Après de nombreuses batailles, Hunter et son associé ont besoin de repos. Les deux chasseurs guérissent à peine de leurs blessures de leur dernier affrontement, ils se reposent sur l’île de Cocoyashi. C’est une destination parfaite pour trouver la paix, Hunter compte bien en profiter. Cerotis et Hunter vivent dans une chambre d’hôtel, chacun s’occupe comme il peut, comme il veut, ils sont en vacance. « Bonebreaker » comme il est surnommé passe ses journées à dormir, il ne fait que ça. « Le Destrier » passe ses journées à bronzer dehors, ils passent du bon temps sur une île paisible.
Cerotis est allongé sur un banc, il est habillé comme à son habitude avec un jean noir, un maillot violet aux manches retroussées et avec des bottines marron. Le soleil réchauffe la peau du chasseur, tandis que le silence et le bruit du vent qui caresse les feuillages bercent Hunter. Celui-ci est habillé sobrement, il est en débardeur blanc avec un short à fleurs bleu, et des sandales. Les deux hommes, bien que séparés, profitent de leur vacance. Le Mono pique un roupillon sur le banc comme un sans-abri, certains pensent qu’il en est un, les passants déposent des pièces dans la chope de bière vide du chasseur.
L’ambiance du village est saine, aucune animosité n’est présente, rien de tout cela. Les habitants discutent dehors de tout et de rien, ils sont posés en terrasse, ils boivent des jus de fruits et de l’alcool avec modération. La marine passe de temps en temps faire sa petite patrouille, elle est saluée par les civils qui les aiment. Ils sont cool les marines à Cocoyashi, parfois ils prennent un verre avec les habitants, le colonel est au courant, mais il fait mine de ne pas l’être, il faut bien que ses hommes tissent des liens avec les habitants.
Il est 14 heures 57, Hunter décide de se lever. Il sort du lit, il se gratte le fessier en bâillant. Il se dirige vers la salle de bain, il se brosse les dents tout en regardant sa cicatrice. Ce mauvais souvenir, ce souvenir infect qui le dégoûte, Hunter a bien failli perdre un œil ce jour-là. Après s’être brossé les dents, il se rase en faisant couler l’eau. Il ne se coupe pas, c’est des années d’expérience ça. Le chasseur s’essuie le visage avec de l’eau, et une serviette propre. Le chasseur ferme la porte de la chambre derrière lui, il descend les escaliers qui mènent au rez-de-chaussée. Il passe devant le comptoir de l’hôtel, le gérant lit un journal en ignorant le client.
Hunter sort, la première chose qu’il constate c’est que le soleil tape fort aujourd’hui, il sort ses lunettes de soleil de son short, il les met. Le chasseur décide de faire une petite marche loin de la ville, les villages et les villes tout ce qui est urbanisé l’ennuie en ce moment, il veut voir des arbres et de la verdure. Hunter marche tranquillement dans les sentiers du village, il sort de celui-ci pour s’aventurer plus loin.
— J’espère que mes bandages ne vont pas me faire sueur, ce serait con que mes plaies me grattent.
Mais alors que Hunter s’éloigne sur les sentiers de la forêt, deux individus débarquent sur l’île. Les deux types n’ont pas l’air amicaux, mais alors pas du tout. L’un est plus grand et plus imposant que l’autre, il a un pantalon gris, et il porte une armure en bois, c’est original, avec des gants de boxe rouges. Le deuxième est plus chétif, il n’a pas un gramme de graisse sur lui, on dirait un anorexique. Il est facilement reconnaissable à sa coupe de cheveux, on dirait un mouton. Ces cheveux cachent ses yeux. Le maigrelet porte une chemise noire avec un pantalon jaune, en plus d’avoir des bottines en guise de chaussures. Le « Mouton » porte des « griffes de chat » à chaque main, c’en est effrayant. Les deux hommes marchent tranquillement vers la ville, ils ne passent pas inaperçus. Les civils prennent peur, certains prennent la fuite.
Cerotis est allongé sur un banc, il est habillé comme à son habitude avec un jean noir, un maillot violet aux manches retroussées et avec des bottines marron. Le soleil réchauffe la peau du chasseur, tandis que le silence et le bruit du vent qui caresse les feuillages bercent Hunter. Celui-ci est habillé sobrement, il est en débardeur blanc avec un short à fleurs bleu, et des sandales. Les deux hommes, bien que séparés, profitent de leur vacance. Le Mono pique un roupillon sur le banc comme un sans-abri, certains pensent qu’il en est un, les passants déposent des pièces dans la chope de bière vide du chasseur.
L’ambiance du village est saine, aucune animosité n’est présente, rien de tout cela. Les habitants discutent dehors de tout et de rien, ils sont posés en terrasse, ils boivent des jus de fruits et de l’alcool avec modération. La marine passe de temps en temps faire sa petite patrouille, elle est saluée par les civils qui les aiment. Ils sont cool les marines à Cocoyashi, parfois ils prennent un verre avec les habitants, le colonel est au courant, mais il fait mine de ne pas l’être, il faut bien que ses hommes tissent des liens avec les habitants.
Il est 14 heures 57, Hunter décide de se lever. Il sort du lit, il se gratte le fessier en bâillant. Il se dirige vers la salle de bain, il se brosse les dents tout en regardant sa cicatrice. Ce mauvais souvenir, ce souvenir infect qui le dégoûte, Hunter a bien failli perdre un œil ce jour-là. Après s’être brossé les dents, il se rase en faisant couler l’eau. Il ne se coupe pas, c’est des années d’expérience ça. Le chasseur s’essuie le visage avec de l’eau, et une serviette propre. Le chasseur ferme la porte de la chambre derrière lui, il descend les escaliers qui mènent au rez-de-chaussée. Il passe devant le comptoir de l’hôtel, le gérant lit un journal en ignorant le client.
Hunter sort, la première chose qu’il constate c’est que le soleil tape fort aujourd’hui, il sort ses lunettes de soleil de son short, il les met. Le chasseur décide de faire une petite marche loin de la ville, les villages et les villes tout ce qui est urbanisé l’ennuie en ce moment, il veut voir des arbres et de la verdure. Hunter marche tranquillement dans les sentiers du village, il sort de celui-ci pour s’aventurer plus loin.
— J’espère que mes bandages ne vont pas me faire sueur, ce serait con que mes plaies me grattent.
Mais alors que Hunter s’éloigne sur les sentiers de la forêt, deux individus débarquent sur l’île. Les deux types n’ont pas l’air amicaux, mais alors pas du tout. L’un est plus grand et plus imposant que l’autre, il a un pantalon gris, et il porte une armure en bois, c’est original, avec des gants de boxe rouges. Le deuxième est plus chétif, il n’a pas un gramme de graisse sur lui, on dirait un anorexique. Il est facilement reconnaissable à sa coupe de cheveux, on dirait un mouton. Ces cheveux cachent ses yeux. Le maigrelet porte une chemise noire avec un pantalon jaune, en plus d’avoir des bottines en guise de chaussures. Le « Mouton » porte des « griffes de chat » à chaque main, c’en est effrayant. Les deux hommes marchent tranquillement vers la ville, ils ne passent pas inaperçus. Les civils prennent peur, certains prennent la fuite.
Dernière édition par Hunter le Mar 19 Juil 2022 - 18:22, édité 5 fois