- Dialogues:
Django Colonel Jeza Reza Taran
Je viens d'arriver à la caserne de Cocoyashi, avec une charrette contenant deux des berries tant recherché par le colonel local. Les berries, ces criminels qui ont pris du galon dans le monde criminel puisqu'ils sont désormais au kidnapping, marchandage, extorsion de fond, assassinat … Ce groupe qui a tant échappé à la marine voit désormais deux de ses membres les plus puissants prisonniers. Enfin, ils le seront sous peu. Django, leur sabreur est emmené directement dans la prison. Quant à Sélphy, qui a été bien abîmé par le colonel avant de me rencontrer … disons que son état est particulier. Je ne voulais pas spécialement la laisser mourir, même si j'ai été tenté. Mais son état était trop grave pour que je puisse le faire sur place. J'ai donc du utiliser la technique du livre que Kiyori m'a envoyé.
J'ai mis une graine autour de son cœur qui a liée la zone, ralentissant son rythme cardiaque, me donnant ainsi assez de temps pour arriver jusqu'à la caserne et pouvoir tenter de la sauver. Mais pourquoi sauver une criminelle qui tue des gens et vole aux pauvres ? Pour qu'elle donne les informations sur ses copains, pardi ! Avec des matelots qui m'aident à porter le corps, on arrive à l'infirmerie avec la jeune femme. Je me fais recoudre rapidement, n'ayant pas besoin de soins trop importants ou urgent. Le toubib regarde la patiente avec un air étrange.
« C'est quoi ça ?
Une technique spéciale. Je n'avais pas le temps de la sauver sur place, alors j'ai figé son corps pour qu'il reste dans cet état, me permettre d'arriver jusqu'à la civilisation et d'avoir le temps de la soigner. Votre colonel l'avait bien amoché quand je l'ai retrouvé.
Et pourquoi vous voulez la sauver ? C'est écrit mort ou vif sur son avis de recherche.
Si je la soigne, j'ai des méthodes pour lui faire cracher des informations sur ses partenaires de crime. Passez-moi ça. »
Je dis au médecin en montrant un instrument sur la table. Je m'en saisis et verse une partie du contenu sur ma blessure. Le médecin me hurle dessus en disant que je suis malade. Je serre les dents, mais ça m'arrache un cri. Je crois que toute la caserne doit l'entendre. L'alcool à 90° versé directement sur une blessure, ça réveille des morts. Mais au moins, je ne risque pas de m'endormir. Je ne sais pas combien de temps va prendre l'opération pour libérer et réparer Sélphy, alors je ne peux pas prendre le risque de m'assoupir.
« Vous serez ma seconde paire de main sur ce cas.
Vous êtes ici dans ma caserne, dans mon infirmerie.
C'est ma patiente. Je l'ai trouvé. Je l'ai capturé. Je l'ai blessé encore plus. Je l'ai mis hors d'état de nuire. J'ai figé son état pour avoir une chance d'obtenir des informations d'elle. Ça va sortir méchamment et j'en suis désolé, mais je ne laisserai pas un médecin de seconde zone ruiner mon travail.
De seconde zone ?! Et on peut savoir où vous avez étudier monsieur l'éduqué ?
Chopper Hospital University, sur Drum, sous la tutelle des toubibs 20. Je n'aime pas user de la carte du rang, parce que je trouve ça stupide. Mais comme le dit le dicton, celui qui sait fait. Je sais ce qui a été fait sur la patiente. Je sais où ont été placé les lianes, comment elles fonctionnent, où elles sont friables et dures. Vous non.
Vous pouvez partager les informations.
Et on perdra plus de temps qu'on est déjà en train de le faire. Je retarde la dégradation de son état, je ne l'arrête pas. Pendant qu'on discute, elle continue de mourir. Alors soit vous m'aidez, soit vous me mettez en prison. Parce que je ne vous laisserai pas l'abîmer. Je suis celui qui a le plus de chances de la sauver. Alors si je dois utiliser la hiérarchie pour sauver une patiente, pas de soucis. »
Est-ce que je parle de Sélphy ? Est-ce que je parle de la plante ? Est-ce que je parle de ma technique ? Pourquoi choisir. C'est un miracle ambulant désormais. Enfin, statique quoi vu qu'elle ne peut pas bouger. On se fixe du regard. Qui va flancher ? Est-ce qu'il va me faire jeter en prison juste pour avoir le dernier mot ? BAM. La porte s'ouvre violemment, sortant presque de ses gonds.
« Il est où ?! C'est lui ?
Oui mon colonel.
Toi … »
J'ai mis une graine autour de son cœur qui a liée la zone, ralentissant son rythme cardiaque, me donnant ainsi assez de temps pour arriver jusqu'à la caserne et pouvoir tenter de la sauver. Mais pourquoi sauver une criminelle qui tue des gens et vole aux pauvres ? Pour qu'elle donne les informations sur ses copains, pardi ! Avec des matelots qui m'aident à porter le corps, on arrive à l'infirmerie avec la jeune femme. Je me fais recoudre rapidement, n'ayant pas besoin de soins trop importants ou urgent. Le toubib regarde la patiente avec un air étrange.
« C'est quoi ça ?
Une technique spéciale. Je n'avais pas le temps de la sauver sur place, alors j'ai figé son corps pour qu'il reste dans cet état, me permettre d'arriver jusqu'à la civilisation et d'avoir le temps de la soigner. Votre colonel l'avait bien amoché quand je l'ai retrouvé.
Et pourquoi vous voulez la sauver ? C'est écrit mort ou vif sur son avis de recherche.
Si je la soigne, j'ai des méthodes pour lui faire cracher des informations sur ses partenaires de crime. Passez-moi ça. »
Je dis au médecin en montrant un instrument sur la table. Je m'en saisis et verse une partie du contenu sur ma blessure. Le médecin me hurle dessus en disant que je suis malade. Je serre les dents, mais ça m'arrache un cri. Je crois que toute la caserne doit l'entendre. L'alcool à 90° versé directement sur une blessure, ça réveille des morts. Mais au moins, je ne risque pas de m'endormir. Je ne sais pas combien de temps va prendre l'opération pour libérer et réparer Sélphy, alors je ne peux pas prendre le risque de m'assoupir.
« Vous serez ma seconde paire de main sur ce cas.
Vous êtes ici dans ma caserne, dans mon infirmerie.
C'est ma patiente. Je l'ai trouvé. Je l'ai capturé. Je l'ai blessé encore plus. Je l'ai mis hors d'état de nuire. J'ai figé son état pour avoir une chance d'obtenir des informations d'elle. Ça va sortir méchamment et j'en suis désolé, mais je ne laisserai pas un médecin de seconde zone ruiner mon travail.
De seconde zone ?! Et on peut savoir où vous avez étudier monsieur l'éduqué ?
Chopper Hospital University, sur Drum, sous la tutelle des toubibs 20. Je n'aime pas user de la carte du rang, parce que je trouve ça stupide. Mais comme le dit le dicton, celui qui sait fait. Je sais ce qui a été fait sur la patiente. Je sais où ont été placé les lianes, comment elles fonctionnent, où elles sont friables et dures. Vous non.
Vous pouvez partager les informations.
Et on perdra plus de temps qu'on est déjà en train de le faire. Je retarde la dégradation de son état, je ne l'arrête pas. Pendant qu'on discute, elle continue de mourir. Alors soit vous m'aidez, soit vous me mettez en prison. Parce que je ne vous laisserai pas l'abîmer. Je suis celui qui a le plus de chances de la sauver. Alors si je dois utiliser la hiérarchie pour sauver une patiente, pas de soucis. »
Est-ce que je parle de Sélphy ? Est-ce que je parle de la plante ? Est-ce que je parle de ma technique ? Pourquoi choisir. C'est un miracle ambulant désormais. Enfin, statique quoi vu qu'elle ne peut pas bouger. On se fixe du regard. Qui va flancher ? Est-ce qu'il va me faire jeter en prison juste pour avoir le dernier mot ? BAM. La porte s'ouvre violemment, sortant presque de ses gonds.
« Il est où ?! C'est lui ?
Oui mon colonel.
Toi … »
Toutes mes plantes et effets sont réels, sauf précisions contraire. Alors lis, et instruits toi, petit brin d'herbe.
Dernière édition par Rio le Ven 17 Fév 2023, 13:56, édité 1 fois