Byker Smith

Byker, un jeune homme de taille moyenne, les cheveux courts et pointus, d’une couleur aussi sombre que son âme et aussi noir que les plumes des volatiles mangeurs d’homme communément appelé : « Corbeau ». Les yeux enfoncés, de nature rouge rappellent vaguement la couleur du sang, suscitant la peur  et la curiosité chez beaucoup de personnes. Son regard froid, profond et immersif semblable à l’océan  peut engloutir dans un vide sans fond toute personne qui viendrait à croiser son regard. Les sourcils toujours froncées, un nez court, fin et bien dessiné, une petite bouche et des lèvres bien pulpeuses, sont les éléments qui font tous son charme. Des cicatrices évoquant un passé sombre et douloureux peuvent se refléter sur les traits de son visage, une sur le front et une autre se situant près de l’oreille droite, des cicatrices qui prouvent et qui démontre que sa vie n’a pas toujours été rose et que très tôt il a dû apprendre à nager et à se défendre contre les requins qui peuple les océans des Blue.

Une silhouette athlétique gorgée de chéloïde de part et d’autre, dont les plus imposantes sont ceux des balles qui l’ont traversé et les coups de trahison qui se sont orchestrées lorsqu’il avait le dos tourné. Observateur de l’ombre à l’allure élégante, sombre, moderne et archaïque, son accoutrement ne s’éloigne donc guère de ceux des hommes de main des familles mafieuses. Une paire de revolver suspendue de part et d’autre de ses hanches, discrètement camouflée par une veste dont les manches regorgent d’armes de jet assez tranchantes pour couper à travers de la chair humaine, ce qui n’est guère inhabituelle dans les rues gouvernées par la loi du plus fort. Une bague au motif intrigant en guise de pendentif, seul vestige d’une ancienne famille dont le nom seul évoquait la peur et le respect dans tous North Blue.

Personnage abordant une démarche maîtrisé, faisant ressortir son aura charismatiques, son élégance, son côté narcissique et imbu de lui-même. Jeune homme aux parole hypnotique, caractérisé par une voix assez grave porté par l’assurance et la confiance, à l’entendre, on croirait presque qu’il y a que la vérité absolu qui sort de sa bouche.

« Il y a plus de choses qui nous font peur que de choses qui nous font mal. »
La « peur », un mot mais également un fait qu’on refuse tous d’admettre. Alors, on cherche des synonymes acceptables. On évoque le mal être, le stress,  l’inquiétude, l’incertitude, la crise ou même l’évolution. Byker a cessé de fuir, a commencé à admettre sa peur et l’a vaincu…
Autrefois, paranoïaque et rongé par tout sorte de peur, le jeune homme a su la dompter et a acquis un sang-froid, à  avoir des sueurs froide quand on y pense. Après avoir expérimenté toute sorte de torture dans l’intégralité de son enfance et toute sorte de trahison venant des personnes qu’il pensait être des hommes de confiance, rien ne lui sourcille plus. Les épreuves qu’il a traversées en étant très jeune lui a rendu inhumain, insensible et dépourvu de sentiment, que dire de plus sur cet aspect de lui ? La vie n’est pas toujours aussi colorée pour tout le monde, là où les autres nagent dans le bonheur, d’autres se tuent à la tâche pour sortir d’un enfer invivable.

«La raison veut décider ce qui est juste, la colère veut qu'on trouve juste ce qu'elle a décidé. »
La « colère », sentiment ardente, semblable à un braisier géant qui nous corrompt l’âme, nous aveugle et consume notre être. Elle étouffe le chagrin jusqu’à ce qu’à devenir un poison s’écoulant dans nos veines et nous pourrissent le cœur.
Ayant un tempérament colérique et facilement, irritable Byker est quelqu’un que l’on peut sans problème qualifier de cruel, violent et agressif. Sous l’action de la colère les cicatrices sur le visage du jeune homme s’étend jusqu’à couvrir presque l’intégralité de son visage, se propageant sur son cou jusqu'à descendre et parcourir une grande partie de son torse.

« On mesure l'intelligence d'un individu à la quantité d'incertitudes qu'il est capable de supporter. »
L’« intelligence »,  mot utilisé pour désigner les capacités d’une personne à raisonner, à réfléchir, à résoudre des problèmes complexe et à s’adapter à son environnement.
Pourvu d’une grande capacité intellectuelle qu’il met en service, sa malice d’esprit se joue de ses ennemis. Disposant d’une grande capacité d’analyse et d’une capacité d’adaptation hors pair, Capable de mettre le point sur la situation et les mouvements adverse en un temps record, le subordonné corrompu du gouvernement mondial est né pour élaborer des stratégies dignes d’un stratagème impérial.

« Traiter tous les hommes avec la même bienveillance et prodiguer indistinctement sa bonté peut tout aussi bien témoigner d'un profond mépris des hommes que d'un amour sincère à leur égard. »
La  « bienveillance », affection qui vous porte à désirer le bonheur d’autrui.
Malgré la nature froide, cruelle et insensible de Byker, le jeune homme est quelqu’un de juste. Bienveillant envers ceux qui le mérite et qui a su tisser des relations amicale avec lui tandis qu’il est impartiale et cruelle envers ceux qui n’ont pas hésité à le trahir et ses ennemies.

En résumé, c’est une personne avec un sang-froid à toute épreuve, un tempérament colérique, violent, froid et cruel, doté d’une capacité d’analyse et d’adaptation hors du commun et est bienveillant envers ceux qui ont toujours été là pour l’aider et intrépide envers ses ennemies.

Année 1612: La chute des Vongola.

La famille vongola était une des sept familles mafieuses qui régissent et coordonnent les activités criminelles de North Blue. La famille Vongola était une organisation mafieuse qui était en charge des trafics d’arme, de la commercialisation, de la distribution de substance illicite et de la vente d’information. C’était une famille mineure qui a su comment s’imposer dans le monde du crime organisé. Famille qui s’est sédentarisée à Manshon et dirigée par une main de fer appelé Renato VALANZASCA, surnommé la fleur du mal pour certain. Le mouvement crée par VALANZASCA ne cessa de prendre de l’ampleur, seulement un an après sa création, le mouvement comptais déjà plus de deux milles adeptes et quelques dizaines de branches à peu près sur tout North Blue. L’ascension rapide et fulgurante des Vongolas leurs avaient valu quelques ennemis dont les Tempiestas qui commençaient à s’inquiéter de la vitesse de propagation hallucinante de l’organisation de Renato, sans oublier les Auddifredi qui avait commencé  à vouloir convoiter la place des Vongola qui réunit en secret quelques pointures à la  tête des familles mineures de Manshon pour renverser les Vongolas. Un mouvement ayant le but de renverser les Vongolas se mit alors en marche. Très vites, le plan de l’alliance dirigé par les Auddifredi commence à s’ébruter, le bruit silencieuse n’échappa évidemment pas aux services de renseignement des Vongolas, le rapport arrive dans les mains de Renato mais son assurance et sa confiance démesuré en son pouvoir et ses capacités allait le conduire vers la fin de son règne….
21 Avril 1612, minuit sonna, après la dernière l’écho du dernier son de cloche, le silence de la ville endormie se brisa sous le bruit d’un coup de feu puis suivie de nombreuses autres qui raisonnaient dans toute la ville. La guerre a commencé, l’attaque surprise du mouvement dirigé par les Auddifredi engendra déjà une cinquantaine de mort dans les rangs de la Vongola. Soutenue par de nombreuses familles mineures, les deux milles hommes des Vongolas se sont faits submergé par une force de quatre milles hommes. L’alliance mafieuse adopta une stratégie de division, c’est bien connu dans l’art de la guerre, il faut diviser pour mieux régner. Ils ont œuvré de manière à s’en charger des exécutifs de l’organisation avant tout, pour se faire ils créèrent des groupes d’attaques de quelques centaine d’homme pour submerger l’ennemi qui ne s’attendait pas du tout à une attaque d’une telle ampleur.
Alors que les échos de la guerre se faisaient sentir dans toute la ville, la première réaction de Renato fut de faire évacuer sa femme et son fils accompagné par une unité de cinquantaine d’hommes dirigé par un des lieutenants les plus respecté chez les Vongolas, ils s’enfuirent donc à l’aide d’un passage secret se trouvant sous leur domicile menant directement à l’extérieur de la ville. VALANZASCA, lui, œuvra pour protéger son buisines, avec l’aide d’une unité spéciale de la Vongola, il partit soutenir ses alliés et ses hommes.
En route pour sauver ses alliés, le parrain de la Vongola tomba facilement dans une embuscade préparé à l’avance par le chef des Auddifreddi et les quelques chefs des familles mineures qui ont rejoint la cause. Une fusillade éclata dans un recoin miteux de Manshon. Quelques minutes plus tard, VALANZASCA et ses hommes se retrouva dans une impasse, prise de court par les renforts de l’alliance qui s’étaient glissés derrière eux. Il n’y avait plus de repli possible, seul la mort les attendaient. Dans le feu de l’action, Renato distrait par ses ennemis ne se doutait pas que les hommes en qui il avait sa confiance avaient déjà été achetés par l’ennemi, une balle se faufila sur son cou et le parrain s’écroula sur le sol. Les chefs et exécutifs de l’alliance mafieuse cribla de balle le corps de Renato, qui était déjà couché sur le sol et l’avais pendu dans un célèbre quartier de la ville. Suite à cela, les femmes et les enfants des partisans de la Vongola furent enlevés, violés, ceux qui ne coopéraient pas étaient tués et ceux qui restaient étaient réduits en esclave.
De son côté, la femme et le fils de Renato furent attrapés par les Auddifredi, évidement l’unité en charge de leurs protection avaient déjà été acheté. Les Auddifredi avaient menacé le lieutenant mais également promirent de faire de lui un de leurs lieutenants et d’épargner sa famille si jamais il mordait la main qui le nourrit. Ils avaient été emmenés dans une des bases secrètes des Auddifredi, Là où la femme de Renato fut violée devant son enfant qui était forcé d’assister à la scène. Tous ceux qui voulaient se la faire eurent le droit. Pour la dame, la nuit fut longue. Elle perdit la vie dans les ébats de plaisir des membres des Auddifreddi se passant devant son enfant… Voir sa mère violé jusqu’à en mourir marqua à jamais l’enfant qui se jura secrètement dans son cœur de tuer et d’anéantir tous ceux qui ont touché à sa famille.
La grande famille des Vongolas fut anéantie en une nuit, les corps gisant de ses membres tapissaient  les rues désolées de la ville. Elle fut vaincue, mais laissa également de graves séquelles dans les rues de ses ennemis.

Année 1615: La vague du changement.

Trois ans passèrent après la chute des Vongolas, le fils de Renato fut réduit en esclavage par les Auddifredi et vendu au Brun par l’intermédiaire de John Dwarf, célèbre capitaine esclavagiste de flotte du sous-marin du clan Burn, après avoir été torturé pendant des années dans une cave secrète. Dans cette cave, il expérimenta la douleur. L’expérimentation de plusieurs effets de drogue, l’abus et le viol, tant par des hommes que par des femmes, brulé vif… tout sorte de torture possible se fut expérimenté par un enfant âgé à peine de douze ans, soit disant pour évacuer la frustration et la colère des Auddifredi par la perte qu’ils ont subi lors de l’incident de 1612. Le jeune fut sorti de la cave qu’après trois ans, on se demandant comment il avait fait pour vivre et endurer tous ce que les hommes des Auddifredi le faisaient subir pendant aussi longtemps. Ramené à Carcinomia il fut vendu au marché des esclaves de la ville souterraine, là où il fut acheté par un exécutif du clan Omega. Il fut traité à nouveau comme sujet d’expérimentation pour les drogues psychotropes nouvellement crée. Par contre, cette rencontre avec le clan Omega lui était aussi bénéfique, le jeune homme appris un peu plus sur  l’alchimie et les procédés qui lui était encore inconnue. Il expérimentait alors la fabrique de plusieurs drogues pendant que les Omega avaient le dos tourné ailleurs. Il volait des matériels dans les laboratoires des Omega pour l’expérimentation de la fabrique de plusieurs mélanges de drogues psychotropes déjà existante pour produire des effets incontrôlables et irréversible qu’il testait sur les autres esclaves pendant leurs sommeille. Très rapidement, les Omega se rendirent compte de la disparition et de la mort soudain et mystérieuse de plusieurs esclaves qui les avaient rendus de plus en plus vigilant qui mirent un terme aux expérimentations illicites.

Année 1619 : L’évasion !

Après quatre ans d’esclavagisme, le jeune homme qui présentait des dépendances aux drogues psychotropes des Omega décida enfin de franchir le pas et commença les préparatifs de sa fuite. Il recommença de nouveau ses expérimentations secrètes et l’aide de ses quatre années de visualisation du procéder et la prise de note en mémoire, le jeune fut capable de crée une substance dopant qui augmente temporairement la force mais également une substance psychotrope assez puissante pour produire une overdose même en faible quantité, une substance issus de la combinaison de plusieurs drogues déjà existante. A l’aide de ses deux armes chimiques et l’aide de plusieurs esclaves, Byker réussi à s’échapper en dopant les capacités de ces alliés et les siennes, et assommant les gardes à coup d’injection de substance chimique hautement instables. Une fois échappé,  le jeune homme décida de faire cavalier seule et se sépara du groupe d’esclave avec lequel il qui s’était échappé.
Traqués par les miliciens du clan Omega, le jeune homme trouva refuge chez le célèbre trafiquant d’arme qu’on surnommait « la grenouille » qu’il rencontra par pure hasard.  Autrefois partenaire d’affaire des Vongolas, la grenouille reconnu immédiatement le blason de la famille déchue sur la bague qui servait de pendentif à Byker. Etant donné qu’il avait une dette envers les Vongolas qui l’avait aidé à s’échapper à la marine lors de sa fuite et a éliminé les adversaires potentielles de la grenouille sur la terre sainte, il décida de prendre le jeune homme sous son aile et le protégea des courroux du clan Omega.
Sous la tutelle de la grenouille, Byker appris l’art du maniement tant des armes à feu que les armes de jet mais continua également de développer les connaissances en chimie acquise lors de son détention chez les Omégas. Le monstre en lui s’éveille peu à peu et son ardent désir de vengeance ne cesse de grandir.

Année 1622: Le retour à Manshon.

Deux ans passa, Le jeune homme, maintenant maître dans l’art du tir et des maniements d’arme à feu Est maintenant prêt à quitter le nid. Après s’être entrainé d’arrache-pied avec la grenouille qu’il considérait comme étant un père pour lui maintenant, ayant perdu le sien un peu trop tôt, Byker pris la décision de faire ses valises et de partir à la rencontre de son Destin. EN guise d’au revoir, la grenouille lui offre deux pistolets jumeaux à la particularité de pouvoir tiré des petites boule de feu de la taille d'une balle, ainsi que des colonnes de feu grace au flamme dial qui y a été installé, des modèles unique que le crapaud avait chapardés chez les Avast, réputé pour leurs technologies avancé. Aidé par la grenouille, il embarqua dans un sous-marin avec une cargaison importante d’arme à feu en direction de Manchon.
Arrivé à Manshon, le jeune homme prit le temps de se balader dans son ancien quartier qui était devenue méconnaissable au fil des années et tout le monde semble avoir oublié les événements de la nuit du 21 Avril 1612. N’ayant pas le temps d’être nostalgique, le jeune homme commença par rejoindre un gang de rue qui se spécialise dans la vente et la distribution de stupéfiant. Un groupe dans laquelle il gravit rapidement les échelons jusqu’à devenir le conseiller responsable du bilan des ventes et des affaires du Gang. Le gang commença à vite s’agrandir depuis l’arrivée de Byker dans ses rangs et de nombreuses familles mineures commençaient à se dresser sur le chemin du gang.

Année 1623 : La bataille de pouvoir de 1623.

La bataille de pouvoir et les guerres ouvertes entre les familles mafieuses ne sont guère nouvelles dans les rues de Manshon. Le gang maintenant prospère par le biais des excellents conseils de Byker, la vente de substances narcotiques décolla et le gang passa de quelques vingtaines à une centaine de membre, les petites familles mafieuses et les gangs du coin commençaient à se dresser sur leurs chemins. En Février 1623, une guerre de pouvoir éclata entre le gang qui commençait à bien grandir et les gangs rivaux aidés des petites familles sous prétexte que les busines du gang empiétaient sur les leurs. Des embuscades faites par les gangs rivaux se produisent successivement, les dealers se faisaient descendre dans les rues en pleine jour et les fusillades étaient devenues de plus en plus fréquente. Les locaux où étaient entreposés les stupéfiants et les armes, et le coffre où était déposé les recettes journalières, furent pillé. Que dire, du jour au lendemain tout ce que Byker a construit pendant une année entière se firent détruit en quelques jour seulement. Les exécutifs du petit clan se sont réunis et avaient passé un deal avec les autres gangs, les territoires durement acquis depuis la venue de Byker furent offerts et départagés entre les gangs rivaux en guise de demande de pardon. Après avoir discuté, les gangs rivaux leurs accorderait le pardon si ils offrent la tête de Byker sur un plateau d’argent. Tous autant que les parrains des petites familles, les gangs rivaux avaient aussi pressenti le danger qu’allait représenter le jeune homme dans le futur si jamais on ne lui coupait pas les ailes dès à présent.
Voulant à tout prix survivre dans ce monde qui était celui du crime organisé, les exécutifs du clan qui ont assisté à la négociation se sont unis pour mettre fin à la vie de Byker. Dès lors, une chasse à l’homme se fit à travers la ville de Manshon. Des dizaines de mercenaires furent engagés pour rapporter la tête du jeune homme en échange de rémunération. Byker se retrouva bien assez vite dans la mouise et avait été obligé d’en venir aux armes. Deux semaines après l’annonce de la mise à prix de sa tête, de plus en plus de monde le traquait et pour s’en débarrasser il eut une brillante idée, certes risqué mais faisable. Lors d’une chasse à l’homme, Byker se laissa intentionnellement tirer dessus à maintes reprises avant de se faire emporter par l’océan. Laissant ainsi croire qu’il avait rendu l’arme à gauche sauf que tout ceci n’était que mise en scène orchestré par son génie. Ayant déjà tout préparé à l’avance, Byker réussit à s’échapper aux griffes de la mort. Après s’être jeté à l’eau, Byker utilisa l’énergie qui lui restait pour nager et monter à bord un bateau de pêche accosté non loin des côtes sur lesquelles se trouva déjà un médecin de confiance qui le soigna immédiatement. Le fruit du hasard? Bien sûr que non, le bateau et les services du médecin ont déjà été achetés à l’avance par Byker.

Année 1624: Le bain de sang de de 1624.

Après s’être fait oublié du monde du crime organisé pendant une année entière, le digne héritier des Vongolas refit de nouveau surface avec l’intention de se venger de la trahison qu’il avait subie. Byker qui avait monté une équipe de voyou soumis par la force et des menaces visant à ciblé leurs familles gardé en otage, que dire ? Byker n’était plus le même gamin opérant avec bonté et bienveillance, parce que si il y une chose qu’il a appris c’est que dans le monde des affaires, les sentiments ne sont que gènes. Avec les nouveau sous fifres qu’il n’hésita pas a utilisé comme de la chair à canon, il mit la ville sans dessus dessous avec des opérations visant à éliminer tous ceux qui était impliquer dans le bataille de pouvoir de 1623. Pendant deux nuits successives, la ville fut témoin de plusieurs morts dont principalement les membres de son ancien groupe qu’on retrouvait pendue et démembré une fois le matin venue. Pour avoir l’avantage et arriver à leur fin, Byker et ses hommes tendra des embuscades un peu partout et n’engageait le combat que quand s’était nécessaire. Face aux crimes et aux méfaits commis par des groupes d’individu inconnu qui menace la tranquillité de la plus grosse ville criminelle, les mafieux du coin organisa des raids et des rondes quotidienne dans les zones concerné pour essayer de débusquer les coupables qu’ils retrouvèrent bien plus tard entreposer dans un locaux de la ville. Après que les travaux furent terminés, Byker prit la décision d’éliminer le reste de ses complices qui n’avait pas encore rendu l’âme pour ne risquer aucune fuite d’information.

Année 1625 : Le blocus de la Marine.

Byker profita du blocus de la Marine et du mouvement insurrectionnel du peuple pour réduire le plus possible les effectifs ennemis. Menant des petites opérations d’assassinat, dont les cibles étaient les chefs et les exécutifs de petites familles œuvrant pour le compte des sept. Se servant ainsi du chaos et de l’instabilité politique de la ville pour rejeter les fautes sur le peuple prête à tout perdre pour regagner leurs libertés.

De nos jours :

Le jeune homme continue toujours sa quête de vengeance en attendant le jour où les sept familles s’écrouleront et en particulier, la famille Auddifredi.