Alors comme ça, cette poufiasse d'impératrice pirate créchant dans le nouveau monde a décidé d'organiser un grand festival à travers le monde entier. Une idée fort déplaisante selon moi et mon très chère Basara... Malheureusement pour nous, les autres membres du conseil ont choisi de fermer les yeux sous prétexte que cette soit disant Déesse Enfant leur à promis un grand génocide de canard, et parce que le thé qu'elle leur a envoyé était aussi rare que délicieux...
Heureusement qu'il y en a un du conseil des cinq qui se soucie réellement du bien être du gouvernement mondial ! Je veux bien entendu parler du grand, du sublime, du magnifique et du seul qui mérite vraiment le titre de dieu vivant, j'ai nommé le Saint Ike Basara.
Mais malgré ça, ce festival est en l'honneur d'une pirate, Tashahari Kiyori. Et moi, qu'est ce que je fais là ? Et bien je viens constater l'ampleur des dépenses de cette femme, parce que oui elle n'est qu'une simple femme mortelle malgré ce que tous peuvent en dire, pour faire parler d'elle.
Il faut croire que son égo n'a d'égale que son tas de berrys... Parce que franchement, j'ai beau être relativement peu objective quand je regarde cette endroit, je ne peux m'empêcher au fond de trouver cela joli.
Et je dois dire que c'est une sensation détestable.
Enfin, je suis là en mission pour mon amour d'étoile. Et parce que je prends ma mission très au sérieux, comme toujours, je prends soin de noter chaque petit détail important de toute l'installation du festival sur ce nouveau pont gigantesque qui relis deux des îles de l'archipel aux éveillés. Et même si je ne peux m'empêcher quelques fois de rester en admiration devant les aquariums de poissons lumineux, je me force à garder mon sérieux exemplaire pour continuer ma prise d'information.
Navigant dans la foule comme un poisson dans une rivière, mon regard est soudainement harponné par un magnifique stand de tissus venu des îles de la pirate organisatrice du festival, dont l'aspect satiné appelle à une douceur et une fluidité incomparable.
- C'est de la soie de Kyoshima, tissée à la main. Nous en faisons des Kimonos traditionnels. Vous voulez en essayer un ?
Je regarde la vendeuse, hésitante. Je sais très bien que Basara apprécie se genre de style alors... L'invitation est plus que tentante...
Et puis, cela fait parti de ma mission de vérifier que les marchandises venus d'îles pirates ne sont pas dangereuse pour les citoyens du Gouvernement Mondial... non ?
- Je... Je veux bien oui...
Après tout, qu'est ce que je risque à essayer une telle tenue ? C'est pas comme si quelqu'un pouvait me reconnaitre ici.
N'est ce pas ?
Heureusement qu'il y en a un du conseil des cinq qui se soucie réellement du bien être du gouvernement mondial ! Je veux bien entendu parler du grand, du sublime, du magnifique et du seul qui mérite vraiment le titre de dieu vivant, j'ai nommé le Saint Ike Basara.
Mais malgré ça, ce festival est en l'honneur d'une pirate, Tashahari Kiyori. Et moi, qu'est ce que je fais là ? Et bien je viens constater l'ampleur des dépenses de cette femme, parce que oui elle n'est qu'une simple femme mortelle malgré ce que tous peuvent en dire, pour faire parler d'elle.
Il faut croire que son égo n'a d'égale que son tas de berrys... Parce que franchement, j'ai beau être relativement peu objective quand je regarde cette endroit, je ne peux m'empêcher au fond de trouver cela joli.
Et je dois dire que c'est une sensation détestable.
Enfin, je suis là en mission pour mon amour d'étoile. Et parce que je prends ma mission très au sérieux, comme toujours, je prends soin de noter chaque petit détail important de toute l'installation du festival sur ce nouveau pont gigantesque qui relis deux des îles de l'archipel aux éveillés. Et même si je ne peux m'empêcher quelques fois de rester en admiration devant les aquariums de poissons lumineux, je me force à garder mon sérieux exemplaire pour continuer ma prise d'information.
Navigant dans la foule comme un poisson dans une rivière, mon regard est soudainement harponné par un magnifique stand de tissus venu des îles de la pirate organisatrice du festival, dont l'aspect satiné appelle à une douceur et une fluidité incomparable.
- C'est de la soie de Kyoshima, tissée à la main. Nous en faisons des Kimonos traditionnels. Vous voulez en essayer un ?
Je regarde la vendeuse, hésitante. Je sais très bien que Basara apprécie se genre de style alors... L'invitation est plus que tentante...
Et puis, cela fait parti de ma mission de vérifier que les marchandises venus d'îles pirates ne sont pas dangereuse pour les citoyens du Gouvernement Mondial... non ?
- Je... Je veux bien oui...
Après tout, qu'est ce que je risque à essayer une telle tenue ? C'est pas comme si quelqu'un pouvait me reconnaitre ici.
N'est ce pas ?