Farore avait clairement pris de l’avance. Il faut dire que sa capacité à voler lui permettait d’emprunter des raccourcis non négligeables, ainsi donc elle s’était mise en position sur ordre de Costa et avait bien pris le temps d’étudier la zone en effectuant des aller retour en vol circulaire, cette méthode qu’elle venait d’élaborer lui semblait être la plus logique et lui offrait ainsi une vue parfaite sur ce qui pouvait se tramer plus bas.
Ni le Commodore, ni elle, ni Costa ne savaient réellement quoi chercher si ce n’est un groupe de pirate résolu à piller les lieux comme ils ont pu le faire au port. Elle s’évertuait à chercher mais rien n’y fait, la piraterie avait tout bonnement disparu et ce même si elle observait avec assiduité les hautes-terres. Tout à fait sûre de louper un détail crucial, elle effectue une énieme fois son vol de reconnaissance mais la fatigue dans les ailes se fait sentir peu à peu.
Elle avait eu raison de se fier à son instinct puisque ce dernier recours à la reconnaissance lui permet d’apercevoir un feu naissant non loin d’une petite ville.
« Je les ai repérés. »
Annonce t’elle avec difficulté sur son Denden. Afin de faciliter sa localisation, Farore se place au-dessus de la ville et laisse exploser des flammes bleues afin d’être le plus visible possible. Le feu redouble d’intensité et elle espère que bientôt la Marine et le Gouvernement viendront en aide. Cependant, si ils peuvent la voir, les pirates aussi. Et ces derniers ne manquent d’ailleurs pas s’ouvrir le feu sur Farore avec leurs hallebardes et autres fusils. Une balle traverse de part en part Farore qui se sent mourir. Mais un événement insolite dont elle ne connaissait pas l’existence se produit. Les flammes bleues viennent saper la blessure et coterise aussitôt le tissu. Les pirates en contre-bas n’en reviennent pas et Farore non plus, le fruit du phénix était donc si surprenant ?
Elle effectue un vol plongé pour foncer vers le premier groupe qui a fait feu. Au dernier moment, elle ralentit, transformant sa vitesse en puissance elle bat des ailes, créants des lames d’air enflammées qui viennent pourfendre l’adversité dans des cris de douleurs déchirantes et immondes. Elle se pose non loin des corps avant de rester sur ses gardes, seule, elle ne pourrait pas grand-chose mais la ville fortifiée semblait bel et bien prise d’assaut pas une force démesurée.
Ni le Commodore, ni elle, ni Costa ne savaient réellement quoi chercher si ce n’est un groupe de pirate résolu à piller les lieux comme ils ont pu le faire au port. Elle s’évertuait à chercher mais rien n’y fait, la piraterie avait tout bonnement disparu et ce même si elle observait avec assiduité les hautes-terres. Tout à fait sûre de louper un détail crucial, elle effectue une énieme fois son vol de reconnaissance mais la fatigue dans les ailes se fait sentir peu à peu.
Elle avait eu raison de se fier à son instinct puisque ce dernier recours à la reconnaissance lui permet d’apercevoir un feu naissant non loin d’une petite ville.
« Je les ai repérés. »
Annonce t’elle avec difficulté sur son Denden. Afin de faciliter sa localisation, Farore se place au-dessus de la ville et laisse exploser des flammes bleues afin d’être le plus visible possible. Le feu redouble d’intensité et elle espère que bientôt la Marine et le Gouvernement viendront en aide. Cependant, si ils peuvent la voir, les pirates aussi. Et ces derniers ne manquent d’ailleurs pas s’ouvrir le feu sur Farore avec leurs hallebardes et autres fusils. Une balle traverse de part en part Farore qui se sent mourir. Mais un événement insolite dont elle ne connaissait pas l’existence se produit. Les flammes bleues viennent saper la blessure et coterise aussitôt le tissu. Les pirates en contre-bas n’en reviennent pas et Farore non plus, le fruit du phénix était donc si surprenant ?
Elle effectue un vol plongé pour foncer vers le premier groupe qui a fait feu. Au dernier moment, elle ralentit, transformant sa vitesse en puissance elle bat des ailes, créants des lames d’air enflammées qui viennent pourfendre l’adversité dans des cris de douleurs déchirantes et immondes. Elle se pose non loin des corps avant de rester sur ses gardes, seule, elle ne pourrait pas grand-chose mais la ville fortifiée semblait bel et bien prise d’assaut pas une force démesurée.