Tetsu Island encore un autre jour, mais décidément ce festival est bien trop long. Bon c’est promis aujourd’hui j’arrête de boire. Je suis trop mal. Ça fait combien de temps que je n’ai plus été complètement sobre ? Faudra pas que j’oublie de repartir d’ici.
Hier, on m’a dit que la déesse enfant exaucerait les vœux des gens. Pour cela, il suffirait d’écrire une lettre avec ce que l’on souhaiterait et qu’elle rendrait cela possible. Ça nous avait bien fait rire avec Mira hier soir, mais au matin je me suis dit pourquoi pas. Après tout je n’ai rien à perdre. J’ai donc écrit ma lettre. Ça faisait toujours rire Mira, soi-disant que je suis un utopiste. Mais c’est la réalité, je suis un utopiste révolutionnaire. Je crois en plein de choses, la bonté humaine par exemple. Enfin ça pas tout le temps quand même.
Du coup, je suis encore tout seul, Mira a préféré allez voir un spectacle plutôt que d’aller porter ma lettre à une pirate sanguinaire qui veut s’acheter une meilleure image. Il y a une boite aux lettres il parait, mais de mes pérégrinations précédentes, je n’ai vu que des échoppes de boissons, de nourritures, de bibelots et autres scènes de spectacle. Je ne vais quand même pas errer comme un con. De tout façon mes pieds vont me conduire à un bar si je fais ça.
Tiens, là ! Il y a quelqu’un qui remet un peu d’ordre. Elle doit travailler pour Kyori. Je vais lui demander.
« Excusez-moi madame ? Vous sauriez où se trouve la boite aux lettres de la déesse enfant ? »
Après avoir sursauter, elle se retourne. Mais je la connais, non ? Je l’ai déjà vue quelque part. Sur un avis de recherche ? Ça c’est sûr. Sur un champ de bataille ? Surement. Si seulement, j’avais une meilleure mémoire des noms.
« On s’est déjà croisé quelque part, non ? Votre tête me dit quelque chose. »
Hier, on m’a dit que la déesse enfant exaucerait les vœux des gens. Pour cela, il suffirait d’écrire une lettre avec ce que l’on souhaiterait et qu’elle rendrait cela possible. Ça nous avait bien fait rire avec Mira hier soir, mais au matin je me suis dit pourquoi pas. Après tout je n’ai rien à perdre. J’ai donc écrit ma lettre. Ça faisait toujours rire Mira, soi-disant que je suis un utopiste. Mais c’est la réalité, je suis un utopiste révolutionnaire. Je crois en plein de choses, la bonté humaine par exemple. Enfin ça pas tout le temps quand même.
Du coup, je suis encore tout seul, Mira a préféré allez voir un spectacle plutôt que d’aller porter ma lettre à une pirate sanguinaire qui veut s’acheter une meilleure image. Il y a une boite aux lettres il parait, mais de mes pérégrinations précédentes, je n’ai vu que des échoppes de boissons, de nourritures, de bibelots et autres scènes de spectacle. Je ne vais quand même pas errer comme un con. De tout façon mes pieds vont me conduire à un bar si je fais ça.
Tiens, là ! Il y a quelqu’un qui remet un peu d’ordre. Elle doit travailler pour Kyori. Je vais lui demander.
« Excusez-moi madame ? Vous sauriez où se trouve la boite aux lettres de la déesse enfant ? »
Après avoir sursauter, elle se retourne. Mais je la connais, non ? Je l’ai déjà vue quelque part. Sur un avis de recherche ? Ça c’est sûr. Sur un champ de bataille ? Surement. Si seulement, j’avais une meilleure mémoire des noms.
« On s’est déjà croisé quelque part, non ? Votre tête me dit quelque chose. »