Rokade, après ma prise de pouvoir en 1627. Ma flotte n'est toujours pas finit. Donc on attend comme un con sur l'île. Ce gros morceau de caillou ou presque rien ne pousse ni ne vit. Un bon rejet de l'océan. Mais c'est mon rejet à moi désormais. Polochon, mon représentant sur l'île, m'amène la paperasse. Il ne fait que ça. Feuilles par ci, documents par là, dossiers dans le fond, classeurs sur l'autre table … j'ai l'impression de ne pas en finir. J'ai besoin d'air.
« Tu sais quoi ? Prends le siège, fais comme si j'étais pas là. »
Un soru plus tard, le prochain mot sortant de sa bouche part sur un mur. Je suis sorti de chez moi rapidement, et je cours pour ne pas qu'il me retrouve. Marre de ces morceaux d'arbre modifiés. Jamais ça ne s'arrête. On est sur une île pirate, pas un truc chiant du gouvernement mondial. Qu'est-ce que j'en ai à foutre que machin ouvre sa pâtisserie, que truc se soit fait volé ses économies ? On est sur une île pirate, on règle ça avec la loi du talion et basta. Je suis ici pour me détendre et récupérer du monde, pas signer des papiers, valider des choses, refuser des projets … Après avoir cassé la gueule au représentant des représentants de l'île, les gens ont appris à mettre une prime sur mon visage. Ils se souviennent très bien des 397 000 000 qui me caractérisent. Donc on m'évite soigneusement dans les rues. C'est fou ce que j'ai comme place en y pensant. Je décide d'aller me détendre dans un bar. Ça fait longtemps que je n'ai pas mis les pieds dans un truc comme ça. Je pousse la porte d'un saloon à l'ambiance cowboy. Sans le voir venir, on me regarde, on me dévisage, se demandant ce que je viens faire ici. Suis-je là pour faire la peau à quelqu'un ? Est-ce que je viens collecter des taxes ? Me suis-je perdu ? Je m'approche du bar, d'un air sûr de moi, puis je me pose sur un tabouret au comptoir.
« Je cherche Ché. Tu connais ?
Heu … non.
Ché. J'vét'amo, de son prénom.
Quelqu'un connait un j'vétamo ché ? »
Il se rend compte de ce qu'il dit quand les mots quitte ses lèvres. Quelques rires se font entendre. Est-ce de la pitié ? Un vrai rire ? Un rire par dépit ? Je m'en fou. L'ambiance est détendu.
« Un diabolo fraise.
Faudrait ptet arrêter les blagues boss.
… C'pas une blague. Et le premier qui se fou de moi je l'envoie rencontrer le gm en le faisant passer pour un révo. C'est clair ? » L'ambiance est devenue glaciale. Plus personne ne parle. Plus personne ne regarde quelqu'un d'autre que moi. Oui, je ne bois pas d'alcool vu que je ne le supporte pas. Je ne bois que des diabolos fraise quand je vais dans des bars, et alors ? Je ne dis pas à tout le monde que Ragnar a été une femme pendant un temps. Qui'Izya lave mal ses ailes parfois et que ça se sent à travers Armada. Je ne dis pas non plus que le bras en métal de Red fait un boucan la nuit quand il dort, ou fait d'autres activités nocturnes. Alors foutez moi la paix et laissez moi boire ce que je veux boire. Non mais oh. « Maintenant, si personne n'a de commentaire à faire, tournée de bière générale. C'est Rokade qui paie. »
Ils se regardent, avant de s'exprimer en même temps. Ils gesticulent, ils crient, ils remercient, ils boivent, ils s'en foutent … Bref, des pirates quoi.
« Tu sais quoi ? Prends le siège, fais comme si j'étais pas là. »
Un soru plus tard, le prochain mot sortant de sa bouche part sur un mur. Je suis sorti de chez moi rapidement, et je cours pour ne pas qu'il me retrouve. Marre de ces morceaux d'arbre modifiés. Jamais ça ne s'arrête. On est sur une île pirate, pas un truc chiant du gouvernement mondial. Qu'est-ce que j'en ai à foutre que machin ouvre sa pâtisserie, que truc se soit fait volé ses économies ? On est sur une île pirate, on règle ça avec la loi du talion et basta. Je suis ici pour me détendre et récupérer du monde, pas signer des papiers, valider des choses, refuser des projets … Après avoir cassé la gueule au représentant des représentants de l'île, les gens ont appris à mettre une prime sur mon visage. Ils se souviennent très bien des 397 000 000 qui me caractérisent. Donc on m'évite soigneusement dans les rues. C'est fou ce que j'ai comme place en y pensant. Je décide d'aller me détendre dans un bar. Ça fait longtemps que je n'ai pas mis les pieds dans un truc comme ça. Je pousse la porte d'un saloon à l'ambiance cowboy. Sans le voir venir, on me regarde, on me dévisage, se demandant ce que je viens faire ici. Suis-je là pour faire la peau à quelqu'un ? Est-ce que je viens collecter des taxes ? Me suis-je perdu ? Je m'approche du bar, d'un air sûr de moi, puis je me pose sur un tabouret au comptoir.
« Je cherche Ché. Tu connais ?
Heu … non.
Ché. J'vét'amo, de son prénom.
Quelqu'un connait un j'vétamo ché ? »
Il se rend compte de ce qu'il dit quand les mots quitte ses lèvres. Quelques rires se font entendre. Est-ce de la pitié ? Un vrai rire ? Un rire par dépit ? Je m'en fou. L'ambiance est détendu.
« Un diabolo fraise.
Faudrait ptet arrêter les blagues boss.
… C'pas une blague. Et le premier qui se fou de moi je l'envoie rencontrer le gm en le faisant passer pour un révo. C'est clair ? » L'ambiance est devenue glaciale. Plus personne ne parle. Plus personne ne regarde quelqu'un d'autre que moi. Oui, je ne bois pas d'alcool vu que je ne le supporte pas. Je ne bois que des diabolos fraise quand je vais dans des bars, et alors ? Je ne dis pas à tout le monde que Ragnar a été une femme pendant un temps. Qui'Izya lave mal ses ailes parfois et que ça se sent à travers Armada. Je ne dis pas non plus que le bras en métal de Red fait un boucan la nuit quand il dort, ou fait d'autres activités nocturnes. Alors foutez moi la paix et laissez moi boire ce que je veux boire. Non mais oh. « Maintenant, si personne n'a de commentaire à faire, tournée de bière générale. C'est Rokade qui paie. »
Ils se regardent, avant de s'exprimer en même temps. Ils gesticulent, ils crient, ils remercient, ils boivent, ils s'en foutent … Bref, des pirates quoi.