a même pas frappé avec le bout mais avec le manche ! Et avec la vélocité du coup il l'a pratiquement coupé en deux. Vraiment, il pas fréquentable ce mec.


>> Psychologie

Franchement, le Walters, c'est le cas dont tous les Psychothérapeutes doivent rêver secrètement, parce que celui qui réussira à le soigner mérite bien d'avoir son portrait accroché tout en haut du mur d'honneur de la profession.
Mais il a plus de chance de se retrouver accrocher en entier au mur s'il essaie...
Voilà ce qui pourrait apparaitre dans son dossier (imaginez bien le ton pompeux d'un type qui croit marcher bien au dessus de ses pompes):
Monsieur Scott souffre d'un trouble de la personnalité profond causé par des événements antérieurs. Il ne semble pas être conscient du mal qu'il fait autours de lui. Le trauma qu'il a vécu semble avoir altéré sa conception de bien et de mal si ce n'est de l'avoir totalement effacée. En effet, les agissements de Monsieur Scott échappent à son entendement. Les personnes qu'il massacre ne disparaissent en aucun cas pour lui, mais semblent renaitre d'une manière ou d'une autre lorsqu'il les enterre. Pour reprendre ses mots: "Ceux que j'aime sont morts, ceux que j'aime reposent sous terre". Cette phrase semble résumer de manière radicale la raison pour laquelle Monsieur Scott a perpétré tous les meurtres dont il est accusé. Selon cette philosophie, une personne "aimée" doit impérativement être décédée et enterrée.
Pour ce qui est de ses ambitions de vie, il m'a dit avec un grand sourire que, le jour où il trouverait une femme à aimer, il arrêterait de parcourir le monde pour s'installer avec elle et fonder une famille qu'il chérirait de tout son coeur. Je ne sais pas comment cela serait possible, mais la simple idée que son voeux se réalise me donne la chair de poule.
En ce qui concerne son caractère, malgré le fait qu'il semble constamment de mauvaise humeur, il devient très joyeux dès qu'il parle avec quelqu'un. Selon mon étude, il apprécie réellement la présence des autres personnes et éprouve un joie sincère à leur contact. Mais ce n'est pas pour autant qu'il assassine chacune d'entre elles, il y a une grande différence entre les gens qu'il aime et ceux qu'il apprécie.
D'ailleurs, on peut la mesurer grâce à leur rythme cardiaque.
Comme pour tout le monde, il y a des choses que Walters aime plus que d'autres. Bien évidemment la manière dont il les traite n'est pas commune, mais il les aime tout de même. Après de nombreuses discussions avec lui, je peux dire qu'il aime particulièrement la marine, certainement parce que son frère y a servi, ainsi que les femmes. Il reste cependant susceptible d'aimer n'importe qui à partir des premières paroles qu'on lui adresse, peu importe qu'elles soient amicales ou non.
Walters n'est pas particulièrement belliqueux. Les menaces et les provocations ne le touchent pas du tout. S'il s'énerve, il tourne les talons et s'en va tout simplement. Par contre, une fois énervé, n'importe quel contact physique le fait sortir de ses gonds et il assassine sans remords quiconque se trouve sur son chemin.

>> Biographie

Introduction

Chercher à commencer une biographie de manière originale, c'est vraiment pas simple vous savez... Du coup, je vais zapper ce qui passe malheureusement pour un passage obligé dont tout le monde se fout royalement et qui est, d'ailleurs, très bruyant et franchement plutôt dégueulasse.

Donc, pour situer le cadre, l'île dont notre cher petit Walters est originaire se nomme, au cas où le surnom ne vous aurait pas déjà mis la puce à l'oreille, Terrett (oui oui, avec deux rs et deux ts, c'est bien ça). Sur cette île, en plus d'un grand nombre d'autres personnes, vivait une famille qui comptant quatre personnes. Au centre du tableau se trouve la figure paternelle, un véritable homme de la terre, grand et musclé, avec une chemise un tantinet trop petite pour son mastodonte de corps. Dans son bras gauche se blotti l'idéal de la maternité, cette femme, tailleuse de profession, qui n'atteint pas l'épaule de son mari mais dont les jambes paraissent infinies et la taille si menue en comparaison du bulldozer susmentionné qu'on pourrait penser qu'elle allait se rompre si on soupirait trop fort en face de sa beauté. Devant eux, tenant solidement une épée de bois, se trouve un garçon dont le visage montre clairement qu'il n'a pas envie de poser pour le peintre et qu'il préférerait être dans les bois pour livrer bataille contre les autres enfants d'un des deux villages voisins, son avenir est clair, il va entrer dans la marine et obtenir tous les honneurs. Enfin, juché sur l'épaule de son père, le jeune Walters complète le tableau, les yeux brillant devant l'incroyable puissance de son père, pour lui, sans aucun doute, il deviendra un homme grand et fort, capable de cultiver la terre et d'élever le bétail familial. C'est vraiment un beau tableau que voilà, accroché au dessus de la cheminée de la petite ferme qu'occupe la famille Scott, à mis chemin des deux villages de l'île, Ytch et Pratch.

Et maintenant que ce cadre idyllique est mis en place, il ne reste plus qu'à vous donner, chers lecteurs, le petit susucre qui va vous faire lire les cinq prochains paragraphe. Beaucoup de gens disent que tout a un début, un milieu, ainsi qu'une fin, et qu'il en est donc logiquement de même pour le monde. D'autres pensent que l'histoire se répète une fois que la fin est atteinte, formant ainsi un cycle infini (un peu paradoxal, mais bon, faisons avec). Dans les deux cas, un petit nombre de personnes issus des deux théories croient aux Cavaliers de l'Apocalypse. Ils seraient au nombre de quatre, et se succèderaient dans leur chevauchée afin de mener le monde à sa perte, ou du moins quelque chose à sa perte. Car, en y repensant, si nous avons connaissance de leur existence, c'est qu'il doit y avoir un témoin, un survivant, de cette Apocalypse. Voici une autre interprétation, dans laquelle l'Apocalypse ne s'applique qu'à une seule personne, dont l'univers tout entier s'effondre, mais qui y survit. Qu'advient-il de cette personne ? La réponse se trouve au bout de ces cinq paragraphes. Bonne lecture.

La Guerre

Comme pour sa naissance, l'enfance de Walters Scott va également être sautée dans cette histoire pour la simple et bonne raison qu'il n'y a pas grand chose à savoir dessus si ce n'est peut être l'amour secret que le petit Walty (prononcez Valti) avait pour l'apprentie de sa mère, j'ai nommé la petite Macha (prononcez Macha). Et encore, ce n'est certainement pas pour les raisons auxquelles vous pensez. Non, la période qui nous intéresse se focalise sur les six mois qu'il aura fallu aux habitants de l'île de Terrett pour mettre un point final à leurs existences. Ces six mois débutent avec le retour de l'ainé de la famille Scott sur l'île après plusieurs années d'absences et se termineront le jour du vingt et unième anniversaire de Walters Scott.
Cette histoire commence donc avec un uniforme rayonnant sous une foule de médailles bien méritées et taillé parfaitement pour les épaules de l'officier Scott se trouvant étreint par les bras musclés et un peu suant du cadet de la famille.
Pour vous éviter de nombreuses autres étreintes, on va directement passer aux choses intéressantes. Le titre dit qu'on va parler de guerre, du coup, on va parler de guerre. Mais il est difficile de croire à un conflit d'ordre majeur prenant place sur une île dont le seul contact avec l'extérieur se fait une fois tout les six mois n'est-ce pas ? Voici comment les choses se sont déroulées pour cette première partie de l'Apocalypse de Walters Scott. Son frère, fraichement promu, fut renvoyé chez lui afin de mener discrètement une enquête à propos de deux pirates s'infiltrant dans des petits villages afin de dérober toutes les possessions des habitants. Et comme dans toutes les petites communautés, ce genre de choses se sait très vite, surtout quand une certaine petite Macha parvient à se faire oublier pendant les grandes conversations qui se tiennent à la table des Scotts. Et très vite, les choses dégénèrent dans ce genre de cas. Par exemple, une moitié des habitants peut affirmer que l'existence d'individus susceptibles de profiter des faiblesses d'une communauté est impossible, alors que l'autre moitié prétend que ces brigands se trouvent certainement parmi les premiers. Bien entendu, il est pratiquement impossible que ce genre de situation s'installe dans une petite société soudée. Mais lorsque nous parlons de deux sociétés séparées par plusieurs kilomètres de route et d'intérêts, il suffit d'un petit coup de pouce pour que l'affaire dérape.
Mais comme la Guerre n'est pas un tendre, plutôt du genre à donner un bon gros coup de pied dans la fourmilière, 'voyez comment ? Eh ben on se retrouve très vite avec un bain de sang sur les bras.
Une fois que la raison de la présence de l'aîné Scott fut répandue aux deux villages, il fallu encore quelque jours pour que l'intéressé ne s'en rende compte. La population commença d'éviter les contacts avec la famille de fermiers jusqu'au jour où une délégation des deux villages se rendirent sur leur propriété afin de tirer les choses au clair. Le frère de Walters, pensant bien faire, nia l'objectif de sa mission. Parmi toutes les choses qu'il avait apprise lors de son service dans la marine, la suivante ne figurait pas: dans la course de la discorde, le démenti figure toujours dans le groupe des favoris. Et c'est ainsi que les choses dégénèrent très rapidement. Le lendemain, les deux villages se regroupèrent pour savoir quoi faire, l'un voulant se débarrasser de l'officier, l'autre préférant lui faire confiance. Mais aucun terrain d'entente ne put être trouvé. Et cela continua durant plus d'une semaine. Cette période de pourparlers prit fin le jour où le corps inanimé de l'officier Scott fut retrouvé dans les champs avec un nombre d'orifices suffisant pour rendre l'hypothèse du suicide tout simplement impossible.
Et c'est ainsi qu'une bataille d'envergure peut être mise en place sur une île dont la population met peu de temps pour se réduire de moitié. À plusieurs reprises, les habitants d'Ytch voulurent mettre le feu à Pratch, pensant qu'ils étaient responsables de la mort de l'officier Scott. Et aussi souvent qu'il le fallu, les habitants de Partch les en empêchèrent, diminuant ainsi le nombre d'âmes sur l'île de manière alarmante en moins d'un mois. C'est d'ailleurs durant cette période que Walters mit fin à une vie pour la première fois. Et il dut recommencer à maintes reprises pour sauver la sienne. Au début, il était dérangé par le fait de tuer. Puis il compris que, aussi longtemps que la Guerre resterait sur l'île, lorsqu'il ferait face à un autre homme, il était probable qu'un des deux perde l'usage d'un grand nombre de ses facultés, dont celle de respirer, alors autant que ce ne soit pas lui.
Finalement, cet affrontement insensé prit fin comme si de rien était le jour où les hommes de l'île eurent faim. Il faut dire qu'ils avaient cessé tout autre activité depuis le début des hostilité pour s'y adonner corps et âme, et ainsi les champs n'étaient plus cultivés, le bétail n'était plus nourri, et les poissons coulaient des jours paisibles dans l'océan.
Et c'est ainsi que la Guerre laissa la place au second cavalier, jugeant que son travail sur place était accompli. Et si vous pensez que les sabots de la Famine pouvaient dès ce moment être entendus sur l'île, détrompez vous, car dans la liste de l'Apocalypse, c'était à la Pestilence de prendre sa place.


La Pestilence

Voyez vous, chers lecteurs, il y a pas mal de choses que j'ignore quand à propos de l'agriculture, mais il y a deux choses dont je suis certain, c'est qu'il n'est pas très avisé de laisser son bétail plusieurs semaines sans surveillance ni nourriture aucune, et que le sang ainsi que le tripes ne font pas le plus fabuleux des engrais. En fait, la plupart des animaux avaient réussi à se faire la belle alors que leurs maitres étaient occupés à se faire des belliquosités. Après tout, il n'est pas aisé de garder un taureau affamé dans une grange très longtemps. Les animaux évadés, ayant sérieusement les crocs, se sont mis à paitre non loin des carcasses de leurs ex-propriétaires, ce qui leur a permis d'attraper des tonnes de saloperies plus créatives les unes que les autres. Et, de fil en aiguille, un grand nombre d'entre eux rejoignirent les humains au pays du repos éternel.
C'est ainsi qu'a débuté le règne de la Pestilence sur la petite île de Terrett. Il s'en est pris à la nourriture pour commencer, afin de s'assurer de pouvoir s'introduire du corps de chaque individu que la Guerre avait eu la bonté de laisser derrière lui. Il en fut bien entendu de même dans la ferme des Scotts, même si une grande partie de leur terrain avait été infecté lui aussi, ils pouvaient compter sur une réserve de nourriture assez conséquente. D'ailleurs, ils ont eu à se battre pour la conserver. La seule personne extérieure qui put profiter des vivres de la famille Scott fut la petite Macha, qui s'était réfugiée chez eux lorsque ses parents périrent sous le joug de la Pestilence. Il est clair que cette faveur pour la jeune fille attisa la jalousie des habitants d'Ytch et de Pratch. Mais de toute manière il ne leur restait plus beaucoup de force pour aller chercher de quoi se nourrir chez les Scotts.
Mais bien entendu, la Pestilence ne laissa pas Walters de côté. Tout comme la Guerre, qui avait pris la vie de son frère, le second cavalier s'attaqua à cette paisible petite famille de fermier. Il a déjà été dit que cette très chère Macha avait été en contact avec la maladie portée par ses parents. Elle avait beau avoir résisté, tout comme ce fut le cas pour une minorité de la population, elle en portait tout de même les germes dévastateurs. Et elle leur présenta le père de Walters, a qui il fallu tout de même presque un mois avant de leur succomber et de trouver sa place aux côté de son fils aîné.
trois mois après le début de leur chevauchée, dont la Pestilence avait pris plus d'une moitié pour faire son macabre travail, le troisième cavalier arriva sur Terrett. On l'avait senti arriver depuis longtemps, creusant l'estomac de ses victime, la Famine commença son règne impitoyable le jour où le premier des hommes ayant survécu aux deux autres s'abattit face contre terre et détruisit ses dents, son estomac et tout ce qui se situe entre en y enfonçant des pierres.

La Famine

Beaucoup de gens ont déjà ressenti la faim, et leur réaction normale est de tendre le bras vers la banane la plus proche. Mais très peu d'entre eux savent ce qu'être affamé veut dire. Mourir de faim prend du temps, et le temps laisse le temps pour toutes les pensées imaginables et, surtout, les pensées inimaginables. Lorsque la Famine mit le pied sur l'île de Terrett, les deux survivants de la famille Scott ainsi que la petite Macha s'étaient enfermé dans la grange de la ferme, fuyant ces créatures dépourvues d'humanités qui les assaillaient, leur laissant toutes les vivres qu'il leur restait.
Le combat contre la faim est avant tout mental, réussir à ne pas y céder et ne pas dévorer la première choses tombant sous la main. La mère de Walters fut la première à perdre ce combat, alors que Walters s'était absenté pour essayer de trouver un morceau de bois ou autre chose à ronger dans les environs de la grange. Lorsqu'il fut de retour, Macha avait disparu et sa mère était assise par terre en train de marmonner des choses incompréhensibles. Lorsqu'elle vit Walters, elle s'approcha de lui aussi vite que son corps rendu fragile par la faim le permettait, lui affirmant qu'elle l'aimait et qu'ils allaient dorénavant être réunis tous les deux dans le même corps.
Vous l'aurez compris, elle se livrait allégrement aux joies du cannibalisme. Elle s'en était pris quelques instant plus tôt à la jeune Macha qui avait réussi à fuir de la grange et à se réfugier on ne sait trop où à l'extérieur. Pour ce qui est de Walters, qui faisait face à sa mère bien décidée à le dévorer, il réussi à attraper une pelle qui reposait contre un mur. Le résultat fut sans appel, il fendit le crane de sa génitrice.

La Mort

D'une certaine manière, on peut dire qu'il était là d'un bout à l'autre de l'Apocalypse, une sorte de grand superviseur si l'on peut dire. Et une fois que ses collègues ont finit leur travail, il passe derrière eux pour s'assurer qu'il ne reste plus rien. Et lorsque Walters ressorti de la grange, trois mois après le retour de son frère sur l'île, il crut être le dernier survivant de l'hécatombe qui s'y était déroulée. En marchant le long des chemins, il trouva des buissons dont les baies étaient, par chance, comestibles. Il put se nourrir et reprendre des forces. Une fois que ce fut fait, il retourna dans la grange et y enterra sa mère, encore trop faible pour la déplacer.
Après quelques jours de repos, durant lesquels il errait à la recherche de nourriture, Walters entrepris d'enterrer tous les corps qu'il trouvait. Il avait le temps, et personne ne viendrait le déranger durant cette tâche. Il avait complètement oublié l'existence de Macha, pour lui, seuls les morts étaient importants. Il était le dernier survivant de l'île, et il devait donc certainement avoir le devoir de s'occuper des restes de ceux qui étaient partis. Allez savoir, c'est peut être pour cette raison que la mort l'a laissé de côté.
Mais bon, ce n'est pas tout à fait correct. Car, alors qu'il était en train de creuser une énième fosse, Walters fut grossièrement interrompu par deux individus, qui étaient visiblement de mauvaise fréquentation. Deux pirates, visiblement, qui avaient assisté au passage des cavaliers sans lever le petit doigt et en sortant en mer lorsque la faim se faisait sentir. Ils s'étaient montrés au dernier des Scotts pour être certain qu'aucun témoin ne soit laissé derrière. Les deux reposent maintenant ensemble dans l'une des fosses de Walters, et une de leurs armes, à savoir une grande masse en acier dont le manche de deux mètres se termine encore par une pointe pas très affutée mais assurément mortelle, accompagne fidèlement le jeune homme. Allez savoir pourquoi d'ailleurs. Peut être est-ce car c'est la seule arme à ce jour à l'avoir sérieusement blessé ? C'est en effet grâce à elle que le cadet Scott a perdu son oeil droit à l'occasion d'un grand coup porté à son visage.
Et malgré cette blessure, la Mort a laissé la vie à Walters. La raison en est et en sera éternellement inconnue, mais c'était probablement afin de laisser un témoin des évènements. Ou, peut être, était-ce pour laisser une petite part du gâteau au dernier des cavaliers, celui dont ceux qui l'ont rencontré sombrent si profondément qu'ils ne parviennent pas à s'en souvenir.
Et d'ailleurs, pensez-vous que Walters était seul ?

Le Chaos, avec un grand K

Alors que Walters terminait de tasser la terre de la dernière tombe, il entendit une voix derrière lui. Je m'en souviens, j'y étais, je venais d'arriver. C'était cette gentille petite Macha, qui lui demandait ce qu'il c'était passé sur l'île, pourquoi est-ce qu'il ne restait plus personne, et pourquoi il y avait des tombes tout partout. Quelle instant délicieux. Je me souviens avoir chuchoté les réponses à l'oreille du jeune homme: je ne sais pas, ils sont tous morts, tous ceux que j'aime sont morts. Et cette petite sotte qui lui demande par dessus le marché si il ne l'aime pas, quelle jouissance ! C'est alors que je lui glissé cette pensé: si, je t'aime, tout ceux que j'aime sont morts.
La suite, vous pouvez la deviner. Cette jeune Macha repose désormais dans une très belle tombe que Walters lui a creusée. Il a ensuite attendu la fin du sixième mois, seul, entouré de ses tombes, jusqu'à ce qu'un navire marchand vienne le délivrer de cet enfer. Je l'ai alors laissé partir, mais il se souviendra toujours de moi, ça j'en suis certain. Et je sais également que j'aurai toujours une place de choix dans son esprit.
Maintenant ? Qu'advient-il de Walters Scott ? Eh bien, il doit être en train de tuer une prostituée qui s'était un peu trop rapprochée et de l'enterrer juste à côté du capitaine qui c'était si bien occupé de lui. Et j'imagine que demain, il sera reparti en mer, seul, à la recherche de personnes à aimer.
Ah, tiens, c'est vrai, je ne me suis pas présenté. Eh bien tant pis, ce sera pour la prochaine fois. Sachez seulement que mon nom commence par K.

>> Test RP

Une bien belle paire de chaussures...
Elles provenaient des pieds d'un homme qui n'allait très certainement pas venir les réclamer. Et s'il le faisait ce serait plutôt inquiétant...
Il n'empêche que c'étaient ces nouvelles chaussures qui rendaient Walters apathique alors qu'il s'étonnait d'avoir de si beau pied à l'intérieur. Allez savoir pourquoi, il s'en étonnait, point barre. D'ailleurs, à force de regarder ses pieds et le sol en dessous, il ne pensait pas à ce qui arrivait en face de lui. Présentement, il s'agissait d'une foule personnes stationnant en plein centre de leur village. À peine quelques mètres avant de se heurter contre le premier des homme ainsi rassemblés, Walters eut la sagacité de lever les yeux du sol, certainement tiré de ses rêveries par le bruit provoqué par l'attroupement. Il ne put s'en empêcher, son regard fut directement attiré par lui, dès le premier instant, il l'aima.
C'était un vieil homme, assis un peu à l'écart, habillé bizarrement, un peu dans le style d'un marabout. Et apparemment, il divaguait très fortement.
S'approchant gentiment d'un homme muni d'une pioche, Walters s'éclaircit la gorge pour attirer son attention.

"S'cusez moi, mais, il se passe quoi ici au juste ?"

Toisant son interlocuteur de toute sa hauteur, qui paraissait bien l'étonner d'ailleurs, au moins autant que cet étranger ignorant, l'homme à la pioche donna sa réponse:

"Ben, euh... M'voyez, l'devin là bas à prédit qu'on trouverait un trésor enfoui au milieu du village... Et vu comme les caisses communales sont vides, ben on c'est dit qu'on allait tenter le coup..."

Les deux hommes se toisèrent encore un moment le temps que l'information fraie son chemin jusqu'au cerveau de Walters. On peut d'ailleurs supposer qu'elle a pris le temps de s'arrêter prendre un verre quelque part vu que, malgré la gène occasionnée par le sourire figé de notre tant adoré psychopathe, le type à la pioche repris la parole.

"Dites euh... C'est bien une pelle que vous portez là, avec cette euh... Masse ? Vu votre carrure le trou serait vite creusé si vous décidiez de nous donner un coup de pouce..."

Encore quelques seconde pour que les méninges de Walters laissent tomber ses chaussures... Finalement, il se pencha en avant pour atteindre l'oreille de l'autre homme.

"Vous pensez que ça lui fera plaisir ?"

* * *

Après une petite heure et beaucoup de coups de pelles plus tard, les villageois rassemblés autours du trou creusé (essentiellement par Walters, précisons) virent de leurs yeux un bout de caisse sortir du trou. Une fois sortie et ouverte, cette caisse se révéla presque vide, à l'exception d'un petit mot:

Ha Ha Ha je vous ai bien ...

...Signé, le devin...

Soupir général, c'était la troisième fois ce mois-ci que les villageois se faisaient avoir par une des blagues de ce farceur. Ils l'aimaient bien, mais là, ça devait vraiment lassant... Ils allaient devoir apprendre à être un peu moins crédules, ils travailleraient ainsi un peu plus et pourraient peut être sortir de leur misère. Telle fut la première pensée général, puis vint la seconde: pourquoi est-ce que le devin ne pouffe-t-il pas de rire comme d'habitude ?
Un ange passa le temps que la foule se retourne pour voir le trou être rebouché par notre cher Walters Scott, qui sifflotait paisiblement. Ce n'était pas dans ses habitudes de creuser une fosse et de ne pas y mettre quelqu'un dedans, et il n'aime pas prendre de mauvaises habitudes le Walti, ça non.
Le petit frère du premier ange passa également...
Puis, soudainement saisi d'un sentiment ineffable, l'ensemble du village se dit qu'il était préférable de laisser le mauvais farceur là où il était plutôt que de vilipender le sac de muscle et sa masse. L'un d'entre eux, certainement un charpentier dont le sens commercial lui disait qu'il était temps de se diversifier, parti vers son atelier fabriquer une croix sur laquelle il allait écrire en grand "DEVIN".

Le reste de la journée passa tranquillement dans ce village peuplé de peureux. Un nouveau devin fut élu, avec cette fois-ci la menace d'être enterré vivant, comme le voulait la coutume, s'il faisait mal son travail. Walters Scott, quand à lui, repris la route tranquillement, se demandant combien de temps ses nouvelles chaussures allaient tenir.
De bien belles chaussures, il fallait bien l'avouer !

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Informations IRL

    Prénom : Samuel

    Age : 20 ans selon le calendrier en vigueur dans mon pays depuis ma naissance.

    Aime : Pas mal de choses, plutôt difficile à dire comme ça...

    N'aime pas : Un peu pareil qu'au dessus

    Personnage préféré de One Piece : Trafalgar Law

    Caractère : Comme ça, au pif, je dirais endormi, mais ça varie selon les jours...

    Fais du RP depuis : J'ai de la peine avec le temps (ouais, on s'entend pas des masses lui et moi, mais je me soigne), mais je dirais depuis cinq ans.

    Disponibilité : Beh... Je passerai assez souvent, mais sinon, au niveau du rythme (qui est une question bien plus intéressante à mon avis), je posterai en moyenne un RP par semaine. Bien entendu ça va varier selon les disponibilité, mais il faudra vraiment que je sois overbooké pour que je ne fasse pas mon post hebdomadaire.

    Comment avez vous connu le forum ? : Bah, le forum sur lequel je sévissait (avec moultes litres de régurgitations soit dit en passant) se meurt peu à peu, du coup j'ai fait un tour sur Google, qui m'a dirigé sur un Top Site, et bingo jackpot full aux as par les rois je suis là.


Dernière édition par Walters Scott le Dim 21 Aoû 2011 - 9:36, édité 12 fois
    Bienvenue. Tout me semble en ordre.

    Up quand tu voudras ton test rp !

    Et bonne chance pour la suite.
    • https://www.onepiece-requiem.net/t146-ryuuku-no-fiche
    • https://www.onepiece-requiem.net/t99-rp-donwload-100-100-ryuuku-gakuen
    Voili voilou, c'est terminé et je suis prêt à me lancer dans le test RP si rien ne s'y oppose.
      Code:
      Tandis que tu te promènes en ville avec ta grande pelle, tu vois un attroupement de fermiers un peu plus loin. Tu vas voir ce qui se passe, et tous sont en train de creuser. "Il y a un trésor dans cette terre, le devin l'a dis ! Pourquoi pas, tu te dis... Alors, quelle sera ta méthode pour avoir ce trésor en premier, si il y en a un....

      Bonne chance et up quand tu auras fini !
      • https://www.onepiece-requiem.net/t146-ryuuku-no-fiche
      • https://www.onepiece-requiem.net/t99-rp-donwload-100-100-ryuuku-gakuen
      Up pour le test qui est fraichement terminé, bonne lecture

      /me triture le bas de son t-shirt en attendant les avis des modos tout puissants...
        Bonjour et bienvenue sur One Piece Requiem.
        Je vais aussi te donner un avis express pour des raisons que j'ai évoqué sur d'autres présentations (manque de temps, i'am très occupé, mais d'autres te feront quelque chose de plus complet).

        Donc, ben c'est bien.
        Parfois j'ai l'impression de retrouver des éléments de style de Minos, ce qui est très bien XD.
        Très très peu de fautes de grammaire et d'orthographe, un point de vue intéressant, du vocabulaire.
        Bref, du bon.

        Pour ce qui est du moins bon : certains points de ta biographie sont assez écarté de l'univers de One Piece montré par Oda (notamment le cannibalisme) mais cela a déjà été débattu sur le forum. Tu as créé un personnage complexe et intéressant, donc cela devrait être très intéressant à lire.

        Bref, je suis plutôt conquis (et oui je relativise, car mon commentaire est assez court et j'ai du louper quelques trucs, et je m'en excuse. Si l'occasion se présente, j'essayerais de trouver d'autres défauts dans cette présentation, ce que feront surement mes collègues staffiens ^^).
        Donc je te donne ma voix qui compte double pour 750 dorikis, mais je suis prêt à monter, ou à descendre un peu.


        Ah, et pour le fdd, je doute que ce soit possible, désolé, mais nous verrons cela dans la section appropriée après ta validation !
          Très glauque ta biographie dis !:d Surtout la fin. Enfin bon, donc du vocabulaire sympathique (surtout dans tes descriptions je trouve.), une très bonne syntaxe, quelques fautes ici et là, mais je dirais deux-trois par paragraphes, donc ce n'est pas alarmant, à mon aivs de l'inattention.

          J'ai beaucoup aimé le test rp aussi, tu as un style bon, qui continue bien. Tu rajoutes quelque petites choses par-ci par-là, pour donner un petit plus à ton rp, et ça, j'adore.

          Niveau originalité, ben ton perso l'est beaucoup. Y'a pas grand chose à dire d'autre à ce niveau là. Par contre, tu n'as pas décris le lieu où tu te trouvais dans ton test rp, et tu n'as pas vraiment utilisé les décors, tu es juste resté sur l'idée de creuser le trou, et qu'il y ait des villageois et un devin. Mais bon. Pour terminer, j'aime beaucoup aussi ta façon de contourner ce que tu veux expliquer. Je m'explique : Tu ne vas pas dire que tu tues Macha, ou le devin, mais tu vas quand même réussir à l'expliquer sans une phrase explicite, et ça, ça donne sacrément bien !

          Donc je suis aussi pour le 750 dorikis qui me semble très bien. J'aurais même dis plus 720, mais y'a du potentiel, qui est déjà en grande partie, mais tu t'amélioras vite à un niveau assez haut, j'en suis sûr. Plus qu'une voix et tu seras validé !
          • https://www.onepiece-requiem.net/t146-ryuuku-no-fiche
          • https://www.onepiece-requiem.net/t99-rp-donwload-100-100-ryuuku-gakuen
          Des points communs avec Minos ? C'est sûrement un compliment ça Scott

          Bienvenue Walters! A nous deux, faux belge (pour dire nonante mais prononcer Walty "Valty", faut être sang mêlé c'est pas possible autrement Very Happy). Ou alors t'es Suisse ? Mmh, tout ce mystère, passons à ta fiche avant que je ne me perde.

          Alors niveau forme, tu te défends très bien. On te lit facilement et les petits soucis d'orthographe ou de syntaxe restent anecdotiques, je n'ai rien de bien notable à dire là-dessus. Ton style est original, je rejoins Ryuu sur sa remarque pour les faits racontés de manière indirecte et j'ai beaucoup aimé l'humour de la présentation. Effectivement la vie de ton perso est glauque, mais Oda aime les background où le pauvre petit protagoniste en a tellement bavé qu'on verserait une petite larme si on aimait tous les dessins qu'il fait (dans tes dents le Jap'...me bannissez pas du forum svp Very Happy).

          Là où c'est un peu plus moins chouette, c'est la cohérence générale. Je te raconte en deux lignes une histoire et tu me dis si tu trouves ça normal.

          Dans un petit village de campagne des Etats-Unis, un flic a été retrouvé assassiné. Comme les habitants ne savaient pas qui a fait le coup, ils se sont entretué, oubliant au passage de se nourrir ou d'appeler la police pour résoudre l'affaire. La police ne s'est d'ailleurs jamais inquiétée de la disparition de son agent pendant des mois. Comme la nourriture a été laissée sur place, elle a moisi et déclenché des maladies qui ont finalement contraint les gens au cannibalisme.

          Sodride histoire pour un simple meurtre, un voisin à moi s'est suicidé il y a quelques années au début de la rue, heureusement qu'on a une caserne militaire pas loin, j'ai vraiment cru qu'il allait y avoir une guerre civile. T'as pigé le souci, il n'y a pas un pet de vache cohérence dans tout ça. ^^

          Si c'était le chaos que tu voulais installer, pourquoi ne pas le faire autrement ? A accuse B de mettre des saloperies dans ses champs pour nourrir les bêtes. B emmerde A. Du bétail de A meurt, A accuse B, ça s'envenime, ça se met sur la gueule. Pendant ce temps, la maladie de la vache folle se transmet à l'Homme. De A à Y, tout le monde devient dingue. Ton personnage est un des seuls à échapper à la contamination: il est végétarien.

          Avec ça, t'as un truc qui te permet de butter tout le monde et avec un truc moins sceptique qu'un meurtre. Tant qu'on est dans les incohérences, je ne comprends pas le trouble de Walters. Le rapport du psychologue manquant sérieusement de précision dans ses termes (ça ne fait pas psy du tout, l'effet tombe un peu à l'eau malgré la voix pompeuse), je ne vois pas si ton perso enterre parce qu'il a peur de ressentir la peine de l'attachement, s'il le fait par besoin compulsif de possession morbide ou s'il pense protéger les gens en les mettant en terre. En fait, je me dis surtout qu'il est très étrange qu'il s'attache très vite aux gens si c'est pour devoir les ensevelir, son passé justifie plus facilement un repli sur soi plutôt qu'une sociabilité débordante. Et s'il les enterre pour les aimer, il n'est pas logique qu'il voyage, on veut toujours rester près des gens qu'on aime. Toi, tu dis dans tes descriptions qu'il tue les gens quand il s'énerve aussi, ça veut dire qu'il aime les gens qui l'énervent ? Pas très convainquant tout ça, si ton perso a carte blanche pour zigouiller les gens qu'il aime et ceux qu'il n'aiment pas, il n'y a plus vraiment de Kritères avec un grand K.

          Voilà, donc forme quasi nickel, fond avec de bons éléments, mais des incohérences monstrueuses. Je suis pour 600 dorikis de mon côté en tenant compte du fait que les autres t'ont monté à plus de 700.
          • https://www.onepiece-requiem.net/t985-techniques-de-minos
          • https://www.onepiece-requiem.net/t956-minos-kahezaro-en-cours
          Je n'avais pas relevé ce point là, c'est vrai que c'est assez gênant.
          Avec tous ça on atteint les 5 voix, en prenant tous les avis en comptes, 660 dorikis me semble très acceptable !
          Ok pas ok ? (je m'adresse aux staffiens)
            Ca me va. ^^
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            Ok, donc je valide à 660 dorikis.