La Révolution vient de faire son entrée en scène, alors que la lune est haute dans le ciel, minuit sonne ses douze coups, une allure sombre aux yeux rouges s’avance entre les arbres. Prête à bondir, la voilà reprendre forme humaine, il s’agit de Rose Cordelya, aussi surnommée la Puma par ses compères de l’armée révolutionnaire, mais que fit-elle ici ? Cette jeune femme masquée s’avance, suivie de près par son acolyte et bras-droit : Gabriel. Les deux révolutionnaires ont attaqué de front James Larson, permettant ainsi à la pirate, Elisabeth L. Gray, de s’enfuir dans la jungle, portée par son bras-droit et médecin, Jyll.
James Larson, l’administrateur du Cipher Pôle numéro neuf, se relève tant bien que mal de l’assaut du puma, se redressant en pestant légèrement. Le voilà maintenant face à deux membres influants de l’armée révolutionnaire, un grand sourire aux lèvres. Ce sourire carnassier qu’il venait de montrer à Elisabeth en lui jurant de lui ôter la vie. Menace qui ne semble pas tombée dans l’oreille d’une sourde, Rose Cordelya s’avance à pas de loup à travers la jungle pour finalement en sortir d’un bond et en pointant une arme à feu de style baroque sur la tempe du très craint, monsieur Larson. Ne le craignant que peu, la jeune révolutionnaire affine sa vision d’aveugle grâce à son fluide perceptif, et d’une voix calme, elle prend la parole.
« Monsieur Larson, mes yeux ne me permettent guère de voir les rictus à votre visage, mais mon Fluide me fait ressentir une envie soudaine en vous. Je vous sommerai de bien vouloir rester avec nous. »
« Rose Cordelya. Puma. Bras armés de la Révolution sur le Nouveau Monde, que viens-tu faire sur cette île reculée de Grand Line ? Es-tu toi aussi la chienne d’une plus grosse tête ? »
« Eh bien eh bien monsieur. Nous ne sommes pas ici pour déclarer une guerre, laissez donc cette jeune pousse s’en aller. »
« Gabriel n’est-ce pas ? Le larbin de ce même larbin. »
Face à James, se tient debout Gabriel, un homme très souriant avec un style bien steampunk à lui. Son cœur génétiquement modifié semble s’ouvrir et émet une lueur assez étrange, qui sait ce qui va en sortir, mais James ne semble pas à son aise avec les deux membres de la nouvelle révolution en marche dans le nouveau monde. À quoi est dû leur présence ici ? Et que sont-ils venus faire pour aider une ponéglotte dans un coin aussi reculé de Grand Line ? Rose reprend, d’une voix calme mais dure. Même en plein milieu de cette nuit, James peut ressentir la profonde menace qui plane derrière lui, et malgré sa force écrasante il a tout intérêt à ne pas dire un autre mot de travers s’il ne veut pas perdre la vie.
« Cette jeune ponéglotte est une clé importante pour notre monde. »
« Personne ne la connaît encore ! La laisser partir fait d’elle une menace pour ce monde, vous voulez qu’elle devienne votre Nico Robin ? »
« Je ne veux que servir les idéaux de mon acolyte resté au Nouveau Monde. »
« Zedd Gray. »
Ce nom semble résonner comme un affront face à Rose. James Larson est un agent de bureau, il est au courant de beaucoup de choses, et les bruits de couloirs de ce qui doit se passer sur le Nouveau Monde en ce moment, il a dû en entendre parler. Et la menace actuelle est que le gouvernement leur barre la route, ça Rose ne pourrait pas le tolérer.
« Vous n’êtes pas autorisé à prononcer ce nom, pas ici. Pas avec la jeune Gray si proche. »
L’ayant touché dans son égo, James profita de ce moment de trouble pour faire soulever la terre autour de lui en donnant un violent coup de pied insufflé du Haki de l’armement. Le choc fit soulever des monticules de terre, bloquant la vision de Rose et Gabriel qui n’eurent d’autres choix que de s’écarter en vitesse pour ne pas risquer un malheureux accident. D’un bon magistral et puissant, James usa de son Geppou pour filer vers la jungle et poursuivre sa cible initiale, Elisabeth L. Gray. D’ailleurs, la jeune ponéglotte est toujours fermement maintenue sur le dos de son médecin de bord qui courre à travers la jungle, les lianes fouettant son visage et l’empêchant de courir à vive allure.
« Lise … on y est presque ! La Révolution est là ! Ils sont là pour nous sauver ! »
« Hmmm … Jyll ! Arrête to… toi … arrête toi ! »
« Hein quoi ?! »
« Je n’arrive plus … aah ! De l’air ! »
« Merde ta cage thoracique, il y a dû y avoir un choc. Lise hé ! Reste avec moi ! »
En plein milieu de cette jungle où d’étranges bruits règnent, Jyll dû déposer sa camarade à même le sol pour établir l’étendu de ses dégâts physiques et ce ne fut pas beau à voir. L’homme resta interdit, à genou face au corps endolori et couvert de bleus de sa capitaine, se tordant de douleur pour survivre aux chocs internes qui devait la tirailler de l’intérieur. Ne sachant trop quoi faire, le médecin dû opter pour quelque chose … la reprendre dans ses bras et foncer le plus rapidement possible vers leur navire pour espérer faire plus, une fois là-bas. Mais lorsqu’il essaya de porter Lise, sa main gauche lui rappela son affrontement contre James. Ce dernier l’avait stoppé avec une telle facilité et lui avait brisé les doigts si rapidement qu’il l’aurait presque oublié.
« Ce type est effrayant … Lise … je suis désolé je ne peux … rien faire en l’état actuel des …. »
- Rose "Puma" Cordelya:
James Larson, l’administrateur du Cipher Pôle numéro neuf, se relève tant bien que mal de l’assaut du puma, se redressant en pestant légèrement. Le voilà maintenant face à deux membres influants de l’armée révolutionnaire, un grand sourire aux lèvres. Ce sourire carnassier qu’il venait de montrer à Elisabeth en lui jurant de lui ôter la vie. Menace qui ne semble pas tombée dans l’oreille d’une sourde, Rose Cordelya s’avance à pas de loup à travers la jungle pour finalement en sortir d’un bond et en pointant une arme à feu de style baroque sur la tempe du très craint, monsieur Larson. Ne le craignant que peu, la jeune révolutionnaire affine sa vision d’aveugle grâce à son fluide perceptif, et d’une voix calme, elle prend la parole.
« Monsieur Larson, mes yeux ne me permettent guère de voir les rictus à votre visage, mais mon Fluide me fait ressentir une envie soudaine en vous. Je vous sommerai de bien vouloir rester avec nous. »
« Rose Cordelya. Puma. Bras armés de la Révolution sur le Nouveau Monde, que viens-tu faire sur cette île reculée de Grand Line ? Es-tu toi aussi la chienne d’une plus grosse tête ? »
« Eh bien eh bien monsieur. Nous ne sommes pas ici pour déclarer une guerre, laissez donc cette jeune pousse s’en aller. »
« Gabriel n’est-ce pas ? Le larbin de ce même larbin. »
- Gabriel "Punk":
Face à James, se tient debout Gabriel, un homme très souriant avec un style bien steampunk à lui. Son cœur génétiquement modifié semble s’ouvrir et émet une lueur assez étrange, qui sait ce qui va en sortir, mais James ne semble pas à son aise avec les deux membres de la nouvelle révolution en marche dans le nouveau monde. À quoi est dû leur présence ici ? Et que sont-ils venus faire pour aider une ponéglotte dans un coin aussi reculé de Grand Line ? Rose reprend, d’une voix calme mais dure. Même en plein milieu de cette nuit, James peut ressentir la profonde menace qui plane derrière lui, et malgré sa force écrasante il a tout intérêt à ne pas dire un autre mot de travers s’il ne veut pas perdre la vie.
« Cette jeune ponéglotte est une clé importante pour notre monde. »
« Personne ne la connaît encore ! La laisser partir fait d’elle une menace pour ce monde, vous voulez qu’elle devienne votre Nico Robin ? »
« Je ne veux que servir les idéaux de mon acolyte resté au Nouveau Monde. »
« Zedd Gray. »
Ce nom semble résonner comme un affront face à Rose. James Larson est un agent de bureau, il est au courant de beaucoup de choses, et les bruits de couloirs de ce qui doit se passer sur le Nouveau Monde en ce moment, il a dû en entendre parler. Et la menace actuelle est que le gouvernement leur barre la route, ça Rose ne pourrait pas le tolérer.
« Vous n’êtes pas autorisé à prononcer ce nom, pas ici. Pas avec la jeune Gray si proche. »
L’ayant touché dans son égo, James profita de ce moment de trouble pour faire soulever la terre autour de lui en donnant un violent coup de pied insufflé du Haki de l’armement. Le choc fit soulever des monticules de terre, bloquant la vision de Rose et Gabriel qui n’eurent d’autres choix que de s’écarter en vitesse pour ne pas risquer un malheureux accident. D’un bon magistral et puissant, James usa de son Geppou pour filer vers la jungle et poursuivre sa cible initiale, Elisabeth L. Gray. D’ailleurs, la jeune ponéglotte est toujours fermement maintenue sur le dos de son médecin de bord qui courre à travers la jungle, les lianes fouettant son visage et l’empêchant de courir à vive allure.
« Lise … on y est presque ! La Révolution est là ! Ils sont là pour nous sauver ! »
« Hmmm … Jyll ! Arrête to… toi … arrête toi ! »
« Hein quoi ?! »
« Je n’arrive plus … aah ! De l’air ! »
« Merde ta cage thoracique, il y a dû y avoir un choc. Lise hé ! Reste avec moi ! »
En plein milieu de cette jungle où d’étranges bruits règnent, Jyll dû déposer sa camarade à même le sol pour établir l’étendu de ses dégâts physiques et ce ne fut pas beau à voir. L’homme resta interdit, à genou face au corps endolori et couvert de bleus de sa capitaine, se tordant de douleur pour survivre aux chocs internes qui devait la tirailler de l’intérieur. Ne sachant trop quoi faire, le médecin dû opter pour quelque chose … la reprendre dans ses bras et foncer le plus rapidement possible vers leur navire pour espérer faire plus, une fois là-bas. Mais lorsqu’il essaya de porter Lise, sa main gauche lui rappela son affrontement contre James. Ce dernier l’avait stoppé avec une telle facilité et lui avait brisé les doigts si rapidement qu’il l’aurait presque oublié.
« Ce type est effrayant … Lise … je suis désolé je ne peux … rien faire en l’état actuel des …. »
BOOOOOM !