Quelque part sur East Blue, sur un navire pirate, un bruit assourdissant se fit entendre, faisant vibrer les eaux pourtant calme de cet océan. Tandis que ce bruit continuait de se faire entendre, une voix retentit.
Celle du capitaine Noriyaki, clamant haut et fort qu'ils allaient devoir se dépêcher de rejoindre Lust Town si ils ne voulaient pas couler en mer. En effet, vous l'aurez surement compris, nous nous trouvons actuellement sur le Lady Million, embarcation décadente des Kichigai Yokubari, un équipage sous la direction du Satoshi Noriyaki.
Du haut de ses vingt huit années d’existence, il n'avait jamais naviguer dans un navire pareil, le fait même qu'il pouvait vivre dedans semblait invraisemblable. C'est pour cette raison que le Lady Million se dirigeait vers Lust Town, ville éternelle du luxe. En effet il y avait un chantier naval là bas, composé des meilleurs charpentier d'East Blue, un endroit où ce rafiot pourrait être rafistoler comme il se doit, c'est à dire avec des parties en or sur la coque, une salle de jeu, une cabine de capitaine faisant penser à une salle de trône, quelque chose reflétant à merveille la personnalité du capitaine.
Tandis que notre navire faisait route vers Lust Town, je m'étais terré dans ma cabine pour ruminer. La seule chose que je voyais en baissant les yeux, c'était des cafards. Vous me connaissez surement, je ne les écrasais pas avec mes chaussures, ni avec mes mains, ça me salirait, donc je les laissais cavaler à leur guise dans l'immensité de cette pièce, et sans doute dans la totalité du navire.
C'était bien beau, j'avais enfin un navire de taille plus que respectable, mais malheureusement je ne m'étais pas douté de l'état dans lequel il se trouvait. Je regardais attentivement la carte d'East Blue acheté il y a maintenant bientôt une année pour naviguer sur ma curieuse barque qui était sans doute en bien meilleur état que ce navire, je pris ma longue vue, mon compas, et observa l'horizon. Faisant partir celui qui jusque là tenait la barre, je balayais d'un regard vif le bout de la mer, pour enfin crier au et fort.
« Nous sommes arrivés ! »
L'île tant attendue se profilait à l'horizon. Faisant signe à un de mes hommes de descendre le pavillon de notre équipage, je demandais à quelqu'un de prendre le barre. Je me dirigeais maintenant vers la proue du navire, et contemplait avec étonnement cette ville. Magnifique. On pouvait apercevoir de haut bâtiments. Nous étions arrivés à Lust Town.
Nous levions donc l'encre pour arriver sur ce magnifique port où on ne pouvait qu’apercevoir des navires de luxe, comparés ceux là au notre était chose aisée, celui que nous possédions était pourri. Descendant du navire, on me demanda de payer une taxe pour le navire, de 1 millions pour la place. Punaise, ça commençait bien. Donnant l'argent au monsieur je me renseignait sur la position du chantier naval et j'arrivais enfin à destination. Là bas on me demandait ce que je voulais, je répondis tout simplement :
« Seriez vous capable de rendre le plus mitheux des navires en celui qui serait désigné comme le plus magnifique ? Je veux que tout soit luxueux, de l'extérieur à l'intérieur, même les canons, tout, et je payerais prix fort. »
« Alors, nous l'avons vu arriver, nous allons inspecter tout cela et vous dire le prix. »
« Donc, j'ai fait un peu le tour, alors il y a une salle d'entrainement, une cuisine, la cabine du capitaine, un dortoir pour les hommes de confiances, une grande pièce spécialement faite pour les femmes ( apparemment ), une salle de détente, une prison, et de multiples salles vides, donc ça doit faire une quinzaine de pièce, mais pas toute à faire completement soit, rien que pour l'intérieur : 30 000 000 de berrys. Après, si l'on compte le prix pour l'extérieur, je dirais que pour refaire ce navire il vous faudra quelques 50 000 000 de berrys sur vous. »
« Ca marche. »
Celle du capitaine Noriyaki, clamant haut et fort qu'ils allaient devoir se dépêcher de rejoindre Lust Town si ils ne voulaient pas couler en mer. En effet, vous l'aurez surement compris, nous nous trouvons actuellement sur le Lady Million, embarcation décadente des Kichigai Yokubari, un équipage sous la direction du Satoshi Noriyaki.
Du haut de ses vingt huit années d’existence, il n'avait jamais naviguer dans un navire pareil, le fait même qu'il pouvait vivre dedans semblait invraisemblable. C'est pour cette raison que le Lady Million se dirigeait vers Lust Town, ville éternelle du luxe. En effet il y avait un chantier naval là bas, composé des meilleurs charpentier d'East Blue, un endroit où ce rafiot pourrait être rafistoler comme il se doit, c'est à dire avec des parties en or sur la coque, une salle de jeu, une cabine de capitaine faisant penser à une salle de trône, quelque chose reflétant à merveille la personnalité du capitaine.
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Tandis que notre navire faisait route vers Lust Town, je m'étais terré dans ma cabine pour ruminer. La seule chose que je voyais en baissant les yeux, c'était des cafards. Vous me connaissez surement, je ne les écrasais pas avec mes chaussures, ni avec mes mains, ça me salirait, donc je les laissais cavaler à leur guise dans l'immensité de cette pièce, et sans doute dans la totalité du navire.
C'était bien beau, j'avais enfin un navire de taille plus que respectable, mais malheureusement je ne m'étais pas douté de l'état dans lequel il se trouvait. Je regardais attentivement la carte d'East Blue acheté il y a maintenant bientôt une année pour naviguer sur ma curieuse barque qui était sans doute en bien meilleur état que ce navire, je pris ma longue vue, mon compas, et observa l'horizon. Faisant partir celui qui jusque là tenait la barre, je balayais d'un regard vif le bout de la mer, pour enfin crier au et fort.
« Nous sommes arrivés ! »
L'île tant attendue se profilait à l'horizon. Faisant signe à un de mes hommes de descendre le pavillon de notre équipage, je demandais à quelqu'un de prendre le barre. Je me dirigeais maintenant vers la proue du navire, et contemplait avec étonnement cette ville. Magnifique. On pouvait apercevoir de haut bâtiments. Nous étions arrivés à Lust Town.
Nous levions donc l'encre pour arriver sur ce magnifique port où on ne pouvait qu’apercevoir des navires de luxe, comparés ceux là au notre était chose aisée, celui que nous possédions était pourri. Descendant du navire, on me demanda de payer une taxe pour le navire, de 1 millions pour la place. Punaise, ça commençait bien. Donnant l'argent au monsieur je me renseignait sur la position du chantier naval et j'arrivais enfin à destination. Là bas on me demandait ce que je voulais, je répondis tout simplement :
« Seriez vous capable de rendre le plus mitheux des navires en celui qui serait désigné comme le plus magnifique ? Je veux que tout soit luxueux, de l'extérieur à l'intérieur, même les canons, tout, et je payerais prix fort. »
« Alors, nous l'avons vu arriver, nous allons inspecter tout cela et vous dire le prix. »
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« Donc, j'ai fait un peu le tour, alors il y a une salle d'entrainement, une cuisine, la cabine du capitaine, un dortoir pour les hommes de confiances, une grande pièce spécialement faite pour les femmes ( apparemment ), une salle de détente, une prison, et de multiples salles vides, donc ça doit faire une quinzaine de pièce, mais pas toute à faire completement soit, rien que pour l'intérieur : 30 000 000 de berrys. Après, si l'on compte le prix pour l'extérieur, je dirais que pour refaire ce navire il vous faudra quelques 50 000 000 de berrys sur vous. »
« Ca marche. »
