Cela faisait désormais sept jours que l’attaque des chapeaux de fer avait été repoussée. Sept jours durant lesquels les habitants ont pleuré leurs morts et disposer des corps. Commencer la reconstruction et essayer de recommencer à avoir une vie normale.
Cela faisait également sept jours qu’Arsène avait été quant à lui cloué au lit. Il avait échappé de peu à la mort et cela n’était pas une hyperbole. Ce fut une combinaison de désespération, de chance, de précaution et le simple fait d’avoir récemment fait l’acquisition d’un second revolver qui lui avait permis d’avoir le mot final avec son adversaire.
Iqiniso avait cependant disposer de l’avantage du début à la fin et aurait pu abattre le jeune Lieutenant s’il n’avait pas joué avec sa nourriture.
Arsène avait été pour ainsi dire en état de choc à son réveil et un médecin lui ordonna de rester toute la semaine au lit en repos forcé. Aujourd’hui était le jour ou le médecin était revenu le voir et avait autorisé ses déplacements: pour autant, le Baron n’avait pas bougé de son lit. Enfin il était plus juste de simplement dire qu’il s’était simplement mis en position assis, ses bras accoudé sur ses jambes, les mains prisent l’une dans l’autre juste devant son visage pensif.
Sa survie n’était dû qu'à de la chance, voilà qui était indigne du futur de la famille Alighieri.
Son regard changea quand cette impression des évènements devint de facto celle qui constitue son avis définitif sur ce qui s’était passé.
“Il me faut plus de puissance.” Dit-il alors d’une voix grave, avant de subitement se relever et s’habiller.
Quelques minutes plus tard, le Lieutenant était sorti de la maison, juste devant le pas de porte.
Son logement avait été la maison d’une civile qui avait gracieusement accepté de le loger -et au passage avait préparé d’excellent petits plats pour le Marine-. La raison était simple, sa vie fut sauvée par l’un des matelots du Tempest. Et elle avait insisté, Arsène aurait pu être ramené vers la garnison mais à ce moment, les blessures qui lui avaient été infligées étaient telles qu’il aurait pu mourir à cause d’un déplacement trop long. Il lui en était reconnaissant. Une raison évidente pour devenir plus fort: protéger ces civils qui ne demande qu’à vivre en paix, dans un monde sans pirate.
Cela faisait également sept jours qu’Arsène avait été quant à lui cloué au lit. Il avait échappé de peu à la mort et cela n’était pas une hyperbole. Ce fut une combinaison de désespération, de chance, de précaution et le simple fait d’avoir récemment fait l’acquisition d’un second revolver qui lui avait permis d’avoir le mot final avec son adversaire.
Iqiniso avait cependant disposer de l’avantage du début à la fin et aurait pu abattre le jeune Lieutenant s’il n’avait pas joué avec sa nourriture.
Arsène avait été pour ainsi dire en état de choc à son réveil et un médecin lui ordonna de rester toute la semaine au lit en repos forcé. Aujourd’hui était le jour ou le médecin était revenu le voir et avait autorisé ses déplacements: pour autant, le Baron n’avait pas bougé de son lit. Enfin il était plus juste de simplement dire qu’il s’était simplement mis en position assis, ses bras accoudé sur ses jambes, les mains prisent l’une dans l’autre juste devant son visage pensif.
Sa survie n’était dû qu'à de la chance, voilà qui était indigne du futur de la famille Alighieri.
Son regard changea quand cette impression des évènements devint de facto celle qui constitue son avis définitif sur ce qui s’était passé.
“Il me faut plus de puissance.” Dit-il alors d’une voix grave, avant de subitement se relever et s’habiller.
Quelques minutes plus tard, le Lieutenant était sorti de la maison, juste devant le pas de porte.
Son logement avait été la maison d’une civile qui avait gracieusement accepté de le loger -et au passage avait préparé d’excellent petits plats pour le Marine-. La raison était simple, sa vie fut sauvée par l’un des matelots du Tempest. Et elle avait insisté, Arsène aurait pu être ramené vers la garnison mais à ce moment, les blessures qui lui avaient été infligées étaient telles qu’il aurait pu mourir à cause d’un déplacement trop long. Il lui en était reconnaissant. Une raison évidente pour devenir plus fort: protéger ces civils qui ne demande qu’à vivre en paix, dans un monde sans pirate.
Dernière édition par Arsene Alighieri le Ven 15 Juil - 10:36, édité 1 fois