Le froid. Le givre. La neige éternelle.
Ces trois phénomènes étaient des éléments de la nature féroce, qui, par leur seule existence, avaient effacé, créé et influencé des civilisations entières à travers le monde. Quel était l’importance de ces créations du Père de tous les Océans? Rachel n’avait jamais vécu d’hiver sérieux. Une saison des pluies, bien sûr. Des vents froids? Évidemment. Mais un véritable hiver nordique, des vents arctiques, des chutes de neiges et de verglas? Jamais. Alors l’Okama, emmitouflé dans trois manteaux de fourrure achetés avec les berrys accumulés dans la révolution de Pétales, n’était clairement pas dans son élément.
La ville de Tequila Wolf, comparé a ses ponts habités de prisonniers de guerre, n’avait pas d’intérêt profond. On y trouvait beaucoup de produits de la mer, directs ou transformés, ainsi que beaucoup de navires spécialisés pour les climats extrêmes. Mais ce n’était pas la raison pour laquelle Marco s’était rendu dans l’île frigorifiée, ou le sol était une gadou perpétuelle de par le déplacement constant de citoyens et de visiteurs sur la neige qui ne cessait de tomber. Iel était venu puisqu’une des organisations pirates les plus importantes sur les septs mers avait un comptoir sur l’île ; la guilde des Usuriers.
Mais avant de s’occuper de ses affaires professionnelles de criminel des hautes mers, le danseur avait profondément envie de poser son doux et musclé popotin sur une chaise dans un établissement plus ou moins chic et apprécier un repas chaud. La traversée en mer n’avait pas été des plus confortables et la fatigue avait envahi la Beautée Astérienne dans les dernières heures. Une boisson forte, un ragoût, un bain chaud dans l’objet ressemblant le plus à une baignoire dans sa chambre et hop, au lit. Si seulement la vie était aussi simple!
Ayant trouvé une auberge après une demi-heure solide de recherche, Rachel y entra, un sourire satisfait au visage, dévisageant les clients avec des yeux hautains, comme à son habitude. La seule personne qui semblait digne d’intérêt parmi les pêcheurs et bâtisseurs de navire était une dame de son âge, qui avait des cheveux magnifiques aux teints qu’iel avait rarement vu. La regardant et lui offrant un sourire des plus charmant, l’Okama se dirigea vers une table vide, le plus près possible du feu de cheminée rugissant une douceur maternelle dans la pièce, s’y asseyant avec un soupir de satisfaction.
C’est au milieu de sa dégustation du repas chaleureux que Marco se rendit compte qu’iel n’était pas le seul à avoir observé la demoiselle. Et la ou, dans son cas, le danseur avait simplement admiré la beauté de la dame, d’autres yeux et visages semblaient se poser des questions sur le contenu de sa bourse. Après tout, de tels cheveux devaient être témoinss d’une lignée unique, potentiellement de quelques richesses. La Beautée Astérienne essaya tant bien que mal d’attirer l’attention de celle a la chevelure arc-en-ciel avec ses yeux et des mouvements corporels. Dieu seul savait si elle allait lui répondre.
Ces trois phénomènes étaient des éléments de la nature féroce, qui, par leur seule existence, avaient effacé, créé et influencé des civilisations entières à travers le monde. Quel était l’importance de ces créations du Père de tous les Océans? Rachel n’avait jamais vécu d’hiver sérieux. Une saison des pluies, bien sûr. Des vents froids? Évidemment. Mais un véritable hiver nordique, des vents arctiques, des chutes de neiges et de verglas? Jamais. Alors l’Okama, emmitouflé dans trois manteaux de fourrure achetés avec les berrys accumulés dans la révolution de Pétales, n’était clairement pas dans son élément.
La ville de Tequila Wolf, comparé a ses ponts habités de prisonniers de guerre, n’avait pas d’intérêt profond. On y trouvait beaucoup de produits de la mer, directs ou transformés, ainsi que beaucoup de navires spécialisés pour les climats extrêmes. Mais ce n’était pas la raison pour laquelle Marco s’était rendu dans l’île frigorifiée, ou le sol était une gadou perpétuelle de par le déplacement constant de citoyens et de visiteurs sur la neige qui ne cessait de tomber. Iel était venu puisqu’une des organisations pirates les plus importantes sur les septs mers avait un comptoir sur l’île ; la guilde des Usuriers.
Mais avant de s’occuper de ses affaires professionnelles de criminel des hautes mers, le danseur avait profondément envie de poser son doux et musclé popotin sur une chaise dans un établissement plus ou moins chic et apprécier un repas chaud. La traversée en mer n’avait pas été des plus confortables et la fatigue avait envahi la Beautée Astérienne dans les dernières heures. Une boisson forte, un ragoût, un bain chaud dans l’objet ressemblant le plus à une baignoire dans sa chambre et hop, au lit. Si seulement la vie était aussi simple!
Ayant trouvé une auberge après une demi-heure solide de recherche, Rachel y entra, un sourire satisfait au visage, dévisageant les clients avec des yeux hautains, comme à son habitude. La seule personne qui semblait digne d’intérêt parmi les pêcheurs et bâtisseurs de navire était une dame de son âge, qui avait des cheveux magnifiques aux teints qu’iel avait rarement vu. La regardant et lui offrant un sourire des plus charmant, l’Okama se dirigea vers une table vide, le plus près possible du feu de cheminée rugissant une douceur maternelle dans la pièce, s’y asseyant avec un soupir de satisfaction.
C’est au milieu de sa dégustation du repas chaleureux que Marco se rendit compte qu’iel n’était pas le seul à avoir observé la demoiselle. Et la ou, dans son cas, le danseur avait simplement admiré la beauté de la dame, d’autres yeux et visages semblaient se poser des questions sur le contenu de sa bourse. Après tout, de tels cheveux devaient être témoinss d’une lignée unique, potentiellement de quelques richesses. La Beautée Astérienne essaya tant bien que mal d’attirer l’attention de celle a la chevelure arc-en-ciel avec ses yeux et des mouvements corporels. Dieu seul savait si elle allait lui répondre.