Plusieurs jours se sont écoulés depuis Templa. J'ai eu le temps de récupérer mes forces. J'ai continué à m'entraîner à la Divination en faisant divers entraînements, poussant toujours un peu plus la chose. Alors quand enfin je la perfectionne, c'est une joie immense qui m'envahit. Je peux voir environ jusqu'à cinq secondes lors d'un combat, et six fois plus en hors combat. J'ai la confirmation qu'une attaque trop rapide ou trop forte passe frapper malgré le fait de la voir venir. Et je sais qu'on peut modifier le futur qu'on a vu. Je l'ai fait plusieurs fois. J'ai vu mes hommes parler d'une chose, et je restais silencieux dans ma vision. Alors que dans la réalité, je les ai interrompu. Mais plus important, je suis capable de rester dans cet état plusieurs heures d'affilé. Trois pour l'instant, mais ça suffit largement. Vu ma courbe de progression, atteindre l'utilisation permanente viendra rapidement. On navigue tranquillement, la mer est calme, le ciel dégagé. Jusqu'à ce que quelque chose se produise. Je vois ma vigie indiquer un bateau à bâbord. Plus un convoi qu'un bateau. Trois cuirassés de la marine en fait. C'est étrange. Pourquoi trois cuirassés traîneraient comme ça ? Trop petit pour être un renfort de troupes, trop gros pour être un déplacement de soldats. Parce contre, le transport de cargaison est possible.
« Capitaine, 3 cuirassés de la marine en vue à bâbord.
Je sais. Bâbord toute, rapprochez nous d'eux. On va aller voir ce qu'il font. »
Mes trois navires prennent donc la direction des trois autres. Ils nous ont repéré, aucun doute là dessus. Mais je m'en fou. Je suis de très bonne humeur, donc il est possible que je regarde juste ce qu'ils ont, et si rien ne m'intéresse, je reparte sans les tuer. Je ne suis pas un monstre quand même. Oui bon ok, ça dépend de mon humeur, j'avoue. Mais je reste calme quoi qu'il arrive. J'étends mon Empathie au maximum de sa range. Trois cuirassés, c'est au moins contre-amiral, ce qui démontre d'une certaine force. Mais ça me suffit. Si quelqu'un de ce calibre se balade ici, c'est en escorte. Un prisonnier, un trésor ou/et un savoir que le gouvernement veut garder pour lui. On va pouvoir faire d'une pierre plusieurs coups.
« Préparez-vous les gars, ils ne vont pas être content en nous voyant. Et le capitaine en face n'est pas un rookie. Canardez les quand vous pouvez, visez les mâts et voiles. Ben, tu plonge et bousille leurs gouvernails. Reste bien au fond de l'eau avant d'être en dessous. Leur capitaine devrait te repérer, mais agir dans l'eau devrait être compliqué pour lui. Surtout, n'ait pas d'intentions belliqueuses. Vois plus ça comme un barbotage pour te reposer, te détendre les muscles après un long voyage.
Pourquoi ?
Parce que l'empathie permet de détecter les émotions des gens, surtout les mauvaises. On les repère bien plus facilement. Si tu ne ressens pas d'émotion, tu peux passer au travers des mailles du filet. Alors que si tu leur veux clairement du mal, t'es Rydd Steiner en pleine nuit.
Rydd qui ? Ah, le chasseur de primes qu'on a pas vu depuis des années ? Tu parles du tigre rouge ?
Yep. Celui qui a mangé le logia de la lumière.
Ah ok, je comprends.
Aller, chacun à son poste ! Ne tirez pas avant que ben ait fait son job. »
Nos navires se rapprochent. Plusieurs miles nous séparent encore. Pour l'instant. Ben, l'homme poulpe qui me sert de second plonge dans l'eau. Il s'enfonce dans les profondeurs, puis se dirige vers les cuirassés. Normalement, il est assez profond pour être invisible d'en haut. Et ses intentions sont neutres comme je le lui ai demandé. Ou en tout cas, il essaie. Pas facile de ne rien ressentir. Pendant ce temps, on charge les boulets spéciaux, spécialité empoisonnement dans les canons. Ceux-ci sont prévu pour donner des nausées en explosant, brisant les fioles qui vont libérer des nuages de poison. Pas toxique le moins du monde. Comme j'ai dit, je suis de bonne humeur. Les voiles des deux Roll sont baissées pour utiliser le vent pour se déplacer. Celles de l’Indomptable également. J'ai une petite flemme quand même, et je laisse mon pavillon en bas. On le dressera une fois qu'on sera à portée de tir. Je me calme et me concentre sur mon haki pour voir ce qui va se passer aussi loin que possible.
« Capitaine, 3 cuirassés de la marine en vue à bâbord.
Je sais. Bâbord toute, rapprochez nous d'eux. On va aller voir ce qu'il font. »
Mes trois navires prennent donc la direction des trois autres. Ils nous ont repéré, aucun doute là dessus. Mais je m'en fou. Je suis de très bonne humeur, donc il est possible que je regarde juste ce qu'ils ont, et si rien ne m'intéresse, je reparte sans les tuer. Je ne suis pas un monstre quand même. Oui bon ok, ça dépend de mon humeur, j'avoue. Mais je reste calme quoi qu'il arrive. J'étends mon Empathie au maximum de sa range. Trois cuirassés, c'est au moins contre-amiral, ce qui démontre d'une certaine force. Mais ça me suffit. Si quelqu'un de ce calibre se balade ici, c'est en escorte. Un prisonnier, un trésor ou/et un savoir que le gouvernement veut garder pour lui. On va pouvoir faire d'une pierre plusieurs coups.
« Préparez-vous les gars, ils ne vont pas être content en nous voyant. Et le capitaine en face n'est pas un rookie. Canardez les quand vous pouvez, visez les mâts et voiles. Ben, tu plonge et bousille leurs gouvernails. Reste bien au fond de l'eau avant d'être en dessous. Leur capitaine devrait te repérer, mais agir dans l'eau devrait être compliqué pour lui. Surtout, n'ait pas d'intentions belliqueuses. Vois plus ça comme un barbotage pour te reposer, te détendre les muscles après un long voyage.
Pourquoi ?
Parce que l'empathie permet de détecter les émotions des gens, surtout les mauvaises. On les repère bien plus facilement. Si tu ne ressens pas d'émotion, tu peux passer au travers des mailles du filet. Alors que si tu leur veux clairement du mal, t'es Rydd Steiner en pleine nuit.
Rydd qui ? Ah, le chasseur de primes qu'on a pas vu depuis des années ? Tu parles du tigre rouge ?
Yep. Celui qui a mangé le logia de la lumière.
Ah ok, je comprends.
Aller, chacun à son poste ! Ne tirez pas avant que ben ait fait son job. »
Nos navires se rapprochent. Plusieurs miles nous séparent encore. Pour l'instant. Ben, l'homme poulpe qui me sert de second plonge dans l'eau. Il s'enfonce dans les profondeurs, puis se dirige vers les cuirassés. Normalement, il est assez profond pour être invisible d'en haut. Et ses intentions sont neutres comme je le lui ai demandé. Ou en tout cas, il essaie. Pas facile de ne rien ressentir. Pendant ce temps, on charge les boulets spéciaux, spécialité empoisonnement dans les canons. Ceux-ci sont prévu pour donner des nausées en explosant, brisant les fioles qui vont libérer des nuages de poison. Pas toxique le moins du monde. Comme j'ai dit, je suis de bonne humeur. Les voiles des deux Roll sont baissées pour utiliser le vent pour se déplacer. Celles de l’Indomptable également. J'ai une petite flemme quand même, et je laisse mon pavillon en bas. On le dressera une fois qu'on sera à portée de tir. Je me calme et me concentre sur mon haki pour voir ce qui va se passer aussi loin que possible.