Il semble que, de nos jours, je me retrouve fréquemment à devoir répondre aux appels d’un certain nombre d’anciens et d’actuels associés et collègues avec lesquels j’ai déjà eu le plaisir de travailler. Même si, auparavant, je les aurais simplement ignorés pour me concentrer sur mon travail et mes missions actuelles (et potentiellement beaucoup plus importantes), je suis maintenant plus vulnérable et je dois me protéger contre toute mauvaise volonté potentielle provenant d’en haut. Si ma mission se solde par un succès, je serai « libéré ». Un échec, en revanche, me coûtera cher. Cela signifie que si je dois mettre ma vie en jeu et acquiescer sans faire d’histoire, qu’il en soit ainsi.
Par conséquent, lorsque j’apprends pour la première fois de mon périple que le QG m’a envoyé une lettre indescriptible concernant une éventuelle mission secondaire, je suis d’autant plus favorable à coopérer. D’une pierre deux coups, comme on dit. D’autant plus que je suis quelqu’un qui préfère se tenir éloigné des plans faciles et qui ne rapportent pas la moindre considération. Inutile de dire que je suis un preneur de risques et, jusqu’à présent, je suis le meilleur dans mon domaine. D’après ce que je peux me rappeler de la lettre (il me faudra la relire une fois plus au calme) ; on fait référence à une connaissance qu’il me faut retrouver.
Ils ont (et quand je dis « ils », je veux dire la Marine) visiblement besoin d’aide pour régler un problème dont personne ne veut s’occuper. Quant à savoir pourquoi ils m’ont contacté spécifiquement, j’en suis encore incertain. N’y a-t-il donc aucune force de l’ordre plus disponible dans les environs d’Innocent Island ? Normalement, ces choses sont non-seulement traitées de manière plus officielle, mais également dans un cercle « séparé », comme on a l’habitude de dire. Une affaire privée, pour ainsi dire. Par conséquent, il est assez surprenant que je sois le premier contacté. Au final, peu m’importe la façon dont tout cela s’est passé. Je répondrai aux ordres, ce sera là un bon moyen pour moi d’améliorer mes relations de travail avec les garnisons présentes sur Grand Line.
Je me plait à croire que je suis un représentant de la loi actif plus que je ne suis un homme d’affaires. C’est mon mode de vie et, depuis plusieurs mois maintenant, je ne l’ai que trop oublié. Je reprends à présent mes marques, et c’est à cause de cela déjà que le danger est et restera mon unique gagne-pain. Ce faisant, après tout, je poserai le pied sur cette île en étant déjà considéré comme un ennemi, du moins, jusqu’à ce que je finisse le travail qui m’a été confié. Quoiqu’il en soit, je n’ai pour le moment pas lieu de m’inquiéter pour cette nouvelle affaire décrite comme étant « très délicate ».
Cette pensée en tête, je décide de continuer le voyage en acceptant ces nouvelles conditions. C’est quelque chose de tout à fait étranger pour moi car je ne me suis que très peu souvent retrouvé dans une situation aussi improvisée. Non pas que je crois que cette affaire nécessite mon intervention, mais, outre les pirates, je me dit que retrouver un simple homme sera un jeu d’enfant. Personne à North Blue, après tout, ne peut être à la hauteur de mon niveau pour ce genre de cas spécifique. Je peux régler cette affaire en une journée, j’en suis certain.
Iwa me regarde, elle tient la lettre en main : « Je suppose que vous allez réussir sans problème ? » Elle m’offre un sourire professionnel. « Mais qui devons-nous chercher exactement ? Les informations restent assez floues. Bien-sûr, il ne s’agit peut être que d’un petit problème de plus, mais, voyez-vous, je pense que l’on aura déjà suffisamment à faire avec… enfin, vous savez. » Je me contente d’hocher la tête lentement en signe de compréhension. Son visage devient stoïque. « Trouver cet homme, l’escorter et assurer sa protection sera délicat. Mais bon, je suppose que ce n’est pas un choix et qu’il nous est impossible de reculer. En tout cas, je comprends pourquoi c’est à toi que l’on a demandé de l’aide… »
Par conséquent, lorsque j’apprends pour la première fois de mon périple que le QG m’a envoyé une lettre indescriptible concernant une éventuelle mission secondaire, je suis d’autant plus favorable à coopérer. D’une pierre deux coups, comme on dit. D’autant plus que je suis quelqu’un qui préfère se tenir éloigné des plans faciles et qui ne rapportent pas la moindre considération. Inutile de dire que je suis un preneur de risques et, jusqu’à présent, je suis le meilleur dans mon domaine. D’après ce que je peux me rappeler de la lettre (il me faudra la relire une fois plus au calme) ; on fait référence à une connaissance qu’il me faut retrouver.
Ils ont (et quand je dis « ils », je veux dire la Marine) visiblement besoin d’aide pour régler un problème dont personne ne veut s’occuper. Quant à savoir pourquoi ils m’ont contacté spécifiquement, j’en suis encore incertain. N’y a-t-il donc aucune force de l’ordre plus disponible dans les environs d’Innocent Island ? Normalement, ces choses sont non-seulement traitées de manière plus officielle, mais également dans un cercle « séparé », comme on a l’habitude de dire. Une affaire privée, pour ainsi dire. Par conséquent, il est assez surprenant que je sois le premier contacté. Au final, peu m’importe la façon dont tout cela s’est passé. Je répondrai aux ordres, ce sera là un bon moyen pour moi d’améliorer mes relations de travail avec les garnisons présentes sur Grand Line.
Je me plait à croire que je suis un représentant de la loi actif plus que je ne suis un homme d’affaires. C’est mon mode de vie et, depuis plusieurs mois maintenant, je ne l’ai que trop oublié. Je reprends à présent mes marques, et c’est à cause de cela déjà que le danger est et restera mon unique gagne-pain. Ce faisant, après tout, je poserai le pied sur cette île en étant déjà considéré comme un ennemi, du moins, jusqu’à ce que je finisse le travail qui m’a été confié. Quoiqu’il en soit, je n’ai pour le moment pas lieu de m’inquiéter pour cette nouvelle affaire décrite comme étant « très délicate ».
Cette pensée en tête, je décide de continuer le voyage en acceptant ces nouvelles conditions. C’est quelque chose de tout à fait étranger pour moi car je ne me suis que très peu souvent retrouvé dans une situation aussi improvisée. Non pas que je crois que cette affaire nécessite mon intervention, mais, outre les pirates, je me dit que retrouver un simple homme sera un jeu d’enfant. Personne à North Blue, après tout, ne peut être à la hauteur de mon niveau pour ce genre de cas spécifique. Je peux régler cette affaire en une journée, j’en suis certain.
Iwa me regarde, elle tient la lettre en main : « Je suppose que vous allez réussir sans problème ? » Elle m’offre un sourire professionnel. « Mais qui devons-nous chercher exactement ? Les informations restent assez floues. Bien-sûr, il ne s’agit peut être que d’un petit problème de plus, mais, voyez-vous, je pense que l’on aura déjà suffisamment à faire avec… enfin, vous savez. » Je me contente d’hocher la tête lentement en signe de compréhension. Son visage devient stoïque. « Trouver cet homme, l’escorter et assurer sa protection sera délicat. Mais bon, je suppose que ce n’est pas un choix et qu’il nous est impossible de reculer. En tout cas, je comprends pourquoi c’est à toi que l’on a demandé de l’aide… »