Je viens de me lever, il fait jour depuis longtemps. En même temps le fait que je me réveille n’est absolument pas indicateur d’une heure précise. Durant ce festival la journée n’est qu’un interlude entre les soirées et les nuits remplies de musique, d’alcool et de danse. Bref d’excès, mais des excès au frais de la Déesse, on ne va pas dire non.
Mira veut encore dormir, soi-disant elle n’a pas encore dormi assez. C’est peut-être bien vrai, mais moi je suis vaseux, il faut que je prenne l’air et que je mange quelque chose pour calmer mon estomac qui tourne. Du coup, je la laisse dans notre chambre, direction le marché. Je prends une saucisse frite sur un bâton, gras mais pas trop ça fera l’affaire et un grand verre d’eau.
Ça me requinque bien, du coup, je me dis autant en profiter pour visiter les boutiques. Il me semble que j’avais vu des vendeurs d’armes, mais Mira avait décidé qu’un festival ce n’était pas pour regarder des armes. Soi-disant que c’était pour regarder des spectacles, chiant la plupart du temps, manger, des trucs trop sucrés ou danser, bon ça j’aime bien danser. Du coup, je vais en profiter pour aller voir ces armes.
Mon estomac calé et cette idée me rendent tout guilleret. Alors que j’approche de la zone où je me souvenais avoir vu une belle hache. J’entends une voix au loin qui me dit quelque chose.
« Ce n’est pas une lame ça, c’est un cure-dent ! »
« Ça ? Peuh ! Pas mieux, c’est à peine un coupe papier. »
Devant mes yeux ébahis, je vois Izya face à un pauvre marchand qui se liquéfie avec son épée entre les mains, face à une acheteuse aussi difficile. Je ne peux m’empêcher d’aller dans le sens de la dragonne, encore un peu et il lui offre gratuitement quelque chose pour qu’elle s’en aille.
« Hihi ! Vous savez elle n’a pas tort. Cette lame est bien petite. Puis il faut reconnaître que la dame peut avoir de très grande dent. Hihihi ! Peut-être qu’un cure-dent de meilleure facture l’intéresserait ? »
Je finis ma phrase en donnant un coup de coude en faisant un clin d’œil à Izya
Mira veut encore dormir, soi-disant elle n’a pas encore dormi assez. C’est peut-être bien vrai, mais moi je suis vaseux, il faut que je prenne l’air et que je mange quelque chose pour calmer mon estomac qui tourne. Du coup, je la laisse dans notre chambre, direction le marché. Je prends une saucisse frite sur un bâton, gras mais pas trop ça fera l’affaire et un grand verre d’eau.
Ça me requinque bien, du coup, je me dis autant en profiter pour visiter les boutiques. Il me semble que j’avais vu des vendeurs d’armes, mais Mira avait décidé qu’un festival ce n’était pas pour regarder des armes. Soi-disant que c’était pour regarder des spectacles, chiant la plupart du temps, manger, des trucs trop sucrés ou danser, bon ça j’aime bien danser. Du coup, je vais en profiter pour aller voir ces armes.
Mon estomac calé et cette idée me rendent tout guilleret. Alors que j’approche de la zone où je me souvenais avoir vu une belle hache. J’entends une voix au loin qui me dit quelque chose.
« Ce n’est pas une lame ça, c’est un cure-dent ! »
« Ça ? Peuh ! Pas mieux, c’est à peine un coupe papier. »
Devant mes yeux ébahis, je vois Izya face à un pauvre marchand qui se liquéfie avec son épée entre les mains, face à une acheteuse aussi difficile. Je ne peux m’empêcher d’aller dans le sens de la dragonne, encore un peu et il lui offre gratuitement quelque chose pour qu’elle s’en aille.
« Hihi ! Vous savez elle n’a pas tort. Cette lame est bien petite. Puis il faut reconnaître que la dame peut avoir de très grande dent. Hihihi ! Peut-être qu’un cure-dent de meilleure facture l’intéresserait ? »
Je finis ma phrase en donnant un coup de coude en faisant un clin d’œil à Izya