Silas, Ava, Clifford, Jasper, Elijah, Arya, Mia, Aurora, Wyatt … Et encore, il en oubliait certains. Chaque matin, il se remémorait les morts tombés au champ d’honneur. Tout les matins, la colère lui attrapait le cœur comme une main démoniaque, invisible, mais pourtant palpable ; Il souffrait en silence, collant un sourire confiant sur son visage. Personne ne le savait, mais son cœur brisé, Bishop continuait d’avancer avec un certains espoir. Paraît qu’il fait vivre. Paraît que c’est le carburant qui fait avancer. Chez lui, le seul espoir qu’il avait … Retrouver les survivants de son clan, même si cela faisait des années, et qu’il balbutiait encore à peine dans sa quête. Résilient, têtu, son idée en tête, reformer les Thunderbolt. Ailleurs que sur Raijin, cette île maudite qui avait regardé sans rien dire, ou même pire, qui était à l’origine de ce génocide.
Bishop ne savait rien. Il avait passé des années en tant qu’ermite, avec Zeus, dont il ne doutait pas qu’il soit encore en vie. Lui aussi, il devrait le revoir un jour. La famille, c’était important pour Bishop, c’était même toute sa vie ; Son clan vivant en quasi autarcie dans la ville des Adéens, ne se mélangeant jamais aux autres. Il avait toujours cru que c’était la fierté qui avait poussé les Thunderbolt à vivre éloigné du monde extérieur.
Au vu des derniers évènements, il comprenait qu’il y avait anguille sous roche ; Des questions, il en avait pleins. Des réponses, aucune. Sa recherche n’avait pas que des raisons altruistes. Il voulait savoir pourquoi sa mère, son père et sa petite sœur étaient morts. Il voulait savoir pourquoi, pourquoi lui, était en vie ; Hasard ou destinée ? La mort c’est facile pour ceux qui disparaissent, c’est plus dur pour ceux qui restent. Solitaire esseulé, vague à l’âme et lame à la main, il vivait pauvrement, sur le pécule des morts. Argent salis par la faucheuse, mais comment pouvait-il faire autrement ? Mourir aurait été plus simple. Sauf que Bishop n’avait jamais été adepte de la facilité ; Son mentor, son père de cœur, lui avait apprit que c’était souvent le chemin le plus difficile qui donnait les meilleurs résultats.
Douche froide, repas frugal, il survivait plus qu’autre chose ; Il fallait bien vivre, pour remplir ses objectifs. Sinon, sans doute qu’il aurait laissé l’homme au costume qui empilait les cadavres des siens le tuer derechef. Les reflexes de survie, ont du bon parfois. Il pouvait bien tout recommencé, ailleurs, créer sa propre famille.
Il regarda la vivre card qu’il gardait précieusement en poche. Elle n’avait pas bougé d’un pouce. Le patriarche des Thunderbolt était donc encore en vie. Prévoyant, le vieil homme avait dissimulé celle-ci dans une cache connu exclusivement de sa famille. « En cas de problème, vous saurez quoi en faire » ; Et voilà comment il s’était retrouvé dans ce grenier abandonné, sur Alabasta. Le soleil tapait dru dès le matin, et il suait tellement, qu’on aurait cru qu’il venait de prendre une douche. Intenable. Et pourtant, depuis trois jours, il affrontait la fournaise pour retrouver le détenteur de l’autre bout de ce papier « magique ».
Il commençait à déchanter, mais il s’accrochait. Jamais abandonner, il n’allait pas commencer maintenant. Quand on lui faisait courir des kilomètres le matin, tous les jours, il n’avait pas demandé grâce. Quand on lui faisait répéter des exercices d’assouplissement improbable, il n’avait pipé mot. Quand il avait fallut gravir des falaises, avec pour seul équipement une corde qui le reliait à son maître, il l’avait fait.
Ce n’était pas maintenant qu’il allait commencer à lâcher prise. Abandonner ne faisait pas partie de son vocabulaire.
Il s’habilla légèrement, le symbole de son clan sur un haut blanc, un short cargo, et quelques couteaux de lancé passé dans une ceinture spécialement conçu pour les recevoir. Bien sur, dans une de ses poches, un masque blanc, juste au cas ou il y’est du grabuge. Bishop se sentait recherché, peut être avait-il tord, mais il se souvenait de ce qu’avait dit l’homme au costume en partant : On te retrouvera, sale gosse, et on s’occupera bien de toi, comme ta mère avant sa mort !
A chaque fois qu’il y repensait, la colère envahissait son cœur, comme un putsch agressif, et descendait dans ses veines. Du feu envahissait son âme, et comme à l’époque où il était gosse, il dégageait quelques arcs électriques minimes. Ses yeux se faisaient durs. Son visage, fermé.
C’est dans cet état d’esprit, la vendetta en tête mais la vie en étendard, qu’il descendit dans la rue. Les rues noires de monde, les étales du marché aux senteurs et saveurs entêtante ne lui faisaient aucun effet. La joie, il l’avait enterré avec les autres du clan.
Il suivait la piste que lui donnait le papier quand trois individus à l’air louche ne le prirent en chasse. Sans doute qu’ils se disaient qu’une personne isolée était plus facile qu’un groupe. Ils ne connaissaient pas bishop. Sentant un regard sur sa nuque, l’illuminé s’arrêta dans une ruelle tranquille, mais pas sombre pour autant, il n’y avait que de rare zones d’ombres à Nanohana.
- Laissez le moi, je vais me le faire. Lâche une petite frappe.
- C’est une perte de temps, venez donc tous les trois, ça ira plus vite … Fit Bishop avec un sourire mauvais sur le visage, et une envie de faire du mal à son prochain ; Plus l’adrénaline montait, plus il devenait agressif.
- Alors toi, mon gars, t’es mort … Fit le plus grand du groupe en s’approchant, garde ouverte, comme un putain d’amateur.
Bishop ne savait rien. Il avait passé des années en tant qu’ermite, avec Zeus, dont il ne doutait pas qu’il soit encore en vie. Lui aussi, il devrait le revoir un jour. La famille, c’était important pour Bishop, c’était même toute sa vie ; Son clan vivant en quasi autarcie dans la ville des Adéens, ne se mélangeant jamais aux autres. Il avait toujours cru que c’était la fierté qui avait poussé les Thunderbolt à vivre éloigné du monde extérieur.
Au vu des derniers évènements, il comprenait qu’il y avait anguille sous roche ; Des questions, il en avait pleins. Des réponses, aucune. Sa recherche n’avait pas que des raisons altruistes. Il voulait savoir pourquoi sa mère, son père et sa petite sœur étaient morts. Il voulait savoir pourquoi, pourquoi lui, était en vie ; Hasard ou destinée ? La mort c’est facile pour ceux qui disparaissent, c’est plus dur pour ceux qui restent. Solitaire esseulé, vague à l’âme et lame à la main, il vivait pauvrement, sur le pécule des morts. Argent salis par la faucheuse, mais comment pouvait-il faire autrement ? Mourir aurait été plus simple. Sauf que Bishop n’avait jamais été adepte de la facilité ; Son mentor, son père de cœur, lui avait apprit que c’était souvent le chemin le plus difficile qui donnait les meilleurs résultats.
Douche froide, repas frugal, il survivait plus qu’autre chose ; Il fallait bien vivre, pour remplir ses objectifs. Sinon, sans doute qu’il aurait laissé l’homme au costume qui empilait les cadavres des siens le tuer derechef. Les reflexes de survie, ont du bon parfois. Il pouvait bien tout recommencé, ailleurs, créer sa propre famille.
Il regarda la vivre card qu’il gardait précieusement en poche. Elle n’avait pas bougé d’un pouce. Le patriarche des Thunderbolt était donc encore en vie. Prévoyant, le vieil homme avait dissimulé celle-ci dans une cache connu exclusivement de sa famille. « En cas de problème, vous saurez quoi en faire » ; Et voilà comment il s’était retrouvé dans ce grenier abandonné, sur Alabasta. Le soleil tapait dru dès le matin, et il suait tellement, qu’on aurait cru qu’il venait de prendre une douche. Intenable. Et pourtant, depuis trois jours, il affrontait la fournaise pour retrouver le détenteur de l’autre bout de ce papier « magique ».
Il commençait à déchanter, mais il s’accrochait. Jamais abandonner, il n’allait pas commencer maintenant. Quand on lui faisait courir des kilomètres le matin, tous les jours, il n’avait pas demandé grâce. Quand on lui faisait répéter des exercices d’assouplissement improbable, il n’avait pipé mot. Quand il avait fallut gravir des falaises, avec pour seul équipement une corde qui le reliait à son maître, il l’avait fait.
Ce n’était pas maintenant qu’il allait commencer à lâcher prise. Abandonner ne faisait pas partie de son vocabulaire.
Il s’habilla légèrement, le symbole de son clan sur un haut blanc, un short cargo, et quelques couteaux de lancé passé dans une ceinture spécialement conçu pour les recevoir. Bien sur, dans une de ses poches, un masque blanc, juste au cas ou il y’est du grabuge. Bishop se sentait recherché, peut être avait-il tord, mais il se souvenait de ce qu’avait dit l’homme au costume en partant : On te retrouvera, sale gosse, et on s’occupera bien de toi, comme ta mère avant sa mort !
A chaque fois qu’il y repensait, la colère envahissait son cœur, comme un putsch agressif, et descendait dans ses veines. Du feu envahissait son âme, et comme à l’époque où il était gosse, il dégageait quelques arcs électriques minimes. Ses yeux se faisaient durs. Son visage, fermé.
C’est dans cet état d’esprit, la vendetta en tête mais la vie en étendard, qu’il descendit dans la rue. Les rues noires de monde, les étales du marché aux senteurs et saveurs entêtante ne lui faisaient aucun effet. La joie, il l’avait enterré avec les autres du clan.
Il suivait la piste que lui donnait le papier quand trois individus à l’air louche ne le prirent en chasse. Sans doute qu’ils se disaient qu’une personne isolée était plus facile qu’un groupe. Ils ne connaissaient pas bishop. Sentant un regard sur sa nuque, l’illuminé s’arrêta dans une ruelle tranquille, mais pas sombre pour autant, il n’y avait que de rare zones d’ombres à Nanohana.
- Laissez le moi, je vais me le faire. Lâche une petite frappe.
- C’est une perte de temps, venez donc tous les trois, ça ira plus vite … Fit Bishop avec un sourire mauvais sur le visage, et une envie de faire du mal à son prochain ; Plus l’adrénaline montait, plus il devenait agressif.
- Alors toi, mon gars, t’es mort … Fit le plus grand du groupe en s’approchant, garde ouverte, comme un putain d’amateur.