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Cocasse et loufoque

Rokade, après ma prise de pouvoir en 1627. Ma flotte n'est toujours pas finit. Donc on attend comme un con sur l'île. Ce gros morceau de caillou ou presque rien ne pousse ni ne vit. Un bon rejet de l'océan. Mais c'est mon rejet à moi désormais. Polochon, mon représentant sur l'île, m'amène la paperasse. Il ne fait que ça. Feuilles par ci, documents par là, dossiers dans le fond, classeurs sur l'autre table … j'ai l'impression de ne pas en finir. J'ai besoin d'air.

« Tu sais quoi ? Prends le siège, fais comme si j'étais pas là. »

Un soru plus tard, le prochain mot sortant de sa bouche part sur un mur. Je suis sorti de chez moi rapidement, et je cours pour ne pas qu'il me retrouve. Marre de ces morceaux d'arbre modifiés. Jamais ça ne s'arrête. On est sur une île pirate, pas un truc chiant du gouvernement mondial. Qu'est-ce que j'en ai à foutre que machin ouvre sa pâtisserie, que truc se soit fait volé ses économies ? On est sur une île pirate, on règle ça avec la loi du talion et basta. Je suis ici pour me détendre et récupérer du monde, pas signer des papiers, valider des choses, refuser des projets … Après avoir cassé la gueule au représentant des représentants de l'île, les gens ont appris à mettre une prime sur mon visage. Ils se souviennent très bien des 397 000 000 qui me caractérisent. Donc on m'évite soigneusement dans les rues. C'est fou ce que j'ai comme place en y pensant. Je décide d'aller me détendre dans un bar. Ça fait longtemps que je n'ai pas mis les pieds dans un truc comme ça. Je pousse la porte d'un saloon à l'ambiance cowboy. Sans le voir venir, on me regarde, on me dévisage, se demandant ce que je viens faire ici. Suis-je là pour faire la peau à quelqu'un ? Est-ce que je viens collecter des taxes ? Me suis-je perdu ? Je m'approche du bar, d'un air sûr de moi, puis je me pose sur un tabouret au comptoir.

« Je cherche Ché. Tu connais ?
Heu … non.
Ché. J'vét'amo, de son prénom.
Quelqu'un connait un j'vétamo ché ? »

Il se rend compte de ce qu'il dit quand les mots quitte ses lèvres. Quelques rires se font entendre. Est-ce de la pitié ? Un vrai rire ? Un rire par dépit ? Je m'en fou. L'ambiance est détendu.

« Un diabolo fraise.
Faudrait ptet arrêter les blagues boss.
… C'pas une blague. Et le premier qui se fou de moi je l'envoie rencontrer le gm en le faisant passer pour un révo. C'est clair ? » L'ambiance est devenue glaciale. Plus personne ne parle. Plus personne ne regarde quelqu'un d'autre que moi. Oui, je ne bois pas d'alcool vu que je ne le supporte pas. Je ne bois que des diabolos fraise quand je vais dans des bars, et alors ? Je ne dis pas à tout le monde que Ragnar a été une femme pendant un temps. Qui'Izya lave mal ses ailes parfois et que ça se sent à travers Armada. Je ne dis pas non plus que le bras en métal de Red fait un boucan la nuit quand il dort, ou fait d'autres activités nocturnes. Alors foutez moi la paix et laissez moi boire ce que je veux boire. Non mais oh. « Maintenant, si personne n'a de commentaire à faire, tournée de bière générale. C'est Rokade qui paie. »

Ils se regardent, avant de s'exprimer en même temps. Ils gesticulent, ils crient, ils remercient, ils boivent, ils s'en foutent … Bref, des pirates quoi.
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Rokade – Année 1627
La curiosité, un vilain défaut

Voilà maintenant plusieurs jours que Ten était sur cette île de malheur. Depuis son départ de Logue town ; il y a déjà quatre longues années ; il avait pas mal bourlingué. Passant de navire pirate luxueux à des petites barques où seules quelques âmes pouvaient tenir, il était passé d’un extrême à l’autre. Ce fut d’ailleurs son dernier voyage qui l’avait amené sur cette île rocailleuse qui n’avait, qu’on se le dise, rien d’accueillant.

Pourtant, les évènements survenus récemment avaient été intéressants. Un homme ; pirate si l’on en croyait la rumeur ; s’était emparé à lui seul de l’île. L’Asakura n’avait pas assisté à la prise de pouvoir, mais il avait entendu de nombreuses rumeurs affirmant que désormais, l’île serait placée sous la protection de ce pirate. Chose qui l’avait bien rire, comment de simples civils pouvaient-ils s’en remettre à un pirate pour assurer leur protection ? Ils devaient être sacrément débiles. Mais qu’on se le dise, ce n’était pas pour lui déplaire. Car s’ils étaient aussi bêtes, alors il y avait de fortes chances pour que l’enfant de Logue town puisse tirer son épingle du jeu.


Il venait de l’apercevoir. Lui, celui qui avait réussi à dompter l’île de par sa force brute. Celui que tous ici craignaient, celui qui se faisait appeler Clotho. Drôle de nom pensa alors Ten, il se demandait bien combien de personnes avaient pu faire des jeux de mots dessus. Sûrement peu, à en croire par le respect qu’il inspirait à la population et la peur qui se lisait dans leurs yeux.

Ten n’y était pas insensible, bien que son sourire reste figé sur son visage. Il ne pouvait s’empêcher de ressentir sa présence, de voir que cet individu possédait bien plus de charisme que la plupart des gens de cette île. Mais pour une raison étrange, il n’était pas non plus effrayé. Il reconnaissait l’écart qui régnait entre leurs deux niveaux, mais cela ne l’empêchait pas de succomber à l’un de ses plus vilains défauts… La curiosité.


Entré dans le bar peu de temps après le Maître de l’île, il arriva néanmoins pile au moment où ce dernier annonça qu’une tournée générale était payée par Rokade. Et bien qu’il pensât que cela était complètement stupide de l’annoncer ainsi ; car au final c’était Clotho qui allait payer ; il se prit au jeu et agrippa la chope de bière qu’on venait de lui tendre. Humectant ses lèvres de ce breuvage houblonnée, il ressentit un léger frisson le long de sa colonne vertébrale, signe que la bière était aussi rafraîchissante qu’on pouvait s’y attendre.

Finissant rapidement, il se terra alors dans un coin du bar ; déguisé sous des airs de saloon ; et commença à analyser la pièce. Elle était principalement remplie d’ivrognes et de pirates cherchant un moyen de décompresser. Ils riaient, s’esclaffaient, se tenaient bras dessus bras dessous. Autant de cibles faciles que Ten n’hésiterait pas à dépouiller. Et c’est ce qu’il entreprit ; en faisant attention de ne pas trop se rapprocher de Clotho ; en se faufilant à travers chacun. Echangeant quelques mots par ci par là tout en subtilisant la petite bourse qui pendait à la ceinture de ses interlocuteurs.

- Très joli moustache l’ami… Où l’avez-vous faite tailler ?

Dit-il tout en s’appropriant la montre qui ; clairement ; était bien trop grande pour son ancien porteur. Dérobber des pirates et des voleurs… Pouvait-on appeler ça la Justice ?

Résumé:
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Si mes alliés ne me portent pas trop dans le cœur, c'est parce que mon humeur change plus vite qu'un clignement d’œil. J'essaie de toujours conserver une ligne directive, mais c'est pas toujours possible. Notamment en cas d'émotions fortes. J'ai tendance à me laisser submerger. Je bosse sur ce point, mais c'pas facile. Mais c'est toujours plus difficile que de voir un gamin de seize ans, dans le miroir, en train de voler la montre d'un ivrogne trop occupé à vider sa pinte que de regarder son poignet. Il peut être aussi invisible qu'il veut, un miroir retransmet ce qu'il voit sans mentir. Mais personne d'autre ne semble voir le môme à l’œuvre. Il détourne l'attention en plus le salopiot. On dirait moi à son âge, volant pour survivre, à l'époque où je n'avais plus de domicile. Je fais une rotation de mon fessiers pour me tourner vers le gamin. Il a disparu. Je déploie mon empathie, quand même bien plus développée que la moyenne, et me concentre sur l'aura du voleur. Rien. Ok, j'ai plus d'un tour dans mon sac. Je mets mes deux mains autour de mes yeux utiliser la technique secrète des jumelles. Parce que c'est bien connu qu'on voit mieux comme ça. Je parcours toute la taverne à la recherche de l'enfant. Je ne le trouve pas.

Je passe alors à la troisième méthode, la déduction par élimination. Mon Empathie s'étend à nous à tout le bar. Je ressens chaque personne, chaque intention, chaque émotion des personnes présentes. Et une par une, je les élimine de mes pensées. Les ivrognes ne pensent qu'à boire et sont à moitié dans le coma pour certain, leur esprit inerte. D'autres sont assoiffés et bien content quand ils sentent l'alcool descendre leur gosier. Je les élimine également. Certains sont tristes malgré la tournée générale, il dégagent. Rapidement, il ne reste plus grand monde. Et sachant que je n'arrive pas à repérer l'adolescent, il doit être invisible. Je me concentre particulièrement dans les coins où je ne ressens ou ne vois rien. Et quelques minutes plus tard, après qu'il ai détroussés plusieurs personnes, je trouve enfin ma cible. Je verrouille mon empathie dessus afin de ne plus perdre sa trace. Je suis toujours assis sur mon siège et je regarde le môme à l’œuvre. Puis je me racle la gorge, toujours en le fixant, et je pointe du doigt un type. Il doit faire deux mètres de haut, musclé comme un camion, à moitié en train de dormir. Sa bourse, attachée à sa ceinture, ne demande qu'à être subtilisée. Voyons voir si le voleur peut faire quelque chose à ce sujet. Si ses talents sont prometteurs, pourquoi ne pas en profiter et le recruter pour des missions intéressantes ?

Je créée de la terre devant la porte d'entrée, bloquant la seule sortie de la zone avec un mur épais d'un mètre. Il ne pourra sortir qu'avec mon accord. Sur les Blues, quand tu as un logia, tu es le roi. C'est aussi simple que ça.
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Rokade – Année 1627
La curiosité, un vilain défaut

Il n’y avait pas à dire, la récolte était fructueuse. Sûrement l’une des meilleures que Ten n’ait jamais faite dans sa vie de voleur. Tous ces pirates célébrant la prise de pouvoir de leur chef. Toutes ces âmes à la dérive qui ne remarquaient même pas qu’ils se faisaient détrousser de quelques objets de valeur. Tout cela rendrait presque l’Asakura euphorique.

Toujours armé de son plus fin sourire, il continuait à déambuler parmi les tables, se remplissant les poches allégrement. Cependant, il commençait à se heurter à des soucis de taille. En effet, ses vêtements n’étaient pas extensibles et il ne pouvait définitivement pas sortir du bar avec des poches remplies de pièces et surtout débordantes d’objets dont il n’avait que faire. Il devenait donc plus regardant sur ce qu’il dérobait, allant jusqu’à reposer certaines montres qu’il avait dérobées quelques minutes auparavant… Elles n’avaient clairement pas assez de valeur, et il les avait donc laissées dans un coin, à l’abri des regards.

Jouissant de sa faculté à se fondre dans la masse et à passer inaperçu, Ten alternait cependant avec des petites discussions de temps à autre lorsqu’il se rendait compte que sa cible était trop attentive pour se faire subtiliser sans artifice supplémentaire. Et alors qu’il commençait à avoir un bon paquet de billets en poche, le jeune garçon ressentit une pression, accompagnée d’un raclement de gorge.

S’arrêtant net, il stoppa son geste et ne déroba pas ce magnifique collier qu’il avait quasiment en main. Préférant battre en retraite, il se recula de quelques pas et commença à regarder autour de lui, se demandant bien pourquoi il ressentait désormais cette gêne. Le raclement de gorge aidant, il se tournant alors vers l’origine du bruit et s’immobilisa net…

Clotho le regardait, il ne semblait ni amusé ni en colère par rapport à ce qu’il semblait avoir compris des activités de Ten. Il lui montrait simplement, grâce à son index, un homme massif qui semblait à moitié endormi ; duquel dépassait une grosse bourse qui n’attendait qu’à être saisie. Ten, quant à lui, perdait peu à peu de son sourire et sentait son estomac se resserrer. Il venait de se faire attraper par le Maître de l’île, en train de subtiliser les effets personnels des différents ivrognes se trouvant dans le bar.

- Tsss…

Siffla-t-il entre ses dents serrées. Ce n’était clairement pas la première fois qu’il se faisait attraper et il avait déjà subi quelques coups et des nuits en prison pour ses agissements… Mais là, celui qui venait de le griller n’était autre qu’une personne ayant la capacité de conquérir une île. Il ne devait donc pas le prendre à la légère.

Et puis c’était quoi ce doigt tendu ? Il semblait l’inviter à venir dérober une bourse d’un de ses hommes. Était-ce un piège ? Un test ? Ten n’aurait su le dire, tout ce qu’il savait c’était qu’il était désormais enfermé dans ce bar car le dénommé Clotho venait de créer un épais mur de terre au niveau de la porte, condamnant cette sortie potentielle… Il restait bien les fenêtres… Mais il savait que ses chances de fuite seraient limitées face à cet individu.

Optant donc pour la seule solution qu’il lui restait, il s’approcha alors de la montagne à moitié endormie sur le comptoir. Bien qu’il empestât l’alcool, il semblait un minimum conscient et ne laissait que peu d’ouverture à notre jeune voleur. Chose pour laquelle l’Asakura opta pour une autre technique. Celle de la déviation d’attention !

- Non mais ça va pas la tête !!

Fit-il tout en tombant à la renverse sur l’homme qui faisait près de deux mètres ; simulant alors une bousculade dans le saloon ; profitant de la forte densité de population se trouvant à l’intérieur. Comme prévu, cela eut pour effet immédiat de faire revenir le colosse à lui et de tirer ses traits pour transformer son visage en une immondice rongée par la colère. Ten, quant à lui, se trouvait au sol et se releva tant bien que mal, profitant de la main que lui tendait sa cible pour se relever.

- Désolé l’ami, il semble que certains aient l’alcool mauvais aujourd’hui…

Prononça Ten tout en désignant du regard un homme barbu assez âgé qui gesticulait et ne tenait plus debout. Le colosse, bien que peu convaincu, le fut lorsque le barbu lui piétina le pied sans faire exprès. Il n’en fallut pas plus pour que le premier coup de poing se décoche, le tout sous le regard excité des autres ivrognes présents.

Mais tout cela, Ten s’en fichait désormais. Car il avait déjà quitté le lieu du crime, la bourse en main et il se dirigeait désormais vers Clotho d’un pas aussi feutré que déterminé. En arrivant, il posa avec fracas la bourse remplie de berrys devant le Maître de l’île et lui annonça ces quelques mots.

- Je peux partir désormais ?

Un sourire affiché sur le visage, tentant de ne pas trahir le stress qui l’envahissait de parler à un tel monstre, Ten désigna alors du menton l’épais mur de pierre qui trônait devant la sortie de l’établissement…
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Culotté. Effronté. Audacieux. Insouciant. Il y a encore tellement d'autres mots pour décrire le gamin en face de moi. Je comprends ce que ressent Red quand je suis avec le patron d'Armada. J'ai dix ans de plus le morveux en face de moi. Il ne représente rien et ne pourrait faire si l'envie me prenait de le punir. Pourtant, il garde la tête haute. Est-il vraiment insouciant ou bien n'est-ce qu'une façade ? Je lève mon bras, pose ma main sur la bourse remplie.

" Merci de m'éviter de me salir les doigts. La merde ça tâche. "

L'homme que je lui indiqué était la cible d'un contrat entre un groupe de personnes et moi-même. Je devais prouver qu'il détenait les choses dans sa cachette sans le toucher, le menacer, faire usage de la force ou lui demander. Je ne pouvais pas non plus demander de l'aide à quelqu'un. N'ayant fait que pointer le gars du doigt, je n'ai jamais demandé au gamin de le voler. C'est lui qui est venu à cette conclusion, tout seul, comme un grand. Je vois la bouche du môme qui s'ouvre, interloqué.

" Oui, je t'ai utilisé. Tu vas faire quoi ? "

Je lui offre mon plus beau sourire hautain, signifiant tu ne peux rien face à moi, alors dis simplement merci de continuer d'exister grâce à ma magnanimité. J'ouvre le sac contenant les berry du volé. Sauf qu'il n'y a pas de berry. A la place, des jetons. Des jetons bien particuliers appartenant à des personnes spéciales. Des token qu'on donne à des anciens alcooliques. Voler, ça ne me gêne pas. Voler les pauvres pour donner aux riches, voler aux riches pour me donner, voler aux pauvres pour me donner ... je m'en fou. Mais voler un symbole auquel des gens raccrochent leur foi simplement pour le plaisir de le faire, je n'aime pas. Oui, je le fais, mais c'est différent dans le sens où je suis moi et il est lui. On ne peut pas nous comparer. C'est comme manger une chaussure et se moucher dans la robe de la reine d'Alabasta. Une vaguelette de terre sort de ma jambe, rampe sur le sol tel un serpent, se dirige vers le voleur. Elle lui enserre la jambe pendant son combat. Avant qu'il ne le remarque, c'est trop tard. Des pics de terre se forment, perçant sa jambe gauche à plusieurs endroits. Il se met à crier, et les gens s'écartent de lui.

" Voler les jetons des alcooliques anonymes pour qu'ils perdent leur repères et sombre à nouveau dans l'alcool, ce n'est pas digne d'un pirate. Tout juste un bandit de bas étage. Mais tu n'es pas un pirate, je me trompe ? " Je n'attends pas vraiment de réponse vu que je la connais déjà. " On fait le même métier, toi et moi. On offre nos services en échange de quelques pièces. Donne moi son nom, et tu sors d'ici en vie. Refuse ... " Je me lève, doucement, et me dirige lentement vers lui. Je lui murmure des mots à l'oreille que lui seul peut entendre. " Refuse, et tu apprendras que ce n'est pas la mort que tu crains, mais la façon de mourir. Se faire manger vivants par des insectes prend des jours durant lesquels la victime reste consciente. Alors réfléchis vite. "

Il donne rapidement le nom de son employeur. Un certain Tom Jerry qui vit près du Chantier Naval de Rokade, le CNR. Je pourrais y aller, vu que c'est ma mission. Mais le petit ne se démerde pas trop mal. Et il sera bien plus diplomate que moi. Je ne peux pas tuer tout le monde, après tout. Il n'y a pas assez de place pour tous les enterrer. " Trouve Tom Jerry pour moi. Et glisse lui ma carte dans sa poche. Tu fais ça pour moi, et tu auras toujours un toit pour toi à Rokade. Et si tu le fais avant le coucher du soleil, je rajoute même une prime de risque. Bien évidemment, si tu ne souhaites pas, on peut appliquer la loi du talion aux personnes dont tu as fais les poches. Et je suppose que ton activité ne se limite pas à ce soir ..."

Je vais me rassoir tranquillement sur mon siège, reprend mon verre en main, en boit une gorgée, puis libère ma terre du passage. Le petit n'a pas flanché en voyant mon pouvoir, ce n'est pas donc pas le premier fruit du démon qu'il voit. Donc il a déjà du en voir des vertes et des pas mures. Peut-être sera-t-il à la hauteur. Peut-être se fera-t-il prendre et sera pendu pour ça. Peut-être va-t-il s'enfuir, tout simplement. Toujours est-il que je fais pour lui ce qu'on a pas fait pour moi, mais que j'aurais aimé qu'on fasse. Je lui tend une main. Je lui offre une porte de sortie. Je ne connais ni son nom, ni son histoire. Je n'en ai pas besoin. J'étais lui, il y a dix ans. Je volais pour survivre. Je mentais pour manger. Je frappais pour fuir et ne pas finir en prison. Aujourd'hui, je suis un pirate craint jusqu'à la fin de Grand Line. Je possède une île, j'ai un quartier sur Armada, des milliers d'hommes sous mes ordres. L'évolution vient à qui sait en saisir les chances. Je pose la carte avec mon logo sur le bar. A lui de saisir sa chance ou de la laisser filer.

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Rokade – Année 1627
La curiosité, un vilain défaut

Son éternel sourire posé sur son faciès, Ten restait silencieux suite à sa question. L’homme en face de lui n’était pas de ceux que l’on pouvait caractériser comme « fin ». Il parlait mal, était vulgaire et semblait jouir de la position de force qu’il avait face à l’Asakura. Avec ses paroles, il tentait sûrement de prouver que c’était lui qui avait la plus grosse. Chose qui aurait amusé Ten s’il n’était pas aussi tendu de s’être fait griller par un pirate à la puissance telle qu’il se ferait écraser en moins de temps qu’il n’en fallait pour l’écrire.

Mais malgré cela, Ten paraissait toujours aussi calme à l’extérieur, un sourire affiché et les yeux plissés comme à son habitude. Il assista alors à la démonstration de puissance que donna Clotho. Prenant pour cible celui qui venait de se faire dérober, il prouva à tous ; comme s’il en avait besoin ; qu’il était bien le Maître de cette île. S’en suit un échange que Ten ne réussit pas à capter, mais quelques instants plus tard le protecteur de l’île se tourna à nouveau vers lui et lui annonça qu’il avait une mission pour lui.

Enfin, annoncer était un bien grand mot. Il ne lui laissait pas vraiment le choix. Il fallait qu’il trouve un homme appelé Tom Jerry et qu’il lui donne la carte de Clotho. Et s’il ne le faisait pas, Clotho menaçait de dévoiler à tout le monde que l’Asakura s’était goinfré en faisant les poches de tous les hommes un peu trop saouls.

- Ca devrait pouvoir se faire.

Sourire toujours affiché, le jeune voleur fit alors volte-face et partit aussi discrètement qu’il n’était arrivé dans ce bar. Pour être tout à fait franc, il n’avait pas encore décidé ce qu’il allait faire : Tenir sa parole, ou en profiter pour s’enfuir ? Dans l’indécision, il avait cependant opté pour la solution qui lui permettrait de partir le plus vite possible de ce bar, de s’éloigner le plus possible de cet homme qui lui avait retourné l’estomac rien qu’avec sa prestance !

Une fois dehors, il marcha sur l’équivalent de quelques rues puis s’arrêta à une intersection. Haletant, la tête embrumée, il n’eut d’autre choix que de s’adosser à un mur pour reprendre son souffle.

- Bordel… C’était moins une…

Quittant son fidèle sourire, le visage de Ten montrait désormais la peur qu’il avait jusque là refoulée. Lui qui était d’ordinaire si impassible venait de subir une telle pression qu’il en avait perdu ses moyens ; bon au moins il aura évité de le montrer à tous.

Il lui fallut quelques minutes pour remettre ses idées en ordre et réaliser qu’il avait encore les poches bien remplies de ses différents larcins. Cela eut pour effet immédiat de faire réapparaître le sourire sur son visage ; comme s’il venait de trouver le remède à tous ses maux. Et tandis qu’il se dirigeait vers sa chambre à l’hôtel du coin, il pesait le pour et le contre de la proposition du Maître de l’île. Ce dernier semblait vouloir le tester, et pour cela il offrait une belle récompense.

- Après tout, pourquoi pas…

Fit Ten après s’être débarrassé du butin volé en vrac dans un tiroir de sa commode. Il était désormais allongé sur le dos, regardant la carte que Clotho venait de lui donner, s’imaginant déjà empocher la prime qui lui avait été promise s’il réussissait sa mission à bien avant que le soleil ne se couche.
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Rokade – Année 1627
La curiosité, un vilain défaut

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Bien décidé à mener à bien la mission que le maître de l’île venait de lui donner, Ten se mit alors en route pour le chantier naval. Apparemment, de ce que Clotho lui avait transmis comme information avec le tabassage de la « montagne », il habiterait dans ce coin-là. Le voleur avait alors levé un sourcil. La récolte d’informations n’était pas énorme, mais c’était déjà un début. Après tout, les habitations près du chantier naval ne devaient pas être légions et il arriverait sûrement à trouver le fameux Tom Jerry.

En arrivant, tandis que le soleil était encore haut dans le ciel, l’Asakura se rendit alors compte de son erreur. Il y avait de nombreux logements près du chantier naval…

- Sérieusement… ?

Râla alors Ten, portant toujours son sourire et en se grattant l’arrière du crâne. Il pensait que tout cela serait de l’argent facile, mais il fallait croire qu’au final, il devrait un peu plus s’investir qu’il ne le pensait ; à son plus grand désarroi. De plus, il ne semblait pas y avoir de plans ni de personnes qui semblait disponible… Autant vous dire que la recherche serait longue et qu’il fallait s’y mettre dès maintenant si jamais il voulait voir la couleur de la prime que lui offrirait supposément Clotho.

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Après plus de quarante cinq minutes à déambuler dans le quartier aux alentours du chantier naval, Ten s’assit sur des caisses qui n’attendaient plus qu’à être chargées sur une embarcation. Il commençait à se dire qu’il n’aurait pas la prime, et cela réduisait son sourire. Et ce fut à ce moment qu’il entendit un charpentier alpaguer son collègue.

- Tu viens chez Tom ce soir ? Apparemment il fait les verres à moitié prix si on prend chacun plusieurs consommation et que…

Le reste de la conversion l’intéressait bien peu, Ten était sur une piste intéressante ! Il sauta donc sur ses pieds et se dirigea vers l’homme qui venait de prononcer ces paroles. L’abordant avec calme et un sourire toujours aussi ; faussement ; sincère, il lui dit ces quelques mots.

- Bonjour, pardonnez mon impolitesse mais je vous ai entendu parlé d’un certain Tom. Serait-ce Tom Jerry par hasard ?
- Euh ouais… Pourquoi ?
- Oh pour rien ! C’est mon oncle et je cherchais justement où je pouvais le trouver ! Merci beaucoup monsieur !


A partir de là, la recherche ne fut qu’une formalité et il trouva rapidement l’adresse de l’établissement. Une miteuse rue abritait un bar à l’aspect encore moins attirant. Peu de fréquentation, quelques personnes encapuchonnées surveillant les environs ; Ten sentait qu’il touchait au but. Il voulut rentrer alors dans le bar, dans le plus grand des calmes, mais se fit vite interpeler par une personne montant la garde qui le regarda de haut en bas ; clairement pas charmé pour un sou par le sourire de notre jeune voleur.

- Désolé le bar est fermé aujourd’hui.
- Mais je viens de voir quelqu’un rentré …
- On est fermé je te dis, trace ta route morveux !


Une hygiène buccodentaire qui laissait à désirer accompagnait ces paroles dures et strictes. Ten, n’étant clairement pas un combattant pouvant se permettre une attaque frontale décida alors de prendre ses distances. Il ne servait à rien de créer une scène pour le moment, il fallait agir de façon beaucoup plus méthodique et réfléchie.

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Le soleil commençait doucement à redescendre lorsque le jeune garçon se mit alors en mouvements. Il attendit que la journée des différents ouvriers du chantier naval se termine et que les flux de personnes deviennent plus importants. Ainsi, il se joignit alors à un groupe de charpentiers avec lesquels il sympathisa en leur affirmant qu’il leur payait la première tournée pour les remercier de leur dur labeur sur le chantier bla-bla-bla…

Ce qu’ils étaient idiots. De par son appartenance à un groupe d’habitués et sa capacité à passer inaperçu, l’Asakura put alors pénétrer dans le bar et il remarqua immédiatement le fameux « Tom ». Il s’agissait d’un homme d’une quarantaine d’années, gras et mal odorant. Il servait les whiskys à tour de bras à plusieurs hommes qui semblaient désespérés. Quel endroit des plus détestables, se dit alors Ten.

Mais il n’en oubliait pas pour autant sa mission. La carte de Clotho était dans sa main lorsqu’il s’approcha du bar. Mais c’était déjà trop tard, il avait relâché son attention et la personne qui lui avait interdit l’accès quelques temps auparavant venait de le voir dans le bar et s’époumonait tout en se frayant un chemin vers lui.

- Eh toi ! Je t’ai déjà dit de dégager !

Une panique relative s’installa alors dans le bar tandis que la brute se frayait un chemin pour venir choper Ten pour le mettre dehors. L’Asakura, quant à lui, sourit franchement au videur qui venait de lui offrir l’évènement dont il avait besoin. Profitant de sa silhouette agile et svelte, il se fraya alors un chemin rapidement vers Tom et sauta au niveau du bar, renversant par la même occasion trois verres qui avaient déjà été servis et sûrement déjà payé.

- Oups ! Tiens l’ami, je ne sais pas ce que tu as fait mais je crois que tu t’es mis dans de sales draps ! Allez, à plus !

Dit-il tout en déposant la carte de Clotho dans la poche avant de la chemise déboutonnée que portait Tom Jerry. Le lard ne comprit pas ce qui se passait, trop choqué par cette intervention, la bouteille de whisky dans une main et un verre dans l’autre il ne réagit pas et laissa alors filer Ten sans broncher. Mais en partant, Ten en avait profité pour prendre un objet comme assurance, une sorte de preuve de son action pour le compte de Clotho.

Il ne fut pas difficile de semer la brute lorsqu’il fut sorti du bar, même s’il ne connaissait pas parfaitement la ville, sa corpulence lui permettait d’être bien plus agile que son poursuiveur et il ne lui fallut que quelques minutes pour que le quidam n’abandonne la poursuite.

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Tandis que les derniers rayons de soleil commençaient peu à peu à disparaître lorsque Ten pénétra dans le hall de la Mairie de Rokade. Et tandis qu’il se faisait interpeler par un homme pour savoir la raison de sa visite en une heure si tardive, il traça sa route et se mit alors à la recherche du bureau convoité.

Poussant la porte de ce dernier, il ne s’encombra pas de politesse mais déposa son « assurance » sur la table tout en regardant Clotho ; un franc sourire sur son visage d’où perlaient quelques gouttes de sueur.

- Avec les compliments de Tom Jerry.

Dit-il tout en déposant avec vigueur la bouteille de diabolo fraise déjà préparé qui traînait dans le bar de Tom Jerry ; se souvenant que c’était la boisson que Clotho avait commandé.
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... Que dire ... Qui m'a foutu un débrouillard mais un abruti pareil ? Il vient me poser une bouteille sur mon bureau. Mais il la pose avec force cet abruti ! Résultat, le bouchon en verre saute sous la pression, et une fontaine jaillit de la bouteille. Le diabolo, c'est de la limonade avec un sirop. Autrement dit, ça colle. Ça mousse. Et bien entendu, ça tombe sur les papiers que je remplissait. Parce que même si Rokade est une île de pirates, il faut un peu d'administration sinon ça tombe dans l'anarchie. Deux personnes se battent pour le même endroit, trois auberges pop à côté les uns des autres ... Alors que là, les gens soumettent leur demande, on étudie, et quand on en a rien à foutre, on leur dit de se taper sur la tronche et que je le vainqueur a raison. C'est facile la politique en fait, de mon point de vue, vu que je ne fais ça que trois minutes par an. Et encore, uniquement lors des années où la lune est en phase croissante pendant soixante jours d'affilés. Je regarde le gamin avec un air pas content.

" Ton nom.
Asakura Ten
Le bureau ne va pas se nettoyer tout seul, Ten. Tu auras ta récompense une fois que ça sera propre et on collant. "

Quand on fait une bourde, on la rattrape comme on peut. On essuie les pots cassés, et surtout, on assume. Bons choix comme mauvais, que les conséquences soient bénéfiques ou catastrophiques, un homme assume. C'est comme ça que je vis. Et si à l'extérieur je suis fâché, je suis tellement heureux au fond de moi. J'ai enfin une excellente excuse pour ne plus faire la paperasse pendant un bon moment. Youpi ! Ce soir, on va se la donner dans un bordel ! Histoire d'être sûr qu'il nettoie le bureau, je lâche un paquet de pièces et billets dessus. Très vite, ils s'imbibent de liquide et deviennent collant. Pour les utiliser, il devra les laver, sinon personne ne les acceptera. Je tape dans mes mains et quelqu'un apparait comme par magie.

" Grand dieu, il s'est passé quoi ici ? Qu'est-ce que vous avez fait cette fois ?
C'est pas moi. Promis. " Boris se tourne vers le môme. " Boris, voici Ten. Il m'a rendu un service. Quand il viendra sur l'île et viendra te voir, si je ne suis pas là, trouve lui un toit sympa sous lequel loger quelques temps. Pas de question. "

Oui, ok, j'ai peut-être tendance à vouloir aider les gamins qui me rappellent moi il y a dix ans. Peut-être. En même temps, il faut savoir se serrer les coudes entre criminels. J'suis ptet quelqu'un qui tue des innocents de sang froid sans aucune hésitation, remord ou regret, mais j'ai un cœur. De temps en temps. Il parait. Mon médecin me dit qu'il est en bonne santé. Mais à chaque fois qu'il l'examine, il fait une drôle de tronche. Faudra que je lui pose la question un jour ... Boris prend en photo la bouille aux cheveux violets pour la garder en mémoire, puis il la range dans un tiroir fermé à clé. Je sors du bureau en faisant chpouik à chaque pas. Oui, le diabolo, ça colle. ça va lui prendre une bonne demie-heure  nettoyer le bureau et le sol. Heureusement, c'est de la pierre, un coup de flotte et pouf, ya plus de soucis. 6 000 000, voilà la somme laissé sur le bureau. Quant à Tom, il devrait comprendre le message. Mais ayant peur d'avoir été trop subtil, j'irai régler ça un jour, mano à mano.

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Rokade – Année 1627
La curiosité, un vilain défaut

Tandis qu’il pensait avoir fait un bon mouvement en ramenant cette bouteille de diabolo fraise, il n’avait pas vraiment fait attention à son contenu lors du voyage retour. Plutôt pressé d’échapper à la grosse brute qui lui courrait après, il avait secoué la bouteille dans tous les sens. Et le résultat… Eh bien vous le connaissez ! Un bureau collant, des papiers foutus et un Ten se grattant l’arrière du crâne, un air un peu gêné combiné à son sourire habituel.

- Oups… Désolé !

Fit-il en simple guise d’excuse alors que le bureau était complètement foutu. Et tandis que Clotho quittait la pièce après avoir bien fait comprendre à Ten qu’il ne partirait pas avant d’avoir nettoyé, le jeune voleur se précipita pour sauver ce qu’il pouvait de l’argent qui venait d’être déposé sur le bureau.

Il en sauva la plupart avant que le quidam nommé Boris ne veule récupérer quelques informations sur le voleur. Bien qu’il ne fut pas très enclin à les donner, l’Asakura le fit, se rendant compte qu’il venait peut être de se trouver un allié et un refuge en cas de problème. Finalement, ce Clotho n’était pas si terrible, il lui avait même offert de l’argent et un toit pour une chose que Ten faisait d’ordinaire de lui-même.

Prenant l’éponge et la serpillère qu’on lui donna, le jeune Asakura se mit alors à la tâche, tout en prenant bien soin de bien nettoyer ce qui lui appartenait ; les billets donnés par Clotho. Tout en nettoyant, il prit aussi soin de bien regarder le type de papiers qu’il nettoyait. On n’était jamais à l’abri d’une information pouvant se révéler intéressante. Le maître de Rokade avait raison, le diabolo fraise c’était une vraie tannée à nettoyer. Il ne pensait pas qu’il passerait autant de temps à récurer ce fichu bureau, du sol jusqu’au bureau.

- Bon, disons que c’est pour la bonne cause.

Sourit une dernière fois Ten tandis qu’il venait de terminer. Il rangea les instruments de ménage dans un coin et se saisit de la bourse contenant pièces et billets ardemment mérité. Et ce fut donc avec un grand sourire béat qu’il quitta la pièce, bien content d’avoir commis ces quelques larcins dans le bar ; cela lui avait ouvert les portes d’une collaboration bien plus facile et lucrative.

Mais il le savait, Clotho n’était pas du genre à se laisser berner facilement, il faudrait donc que Ten se montre prudent dans sa façon de faire s’il ne voulait pas se retrouver empaler par les pics rocheux du maître de Rokade. M’enfin, il s’était retenu de voler quelques documents lors de son nettoyage… Mais cela ne l’avait pas empêché de jeter un coup d’œil !
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