Finalement, au lieu de quitter l'île, je préfère retourner dans les champs récupérer deux trois trucs. Je marche, et je marche, et je marche. J'observe les magnifiques champs colorés qui bordent les routes. Je m'arrête parfois pour humer les parfums qui se dégage des fleurs. Je cherche s'il n'y a pas quelque chose capable de m'aider dans mes projets. Je ne sais pas exactement ce que je désire, mais je finirais bien par trouver. Si je ne trouve pas mon bonheur ici, une île réputée dans le monde entier pour ses fleurs, alors où puis-je le trouver ? Je trouve parfois certaines fleurs jolies, donc je m'approche, et discrètement, je les cueille avant de les ranger dans mes affaires. Je pourrais les utiliser comme colorants. C'est ainsi que je me retrouve avec des fleurs bleues, rouges, grises, blanches, noires, violettes, vertes, marrons, jaunes, roses et oranges. De quoi faire quelques trucs bien sympathiques en mélangeant les couleurs. Reste à voir si je vais utiliser les pétales, les pistils ou bien les deux pour obtenir la couleur voulue. On verra ça quand je serais sur le bateau. Pour l'instant, chaque couleur est rangée séparément des autres.
Je reprends ma marche jusqu'à arriver devant des arbres. Je me retrouve devant une forêt. De loin, je pouvais voir différents types d'arbres, de différentes hauteur et forme. Maintenant que je suis à leur pieds, je me rend compte qu'ils ont été planté de manière spécifique. Ils semblent être classés, triés en quartiers ou parcelles. Parce qu'il est proche de l'impossible d'avoir des rangées d'arbres aussi droites, chacune faisant sensiblement la même largeur. Le jour où la nature fera ça, l'homme pourra aller se rhabiller et disparaître de la surface du monde. Je parcours la forêt toujours à la recherche de choses pouvant m'aider. Une heure passe, puis une seconde avant qu'enfin, mes yeux trouvent quelque chose. Un arbre m'interpelle. Enfin, une série d'arbre. On ne peut pas parler de forêt à proprement parler parce qu'ils sont assez espaces pour que chacun ait suffisamment d'espace pour grandir sans empiéter sur son voisin.
Mesurant entre trois et quinze mètres de hauteur, avec un feuillage en forme de couronne étalée, c'est à dire qui est ovale et redescend sur les extrémités. Son envergure mesure en général dans les vingt mètres. Donc un seul champ de cette espèce requiert une surface énorme. Je m'approche du tronc qui fait plus d'un mètre de diamètre. Un bon gros spécimen dis donc. L'écorce de cet arbre est fine, de couleur gris-vert puis grise, presque lisse, avec des tâches en forme de lentilles blanchâtres. Elle a tendance à former des stries longitudinales en vieillissant.
Je regarde ensuite ses feuilles. Elles sont caduques, sont de disposition alternes. Très grandes, elles sont composées bipennées, c'est-à-dire qu'elles sont découpées en grandes folioles elles-mêmes découpées en petites foliolules, qui sont souvent prises pour des feuilles. La feuille entière est longue de 15 à 40 cm et large de 12 à 25 cm. Ce qui signifie que chaque côté de la tige, aussi appelée nervure primaire, est une réplique de l'autre côté. On y trouve grandes feuilles en forme d'arc de cercle, chacun de ses arc de cercle étant composés de feuilles plus petites elles aussi étant identiques de chaque côté de la nervure secondaire. Le nombre de ces grandes feuilles varie entre quatre et douze généralement, mais peut atteindre vingt paires parfois. Les petites feuilles sont entre 10 à 30 paires qui ont une dizaine de millimètres de longueur, quelques millimètres de largeur et présentent une nervure principale excentrée vers la marge située du côté terminal de la foliole. Ces petites feuilles ont une forme oblongue tronquée à la base et sont souvent courbées dans la longueur. Vient ensuite le temps de l'appareil reproducteur.
Je reprends ma marche jusqu'à arriver devant des arbres. Je me retrouve devant une forêt. De loin, je pouvais voir différents types d'arbres, de différentes hauteur et forme. Maintenant que je suis à leur pieds, je me rend compte qu'ils ont été planté de manière spécifique. Ils semblent être classés, triés en quartiers ou parcelles. Parce qu'il est proche de l'impossible d'avoir des rangées d'arbres aussi droites, chacune faisant sensiblement la même largeur. Le jour où la nature fera ça, l'homme pourra aller se rhabiller et disparaître de la surface du monde. Je parcours la forêt toujours à la recherche de choses pouvant m'aider. Une heure passe, puis une seconde avant qu'enfin, mes yeux trouvent quelque chose. Un arbre m'interpelle. Enfin, une série d'arbre. On ne peut pas parler de forêt à proprement parler parce qu'ils sont assez espaces pour que chacun ait suffisamment d'espace pour grandir sans empiéter sur son voisin.
Mesurant entre trois et quinze mètres de hauteur, avec un feuillage en forme de couronne étalée, c'est à dire qui est ovale et redescend sur les extrémités. Son envergure mesure en général dans les vingt mètres. Donc un seul champ de cette espèce requiert une surface énorme. Je m'approche du tronc qui fait plus d'un mètre de diamètre. Un bon gros spécimen dis donc. L'écorce de cet arbre est fine, de couleur gris-vert puis grise, presque lisse, avec des tâches en forme de lentilles blanchâtres. Elle a tendance à former des stries longitudinales en vieillissant.
Je regarde ensuite ses feuilles. Elles sont caduques, sont de disposition alternes. Très grandes, elles sont composées bipennées, c'est-à-dire qu'elles sont découpées en grandes folioles elles-mêmes découpées en petites foliolules, qui sont souvent prises pour des feuilles. La feuille entière est longue de 15 à 40 cm et large de 12 à 25 cm. Ce qui signifie que chaque côté de la tige, aussi appelée nervure primaire, est une réplique de l'autre côté. On y trouve grandes feuilles en forme d'arc de cercle, chacun de ses arc de cercle étant composés de feuilles plus petites elles aussi étant identiques de chaque côté de la nervure secondaire. Le nombre de ces grandes feuilles varie entre quatre et douze généralement, mais peut atteindre vingt paires parfois. Les petites feuilles sont entre 10 à 30 paires qui ont une dizaine de millimètres de longueur, quelques millimètres de largeur et présentent une nervure principale excentrée vers la marge située du côté terminal de la foliole. Ces petites feuilles ont une forme oblongue tronquée à la base et sont souvent courbées dans la longueur. Vient ensuite le temps de l'appareil reproducteur.
Toutes mes plantes et effets sont réels, sauf précisions contraire. Alors lis, et instruits toi, petit brin d'herbe.