>> Nom & Prénom
Pseudonyme : A vous de m'en donner un. Age: 72 ans Sexe : Homme Race : homme Rang : Métier : Médecin Groupe : Révolutionnaire Déjà un équipage : Aucun ami pour le moment ! Mais j'avous qu'avoir un boss me faciliterait les choses. Avis aux amateurs But : Voir la révolution réussir avant sa mort. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite :Fruit du Ressort/Bane Bane No Mi:Grâce à ce fruit, l'utilisateur peut transformer les parties de son corps de son souhait en ressort. J'ai le droit? (N) Équipements : Un revolver 6 coups des plus bannales qu'il considère comme un porte bonheur. Une trousse de soins aussi avec quelques compresses, vaxins, seringues et médicaments. C'est ti possible?. Codes du règlement (2) ...ou pas ♪ Parrain : |
>> Physique C'est sûr, les années t'ont pas arrangées. A une époque t'en faisais tomber des dames. Aujourd'hui tes années se comptent au nombre de rides au dessus de tes yeux. D'ailleurs ces yeux commencent un peu à se fermer tous seuls, à ramollir. Quand tu penses qu'avant tu pouvais faire chialer un gosse rien qu'en le fixant de tes deux revolvers bleus... T'as beau te maintenir, faire toujours du sport, c'est plus de ton âge. Et pourtant tu t'bats chaque jour pour garder du muscle et un peu de vigueur. Tu caches les rides de ton front sous une longue barbe blanche, parce que non, il te reste plus un ch'veux coloré. Mais pourtant tu gardes l'allure d'un gosse de dix ans. Les épaules en avant, tu bombes le torse. Tu vérifies souvent si ton porte bonheur est toujours à sa place et t'avances comme si t'étais le roi. Oui mais voilà t'as perdu quelques centimetres, ton crane se dégarnit un peu plus chaque jour, et on pourrait continuer. Depuis tes dix neuf ans, y'a peut être un truc qu'a pas changé, c'est ton look de bohème. T'aurais pu troquer tes vieux jeans troués contre un beau costard, mais t'y tiens bien de trop pour les jeter. On va pas dire non plus que ta vieille veste en laine te va bien.Elle te quitte quasiment jamais celle là. C'est s,ûrement sa poche interieure et son ouverture facile qui te plait. Dessous, tu portes toujours un vieux tee shirt sale, jamais le même, mais toujours sale. Des signes de révolutionnaires aux sans motifs, t'en as à la pelle de tee shirts, alors pourquoi t'en as aucun de potable? Tu t'en fous c'est ça? T'as pas quitté la bourgeoisie pour te faire emm*** sur une question de mode ?! Ton coté révolutionnaire qui ressort en somme. >> Psychologie Toi, il n'y a pas à dire, t'es une grande gueule. A croire que que tu voudrais détruire le monde à coups d'insultes. Forcément t'as jamais réussi, mais c'est pas faute d'avoir essayé. Le peu de personnes qui te connaissent te l'accorderont, tu t'es un peu calmé avec l'âge. Ils te diront aussi que t'as bien fait, parce qu'autrement une croix porterait ton nom depuis longtemps. Tu te rappelles? Quand tu te mettais à injurier une vingtaine de pirates en même temps et que tu leur fonçais dessus? T'avais vraiment l'cul bordé de nouille, tu t'en sortais toujours. Tu te cassais une dizaine de côtes, passais une semaine à l'hosto et le lendemain tu recommençais. Ah ça pour avoir la haine, tu l'avais! Bien sûr tu l'as toujours, cette envie de détruire la moitiée des personnes que tu croises. Mais... tu t'retiens, t'es trop vieux maintenant.Tu en serais presque lasse, de te battre. Parfois tu réfléchis même à t'ranger, à finir au placard comme on dit, mais ça serait trop triste hein? A quoi bon vivre si tu sers plus à rien? C'est vrai que si t'avais une famille, tu te serais posé avec elle. Mais voilà t'as sûrement quelques gosses éparpillés, mais tu sais pas où. Parfois tu les imagines aussi bêtes que toi et ça te fait marrer. Et puis cette envie d'servir la révolution, elle te quitte pas. Tu crois bien même qu'elle te suivra jusqu'au bout celle là. Au fond, tu sais pourquoi tu t'lèves le matin. Tu te lèves en révant de botter l'cul de tous les nobles du pays, voire même du monde. Tant qu'ça sera pas fait, tu finiras pas au fond d'un trou. Tu te l'ai promi il y a longtemps, et tu veux tenir cette parole. Le problème, c'est que cette revolution, t'as beau la vouloir, tu restes têtu comme une mûle. Le nombre de fois où on t'as donné un ordre et où t'as fait l'inverse ... Tu ne les comptes plus depuis longtemps. Et pourtant, maintenant t'as trouvé un bosse à qui t'obéis, sans sourciller. Comme quoi l'âge t'as rendu sénil? Ou bien sâge. En tout cas, cette personne, tu lui obéis et c'est le plus important. Tu arriveras peut être même à changer ton image de trouble fête avant de finir enterré. >> Biographie. T'as à peine dix printemps que t'es déjà la racaille des bacs à sable. Quand on t'énèrve, c'est à coups de poings que tu réponds. Et tes coups de poings, ils font mal ... Non pas mal physiquement hein, mais c'et juste que quand tu t'bats, t'as tendance à oublier qui tu es. Parce que oui, quand on a les parents que t'as, on s'écrase et on est adorable. Sauf que toi, tu refuses de t'écraser, et plus tu t'en prends par tes parents, plus tu te rebelles. Tu t'en rends compte au moins ? T'es un peu comme un cheveu sur la soupe, tu salis le tableau. Tes géniteurs t'avaient tracés un avenir, toi tu t'amuses à le détruire. Qui à part toi aurait refusé de vivre en tant que noble ? Pourtant de temps en temps t'écoutes les cours, et ça te plait. C'est juste que t'as pas envie d'être comme toutes ces enflures, à rester cloitré dans un chateau toute ta vie. Toi t'as le sang qui bouillonne, tu insultes, tu te bats et t'as que dix ans. Tu vas jusqu'à pourrir la bonne réputation qu'avaient tes géniteurs. Ils essayent de te calmer, tentent de t'enfermer, te donnent un nombre incalculable de coups. Mais tu resistes, encore, et encore. Tu resteras toi, car déjà à cet âge, t'as comprit qu'ils ne vivent pas vraiment. Ils ne se voient qu'à travers le regard de leurs voisins. Dans la glace, ils imaginent ce que verront les autres nobles. Quand ils s'habillent, ils pensent à la couleur préférée de ceux qu'ils cotoieront. Tout ça, ça te fais vomir. T'aurais même pas assez de bile pour leur montrer le dégout qu'ils t'inspirent. __________ A quatorze ans, tu commences à fuguer pendant de plus en plus longs moments. Tu te réfugies dans des bars, des tavernes, où tu écoutes les pochards et brigands. Tous les coins malfamés de la ville, tu les connais. Tu te fais des amis qui ont dix ans de plus que toi. La plupart a été pirate et ils ont plein d'histoires à débiter. Un amas de mensonges ou la vérité? A vrai dire, tu t'en contrefous. Le plus important c'est que ce qu'ils disent, ça vend du rêve. _________ Au bout de quelques jours, tu retournes toujours chez tes géniteurs, parce qu'au fond, c'est eux qui t'ont fait. Une partie de leurs sermons est passée, une infime. C'est la partie selon laquelle les enfants doivent aimer leurs parents. Ils ont beau être irraciablement violents, totalement écervelés, tu réussiras à leur faire comprendre. T'as même pas quinze piges, tu veux parler politique avec des adultes, et tu t'rends pas compte du ridicule? T'as toujours pas compri qu'ils ne changeront jamais, tu restes encore un gosse naïf. _________ T'as maintenant vu un petite vingtaine d'hivers passer. T'as toujours pas changé. La semaine dernière tu t'es encore battu. Le problème c'est que là, le bourgeois tabassé, il a pas qu'un oeil au beur noir. Des passants l'ont découverts dans un endroit sordide, à moitié mort. A son reveil, il ne se rappelait rien. La débile de flicaille en fait toute une histoire. Toi tu t'en contrefiches. Tu fais médecine et t'as vu que s'il retrouvait pas la mémoire dans les trois jours, il y avait 98% de chance pour qu'il ne se rappelle jamais qui lui avait fait ça. Tu pensais l'avoir laissé mort, et tu te surprends à t'en vouloir que ce ne soit pas le cas. Tu t'en souviens de la raison de cette bagarre? Ce sale gosse de riche s'amusait à tabasser tous les non nobles sous pretexte que c'était le fils du roi, ou quelque chose du genre. Bien sûr tu t'en es occupé. Mais le problème, c'est que tes parents se doutaient du coupable. Ils t'avaient vu rentrer en sang, les habits en lambeau. Peu après cette histoire, tu te promènes tranquilement. Tu rentres des cours, pour une fois de bonne humeur. T'as presque le sourire, et ça t'étonne. Ah tu te rends compte que ton lacet est défait. Tu vas le refaire. PAN Au moment de te baisser, un coup de feu a été tiré en ta direction. La balle a frollé le dessus de ta tête. T'as eu de la chance, ça c'est joué à une demi seconde. Alors tu cours. Tu prends la premiere à droite puis la deuxieme à gauche. Tu évites deux autres coups de feu. Le tireur te poursuit. Qui pourrais bien vouloir te tuer? Tu ris jaune. La moitiée de la ville amerait voir ton corps criblé de balles. Ton sang bouillonne encore plus que d'habitude, tes tympans sont au bord de l'explosion. Tu zig-zag encore entre deux trois balles. T'es vraiment né sous une bonne étoile. Tu cours encore jusqu'à en perdre haleine. Le gars se bouge rapidement, t'as beau essayer de le semer, t'y arrive pas. Tu commences à perdre ton sang froid, et tu prends une voie au pif. Tu cours sans regarder où tu vas. Sauf que là, t'as foncé dans une impasse. Trop tard pour faire demi tour. Le gars arrive tranquillement jusqu'à toi. Vous savez que c'est finit et ça le fait sourire. Il avance le flingue tendu vers toi. Il est plus qu'à un mettre. Tu vois son doigt se crisper sur la détente. Alors c'est comme ça que ça finit. Sauf qu'au moment où le coup est censé partir, ça fait juste un petit "Clic". T'en reviens pas, ce gars a oublié de recharger. Tu réagis le premier, Ton bras arrive à une vitesse hallucinante et ton poing s'écrase sur sa joue. Puis tu recommence, une, deux, trois fois. Il tombe, assomé. Son corps s'écrase sur le sol, inerte. Dans sa poche, une enveloppe dépasse un peu. Forcément, elle ne demande qu'à être ouverte. Une grosse liasse de billets s'y trouve avec un mot.
Une écriture illisible, avec des "o" vraiment étranges. Tu la reconnaitrais entre cent mille. C'est celle de ton père. Dans ce genre de situation, faut pas polémiquer, ni être bête. T'as beau avoir tous les défauts du monde, tu as cette qualité d'avoir ton cerveau à peu près en place. Si le gars n'est pas stupide, il fera semblant que le travail est fait et ira chercher son argent. A ce moment là tu seras bien loin. Tu rassembles quelques affaires, prends son enveloppe et son revolver. Il te faut partir loin, t'as assez de billets pour survivre un bon mois, et tu peux facilement voler un bateau de pêcheur. C'est ce que tu fais. Au moment où l'île commence à disparaitre de ta vue, tu es debout seul au milieu de la mer. Tu te promets que la fois où tu remettras les pieds sur cette île, ça sera pour en finir avec cette bourgeoisie prétencieuse. Quelques temps plus tard, tu t'engages dans l'armée révolutionnaire. >> Test RP (finit) "Le sourire est prémonition de la jouissance". Patrick Drevet. Y'a des rues où tu peux plus t'promener arrivé un certain âge. C'est un fait. Tout le monde connait ce genre de rue où il faut faire deux mettres dix et avoir un fusil-mitrailleur pour pas avoir d'ennuis. Ou alors être un soldat renommé sur tout Blue, ou un pirate connu pour son atrocité. Mais toi, tu fais peine allure avec ta peau fripée, tes ch'veux blancs et ton regard morne. T'as qu'un pauvre six coups pour te défendre, et encore, ça lui arrive de plus vouloir fonctionner. Mais 'faut quand même que t'aille dans cette rue. Elle est remplie de soldats, tous aussi beurrés les uns que les autres. Or un soldat, ça n'a jamais été très malin, et un peu comme toi, ça prend son pied qu'à taper. Alors à deux grammes... Enfin c'est l'image que t'en as. C'est juste qu'il y a une autre différence entre toi et les marin, c'est que dans deux ans, ils n'auront pas besoin de déambulateurs à cause des articulations... Mais t'en as cure des fait. Un peu d'action fera sûrement revivre des vieilles cicatrices. Après tout t'en as maté plus d'un de jeune pirate ou brigand ou soldat. Alors tu y vas, sans regarder en arrière, sans hésiter une seconde. Tu avances de quelques pas. Personne n'a l'air de faire gaffe à toi. Les gars présents ont l'air trop occupés à cuver leur vignasse. Tu continues à avancer. Un instant après, tu l'sens mal. Des fois ça arrive, ton instinct te dit de fuir. T'as jamais trop fait gaffe à ça toi. T'as un os qui craque et qui te dit de courir de l'autre côté. Mais tu ne peux plus. De toute façon tu comptais pas l'écouter. Trois gosses t'entourent. Additionnés, leur âge équivaut au tient, si ce n'est pire. Y'en a deux de bien costauds. Ils seraient seuls que t'aurais du mal à t'en défaire, alors à trois ... Ils portent leurs uniformes militaires bien dégueulassés par une tonne de tâches. A croire qu'ils connaissent pas le mot "propreté". Quoi qu'à ce niveau là, tu pourrais te taire ... Ils doivent se demander c'qu'un fossile comme toi fait ici. D'ailleurs c'est vrai, qu'est ce que tu fous là? Ah oui c'est vrai, retrouver un gars qui s'appelle ... Ah ... Ah ça va être dur, t'as perdu son nom ... C'est le boss qui va être furax. _ Ehéhéh, mais papi, qu'est c'que tu fous là, t'as fui la maison de retraite? Ah, ça y est, ils ont commencé les hostilités, va falloir la jouer fine. C'est le plus maigrichon qu'a commencé à parler. Son sourire pervers te donne envie de vomir. Ses joues sont rosies par la vignasse ingurgitée. T'es à deux mettres de lui et pourtant son haleine d'alcoolique te monte au cerveau. _ Eh l'gamin, quand tu sauras pisser d'bout, tu pourras m'parler sur ce ton! Et arrête avec ce sourire ou j'vais devoir te péter toutes les dents, t'as comprit? Pour la diplomatie, on repassera. Forcément, le gosse se transforme en boulle de nerfs. Déjà qu'il était bien rouge, là il devient écarlate. Il va faire quelque chose, mais t'sais pas quoi. T'as juste le temps de sortir ton six coups avant qu'il t'attrape. En voyant l'engin, il fait un bon en arrière. Les deux autres ne réagissent pas, des vrais crevettes. On voudrait leur corps, mais jamais de la tête. Ils regardent la scène comme des gosses de deux piges. Tu t'demande si ils comprennent ce qu'ils se passe. Leurs regards vides, la baves au levres. Tu pleins leur boss, ils doivent être encore plus lourds que toi comme sous-fifres. _Ah sa y'est j'me souviens de son nom!! Ah vos têtes d'attardés me l'ont rappelé! C'est vrai que l'gars, il a pas eu d'chance... Euh les gosses, vous connaitriez pas un certain "Narco"? _C'est qui que tu traites d'attardés?. Tiens, c'est le costaud de droite qui a parlé. Lui, ça a l'air d'être celui qui préfère le saké. A ses côtés, deux bouteilles vides gisent, et une troisième est à moitié entamée.. _Mais dis moi mon gars, tu sais parler ?! Moi qui pensais que t'aurais du mal à dire plus de deux syllabes, félicitation! _Hein? _Attend, j'vais essayer d'être plus claire, tu me dis où est Narco, et je te files un bouteille de Saké. _Si j'te tappe, j'ai du saké? Bon là tu t'dis que t'es vraiment dans la bouse. Impossible d'utiliser ton flingue sans rameuter toute la marine, et impossible de leur parler ... Les deux balaises, tu dois t'en occuper en premier. Leurs coups feront mal mais seront lent, t'as interêt à bien esquiver. Ils utiliseront les techniques de base d'un soldat de la marine. Quant au troisième, il s'est tut depuis un moment, et te regarde bizarement, tu l'sens vraiment pas. Celui de gauche tente un uppercut du droit, plutôt rapide pour son poids. Tu l'évites en sautant en arrière et contre rapidement par un coup de genou là où ça fait mal. C'est plutôt bas c'que tu fais. Mais tous les coups sont permis pour sauver sa vie. Dans environ une minute, il sera remit. Faut que tu te dépèches. Ils ont beau être torchés, c'est pas des lopettes. Ils savent se battre. _Qu'est ce que tu veux à Narco, papi? Ah, et de un, tu vas mieux me parler si tu veux pas que les deux gorilles t'explosent, de deux tu vas répondre à ma question. Et bin, ça y'est l'gars au sale sourire se remet à parler. Faut qu'il arrête ça ou tu vas pas pouvoir t'empêcher de lui refaire le portrait. _Sale gosse, on vous apprend plus l'respect! Depuis quand tu menaces tes ainés? Argh non mais aussi arrête de sourire comme ça! Tu fais trop peur... Ah!... Merci... Pour ce qui est de Narco, tu l'connais? Parce que si c'est l'cas, t'as encore une chance pour rentrer chez toi sans r'ssemler à un gruillère. _Héhéhé arrête de te foutre de moi papi! Tu vas l'regretter. Tu viens de foutre à terre son pote en deux secondes, et il n'a même pas peur. Il a même l'air super confiant. Là, y'a vraiment un truc qui cloche. Tu sais pas pourquoi mais tu l'sens mal. Y'a trente ans, t'aurais pris ton temps pour les faire regretter, mais là, tu fatigues et veux finir ça vite fait. Parce que bon, t'écoutes jamais ton instinct quand il te dit de fuir, mais t'y fais un peu plus gaffe quand même. Le buveur de saké s'avance vers toi. Tu ne le laisses pas respirer et lui écrases le visage contre le mur. Un dernier coup de genoux dans les parties. T'en es sûr, un de moins. C'est trop rapide, mais tu continues à flipper, le maigrichon a l'air toujours aussi confiant. Il reste impassible, à t'regarder les bras croisés, comme s'il regardait un animal étrange. T'en as vraiment mare de c'sourire. Le muet fonce maintenant pour te balancer sa jambe dans les reins. Il est encore plus rapide que l'autre. T'esquives au dernier moment, mais tu n'peux pas éviter le coup de poing du maigrichon. Il cachait bien son jeu c'lui là. T'as à peine vu le coup partir. Il est bien plus fort qu'un marin de base. Et ton oeil le confirme, t'auras un beau coquard demain. Sans te laisser reprendre tes esprits, il enchaîne gauches-droites. T'en prends partout, tu comptes même plus le nombre d'hématomes qu'ils te font, de cottes qu'ils te cassent. _Héhéhé, bon allez, il a eu son compte. Enchanté vieillard, au plaisir de se revoir. T'en crois pas tes oreilles. Y'a que toi qu'a l'droit de te foutre de quelqu'un comme ça! Tes poumons crient de ne pas parler, mais tu les écoutes pas. _Kof kof kof... Sale ... Morveux ...Kof kof... T'es qui? _Héhéhé, ah oui j'oublais, moi c'est Narco. |
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Informations IRL
- Prénom : Julien
Age : 19
Aime : Lire, jouer au foot, jouer de la basse.
N'aime pas : Le rap et le hip hop, en général
Personnage préféré de One Piece : Chopper !!
Caractère : (définissez vous en quelques mots) A vous de me le dire
Fais du RP depuis : aujourd'hui.
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) A voir.
Comment avez vous connu le forum ? Top site.
Dernière édition par Sergueï Suyakilo le Lun 5 Sep 2011 - 10:30, édité 11 fois