Quel endroit emplit de charme...
Bien évidemment c'était de l'ironie et de la fausse joie. Quelle idée saugrenue de la part de mes équipiers que de vouloir se restaurer au Baratie en guise de pause déjeuner. Si la majorité s'enjouait à vouloir manger dans se célèbre restaurant, je faisais partie de la minorité qui tirait la gueule n'ayant aucune envie d'y mettre un pied. En même temps, en regardant un peu mieux j'étais la seule à ne pas vouloir y aller. Cela manquait de classe et il était certain que les alcooliques seraient nombreux. Cela dit plus poliment je compare cet endroit à un bar où la déco laisse à désirer et dont la clientèle manque crucialement d'éducation et d'intelligence.
Croisant les bras et me mettant à l'écart des autres, je les observe et suis stupéfaite de voir à quel point ils sont tous impatients d'aller se goinfrer d'un repas bien gras et très calorique en plus de picoler de la binouse d'une qualité pittoresque.
*Décidemment, les soldats de la marine n'avaient aucun goût*
Mieux valait le penser et éviter de m'attiser d'avantage les foudres de mes "camarades". De toute manière mon regard jugeur et mon expression faciale de petite princesse prétentieuse en disait bien plus que tout les mots que je pouvais prononcer. Inutile de dire que je ne me mélange pas à la crasse et aux détritus. On ne mélange pas les torchons et les serviettes ! Le dicton préférer de Sigur. À mon vieil ami, si seulement tu étais encore là, au moins j'aurai pu râler en paix avec un homme bon et juste. Toi au moins tu m'as toujours écouté sans jamais te plaindre en retour. Le parfait gentleman.
Hey ! Dame Camélia, venez nous rejoindre !
Alors que je pensais pour m'évader de ce piège à rat, il fallait que l'un d'eux me brusque à nouveau dans cette réalité déplaisante. Un sourire bien faux aux lèvres et jouant l'innocente, je refuses poliment d'un signe de la tête. Ben quoi ? Je ne vais pas non plus gâcher de la salive pour un être inférieur et lui rétorquer de ma jolie voix que je le trouves bien téméraire pour oser m'adresser la parole quand même ? Après ce sont mes supérieurs qui risquent de venir me voir pour me remettre "à ma place" alors qu'on sait tous que je suis au-dessus d'eux venant d'une bonne famille et ayant une éducation de noble.
Pour le moment, je ne suis toujours pas décider à bouger et d'aller vers les autres. Je préfère largement rester sur le bateau de la marine et regarder les nuages flottant dans le ciel ou l'eau calme de la mer. Peut-être que je peux même critiquer intérieurement les autres navires d'autres gens, ca pourrait être amusant un court instant avant que je me lasse.
Bien évidemment c'était de l'ironie et de la fausse joie. Quelle idée saugrenue de la part de mes équipiers que de vouloir se restaurer au Baratie en guise de pause déjeuner. Si la majorité s'enjouait à vouloir manger dans se célèbre restaurant, je faisais partie de la minorité qui tirait la gueule n'ayant aucune envie d'y mettre un pied. En même temps, en regardant un peu mieux j'étais la seule à ne pas vouloir y aller. Cela manquait de classe et il était certain que les alcooliques seraient nombreux. Cela dit plus poliment je compare cet endroit à un bar où la déco laisse à désirer et dont la clientèle manque crucialement d'éducation et d'intelligence.
Croisant les bras et me mettant à l'écart des autres, je les observe et suis stupéfaite de voir à quel point ils sont tous impatients d'aller se goinfrer d'un repas bien gras et très calorique en plus de picoler de la binouse d'une qualité pittoresque.
*Décidemment, les soldats de la marine n'avaient aucun goût*
Mieux valait le penser et éviter de m'attiser d'avantage les foudres de mes "camarades". De toute manière mon regard jugeur et mon expression faciale de petite princesse prétentieuse en disait bien plus que tout les mots que je pouvais prononcer. Inutile de dire que je ne me mélange pas à la crasse et aux détritus. On ne mélange pas les torchons et les serviettes ! Le dicton préférer de Sigur. À mon vieil ami, si seulement tu étais encore là, au moins j'aurai pu râler en paix avec un homme bon et juste. Toi au moins tu m'as toujours écouté sans jamais te plaindre en retour. Le parfait gentleman.
Hey ! Dame Camélia, venez nous rejoindre !
Alors que je pensais pour m'évader de ce piège à rat, il fallait que l'un d'eux me brusque à nouveau dans cette réalité déplaisante. Un sourire bien faux aux lèvres et jouant l'innocente, je refuses poliment d'un signe de la tête. Ben quoi ? Je ne vais pas non plus gâcher de la salive pour un être inférieur et lui rétorquer de ma jolie voix que je le trouves bien téméraire pour oser m'adresser la parole quand même ? Après ce sont mes supérieurs qui risquent de venir me voir pour me remettre "à ma place" alors qu'on sait tous que je suis au-dessus d'eux venant d'une bonne famille et ayant une éducation de noble.
Pour le moment, je ne suis toujours pas décider à bouger et d'aller vers les autres. Je préfère largement rester sur le bateau de la marine et regarder les nuages flottant dans le ciel ou l'eau calme de la mer. Peut-être que je peux même critiquer intérieurement les autres navires d'autres gens, ca pourrait être amusant un court instant avant que je me lasse.