Quand la terrible Camélia Gniknivlsky se présente ! [19/05/22]

Gniknivlsky Camélia Camélion

Age : 23
Sexe : Femme
Race : HumaineMétier : La chasse aux pirates est ouverte !
Groupe : Marine
But : Découvrir la vérité de son passé et éliminer la racaille. Pas de pitié pour les pirates !
Équipement : Une armure à la paladin et une hache à double tranchant, si c'est possible ?Parrain :
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui, c'est un deuxième DC.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? @Izya
Codes du règlement :

Description physique

Camélia mesure environ 1,72 m pour un poids de 65 kg. Comptez en bien plus encore si elle se vêtit de sa lourde armure ! Physiquement parlant, son allure de princesse est plutôt plaisant à regarder, la nature la bien gâtée. Dame élégante, ses yeux couleur Lila légèrement maquillés, sa chevelure violacée bien brossée, ses vêtements sobre sont toujours impeccables et un parfum de fleurs s'en dégage. Une démarche féminine plutôt calme et gracieuse, des mimiques très girly à la limite de ressembler à une petite peste. L'entretien de sa peau est irréprochable, car la miss prend des heures à se préparer et à se pouponner pour satisfaire son envie d'être la plus jolie et de détrôner de nombreuses femmes de leur beauté.

En revanche, lorsque la demoiselle enfile son armure c'est une tout autre femme ! Son pas est bien plus assuré et plus lourd, ses cheveux mêlés par le vent et la salissure ne l'effraie aucunement ! Son visage angélique se métamorphose en diablesse et ses mimiques de princesse ou de fille de bonne famille se dissipent aussitôt. De la parfaite femme à marier, elle en devient aussitôt une redoutable guerrière bien orgueilleuse. De sa prestation intimidante, de part son impressionnante armure où le fer s'entrechoque dans un cliquetis à chaque pas et son regard glaciale, s'ajoute à cela une arme redoutable! Sa hache à double tranchant en impose encore plus que sa personne. Nombreux sont ceux qui n'osaient réellement l'approcher et par ce fait, fit d'elle une femme particulièrement respectée et indomptée.

Description psychologique

Si autrefois Camélia était une petite fille capricieuse, désobéissante et désagréable avec les autres, à l'heure actuelle elle est partagée entre faire le bien et le mal, mais pas de la bonne façon...

Son état esprit psychologique est instable tant elle est obnubilée par sa soif de vengeance envers ces maudits pirates et son insatisfaction à ne pas savoir le pourquoi du comment concernant son passé. Tantôt présente, tantôt perdue dans les souvenirs douloureux, la jeune femme n'est pas du genre à aider son prochain en se justifiant "qu'elle n'avait pas que ça à faire". Elle pouvait paraître égoïste et égocentrique aux yeux des autres qu'elle s'en moquait grandement. Sa réputation n'avait guère d'importance à ses yeux, tant qu'elle pouvait casser du pirate et découvrir le fin de mot de l'histoire... Rien d'autre ne l'intéressait. Faire du shopping ? Elle adorait ça, mais aujourd'hui cela l'ennui profondément. Boire un verre en charmante compagnie ? À quoi bon, elle s'isolerait volontairement pour ne pas à subir le brouhaha de ses coéquipiers qu'elle jauge d'immature et de grossier.

En bref, elle n'avait aucune autre volonté à part assouvir son plus sombre désir. Ce qui fait d'elle une femme perdue s'accrochant à un rêve emplit d'illusions, une femme charmante qui ne trouvait la paix en elle-même, une femme libre de faire ce qu'elle veut mais prisonnière de sa propre haine, une femme ne cherchant qu'un combler un vide en elle et qui pourtant, n'était pas seule.

À ses yeux la vie n'a aucune valeur et ne valait pas la peine d'être vécu. Tourmenter par une insoutenable douleur qui lui faisait facilement péter les plombs en combat lorsqu'elle se trouve face à des pirates, montrant ainsi sa véritable nature de femme fragilisée et définitivement brisée.

Biographie

[Une tendre enfance...]

Il était une fois dans un magnifique manoir situé sur les plages non loin de La Baie de Jing, ornée de grilles très grandes et pointues dont un symbole de lys était sculpté, un magnifique jardin tropicale, où chaque personne possédait sa propre chambre - personnel confondu - s’y trouvait une jolie petite fille du nom de Camélia. Cette petite poupée avait l’immense chance d’être la troisième du lot dans sa fraternité, deux frères ainés et un frère cadet qu’elle chérissait beaucoup et pour qui elle dévouait une loyauté incroyable et démesurée. Elle passait la majorité de son temps à étudier, faire courir les majordomes de la maison après ses bêtises et surtout à faire caprice sur caprice. Ses parents étant bien aisé offraient sans compter tout à leur fille chérie, la plus gâtée des quatre enfants. Qu’elle en avait de la chance d’être la seule fille de la maison ! De ce fait, étant la seule fille de la fratrie, cela paraissait tout à fait normal que ce soit la plus choyée, gâtée et protégée du manoir. Des robes ? Elle en avait à ne plus savoir quoi faire. Des jouets ? Elle en avait des milliers et ne les partageait jamais ! Des prétendants ? Beaucoup lui faisait déjà la cours à ses seize ans… Mais ce qu’elle appréciait par dessus tout et ceux depuis son plus jeune âge, c’était de pouvoir être spectatrice du talent de combat de ses frères ! Il savaient faire usage de nombreuses armes et possédaient quelques armures. Facilement deux à trois chacun. Ah, son enfance et son adolescence, la jeune Camélia ne regretta rien. Même pas sa tendance à maltraiter ses suivantes et les autres enfants de son âge. Mais toute bonne chose à une fin, hélas.

Un beau jour, alors qu’elle revenait d’une balade à éléphant, son île natale, Kanokuni, fut attaquée aux côtes par des individus dont leur cœur était bien plus noircie que le sien. Sigur, son majordome de compagnie, la comprenant mieux que ses propres parents, était à ses côtés ce jour-ci. Camélia savait pertinemment que son père avait des problèmes au travail avec des voyous de la Zaun qu’il fréquentait. D’ailleurs, la jeune femme pensait être l’unique survivante de sa famille en voyant le spectacle animé par l’horreur et les quelques flammes continuant à consumer sa demeure. Elle n’osait imaginer les tortures, les viols, pillages et esclaves que ces salauds ont pu se faire. Pourtant, la demoiselle devant une telle scène ne pleurait pas. Ce serait honteux de pleurer pour ceux qui partaient beaucoup trop tôt. Elle se promettait même de venger la mort de sa famille. Son regard devint bien plus obscure, bien plus meurtrier lorsqu’elle vit un drapeau de pirate déchiré au sol. D’un ton neutre et sans expression sur son visage, elle demandait à son unique majordome “qui sont ces fouteurs de trouble ?” en pointant le morceau de tissu. La réponse que pu lui apporter Sigur, âgé déjà d’une quarantaine d’années, n’était autre que “des pirates assoiffés de meurtres, de pouvoirs et d’or probablement, Lady Camélia”. Un simple rire nerveux sortait des lèvres de la demoiselle. Elle qui était dévouée pour ses frères, elle qui aimait tant cet endroit, elle qui pensait que tout cela ne finirai jamais… Elle s’était durement trompée. En réfléchissant et cherchant au fond de son esprit, elle se disait qu’il s’agissait probablement de ses couards de scientifiques qui avaient engagé ces pourritures pour décimer les membres de sa famille dans l’ombre. Mais pour quelle raison ? Elle ignorait entièrement.

Indiquant à son éléphant d’aller au pas jusqu’à l’entrée du portail, elle descendit avant de faire quelques pas devant la demeure flambant encore partiellement. Elle scrutait et enregistrait toute l’atrocité de se passage macabre. Certains membres du personnel de la maison se trouvaient au sol, allongés, morts. Des visages inconnus y gisaient aussi, *probablement ceux qui ont attaqué la maison*, pensait-elle. Sigur tentait de dévier son regard de ses horreurs, mais pas la fille Gniknivlsky. La jeune femme faisait face à sa réalité en continuant à marcher d’un pas nonchalant, le regard fou de rage. Elle espérait trouver au moins quelques souvenirs et se hâtait vers la petite armurerie familiale en piteuse état. De ce fait, elle entrait bien imprudemment pour y voir ce qui y restait. Une planche en bois manquait de lui tomber dessus au moment où elle entrait dans la pièce, mais au lieu de reculer et de fuir, Camélia était déterminée à avancer pour récupérer la hache à double tranchant, dont le manche est fait de métal recouvert seulement en bas par un tissu épais pour être tenu, qui appartenait à l’un de ses frères. En la prenant en main “Qu’elle est lourde !” s’exprimait-elle et qu’il était bien difficile pour la donzelle de la sortir de là. Mais ce fut son premier combat en tant que survivante de sa famille. De l’autre côté son fidèle accompagnant criait pour que la demoiselle délaisse cet arme pesante et dont elle n’avait la force de la soulever pour revenir vers lui. Lui aussi avait déjà perdu trop de monde pour que la seule qui sache en vie de la maison ne s’éteigne d’une manière ridicule sous ses yeux. Mais par sa détermination et sa fougue, elle niait son appel et se forçait à ramener son précieux souvenir jusqu’à la sortie. Il lui fallut bien une dizaine de minutes avec les planches menaçantes au dessus de sa tête pour enfin sortir vivante et avec une légère odeur de brûler sur elle.

- Je l’ai fait.

Disait-elle d’une voix monotone.

- Mademoiselle, ne recommencez plus, s’il vous plait… Je vous en conjure. Il ne me reste plus que vous.

- Et moi il ne me reste plus rien désormais.

Ses mots pouvaient être dur à entendre pour l’homme mûr, mais comme à son habitude il en fit impasse et se contenta de prendre la jeune femme dans ses bras. Elle avait ce qu’elle cherchait, elle avait ce qu’elle voulait. Maintenant, il ne restait plus qu’à honorer la mémoire de sa famille disparue d’une quelconque manière. Malgré ce triste sort, elle espérait au fond d’elle-même qu’elle ne soit pas la seule à avoir survécu.

- Viens Sigur. On s’en va. Cet endroit me donne la nausée. Je n’ai plus envie de rester ici. Ca ne m’amuse plus d’être à la maison.

- Entendu. Je vais vous accompagner jusqu’à votre éléphant Lady Camélia.

Elle fixait son arme de plus bel, son regard restant toujours assombri et enragé. Elle allait devoir être forte, mais surtout….

[Quelques années plus tard.]

-...mais surtout, cette petite camélia qui se tient en face de toi à décider d’intégrer la marine, quittant ainsi son île natale après une multitudes de galères et de compte à rendre aux Empereurs de Kanokuni et leurs habitants après cette attaque qui me collait le surnom de la poissarde ou de la mendiante, afin de se venger de personne insignifiante comme toi, pirate !

Depuis ce jour, elle avait prit en force, en mental, mais perdait le peu d’humanité qui restait en elle. Camélia possédait sa propre armure, ainsi qu’une arme familière, la hache de son “défunt” frère. À l’heure actuelle, elle venait d’arrêter avec d’autres membres de la marine un petit groupe de pirates qui se la jouaient bandit et commettaient du tord aux habitants en voulant instaurer des taxes afin de s’enrichir gracieusement et sans faire le moindre effort.

- Après ma petite histoire touchante, dramatique et bouleversante as-tu une dernière volonté, “l’ami” ?

- Pi...pitié !

Oh non. Cet homme comme les autres ne s’en sortiraient pas vivant. Elle en avait fait la promesse devant les grilles aux fleurs de lys avant son grand départ prématuré. Son sourire sadique se dessinait sur ses lèvres, son regard montrait bien la haine qu’elle avait envers les pirates et sa hache en main, elle s’apprêtait à faire rouler des têtes.

- Oh, mais où avais-je la tête ?

Elle jouait de sa féminité en prenant une posture de garce, roulant des yeux vers le ciel. Elle apposait ses doigts sur sa poitrine avant de dire:

- En tant que fille de bonne famille je me dois d’appliquer mon éducation et de faire les choses en bonne et due forme.

La soldat se tournait vers l’une des femmes pirates avant d’ajouter.

- Les femmes d’abord, n’est-ce pas ?

Puis un rire des plus sincères se fit entendre avant que ce ne soit le son sourd de l’arme détachant la tête du corps de celle qu’elle ne pouvait admirer. Après cette scène des plus macabres et sous le regard terrifié des autres membres pirates. Son visage devint à nouveau angélique et dans son action, elle ne put s’empêcher d’être sarcastique et peste à la fois.

- Alors mes mignons, à qui le tour ? Promis, vous ne sentirez rien. Je promets d’être douce et rapide à la fois.

Mais, elle ne s’arrêterait pas là. Après moulte recherche et interrogation de ses “prisonniers” elle apprenait qu’il existait un sombre personnage qui pourrait lui en apprendre bien plus sur la tragique fin de sa lignée. Elle devait tout d’abord faire un saut chez un ancien collaborateur de son paterne. Elle était certaine de découvrir des choses intéressantes et que cet homme serait ravi de la rencontrer en personne. Quelques questions se bousculaient encore dans sa tête: *Suis-je la seule à être encore en vie ? Quels genre de problèmes avait mon père pour que cela nous en coûte notre maison et nos vies ? Qui était en tête de cette attaque ? Qui mettait fin à cette exécution préméditée ?* La suite ? Tout cela ne dépendait que des réponses qu’elle obtiendrait de gré ou de force ! Alors, voilà ce qu’il en coûte désormais d’être un pirate ou un simple bandit face à la cruauté de la fille de la famille Gniknivlsky !

Informations IRL

Votre prénom / pseudo : Léana
Êtes-vous majeur ? oui
Vous aimez / n'aimez pas :
Votre personnage préféré (de One Piece) :
Vous vous définiriez comme :
Vous faites du RP depuis :
Vos disponibilités (approximatives) : Un petit mp et une réponse assurée dans la journée !
Comment avez-vous connu le forum ? Bouche à oreille.