De retour à Clock Work Island. Au fil du temps c’était devenu chez moi. J’avais aidé à pacifier la région, à faire en sorte qu’humains et hommes poissons cohabitent au mieux. Même si le passage de nombreux pirates avait mis à mal l’équilibre et la paix qui y régnait. Elle avait continué à perdurer malgré tout.
Je m’y perdais dans mes comptes. C’était la quatrième ou cinquième fois que je revenais sur l’ile. C’était devenu mon refuge pour me soigner, le point de ralliement quand j’étais séparé de mon équipage. J’y revenais une nouvelle fois pour me ressourcer. J’en avais besoin mentalement. Car si les pouvoir de l’Abbé avait soigné mes blessures, la succession d’épreuve avait laissé un chantier dans mon âme. Comme un dernier coup à mon cœur Ragnar avait disparu. J’avais confiance en Kardelya pour prendre sa succession, mais ça ne changeait rien au faites que j’avais quand même perdu un ami en plus d’un allié.
Pour CW25, la base révolutionnaire sous-marine que j’avais créé, la situation n’avait pas changée. Du moins, si, elle avait continué à prospérer à s’étoffer, à grandir. La marine semblait l’avoir laissée tranquille. J’espérais qu’elle était toujours totalement sous les radars, mais les sous-marins qu’elle produisait, attireraient un jour ou l’autre l’attention. Si nous étions tranquilles, c’était sûrement grâce à la bienveillance et l’aide de la population locale. Le temps que j’avais passé à construire une relation saine avec eux n’avait pas été perdu du tout.
Le repos pour moi ici, ce n’était pas dormir et lézarder, ça j’avais déjà pu le faire sur le trajet depuis nouveau monde jusqu’ici. Non, c’était la routine, les visages connus, la satisfaction de voir mon projet le plus ambitieux perdurer et prospérer. Et il avait bien prospéré pour le coup. Du coup, il y avait plein de nouvelles têtes qui étaient venues agrandir la famille, peuplés la base. Donc pour les visages familiers, je pourrais repasser.
Il y avait pourtant des choses immuables. J’accompagnai Viktor, jusqu’à la grotte où était fabriqué les sous-marins. Un nouveau submersible de type transport était en cours de construction. C’était une belle bête avec un ventre bien rond et bien grand pour pouvoir accueillir un maximum de personne ou de fret. Et caché dans un recoin plonger sur un plan, nous trouvâmes ce bon vieux Jacques Kiflottekoul, l’ingénieur en charge de la construction des sous-marins. Il fut ravi de nous revoir tout comme nous, mais il fut surtout ravi de nous faire visiter son dernier projet le Manta.
Le Manta était un sous-marin de support capable de se fixer solidement à un bateau et de le tracter. Il était également conçu pour la récupération sous-marine. Lorsque la discussion entre Viktor et Jacques devint trop technique, je m’éclipsai. Il était question de problèmes sur l’intégration de l’un ou l’autre prototype. Je ne pense pas qu’ils se rendirent compte que je les quittais. Ils étaient bien trop excités par leur projet commun. Leur excitation me fit le plus grand bien. Tout n’était peut-être pas rose, mais nous continuions à avancer dans la bonne direction. Leur enthousiasme était communicatif et je commençai sans m’en rendre compte à me tourner vers le futur plutôt que de toujours regarder en arrière. J’avais assez broyé de noir et ressasser le passé. C’était ça qu’il me fallait, un nouveau projet.
Je m’y perdais dans mes comptes. C’était la quatrième ou cinquième fois que je revenais sur l’ile. C’était devenu mon refuge pour me soigner, le point de ralliement quand j’étais séparé de mon équipage. J’y revenais une nouvelle fois pour me ressourcer. J’en avais besoin mentalement. Car si les pouvoir de l’Abbé avait soigné mes blessures, la succession d’épreuve avait laissé un chantier dans mon âme. Comme un dernier coup à mon cœur Ragnar avait disparu. J’avais confiance en Kardelya pour prendre sa succession, mais ça ne changeait rien au faites que j’avais quand même perdu un ami en plus d’un allié.
Pour CW25, la base révolutionnaire sous-marine que j’avais créé, la situation n’avait pas changée. Du moins, si, elle avait continué à prospérer à s’étoffer, à grandir. La marine semblait l’avoir laissée tranquille. J’espérais qu’elle était toujours totalement sous les radars, mais les sous-marins qu’elle produisait, attireraient un jour ou l’autre l’attention. Si nous étions tranquilles, c’était sûrement grâce à la bienveillance et l’aide de la population locale. Le temps que j’avais passé à construire une relation saine avec eux n’avait pas été perdu du tout.
Le repos pour moi ici, ce n’était pas dormir et lézarder, ça j’avais déjà pu le faire sur le trajet depuis nouveau monde jusqu’ici. Non, c’était la routine, les visages connus, la satisfaction de voir mon projet le plus ambitieux perdurer et prospérer. Et il avait bien prospéré pour le coup. Du coup, il y avait plein de nouvelles têtes qui étaient venues agrandir la famille, peuplés la base. Donc pour les visages familiers, je pourrais repasser.
Il y avait pourtant des choses immuables. J’accompagnai Viktor, jusqu’à la grotte où était fabriqué les sous-marins. Un nouveau submersible de type transport était en cours de construction. C’était une belle bête avec un ventre bien rond et bien grand pour pouvoir accueillir un maximum de personne ou de fret. Et caché dans un recoin plonger sur un plan, nous trouvâmes ce bon vieux Jacques Kiflottekoul, l’ingénieur en charge de la construction des sous-marins. Il fut ravi de nous revoir tout comme nous, mais il fut surtout ravi de nous faire visiter son dernier projet le Manta.
Le Manta était un sous-marin de support capable de se fixer solidement à un bateau et de le tracter. Il était également conçu pour la récupération sous-marine. Lorsque la discussion entre Viktor et Jacques devint trop technique, je m’éclipsai. Il était question de problèmes sur l’intégration de l’un ou l’autre prototype. Je ne pense pas qu’ils se rendirent compte que je les quittais. Ils étaient bien trop excités par leur projet commun. Leur excitation me fit le plus grand bien. Tout n’était peut-être pas rose, mais nous continuions à avancer dans la bonne direction. Leur enthousiasme était communicatif et je commençai sans m’en rendre compte à me tourner vers le futur plutôt que de toujours regarder en arrière. J’avais assez broyé de noir et ressasser le passé. C’était ça qu’il me fallait, un nouveau projet.
Dernière édition par Yukikurai le Dim 4 Juin 2023 - 20:43, édité 1 fois